Pendaison de crémaillère ◮ LIBRE

Falkonera, c'est officiellement le paradis sur terre, avec cette mer, cette mer turquoise qui prend toute la place, qui scintille au soleil, dont tu ne sais même plus où elle se finit, et où commence ce ciel merveilleux d'un bleu qu'on verra jamais depuis la pelouse du parc de Poudlard, et cette chaleur, et ces petits plants rabougris à cause de la chaleur, et ce sable brûlant, et ces petits cabanons mignons vers lesquels mon fidèle sac de voyage et moi-même nous nous dirigeons, pieds nus, parce qu'on s'en fout de se faire brûler la plante des pieds parce qu'au moins, ça prouve qu'on est bien là, à Falkonera ! Un soupir profondément satisfait s'échappe de ma poitrine lorsque, depuis le p as de la porte d'un bungalow encore manifestement vide, je laisse échapper mon chargement pour regarder autour de moi : deux lits superposés trônent au milieu de la pièce, pour accueillir quatre petits personnages brûlés par les rayons pas si bienfaisants que ça du soleil. Homme ou femme, c'est pas précisé — les chambres mixtes seraient-elles autorisées, sur cette île paradisiaque ? Voilà qui restait à découvrir. En attendant, je m'attribue l'une des couchettes supérieures, et j'allais ressortir quand soudain, quelqu'un entra à ma suite.
— Bienvenue à la casa ! J'propose qu'on l'appelle le foutoir des scroutts à pétard (ouais ça rime), qu'est-ce que t'en dis ? Mon enthousiasme est contagieux et mon idée géniale, je sens que ça va le faire.

Eanna avait dû supplier son père pour avoir l'autorisation de partir à Falkonera. Déjà séparé de sa fille pour la première fois pendant quasiment toute l'année, Cordelius Morane espérait quand même pouvoir profiter de l'été pour rassembler la famille. Mais devant l'enthousiasme d'Eanna, il finit par céder, reconnaissant l'opportunité que cela représentait de découvrir d'autres cultures. Il l'accompagna même pour proposer de participer à certaines activités proposés aux jeunes gens. Néanmoins, Eanna refusa qu'ils logent ensemble, l'abandonna pour se diriger vers le coin du campement réservé aux élèves. Le premier cabanon qu'elle visita était déjà occupé par des Serpentards qui lui firent bien comprendre qu'il était hors de question qu'elle espère s'installer avec eux. Leur rétorquant qu'elle préférait coucher dehors que de devoir les supporter, elle se dirigea vers un autre cabanon, dans lequel elle tomba sur Dowey.

- Hey ! Salut ! Je cherche une place. Il y a des lits réservés ici ?

La jeune irlandaise ne se posait pas deux secondes la question de savoir si les cabanons étaient mixtes ou pas. Avant Poudlard, elle avait toujours partagé sa chambre avec ses deux frères, et elle n'avait jamais eut la pudeur que les filles commence à avoir à son âge.

Une immense paire de lunettes de soleil fixée sur le nez et un large chapeau azur vissé sur sa chevelure blonde, Pandora traîne derrière elle sa grosse valise à la conquête d'un coin confortable où s'installer. S'interrompant un instant, elle s'accorde quelques minutes pour profiter de la vue splendide que lui offre Falkonera. Néanmoins, bien que le paysage soit des plus agréables à observer, la chaleur intenable fait rougir à vu d’œil la peau pâle de la Serdaigle qui, prévoyante, sort de son sac sa potion protectrice qu'elle a concocté elle-même. Seul petit hic, cette potion, qu'elle ne maîtrise pas encore à la perfection, a la fâcheuse manie de faire briller la peau comme si un milliard de petits diamants la recouvrait. Pratique donc pour se protéger sois-même du soleil, moins pratique pour les interlocuteurs qui reçoivent le reflet des rayons du soleil en plein visage...

