ϟ la répartition

NOM - Malefoy PRENOMS - Lys Annabeth DATE DE NAISSANCE - 10 août 1960 AGE - Quatorze ans VILLE D'ORIGINE - Londres CLASSE - Quatrième SANG - Pur, quelle question !

Lys est fière de porter le nom Malefoy, peut-être même beaucoup trop dirons certains, mais soit, elle ne considère ceux-là que comme des personnes inutiles et inexistantes. Malgré les valeurs de sang-froid inculqué par son père, ça ne passe pas:dites un seul mot de travers et vous vous en prendrez plein les dents. Elle est le contraire de Lucius sur ce point, au grand damn de son père qui le lui fait rien comprendre à coup de Doloris, s'il le faut, mais rien ne fait, ça ne prend toujours pas. Le trait sanguin fait partie intégrante de son caractère, bien qu'il aura tendance à disparaitre quand elle découvrira le nomme son promis, ses éclats de colère bien que peu souvent extériorisés ont pour but précis de blesser, voir même de détruire, soyez sur vos gardes.

Sang-pur et rien d'autre est une philosophie de vie qu'elle maintient comme grand principe de vie, mais vous saurez que la manipulation passe avant tout et qu'elle n'hésitera pas à se servir des autres pour parvenir à ses fins, habile socialement elle sait adapter son caractère en fonction des circonstances et de la personne enfance d'elle, et même si ses débuts à Poudlard n'ont pas été dans ce sens, son père lui a rapidement fait comprendre qu'elle devait s'y mettre. Lys est devenue un génie en société, elle saura vous mettre dans sa poche en deux ou trois mouvements et ce avec classe. Quelque en soit l'issus elle en sortira toujours victorieuse. Toujours. L'amitié n'est pas quelque chose qu'elle conçoit, les seules choses existantes sont les relations, et si cela arrive à un quelconque moment : vous vous faites des idées, oubliez. La seule personne ayant ce privilège s'avère être une personne qu'elle connait depuis l'enfance et qui est en vérité presque la personne qui lui ressemble le plus.

Lys, malgré son prénom innocent et plein de sincérité, est tout le contraire. Elle tient à sa réputation de sang-pur et estime que son apparence doit être impeccable, ce qu'elle maitrise par le sport, notamment tout ce qui touche à la course et à la danse. Son éducation aristocrate, contrairement à certaines, l'a plus endurci que rendue maléable. Elle tient absolument à profiter de sa vie à Poudlard tant que ses parents ne lui apporte pas un fiancé sur un plateau d'argent. Elle sait, elle sait qu'à ce moment-là, en fonction de la personne, son indépendance devra mettre la clé sous la porte...

VOTRE PATRONUS - Un renard.
VOTRE EPOUVANTARD - Son père.
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Le noir.
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Le Lion.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Cranberries
VOTRE COURS PRÉFÉRÉ – Les Potions, un art dans lequel elle excelle. Sa philosophie est que chaque problème peut-être résolu par une potion. Un voisin trop curieux, un élève trop collant, un fayot, ou encore une sale peste. Ils peuvent tous, pouf, disparaître.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ –Durant sa scolarité à Poudlard son Sortilège de prédilection est le Feudeymon, qu'elle trouve particulièrement intéressant. Mais plus tard, il se trouvera qu'elle maitrisera l'Impero d'une main de maître.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Elle est la plus fidèle cliente du magasin Tissard et Brodette.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - /

Explications : Tu te trouves dans le Poudlard Express, en route vers ta Première Année. Soudain, une élève un peu plus âgée entre dans ton wagon et commence à te poser des questions.

« Salut, je peux m'installer ici ? Moi c'est Penny Clearwater, je suis Préfète, et toi tu t'appelles comment ? Tu vas faire ta première rentrée à Poudlard, on dirait. Faut pas t'inquiéter, ça va aller. Tu sais déjà dans quelle Maison tu voudrais aller ? »

Lys releva la tête en entendant cette voix aussi enjouée qu'énervante. Elle lui tapait déjà sur les nerfs. Elle avait beau être préfète, elle n'avait, et ce de toute évidence, aucune notion de respect et encore moins de discrétion. "Ca va aller", nan mais de quoi elle se mêlait celle-là ! Vu son nom, elle devait faire partie de la classe, si l'on considérait cela comme une classe, inférieure. Pourquoi une Malefoy devrait supporter cette erreur de la nature, franchement ! Ah, oui ! Poudlard ! Elle détourna la tête, important plus d'intérêt à sa future répartition qu'à cette Clear... Comment déjà ? Elle n'allait jamais lui lâcher le chaudron... « Serpentard. »

