Le nouveau design est installé ! Nous remercions chaleureusement l'Ecureuil pour son travail magnifique !
Retrouvez la dernière édition de la Gazette des sorciers !
-11%
Le deal à ne pas rater :
Smartphone 6.36 ” Xiaomi 14 (12 Go / 256 Go
641 € 719 €
Voir le deal

Partagez

Un orage éclate dans la tour d'astronomie

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Anonymous

Invité

Invité


Un orage éclate dans la tour d'astronomie Empty
MessageSujet: Un orage éclate dans la tour d'astronomie Un orage éclate dans la tour d'astronomie 129196351Mer 21 Déc 2016 - 16:49

Un tourbillon enveloppant m’entourant, je me retrouvais à près au lard, cela faisait maintenant une trentaine d’année que j’avais quitté Poudlard, pourtant, rien n’avait bougé, la tête de Sanglier était toujours debout, les trois balais possédaient toujours une forte affluence de personnes. Hélas, je ne venais pas pour me prélasser avec une bierraubeurre, mais pour parler à différentes personnes, dont en priorité Albus Dumbledore. Nous avions rendez-vous dans une heure, afin de discuter d’un petit point épineux que je voulais lui soumettre. Pourtant pour l’heure, j’avais quelque chose de plus important à aller faire.

Je me transformai sous ma forme animagus avant de me diriger vers cette école historique que j’avais quitté trente années plus tôt. Mon voyage ne dura pas plus d’une dizaine de minutes avant que je n’arrive devant les grandes portes de l’école, j’ai donc décidé qu’il était l’heure pour moi de me transformer à nouveau en humain, ce que je fis à l’instant précis. Sous ma forme corbeau, j’étais un magnifique animal au pelage noir, mais sous forme humaine, j’étais souvent qualifié de roi de neige, car mon visage ne montrait que très rarement mes émotions, j’étais devenu un maître dans l’art du cachecache de sentiment. J’ai donc pénétré dans l’école, en tenant ma longue cape vert émeraude à mon bras avant de hausser un sourcil devant les visages surpris des jeunes gens qui étaient dans le hall à me regarder passer.

- Vous n’avez donc pas de travail ?


J’avais prononcé ces mots avec une telle froideur, que les jeunes gens partirent loin de moi, afin d’aller retrouver leurs lieux d’étude. J’avais aujourd’hui plus que jamais besoin de personnes pour travailler dans mon département, mais jamais je n’en trouverais s’ils se comportaient comme des idiots obnubilés par l’arrivée soudaine d’un homme de mon statut. D’un pas rapide et décidé, je me suis dirigé vers la salle des professeurs, bien que les escaliers commençaient à m’énerver. Tout à coup, sans que je saches d’où cela venait une bombabouse me tomba sur le visage et je regardais d’où cela venait :

- Peeves…

De la poche intérieure de ma veste, je me saisis de ma baguette superbement ouvragée avant que d’un geste lent du poignet, je retire les morceaux de l’arme d’attaque de l’esprit frappeur de mon visage et de mes épaules avant de regarder Peeves avec froideur :

- Tu te souviens pas de moi ?


Avec un sourire mauvais, j’ai fit un geste plus sec du poignet qui envoya sur l’esprit frappeur les restes détruits de la bombabouse avant de le jeter dans un placard à balais. En reprenant mon chemin, je tombais nez-à-nez avec le fantôme que je cherchais :

- Baron, je viens de ranger Peeves dans le placard à balais, je compte sur vous pour avoir une discutions avec lui afin de lui rappeler le respect.

Ma voix qui d’ordinaire restait totalement froide était devenu réellement glaciale en parlant au fantôme légendaire de la maison Serpentard. Au cours de ma septième année, j’avais appris ce qu’avait fait le baron et comment il était mort, ce qui expliquait pourquoi même mille ans après sa mort, il porte encore les chaînes de son forfait. Je n’avais jamais été très appréciait du baron, malgré tout au fil des années passées à Poudlard, j’avais obtenu son respect, ce qui je dois m’en orgeuillait un petit peu. Peu d’étudiants à Poudlard pouvaient se permettre de se vanter d’avoir obtenu le respect d’un des fantômes les plus durs de l’école.  