Enfin protégée, Pandora reprend sa marche jusqu'à la cabane suivante où deux de ses camarades de Poufsouffle sont déjà en train de s'installer. Ravie de trouver un endroit avec un lit disponible, la gamine entre dans la case tout sourire. « — Bonjouuur ! J'ai hâte de pouvoir commencer les activités ! Il paraît que les adultes ont prévu tout un tas d'animations ! J'espère qu'on aura un concours de création de sortilèges ! Je suis super douée pour ça ! Enfin, on verra bien. Au fait ! Je suis Pandora, et vous ? » Fidèle à elle-même, cette petite bavarde ignore si les regards surpris de ses nouveaux colocataires sont dus à sa peau scintillante ou à son discours interminable, mais cela lui importe peu et c'est toute joyeuse qu'elle commence à défaire ses bagages.

pendaison de crémaillère

Plein de gens

Un été loin des parents, que demander de plus ? Lorsque la nouvelle avait été annoncée, Lilah n'avait pas perdue une seconde pour demander à ses parents si elle pouvait partir en voyage avec le reste des élèves. C'était certes un petit investissement pour la famille McLeon, mais ses parents n'avaient pas eu le cœur de lui refuser cet opportunité, et avaient donc décidé de lui payer le voyage pour qu'elle puisse aller s'amuser. La rousse avait été ravie, et ne cessait d'en parler depuis. Finalement, le grand jour était arrivé, et la Pouffy traînait derrière elle sa valise, cherchant son cabanon. Vêtue d'une longue robe verte en toile, de sandales noires et d'un chapeau de la même couleur, la jeune fille sentait les grains de sable s'insinuer entre les lanières de ses chaussures et caresser ses pieds. Elle n'avait jamais vue que la mer d'Irlande jusqu'à présent, et voir un paysage aussi nouveau et connaître une température aussi chaude était un grand plaisir pour elle. Elle finit par trouver le cabanon qu'elle cherchait, et entra sans frapper. - Hey Dudy, ta colocataire préférée est là ! Dit-elle avec un sourire gigantesque. Elle regarda également les deux autres personnes présentes. - Salut Morane. Et… Je crois que tu es miss Fôltete, c'est ça ? On dirait bien qu'on va devoir vivre ensemble pendant ces vacances, alors j'espère qu'on s'entendra bien ! Elle sourit et jeta sa valise sur le lit inférieur à celui de Dowey. - En tous cas je te déconseille de laisser pendre tes pieds la nuit si tu veux pas que je les chatouille. Dit-elle avec un sourire en coin.

Emi Burton

— Hey ! Salut ! Je cherche une place. Il y a des lits réservés ici ? J'remarque que Morane a légèrement ignoré ma question, mais j'm'en formalise pas parce que j'suis un gentleman, et aussi peut-être un peu parce que j'ai remarqué lors de la partie de balle aux prisonniers made in Poudlard que fallait pas trop déconner avec cette petite personne lorsqu'un Souafle passait à proximité.
— J't'en prie installe-toi, plus on est de Jaunes plus on rigole, j'l'invite en désignant la chambre vide. J'dois dire que j'suis assez content, j'ai comme dans l'idée que Morane et moi on risque de se côtoyer assez rapidement en équipe de Quidditch, donc autant faire connaissance dès maintenant. En revanche, j'connais pas du tout l'énergumène qui entre quelques secondes plus tard dans le cabanon, toute de paillettes vêtue.
— Salut Pandora, moi c'est Dowey ! Sympa, ton look !
On dirait une jeune licorne, genre au moment où c'est déjà plus un poulain doré, mais que sa corne n'a pas encore poussé et que du coup il vire vers le blanc. J'dois déjà le titre de mon journal de l'été : Mes vacances avec un bébé licorne, j'trouve ça accrocheur. Moins accrocheur toutefois que l'irruption dans la cabane de McLeon !
— A peine arrivé, déjà maltraité, j'me lamente en prenant à témoin mes deux plus jeunes colocataires, avec ma mine de niffleur battu. Vous me protégerez d'elle, hein ? Aucune solidarité féminine dans ce dortoir, j'étais là le premier ! Je crois que mon journal de l'été a changé de titre, pour devenir un truc du genre "Dowey Spencer Jr, cohabitation avec mon premier harem : ma blonde, ma brune et ma rousse". Un peu plus tapageur peut-être... Pas comme l'arrivée d'un cinquième personnage dans notre cabanon.
— Bonjour, je suis Akil, y aurait-il encore une place dans ce cabanon ? Nous demande le nouveau venu d'une voix extrêmement polie, dans un anglais parfait bien que nuancé d'un accent que j'ai jamais entendu de ma vie. Akil fait au moins 1m80, il a la peau, les yeux et les cheveux noirs comme le fond d'un chaudron, et les dents blanches comme une licorne un peu plus âgée que Pandora. Il doit avoir à peu près notre âge à Lilah et moi, même si le fait qu'il porte une belle chemise blanche à manches courtes avec un pantalon de costume le fait paraître plus vieux. Il nous considère calmement, attendant que quelqu'un lui réponde, et j'dois dire que vu que j'ai pas vu le cinquième lit qui se trouve sous la fenêtre, et que j'suis trop impressionné par sa dégaine pour répondre, eh ben j'me contente de le fixer sans piper mot. Une première !

