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La maladie d'amour - Ludo

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MessageSujet: La maladie d'amour - Ludo La maladie d'amour - Ludo 129196351Mer 27 Déc 2017 - 18:34


❝ La maladie d'amour ... ça rend complètement idiot . ❞
- Ludovic & Sybille-
 
 Sybille errait dans les couloirs. Du moins, c’était l’impression qu’elle donnait. Les cheveux défaits, des vêtements dépareillés, elle traversait le château avec un air hagard et un regard vitreux. Fort heureusement, l’heure était trop matinale et, en ce samedi pluvieux, la plupart des étudiants étaient encore plongé dans les bras de Morphée. Sybille n’avait donc pas à supporter les murmures sur son passage, les ricanements ou les remarques désobligeantes. Quoi qu’elle ne les aurait surement même pas entendus.

Les images fugaces de son rêve restaient accrochées à son esprit comme les filaments d’une immonde toile d’araignée. Elle le savait, ça n’était pas un simple rêve. C’était plus que ça. Une vision. Une prémonition. Elle savait les reconnaitre, désormais. Le fait que ce songe revienne la hanter encore et encore, depuis des semaines, quasiment à l’identique, ne laissait aucun doute quant à sa nature. Et puis, les images ne disparaissaient pas comme lors d’un rêve anodin. Elles restaient, aussi violentes et précises.

Sybille n’arrivait pas à analyser correctement ce qu’elle voyait. Ce n’était qu’une succession d’images, rapides, qui lui laissaient à peine le temps de les voir. Une goutte de sang qui s’étendait, se transformant en flaque, en lac, en océan pourpre. Elle voyait ensuite des baguettes, des sorciers masqués, des corps qui s’effondraient. Puis il y avait ces hurlements qui finissaient par la réveiller. Elle ne savait pas qui était impliqué, ni quand cela se produirait mais elle était sure d’une chose : la mort les guettait.

Les yeux dans le vague, Sybille fut tirée de ses pensées morbides lorsque son corps percuta quelque chose. Elle se retrouva projetée en arrière, les fesses par terre. Ramenée brutalement à la réalité, elle leva les yeux pour se rendre compte que ce qui l’avait fait chuter était plutôt quelqu’un. Et pas n’importe qui, à vrai dire.

Ludovic Verpey.

Sybille resta un instant interdite, le cerveau soudainement mis hors service, les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte. Le jeune homme lui parla mais, totalement déconnectée, elle n’entendit pas et ne répondit pas. Il lui fallut quelques secondes pour se rendre compte de sa position. Le cerveau à nouveau en état de marche, Sybille se redressa aussi vite que possible, essayant de sauver le peu d’honneur qu’il pouvait bien lui rester. Elle passa machinalement les mains dans ses cheveux. Comme elle devait avoir l’ai stupide, avec sa tête d’ahurie, blême et décoiffée. Elle faisait pâle figure à côté de Ludovic Verpey. Ludovic et ses cheveux blonds, brillants. Ludovic et son regard rieur. Ludovic et son sourire à tomber.

-Désolée je … j’étais … dans mes pensées, lâcha-t-elle d’une voix si faible que le pauvre garçon du tendre l’oreille pour la comprendre.  

Elle aurait voulu lui demander s’il n’avait rien, mais la question resta coincée dans sa gorge tant la présence du jeune homme l’impressionnait.
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MessageSujet: Re: La maladie d'amour - Ludo La maladie d'amour - Ludo 129196351Lun 12 Fév 2018 - 13:34




"La maladie d'amour"

Qui recherche la lune ne voit pas les étoiles. - Anonyme



« Désolée je … j’étais … dans mes pensées... » fit une petite voix qu'il ne reconnut pas immédiatement. A vrai dire il n'avait pas vraiment compris comment il l'avait fait tomber, lui était-il rentré dedans, ou était-ce l'inverse ? Pour le comprendre, il nous faut revenir en arrière, une heure plutôt pour être précis.

Samedi matin. Il était neuf heures et le jeune homme venait de se lever, il jeta un regard aux autres lits : certains étaient ouverts tandis que d'autres étaient encore fermés. Paresseux. pensa-t-il moqueur, vis-à-vis de lui surtout, à vrai dire c'était un exploit pour lui de se lever à une heure aussi décente. Il se levait aux aurores la plupart du temps pour aller s'entraîner sur le terrain de Quidditch avant le petit-déjeuner ou, moins souvent, au méridien lorsqu'il n'avait pas la motivation et cela restait tout de même très rare.

Le jeune homme monta dans la salle commune et chercha sa meilleure amie du regard, son apollon étant levé, il la soupçonnait fortement d'être sortie déjeuner avec lui sans l'avoir attendu. Le soupçon se confirma par la suite lorsqu'il arriva dans la Grande Salle vêtu un pantalon noir et d'un pull en laine jaune moutarde et qu'il les aperçu au loin avec des amies d'Hestia. Il s'approcha et ébouriffa les cheveux de cette dernière. « Lâcheuse, va ! ». Ils rigolèrent tous et discutèrent le temps du petit-déjeuner jusqu'à ce qu'ils repartent vaquer à leurs occupations de la journée.

Le batteur jeta un oeil à la table des Gryffons avant de partir, il trouva bien vite l'objet de sa recherche. Marlène. Un sourire idiot et rêveur pris place sur son visage tandis qu'il se levait sous le regard amusé de la Jones qui connaissait son attention particulière pour la Lionne. Il sortit rapidement de la Grande Salle, non sans lui jeter un dernier coup d'oeil et se dirigea vers la bibliothèque. Récemment, il avait rejoint plusieurs clubs dans le château et voulait se documenter. Il fallait l'avouer il n'avait du mettre les pieds dans le lieu qu'une dizaine de fois depuis son arrivée à Poudlard, mais il s'agissait d'un cas d'extrême urgence. Il voulait pouvoir répondre à chaque question que sa douce poserait durant leurs réunions.

Perdu dans ses pensées, c'est à cet instant qu'il percuta la Serdaigle, et oui c'était en majeure partie de sa faute puisqu'il venait de trébucher sur son propre pied droit. Il n'eut même pas le temps de loader à se relever qu'elle était déjà sur ses deux jambes, balbutiant si doucement qu'il avait du lui prêter une forte attention pour pouvoir écouter ses propos. Il lui sourit gentiment, comme à son habitude. « Ne t'en fais pas ! C'est de ma faute, je ne regardais pas où j'allais. » Un sourire plein de soleil. « Tu n'es pas blessée ? » lui dit-il inquiet qu'elle ait pu se blesser. Il ne reconnu qu'après la jeune fille qui lui faisait face, il la croisait assez souvent à vrai dire. Sybille Trelawney se retrouvait très souvent sur son chemin, tant de fois par jour qu'il ne les comptait même plus !

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