En continuant malgré tout sur ma lancée, quelque peu cavalière, je dois l’admettre, je me plaçais devant la porte de la salle des professeurs avant de frapper dessus et attendre que quelqu’un me réponde :

- Monsieur Sayre que nous vaut ce plaisir ? Demanda la voix fluette d’un des professeurs de l’école.

- Je cherche Yelena Dratsena, vous savez où elle est ?

Ma voix se faisait pas réellement menaçante, pourtant, l’on pouvait très bien comprendre que je ne cherchais pas à tergiverser, je voulais la voir et je la verrais. Le professeur me regarda avec calme avant de me dire qu’elle se trouvait surement dans son bureau dans la salle d’astronomie. EN inclinant respectueusement la tête, je fis demi-tour pour me diriger vers la dite salle.
Au bout d’une petite dizaine de minutes, je suis enfin arrivée au lieu que je cherchais. En entendant à l’intérieur, j’ai compris qu’elle avait un cours. Malgré tout, je me déplaçais jamais pour rien et elle m’avait réellement mis sur les nerfs, c’est donc pour cela que je suis entrée dans la salle.

Une fois entré, les élèves dont peu me reconnaissaient se retournèrent tous pour savoir qui était entré dans la salle. Pourtant, d’un mouvement de la tête, je leur ai montré le tableau pour qu’il continue. De toutes mes années à Poudlard, je n’avais jamais réellement aimé les matières du style astronomie et Divination, pourtant, j’éprouvais beaucoup plus de sympathie pour cette première que pour la pseudo-magie qu’est la divination. Assez contradictoire pour une personne possédant une prophétie dans la salle des prophéties au département des mystères, pourtant comme je l’ai toujours dit : « Une prophétie, c’est comme un trou du cul, tout le monde en a un, certains en on même deux »

- Yelena, tu ne te sauveras pas cette fois, on doit parler.


J’avais déjà essayé d’avoir cette conversation avec elle depuis plusieurs semaines, mais elle remettait toujours nos entrevues à plus tard, mais j’étais bien décidé à mettre les choses à plat une bonne fois pour toute. C’est pour cette raison que j’ai patienté une bonne dizaine de minutes avant la fin du cours, afin de lui parler.

Lorsque tous les élèves sont enfin partis, je me suis redressé et je l’ai regardais avant de lui dire :

- Est-ce que vous comptez commencer sur le tard une carrière d’auror ? Nan ? Parce que j’ai l’impression que vous vous moquez du monde, si vous désirez rejoindre les aurors, les inscriptions commencent en septembre. Tant que vous n’êtes pas aurors, je ne veux pas que vous mettiez en travers de l’un de mes services a enquêté vous-même sur la mort de votre frère. Est-ce bien clair ???

J’étais très agaçé par son comportement et cela se voyait très bien, car ma voix montrait un agacement qui prenait la forme d’un véritable courant sibérien que même les étudiants de durmstrang trouveraient froid. J’avais déjà discuté avec elle de mon opinion sur son travail dans l’enquête de son frère, mais depuis quelque temps, elle avait décidé de passer outre et de travailler elle-même à la recherche des assassins de son frère.

- Vous moquez vous de moi, Miss Dratsena ? Je crois bien que si, si vous trouvez les aurors si incompétent, allez-y devenait aurors, nous verrions bien si vous êtes capable de faire mieux qu’eux. Nous sommes en guerre ne l’oubliait pas, des gens meurent tous les jours. Ce matin, j’ai trouvé en arrivant sur mon bureau une douzaine de lettres de service pour m’informer que pendant la nuit plusieurs familles de moldus et de sorciers avaient été tué. J’ai réellement autre chose à faire que de vous suivre à la trace pour savoir si vous vous êtes fait tuer ou pas. Vous êtes incapable de vous défendre seul et ne le niez pas surtout, je dois vous rappeler que vous ne seriez pas en un seul morceau, si je n’avais pas été là pour vous sauver les fesses, il y a quelques semaines.