Citation :

Allez zou, dites la bienvenue à notre copain Akil (ça veut dire intelligent en swahili svp)

" J't'en prie installe-toi, plus on est de Jaunes plus on rigole". N'ayant même pas attendu la réponse de Dowey pour jeter son sac sur le deuxième lit en hauteur du cabanon, Eanna lança nonchalamment "Cool, et scroutt à pétard toi-même." Ils furent bientôt rejoints par Pandora, une fille de Serdaigle de la même année qu'elle. Fidèle à elle-même, c'est totalement rutilant qu'elle se présenta, après un monologue qui fit sourire Eanna.

- Hey, elle rend aveugle ta crème à paillettes, Pandora ? C'est moi, Eanna, on est en cours de Botanique ensemble, tu te souviens ?

Pour être honnête, ça n'aurait même pas étonné Eanna que la Serdaigle n'ait pas de souvenir d'avoir partager une année avec elle, tellement elle avait l'air à l'ouest. Mais bon, c'était une chic fille quand même, elle avait toujours des trucs drôles à raconter. A sa suite débarqua une autre Poufsouffle, Delilah, qui commença directement à taquiner Dowey. Face à la plainte du garçon, Eanna leva les yeux au ciel avant de lancer à sa camarade de maison avec un sourire innocent. "Je te filerais une plume si tu veux, je l'ai déjà testé sur les pieds de mon frère, c'est l'arme parfaite." Ils furent interrompu par un nouvel arrivant, inconnu cette fois-ci. Grand (immense même), noir, tellement propre que ça en était suspect, il se présenta de manière formelle. En quelques secondes, Eanna décida qu'elle se méfiait de lui. Elle se méfiait toujours des gens qui portent des chemises trop bien repassées. On lui indiqua qu'il restait un lit de libre, ce à quoi il répondit, toujours aussi pompeusement.

- Je vous remercie, si ça ne vous dérange pas, je vais l'occuper. Vous êtes de Poudlard, n'est-ce pas ?

- Comment t'as deviné ? lança Eanna, d'un ton légèrement sur la défensive.

- Et bien... Vous êtes anglais de toute évidence.

- Non, moi je suis irlandaise, nuance. répondit-elle du tac-au-tac, plissant ses yeux noirs sous l'air indifférent d'Akil.

C'était décidé, elle n'aimait pas cet Akil.