« Je vois, je vois. Ben verdict à la cérémonie de Répartition, alors ! C'est le Choixpeau qui décide, après tout. Mais j'espère que tu iras là où tu veux. Au fait, ton nom me dit quelque chose, t'as déjà des frères et soeurs à Poudlard ? Et tes parents, ils font quoi dans la vie ? »

Pourquoi avait-elle ouvert la bouche... Cette saleté avait décidément la langue bien pendue, et c'était peu dire. L'héritière Malefoy était littéralement exaspérée par le manque accrue de connaissance dont son interlocutrice faisait preuve, honnêtement : qui ne connaissait pas l'illustre famille dont elle était issue, si ce n'était une née-moldue. C'était pire que ce qu'elle pensait. Elle était de plus en plus sur les nerfs, et cela n'allait pas être beau à voir, du tout. « Mêle. Toi. De. Tes. Chaudrons. »

« Ah oui non en fait, j'ai dû confondre avec quelqu'un d'autre. Bref ! Sinon, comment tu vois ton futur, à ta sortie de Poudlard ? Tu dois bien avoir des projets d'avenir, tu sais ce que tu veux faire plus tard ? »

Et elle était sourde en plus ? Si seulement son père ne l'avait pas menacé pour qu'elle se tienne convenablement le premier jour, "au moins", elle lui aurait déjà botté la baguette quand elle avait passé la porte du wagon. Mais quand lui lâcherait-elle la grappe ? «Non. »

« Quelle ambition ! Moi je veux devenir joueuse de Bavboules pro, mais apparemment c'est super-compliqué. C'est un peu mon rêve, tu vois. Tu as peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et te propose d'exaucer trois de tes vœux. Si un tel génie se présentait à toi, qu'est-ce que tu demanderais, toi ? »

Zen. Il fallait être zen. Contrôle. Faire comme maman et être socialement parfaite. Même face à une personne inférieure, toujours avoir des atouts dans sa manche. Elle est préfète, ça peut toujours servir. Respire, ne fait pas tout capoter dès le premier jour. «Le droit d'invoquer des voeux à l'infini. Ce n'est pas ce que les personne ayant un minimum de sens demanderait ? Mais je ne suis pas sûre que tu comprennes ce que je veux dire, en fait. Laisse tomber. Fiche-moi la paix. »
Rater. Elle avait fait tout le contraire. Mais elle ne lui en avait pas coller une, on progresse.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Serdaigle  (Gardenia Ollivander) et il y a très longtemps à Serpentard (Lola O'Connell) Où avez vous connu le forum ? Quelque part xD Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Biensûr que oui, Dimanche-DemiGuise

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

SUJET ACTION : — Tu as trouvé dans ton grenier un bel objet brillant qui émet des sons étranges, développe ta réaction au cours d'un RP.


    La jeune fille regarda son reflet dans la miroir, encore un bleu, encore du sang. Encore quelque chose qu'elle devrait cacher avec l'une des potions dont sa mère avait le secret. Elle avait l'habitude, l'habitude de fermer sa bouche, de ne pas pleurer, de se voir presque défiguré dans la glace, elle avait vu pire. Le poing parti, pile dans le centre de la glace, la main sanguinolente, la douleur était petite. Elle n'avait pourtant pas assez mal pour y porter attention, elle avait grandi trop vite et ne voyait dans ce miroir qu'un fantôme errant dans un manoir. Encore. Elle avait encore fait une erreur, même si ce n'était qu'une toute petite, elle l'avait fait quand même. Devant l'homme élancé aux cheveux blonds qui avait décidé un beau jour qu'elle était sa fille et non plus une erreur de la nature. Car oui, pour lui c'était ce qu'elle avait représenté au début, tout du moins jusqu'à ce qu'il se rende compte qu'une fille pouvait le relier à d'autres familles puissantes. Comme toutes les filles dans ce milieu elle était considéré comme une manière de parvenir aux fins d'une personne tierce. Mais elle était encore trop jeune pour s'en rendre compte, la première fois qu'elle avait fait une erreur, après tout que voulez-vous comprendre à 6 ans ? Rien. Elle se souvenait encore parfaitement de la première fois où il l'avait fait, le moment où la chaine avait débuté pour ne plus jamais s'arrêter.