Je la regardais avec colère et froideur avant de clôturer mon monologue par ces mots qui serait dur pour elle à entendre, mais qui devait être dit :

- Soit vous arrêtez immédiatement d’enquêter sur la mort de votre frère, soit la prochaine fois qu’on se verra, vous serez morte ou à Azkaban. Je ne me répéterais pas, je serais d’autant plus intransigeant avec vous qu’avec toute autres personnes, les aurors sont submergé de boulot, nous ne sommes pas assez. Il m’arrive moi-même de travailler sur des enquêtes quand on manque de personnel, donc nous rajouter pas non plus de travail qui n’est pas nécessaire à l’heure actuelle, votre frère est mort, son assassin paiera un jours, mais d’abord, protégeons les vivants avant de venger les morts!

Je la regarde dans les yeux attendant sa réponse, je savais parfaitement qu’elle allait se mettre en colère, mais au fond, elle devait se douter qu’on avait autre chose à faire que de traité une affaire vieille de dix-neuf ans.

Dragées:
Revenir en haut Aller en bas
Yelena Dratsena

Yelena Dratsena


ORDRE DU PHÉNIX
La meilleure défense, c'est l'attaque

ORDRE DU PHÉNIXLa meilleure défense, c'est l'attaque
| HIBOUX POSTÉS : 204
| AVATARS / CRÉDITS : Sharon Den Adel
| SANG : mêlé


Caractéristiques du sorcier
| EPOUVANTARD : Le corps sans vie de sa mère
| PATRONUS : Un lycaon
| POINTS DE COMPÉTENCE :

Un orage éclate dans la tour d'astronomie Empty
MessageSujet: Re: Un orage éclate dans la tour d'astronomie Un orage éclate dans la tour d'astronomie 129196351Jeu 22 Déc 2016 - 23:27

Yelena avait ses petites routines à force. Depuis neuf ans qu’elle était là, ses journées se ressemblaient beaucoup. Mais parfois il arrivait qu’un élément imprévu ne vienne bousculer tout cela. Oh je ne parle ici que de ses journées de cours habituelles. Donc pas de ses vacances ou même simplement de ses soirées. Des moments qu’elle occupe très différemment. Il arrivait qu’elle sorte du château et se rende dans des endroits que d’autres préfèreraient encore éviter. Mais elle n’y allait pas par plaisir. Elle essayait bien de faire attention, mais elle cherchait quelque chose. Depuis maintenant 19 ans, on lui avait retiré l’une des choses les plus importantes de sa vie. On lui avait volé un soutien fort, la seule personne réellement importante dans sa vie. Cela faisait 19 ans que son grand frère avait été enlevé, torturé, puis finalement tué. Yelena n’avait jamais compris. Pourquoi lui ? Pourquoi cette torture ? Elle l’adorait, mais il n’avait rien de bien particulier et qui devait attirer l’attention. Est-ce qu’ils s’étaient intéressés à lui à cause du clan ? Peut-être. Mais revenait cette question : Pourquoi lui ? Il était tellement jeune. Pas même destiné à être mis à la tête du clan. Loin d’elle l’idée de le dévaloriser, mais honnêtement, ils n’auraient pas dû s’intéresser à lui. Et cela l’aurait bien arrangé elle, qu’ils le laissent tranquille. Il n’était qu’un jeune russe venu étudier les langues en Angleterre et en quête d’un père pour lui et sa sœur. Il n’avait pas même eu le temps de se faire des relations, tout au plus quelques connaissances. Cela avait été un choc pour tout le monde. Yelena la première. Alors qu’il n’était que disparu elle avait été persuadé qu’il reviendrait. Apprendre sa mort ça avait ruiné sa vie. Cette nouvelle ne l’avait jamais quitté et aujourd’hui encore elle se battait pour trouver les responsables. Presque les traquer. Mais rien. Elle pensait avancer et puis c’était toujours tombé à l’eau. Oh il y a peu elle avait réussi à tomber sur un groupe de Mangemorts, preuve qu’elle se rapprochait, mais cela n’avait rien donné. Elle ne laissait pas tomber pour autant. Oh non, elle continuerait sa chasse au mage noir et elle trouverait ceux qui avaient fait ça à Ivan. Même si elle prenait des risques inconsidérés, il faut l’admettre.