Hésitant un instant quant à l’endroit où ira son horloge en forme de hibou –et de taille réelle, s’il-vous-plait- Pandora décide finalement de l’accrocher à l’aide d’un sort à droite de la porte d’entrée, afin de pouvoir lire l’heure de son lit. Satisfaite, elle s’adonne désormais au rangement de ses vêtements et de sa quantité indénombrable de bracelets grigris. Trop concentrée à choisir l’emplacement de ses objets, la Serdaigle entend à peine les paroles de Dowey et Eanna. « Ah oui, Eanna. » Répond-elle tout de même en reconnaissant la Poufsouffle. « Je ne t’avais pas vu. C’est à cause de mes lunettes de soleil. Je les ai ensorcelé pour qu’elles protègent mieux mes yeux, mais j’ai un peu exagéré le sort et du coup je ne vois presque plus rien. » Explique-t-elle en les retirant de son nez, adressant un sourire à ses nouveaux colocataires, tandis qu’une nouvelle arrivante passe le seuil de la porte.
« Je m’appelle Pandora. Et toi ? » Lui demande-t-elle, surprise qu’elle la connaisse.
Arrive alors Akil, son mètre quatre vingt et sa chemise bien repassée. Pas le moins impressionnée du monde, Pando s’approche de lui, et lui serre la main. « Bonjour Akil ! Je suis Pandora. » Répète-t-elle pour la troisième fois. « Tu peux prendre ce lit si tu veux. Mais si tu préfères, je te laisse celui-là. Tu viens d’où ? Tu as quel âge ? Vous avez une école de magie aussi, chez vous ? » L’assomme-t-elle de questions, curieuse d’en obtenir les réponses. « Et, est-ce que vous faites du vaudou ? » Ajoute-t-elle. Néanmoins, le regard noir que lui lance le jeune homme la coupe un peu dans son élan…

pendaison de crémaillère

Dowey, Eanna, Pandora & Akil

Comme d'habitude, Dowey faisait son elfe de maison battu, mais cela ne faisait que sourire la jeune fille. Morane semblait être une gamine assez marrante, et offrit de lui donner une plume pour l'aider, ce qui finit sourire la batteuse en coin. - Parfait Morane, tu es la complice parfaite pour réaliser mes plans ! Je compte sur toi alors. Elle dit en lui faisant un clin d’œil enjoué. Elle reporta ensuite son attention sur la jeune Serdaigle. - Moi c'est Delilah McLeon, enchantée ! Tu peux m'appeler Lilah si tu veux, beaucoup de gens le font, et je trouve ça mignon.

Alors que l'ambiance était à son apogée, une interruption se fit lorsqu'un nouveau venu entra dans le cabanon. Un charme indéniable se dégageait du dénommé Akil, il avait l'air vraiment cool, et très gentil, et le sourire de la rousse ne fit que s'agrandir. - Salut, moi je m'appelle Delilah ! Et tout comme Morane, je suis Irlandaise. Je suis ravie qu'on ai quelqu'un d'une autre école avec nous, je trouve ça super intéressant ! Je pourrais te poser des questions ou ça te dérange ?

Elle demanda tout en allant défaire un peu sa valise et poser ses vêtements sur les étagères lui étant réservées. - Moi je vais passer en Cinquième année. Et toi, tu es dans quel année dans ton école ? Lilah était agréable et enjoué. Peut-être un peu trop d'ailleurs. Elle était contente d'être là, et d'avoir Dowey en compagnon de cabane. Morane et Fôltete avaient également l'air d'être de gentilles personnes. Et puis de toute façon, Lilah aimait tout le monde de base, alors elle ne pouvait qu'espérer que tout se passe bien, n'est-ce pas ?

