ϟ la fiche de recensement

NOM ♌ Dolohov PRENOMS ♌ Antonin, Sergueïevitch DATE DE NAISSANCE ♌ 07 mars 1934 AGE ♌ 39 ans VILLE D'ORIGINE ♌ Novossirbirsk SANG ♌ Fils de deux sorciers russes (sang inconnu, ascendance douteuse) ANCIENNE MAISON A POUDLARD ♌ Dolohov a étudié à Durmstrang ORIENTATION ♌ Côté du Mal

Dolohov est avide et cruel ; il aime infiniment lire la crainte et la douleur dans le regard des autres, surtout quand il en est l'objet. Ce personnage antipathique cueille les vies comme d'autres cueillent des fleurs ; il est dénué de remords, manipule les gens sans aucun état d'âme, et ne fait que ce que lui dicte son instinct. Il n'oublie jamais de se venger quand on lui fait une injure ; son intransigeance fait que le pardon lui est inconnu. A ce titre, il est incontrôlable, imprévisible et un tantinet sadique sur les bords. Ce côté un peu sauvage et dangereux le rend mystérieux, et participe à son mythe. Par ailleurs, Dolohov se montre très froid et cérémonieux, et aime à se mettre en scène ; son côté russe, sans doute. Il ne brille pas par sa discrétion, au contraire il aime à faire parler de lui. Toutefois, on ne peut nier que Dolohov possède quelques qualités ; doté de principes, il n'oublie jamais de récompenser ceux qui lui sont alliés. Sa loyauté fait sa réputation, de même que sa dévotion. Sa mémoire est fabuleuse, il lui suffit de voir un visage, visiter un lieu, lire un ouvrage, et celui-ci est gravé à jamais dans son esprit. Son instinct est sans faille ou presque ; il sert ainsi à exprimer la puissance brute qu'il possède. Dolohov tout de même, se montre très méticuleux dans son travail, pour le grand malheur de ses victimes ; quand il entame quelque chose, il le termine. Il est doté d'une volonté sans faille et d'une grande rigueur envers lui-même ; quand Dolohov veut quelque chose, il l'obtient, quel qu'en soit le prix à payer. Pour cela il observe une discipline de fer, et entend que les autres fassent de même.

VOTRE PATRONUS ♌ C'est un Lycaon
VOTRE EPOUVANTARD ♌ Me retrouver cracmol
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE ♌ Le rouge carmin
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ ♌ J'aime tous les rapaces
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ ♌ Piment
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ ♌ L'Imperium
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE ♌ Je rêve de braquer Gringott's... Comment ça, c'est pas la question ?
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ ♌ Grindelwald, sans hésitation

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? ♌ Dolohov... en voilà, un nom qui fait encore trembler les sorciers. Dolohov, c'est d'abord le nom de Sergueï Fiodorovitch, le plus fidèle lieutenant de Gellert Grindelwald. Dolohov Sr s'est activement illustré aux côtés du célèbre mage noir au cours de tous les plus grands désastres de son règne : c'est pourquoi, à la suite de la défaite infligée par Dumbledore à Grindelwald, Dolohov Sr est enfermé à Nurmengard en même temps que lui, en 1945. Il laisse derrière lui une épouse fidèle et dévouée, Aleksandra Leopoldovna, et un fils de 11 ans, Antonin Sergueïevitch. Ce dernier, fasciné par la figure paternelle et révolté par le traitement subi par ce père qui se battait "pour le plus grand bien", va à Durmstrang assumer avec une grande fierté son rôle de fils d'un des sorciers les plus détestés de tous les temps. Et, sans la moindre hésitation, suivre ses traces afin que le monde continue de craindre le nom de Dolohov. Mais surtout, pour venger son père, décédé au fin fond de sa cellule de Nurmengard au cours de l'hiver 1948.  

Sa mère, Aleksandra Dolohov, est une sorcière de grand talent, profondément attachée à la mémoire de son époux défunt. En tant que veuve du plus grand lieutenant de Grindelwald, elle était effectivement restée une figure incontournable parmi les sympathisants de Grindelwald, qui réclament sa libération. C'est elle qui va entendre parler de Lord Voldemort pour la première fois, en 1952. Tom Jedusor a alors 25 ans, Antonin en a 18. Encouragé par sa mère, le jeune Dolohov envoie une première lettre à Tom Jedusor, pour lui faire part de son admiration, de sa sympathie, et de son profond soutien dans sa lutte contre ces abominables moldus. Il y met tant de cœur que Voldemort lui-même lui répond quelques semaines plus tard... Une correspondance s'instaure ainsi entre les deux jeunes hommes.

1953. Dolohov s'envole pour Londres, afin de rencontrer Tom Jedusor en personne, ainsi que les grands noms qui l'entourent déjà, Nott, Mulciber, Rosier entre autres. C'est le début d'une grande aventure qui ne prendra fin qu'à l'issue de la Bataille de Poudlard, en 1998 ...