Pour l’heure, la question ne se posait plus tellement. Alors qu’elle était au château, il était temps de jouer son rôle de professeur et de donner ses cours. C’était bien moins risqué déjà mais très intéressant tout de même. Elle avait passé un bon moment dans la salle des professeurs, comme souvent. Sans pour autant parler avec. Cela pouvait lui arriver mais parler avec ses collègues c’était quelque chose qui n’était pas primordial et donc pas forcément fait régulièrement. En règle générale elle n’était pas une grande bavarde. Après 9 ans elle n’était pas forcément toujours très à l’aise avec la langue pour commencer, ce qui n’aidait pas. Elle savait parler et savait écrire en anglais. Mais elle cherchait parfois ses mots et surtout elle avait cet accent à couper au couteau qui la gênait parfois dans les conversations importantes. Mais pour ses cours, elle trouvait toujours moyen de se faire comprendre. Oh certains avaient du mal avec ses manières un peu froides et ses paroles directes. Autant le  dire clairement, elle s’en moquait un peu. Ils n’étaient pas là pour l’aimer mais pour apprendre. Et ils le comprenaient assez vite. Elle se moquait d’être peu appréciée par eux. Tant que chacun faisait ce que l’on attendait de lui, tout se passait bien. Enfin, en temps normal.
Ce jour-là elle était en plein cours lorsque les portes s’étaient ouverte et sans grand ménagement. Elle  aurait hurlé et renvoyé n’importe quelle personne qui se serait permis d’entrer ainsi. Sauf que là cela serait un poil risqué quand même. Une fois la surprise passée, elle avait reconnu Morgan Sayre. Cela faisait un moment qu’ils se connaissaient. Et plus récemment elle faisait son maximum pour l’éviter. Visiblement cette fois c’était raté.

-Yelena, tu ne te sauveras pas cette fois, on doit parler.

Il avait fait signe aux élèves de se reconcentrer. Très bonne idée. Leur cours était écrit au tableau comme elle faisait souvent lorsque cela devenait trop précis. Elle savait leur expliquer, mais c’était eux qui risquaient de mal prendre en note les noms précis avec son accent. Alors elle les écrivait. Les sourcils froncés, visiblement agacée, elle avait compris qu’il ne la lâcherait effectivement pas. Alors autant régler cette histoire au plus vite maintenant.

- Lorsque vous aurez terminé de copier vous pourrez me déposer vos exercices précédents sur le bureau et partir directement.

Elle continuait à sagement les surveiller, sans manquer de garder à l’œil son invité forcé du jour. Oh elle se doutait bien que si il était là, ce n’était pas pour lui offrir des fleurs. Petit à petit les étudiants quittent la salle. Elle les salue à chaque fois qu’ils viennent rendre leurs travaux et attends la fin avec une certaine impatience. Elle ne pouvait plus courir ou chercher à se cacher maintenant. Alors une fois le dernier étudiant parti, elle avait tout de suite su qu’il ne tournerait pas longtemps autour du pot. Alors elle rangea ses affaires gentiment, prête à recevoir les foudres de cet homme.

-Est-ce que vous comptez commencer sur le tard une carrière d’auror ? Nan ? Parce que j’ai l’impression que vous vous moquez du monde, si vous désirez rejoindre les aurors, les inscriptions commencent en septembre. Tant que vous n’êtes pas aurors, je ne veux pas que vous mettiez en travers de l’un de mes services a enquêté vous-même sur la mort de votre frère. Est-ce bien clair ???

Bien qu’elle n’aime pas forcément prendre la parole en temps normal, lui, il l’avait connu il y a déjà un moment, avant même qu’elle ne parle anglais. Et puis, il touchait des points tout de même particulièrement sensibles. Elle ne pouvait pas se laisser faire comme ça. C’était sans doute le genre d’idées qu’elle pouvait avoir sans qu’elles soient très bonnes, mais son côté sanguin lui donnait une irrésistible envie de répondre.