Emi Burton

Eh ben ça promet tout ça, à peine Akil a-t-il posé un pied dans le cabanon que déjà Morane lui cherche des pouilles, fichu caractère que ces Irlandais, décidément ! Sans autre forme de procès, j'balance mon oreiller dans la figure de la morveuse toujours occupée à dévisager le nouveau comme si ce dernier allait soudain exploser en répandant partout une substance malodorante.
— Excuse cette petite impertinente, je conseille tranquillement à Akil en me levant pour lui serrer la main, je viens de la récupérer, elle ne connaît pas encore trop les bonnes manières mais je te promets d'y remédier. Je suis Dowey. Dowey Spencer Junior, deuxième du nom. Enchanté.
J'suis un peu vexé de voir qu'Akil il a pas l'air de trouver mon humour drôle, mais au moins il me rend ma poignée de main. Peut-être qu'en fait, c'est Morane qui a raison de le traiter comme un drôle d'abruti ?
— Pas de problème, qu'il me répond avant de se tourner vers Pandora qui l'assaille de questions, ce lit me va très bien, merci. Je suis congolais, précise-t-il en s'asseyant sur son lit, et j'étudie la Magie à Uchawi, l'école des sorciers africains. Mon père y est Marabou en chef. C'est l'équivalent de votre Directeur, je crois. Et oui, ajouta-t-il d'un air important, nous étudions la magie vaudou. Donc ne m'embêtez pas.
Il dit ça d'une voix un peu flippante, et j'sens que ça jette un froid dans le dortoir, du genre polaire. En Grèce, s'il vous plaît, il est fort, cet Akil !
— Je rigole, qu'il nous assure ce nigaud en éclatant de rire, on n'a pas le droit de faire de magie hors de l'école. Vous êtes là pour combien de temps, alors ? Vous avez déjà eu le temps de faire le tour de l'île ?

Sujet: Re: Pendaison de crémaillère ◮ LIBRE Dim 6 Sep 2015 - 19:17

"Hey !!" s'indigna Eanna en recevant l'oreiller de Dowey dans la figure. " Excuse cette petite impertinente, je viens de la récupérer, elle ne connaît pas encore trop les bonnes manières mais je te promets d'y remédier." L'Irlandaise le fusilla du regard, lui adressa une grimace du plus belle effet. "Je vais t'en montrer des bonnes manières, bouse de troll". Eanna s'en fichait de passer pour une sauvage. Non pas qu'elle soit particulièrement mal élevée, mais elle avait l'habitude de ne pas dissimuler ce qu'elle pensait, et ce n'était pas cet été qu'elle allait commencer à faire la faux-cul. Et puis cet Akil lui faisait dresser ses poils de nuque, il lui était non seulement antipathique, mais en plus ça le faisait marrer de les faire flipper avec des histoire de magie vaudou. Et puis franchement, il avait besoin de leur annoncer de but en blanc que son père était Manitou-machin-truc, si ça c'est pas de la frime... Se mordant les lèvres pour ne pas encore lâcher une pique qui passerait pour de l'hostilité trop flagrante, Eanna se détourna et se jeta sur son lit, pour commencer à déballer ses affaires. Elle répondit quand même aux questions du congolais, d'un ton un peu bougon.

- On vient d'arriver aussi, évidemment qu'on n'a pas encor eu le temps de visiter. Personnellement je suis là quasiment tout l'été, donc j'ai le temps de le faire, le tour de l'île.

Sujet: Re: Pendaison de crémaillère ◮ LIBRE Jeu 10 Sep 2015 - 18:45

Continuant avec minutie son petit rangement, Pandora écoute d'une oreille distraite le discours d'Akil. Elle parvient malgré tout à retenir que, d'une part, il sait utiliser la magie vaudou et que, d'autre part, il fait dans l'humour. Riant joyeusement suite à sa blague, elle salut son côté gai luron et se réjouit d'avance de ces vacances qu'elle s’apprête à passer en compagnie de toutes ces belles personnes. La seule chose qu'elle regrette, évidement, c'est de ne pouvoir utiliser la magie en l'absence d'adultes responsables de l'encadrement du camp de vacances, c'est-à-dire, en dehors des heures de repas et des animations spécialement concoctées pour l'occasion. Rangeant sa petite robe turquoise dans sa penderie, elle jette un regard au bel Akil. « Tu m'apprendras la magie vaudou ? » Demande-t-elle, cherchant un moyen pour que le congolais puisse lui enseigner sa magie, sans avoir à la pratiquer. Puis, pivotant d'un quart de tour, elle plonge son regard clair dans celui de Dowey. « Tu veux bien m'aider à accrocher ça au plafond ? Je suis trop petite. Et puis, sans la magie je ne peux rien faire... » Demande-t-elle en lui tendant des étoiles phosphorescentes.

Sujet: Re: Pendaison de crémaillère ◮ LIBRE