ϟ la fiche de recensement

NOM - Lestrange, née Black PRENOMS - Bellatrix Callista DATE DE NAISSANCE - 14 Mai 1951 AGE - 24 ans VILLE D'ORIGINE - Londres, UK SANG - Sang Pur ANCIENNE MAISON A POUDLARD - La Noble Maison de Salazar ORIENTATION - Du côté du mal avec un joli tatouage sur le bras

Jadis, Bellatrix n’était pas folle.
Jadis, Bellatrix n’était pas aussi nerveuse.
Jadis, Bellatrix n’était pas insupportable.  
Prise dans un mariage malheureux, Bellatrix est une femme qui n’accepte pas sa condition. Elle peste contre le fait d’être une femme et de devoir être asservie à un homme qu’elle n’aime pas. Décidant de faire comprendre à chacun ce qu’elle vaut, elle va devenir de plus affirmée, quitte à effrayer par sa violence et son sadisme. Elle met au service du Lord son tempérament énergétique et sa capacité de manipulation. Hélas, les crises de démences de Bella ne l’aident pas à se faire bien voir. Si elle se fait respecter, elle est souvent mal-aimée, et quoiqu’elle en dise, cela la blesse particulièrement. Mal dans sa peau, elle regrettera toujours de ne pas avoir la beauté froide d’Andromeda et le calme olympien de sa sœur Narcissa. Jalouse sans doute un peu de ses deux autres sœurs, elle fut particulièrement rassurée par la traîtrise d’Andromeda, même si son acte dégoûtant lui a, au fond, brisé le cœur. Joyeuse et gai, elle retire une grande satisfaction de la torture et du sadisme. Fière de son rang, elle sait ce qu’elle vaut et sait qu’elle vaut mieux que la plupart des gens de sa société. Mais ne vous y trompez pas, Bellatrix n’est pas encore la femme délirante et folle qu’elle deviendra après son passage à Azkaban. Parfois gentille, mais rarement douce, Bella essaie de chérir ses proches du mieux qu’elle le peut, sans jamais vraiment y parvenir. Rancunière, elle a tendance à détruire tout ce qu’elle a peiné à développer, et s’attire souvent les commentaires mauvais et les regards haineux. Toujours soignée, Bella a souvent à cœur de faire bonne impression mais à tendance à se trahir avec son caractère impétueux, auquel elle est soumise. De trop grands rêves pour une existence finalement qu’elle juge pathétique, Bellatrix s’est enfermée toute seule dans un tourbillon de haine et d’échecs, ce qui la poursuivra toute sa vie.

VOTRE PATRONUS - Un puma
VOTRE EPOUVANTARD - Moi, fauchée à cause de mon mari
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Rouge, la couleur du sang ! (et des cerises)
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Les moldus
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – ...
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Endoloris !
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Barjow & Beurk
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – My Lord

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Ouste !

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?

« Tu penses sincèrement que je travaille, petite sotte ? Enfin, remets les pieds sur terre ! ». Son visage encore juvénile laissait entrevoir un profond ennui vis-à-vis de cette entrevue. Elle n’était venue que pour laisser son noble nom entrer dans le journal, et non pas pour satisfaire la curiosité mal-placée d’une pauvre sang-mêlée. Elle soupira d’un air dramatique en essayant de contrôler ses nerfs pour ne pas renverser son verre « accidentellement » sur le personnage grotesque qui lui faisait face.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?

« N’as-tu pas lu l’article pondu dans ton propre journal ? » demanda-t-elle brusquement, une flamme mauvaise au fond de ses pupilles brunes, tandis qu’elle tripotait convulsivement sa baguette avec l’idée de lâcher un mauvais sortilège sur elle. « Mon mariage n’a-t-il pas été assez médiatiquement couvert ? Dois-je réellement te préciser que je suis mariée à Rodolphus Lestrange ? ». Bellatrix fulminait. Que pouvait-elle être d’autre, sinon mariée ? Cette femme n’était définitivement pas du même monde qu’elle et elle la dégoutait, tant par son nom que par son sang. Pourquoi répondait-elle à ses questions ?

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !

« Bien entendu ! » s’exclama-t-elle en levant les yeux et les bras vers le plafond. « J’ai été réparti à Serpentard, comme toute ma famille. Enfin, où pourrait donc finir un enfant Black ! Serpentard est la maison de mes ancêtres, celle de mes sœurs, et je peux parler en leur nom en vous disant que nous sommes fiers d’être passé par là ».

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.

Bellatrix toussa sans répondre.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.

Parler politique avec elle ? Jamais de la vie ! Bella lâcha un petit rire qui s’apparentait presque au couinement d’une souri sans répondre à la journaliste.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
« Mettre fin à cette pseudo interview suffira à réaliser mon rêve » dit-elle froidement.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Alors en fait, j'ai un serpy, un neutre et un gentil mais pas trop Où avez vous connu le forum ?  Bah... Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : vivi + dimanche-demiguise

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

Sujet ACTION :

— Vous vous retrouvez coincé au milieu d'une foule de sorciers manifestant pour le droit des cracmols. Décrivez votre réaction au cours d'un RP.


Que faisait-elle là ? La question la hantait encore alors qu’elle avait envie d’étriper tous ces traîtres et animaux qui osaient la toucher, elle. Comment avait-elle atterri ici ? Elle n’en savait rien. Elle ruminait, commençait à s’agacer. Plus des idiots lui hurlaient dans les oreilles et plus sa baguette la démangeait. Il était assez merveilleux qu’elle n’ait pas encore explosé pour tuer quelques vermines, déjà. « Dégage ! » cracha-t-elle en poussant un homme vulgaire avec ses deux mains dont les ongles s’étaient, hélas légèrement enfoncés dans la peau du cou de l’individu. Elle crut un instant hériter d’une mauvaise maladie qu’il aurait pu lui transmettre. L’homme se retourna avec un regard courroucé et Bellatrix sortit sa baguette pour la pointer sur lui qui brandissait une pancarte sur… Le droit des cracmols ? Le ridicule de la situation fit oublier à Madame Lestrange qu’elle était en colère contre l’individu en face d’elle. « Je ne devrais même pas pointer ma baguette sur un vulgaire cracmol qui ne mérite pas que j’utilise ma magie contre lui » ricana-t-elle de son air de peste mauvaise.
Malheureusement pour Bellatrix, un mouvement de la foule la fit tomber la tête la première par terre et sa vue fut, un instant seulement, obscurcie par ses longs cheveux sombres. Tombée aux pieds de l’homme, écrasée comme un vulgaire elfe de maison, elle se releva en hurlant à tout bout de champ qu’elle « allait avoir leur peau à tous pour les réduire à leur juste place, en esclavage ! », avec de grands gestes théâtraux et des coups de coudes à tous les badaux qu’elle croisait. Elle maugréa en poussant les horreurs qui se massait autour d’elle, envoya un furonculus au visage d’un pépé qui passait par-là, et transplana finalement à la demeure Lestrange où, bien entendu, elle aperçut Rodolphus, son malheureux mari : « T’es pas à la manifestation pour le droit des cracmols ? » aboya-t-elle d’un ton mauvais en donnant un violent coup de pied dans les reins du petit elfe qui passait par-là. « Va me chercher de l’eau toi ! ».