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Rien de tout cela, je le crains. Je ne peux malheureusement pas vous donner plus de détails, si je le faisais, il me faudrait vous tuer...  

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
J'ai eu un cœur, autrefois... mais il est mort en 1959.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
Déjà, j'ai étudié à Durmstrang. Je ne connais pas votre école. Je suis le fils d'un sorcier très célèbre et très puissant, par conséquent très détesté. J'ai dû composer avec la jalousie de mes pairs depuis mon plus jeune âge... Jusqu'à les rendre encore plus jaloux, non plus de mon père, mais de moi.  

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Mon projet est de devenir un sorcier célèbre. Je veux que tout le monde sache ce que je fais, et que l'on parle de moi avec respect. Je veux être riche, et puissant.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Il n'y a rien à cacher, ma jolie. Mon métier me force souvent à flirter avec la magie la plus sombre, et je ne m'en plains pas. De ce côté, il me semble que vous autres, à Poudlard, avez du retard... Toujours est-il que  les Moldus n'entrent pas à Durmstrang. Je ne comprends pas la décision des Directeurs de Poudlard.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Gloire, puissance et immortalité.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  réponse Où avez vous connu le forum ?  réponse Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : réponse + code du jour où nous sommes (bien caché dans le règlement !!)

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

— Exemple de post de façon RP de votre choix.

Londres, ville de tous les excès, de tous les succès. La littérature ne manquait pas à propos de cette ville, et pourtant à l'instant même où Antonin posa pour la première fois son regard délavé sur les toits de la capitale, il sut qu'il y avait encore beaucoup à écrire sur le sujet. Londres, ville de toutes les histoires, de tous les déboires. Londres, qui avait encore tant à dire, pourvu que quelqu'un accepte de prendre sa plume pour la laisser conter son histoire. Londres, qui se proposait d'être le théâtre de bien d'autres destins. Cela tombait bien, Antonin était fermement décidé à y inscrire le sien.
— Ça fera trois Gallions la nuit, jeune homme. L'interpellé se désintéressa des photographies qui surplombaient le comptoir miteux de l'auberge sur laquelle il avait jeté son dévolu. Face à lui, une petite sorcière édentée essayait de lui sourire avec amabilité, comme pour mieux lui faire croire qu'une chambre dans son établissement valait réellement ce prix. Le fort accent étranger de Dolohov ne faisait pourtant pas de lui un sorcier né de la dernière pluie d'étoiles : il posa ses deux mains à plats sur le comptoir, et essaya d'ignorer la succion désagréable opérée par la graisse sur ses mains blanches, et le mouvement de recul de la tenancière des lieux.
— Faisons un marché, voulez-vous, murmura-t-il d'une voix enjôleuse, je reste ici un mois, et je paye 50 Gallions. 25 maintenant, et 25 à la fin du mois. Dolohov laissa un instant à la vieille sorcière pour faire le calcul, et reprit après quelques secondes : J'ai également besoin d'informations. Si vos réponses me vont, je monte à 100 Gallions le mois. Qu'en dites-vous, Mrs Padmore ?
Quelques minutes plus tard, Dolohov investissait la plus belle chambre du Cochon Pendu, plus léger de 25 Gallions. Le logement et l'indic, c'était déjà ça de vu. L'emplacement non loin de l'Allée des Embrumes, c'était également bon. Car si c'était la première fois que le jeune homme posait les pieds au Royaume-Uni, la renommée de l'Allée n'était plus à faire, et rayonnait jusqu'à l'étranger. Si bien que Dolohov savait exactement ce qui l'intéressait, et où il voulait officier. La vieille allait être surprise, le jour où elle allait de nouveau essayer de l'entuber. Elle allait devoir travailler dur, si elle voulait obtenir ses cinquante Gallions de bonus — qu'Antonin n'avait pas, de toute façon. Peut-être d'ici la fin du mois les aurait-il, il n'en avait pas la moindre idée. Son existence lui semblait délicieusement imprévisible à cet instant, étendu de tout son long en travers de son lit, le regard perdu par la lucarne traversée d'un panache de fumée noire. This is London. Peut-être la paierait-il — il y gagnerait une indic fidèle, sa première. Peut-être ne la paierait-il pas. Mais s'il ne la payait pas, cela voulait dire qu'elle ne pouvait lui être d'aucune utilité. Auquel cas... Il pouvait également la tuer. Qu'il était bon d'avoir le choix, Dolohov en soupira d'aise. Ce mois-ci allait être particulièrement passionnant, et pas seulement parce que c'était le premier mois de sa nouvelle vie... C'était surtout le premier mois du début de son Histoire, la véritable, celle qui, une fois qu'elle serait en marche, ne pourrait être stoppée par rien ni personne.