-Je n’ai aucunement l’intention de me mettre sur votre route, mais vous devriez vous poser des questions si c’est moi qui me retrouve en avance sur vos agents.

Au final elle ne savait pas beaucoup plus qu’eux où aller. Mais elle ne cherchait pas à les bloquer dans quoi que ce soit. Elle voulait simplement chercher une réponse. Elle voulait absolument avoir cette réponse. C’était tellement important pour elle.

-Vous moquez vous de moi, Miss Dratsena ? Je crois bien que si, si vous trouvez les aurors si incompétent, allez-y devenait aurors, nous verrions bien si vous êtes capable de faire mieux qu’eux. Nous sommes en guerre ne l’oubliait pas, des gens meurent tous les jours. Ce matin, j’ai trouvé en arrivant sur mon bureau une douzaine de lettres de service pour m’informer que pendant la nuit plusieurs familles de moldus et de sorciers avaient été tué. J’ai réellement autre chose à faire que de vous suivre à la trace pour savoir si vous vous êtes fait tuer ou pas. Vous êtes incapable de vous défendre seul et ne le niez pas surtout, je dois vous rappeler que vous ne seriez pas en un seul morceau, si je n’avais pas été là pour vous sauver les fesses, il y a quelques semaines.

Devenir Auror ne lui disait vraiment vraiment rien. Elle cherchait ses réponses, mais ne se sentirait pas de le faire pour d’autres. C’était simplement important pour elle. Et depuis le temps, c’était de pire en pire. Mais ses remarques avaient le don de l’agacer assez fortement. Passant devant son bureau en croisant les bras sans lâcher cette expression de colère qu’il avait également adopté, elle était prête à refaire la bêtise de lui répondre sans prendre le temps de se calmer.

-Ivan faisait partie de votre guerre ! Il est de ces victimes dont vous parlez ! Pourquoi est-ce qu’il aurait moins de valeur avec le temps ? Si c’est ça être Auror, effectivement, je n’ai aucune envie d’en faire partie.


Oui, elle passait volontairement outre la remarque concernant sa position délicate d’il y a quelques semaines. Bien sûr il l’avait aidé et tiré d’une mauvaise situation. Mais elle n’admettrait pas qu’elle ne savait pas se défendre. Elle avait simplement encore foncé sans réfléchir dans une situation trop risquée pour elle. Mais il ne semblait pas non plus décidé à arrêter là.

-Soit vous arrêtez immédiatement d’enquêter sur la mort de votre frère, soit la prochaine fois qu’on se verra, vous serez morte ou à Azkaban. Je ne me répéterais pas, je serais d’autant plus intransigeant avec vous qu’avec toute autres personnes, les aurors sont submergé de boulot, nous ne sommes pas assez. Il m’arrive moi-même de travailler sur des enquêtes quand on manque de personnel, donc nous rajouter pas non plus de travail qui n’est pas nécessaire à l’heure actuelle, votre frère est mort, son assassin paiera un jours, mais d’abord, protégeons les vivants avant de venger les morts.


Arrêter ? Abandonner ? Non, elle aurait l’impression d’abandonner son frère. Il aurait fait pareil pour elle. Qu’il fasse ce qu’il voulait, elle n’arrêterait pas. C’était trop important. Pour elle mais pas seulement. Leur mère aussi voulait savoir. Elle n’était pas au courant que sa fille s’était lancé dans cette recherche, mais elle attendait elle aussi des réponses.

-Alors arrêtez-moi si ça vous amuse. Si vous préférez m’arrêter moi plutôt que ces hommes c’est votre choix. Mais Ivan, ça fait 19 ans qu’on lui a retiré toutes ses chances. On l’a enlevé, torturé pour je ne sais quelle raison sordide, et froidement tué avant de le jeter dans un coin. C’était un être humain, de ceux que vous dites vouloir protéger. Il est hors de question que je l’abandonne. Même morte j’aurais au moins la conscience tranquille, vous vous l’avez juste laissé dans un tiroir.
Revenir en haut Aller en bas

Un orage éclate dans la tour d'astronomie

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Au temps des Maraudeurs :: Hors-jeu :: La pensine :: 
Année 1974-1975
-