    C'était une époque où les doloris ne pleuvait pas, une époque où l'amitié signifiait encore quelque chose. Mais tout ce qui pouvait ressembler à du bonheur ne durait pas, la futilité ne pouvait demeurer, et c'était ce que son père venait de lui enseigner. Elle n'avait pas compris pourquoi lorsqu'elle était rentrée du jardin, toute trace de jouets avait disparu de la maison. Elle n'avait pas encore compris pourquoi son frère était dans cet état monstre dans le couloir qui menait à la salle de bain, pourquoi sa mère pleurait silencieusement dans le salon. Elle était montée dans le grenier là où elle rangeait ses deux poupons préférés, et était tombée sur une chose brillante émanant de sa boite à jouets secrète. « Qu'est-ce que c'est ? » avait-elle dit. Elle s'était approché du coffre, craintive, mais surexcitée de faire une nouvelle découverte. Après tout quel enfant ne serait pas curieux en découvrant une nouvelle chose qui pourrait mettre du piment dans son quotidien ? Aucun. Elle s'était approché à pas de loup, ayant peur que le plancher craque et que quelqu'un découvre les deux jouets moldus que Dobby était allés lui chercher, elle ne lui avait pas laissé le choix. Il était là pour ça, pour obéir, quitte à ce faire enchaudronner par un autre de ses maitres. Elle souleva le couvercle, un air malicieux sur le visage et observa. Un médaillon vert, plutôt joli portant l'emblème de sa famille, elle décida de le prendre et le le mettre autour de son cou. Mais lorsqu'elle s'apprêtait à refermer le couvercle, le parquet craqua. Ce n'était pas elle.

    La petite fille de six ans se retourna, avec appréhension, et c'est là qu'elle l'avait aperçu, celui qu'elle avait oublié. Aujourd'hui elle regrettait sincèrement de ne pas s'être demandé pourquoi elle ne l'avait pas vu, de ne pas être aller dans sa chambre et de lire un des livres que son père lui avait acheté, encore un conte sorcier bourré d'idées de suprématie. « Père ? » avait-elle tenté. « Il y a quelque chose qui brille dans le coffre ! » dit-elle apeurée, en voyant le visage de son paternel : les traits durcis par la haine, par la colère. Il n'avait pas eu besoin de lui hurler dessus, le froid glacial qu'il dégageait n'était pas soutenable, elle avait baissé les yeux, son regard croisant un résidu de poupon éclaté au "Diffindo". Elle s'était baissé pour le ramasser, jusqu'à ce qu'une voix froide, dure et aussi noire que les ténèbres, résonne. « Que fais-tu. » Ce n'avait pas été une question, mais un avertissement qu'elle n'avait pas compris, elle aurait tout de même subit ce pourquoi il était venu. « Je ramasse ? » avait-elle fait l'erreur de répondre.

« Endoloris. » Le premier Doloris. Elle avait hurlé, pleuré. Le premier faisait toujours plus mal. Elle se souvenait encore de chaque fibre, chaque parcelle de magie et de douleur se répandant dans son corps. Des hurlements de souffrance qu'elle avait produit, se tortillant au sol. Elle était trop jeune et avait fini par s'évanouir au beau du deuxième, la douleur avait été intense. Trop intense pour une enfant. Elle avait été trop jeune pour comprendre que ce ne serait pas le dernier, mais elle s'en était vite rendue compte avec le temps. Devenant ce qu'elle était aujourd'hui, lorsqu'on lui rabâchait les idées pro-sang-pur et la haine qu'elle devait avoir à leur égard. C'était lui et ses sorts interdits qui avaient fait d'elle ce qu'elle était aujourd'hui, une jeune fille adroite mais pourtant cruelle en société et prête à tout pour parvenir à ses fins. L'aisance aristocratique des hommes de la famille lui était retombée dessus et elle était devenue autant une Abraxas Malefoy qu'une Lucius Malefoy. Elle était devenue une réplique de chacun de ses aînés, une future mangemort, alimentée par la haine des être inférieurs et de la suprématie de sa famille. Tout ce qu'elle voulait c'était écraser ceux qui se mettrait sur son chemin de vengeance, elle arriverait au sommet, elle s'en était fait la promesse lorsqu'elle avait reçu sa lettre pour Poudlard, et elle comptait bien la tenir.