Sujet: Guilty Pleasure [pv Morticia] Dim 12 Nov 2017 - 12:13
Morticia Morrison & Embla LoiksonGuilty Pleasure
Mur versus Pupuce
Y'a pas à dire, les barmans sont Moldus sont sympas. Quand ils le veulent. Quand ils sont motivés. Quand c'est pas l'après-midi ou le soir. Quand t'as de l'argent qu'ils connaissent et qu'ils peuvent échanger contre autre chose. Quand t'es pas crade de terre. Quand... Enfin bref. Aujourd'hui, t'es tombé sur un barman qui devait avoir couché sur le canapé de sa baraque depuis des lustres, boudé par sa femme pour une assiette mal lavée. Ou un string retrouvé dans le lave-linge, bout ridicule de tissu ayant sûrement à une femme aux petites vertus, voire inexistantes. Attention, hein. Tu n’as rien contre ce genre de personne. Elles font le travail qu’elles veulent et il n’y a pas de petits métiers – ça, c’est ce que les patrons adorent te rabâcher pour que t’arrête de te plaindre de ton salaire misérable-. Enfin bref ! Le propriétaire du bar t'as donc viré dehors parce que tu osais foutre de la terre partout et, surtout, parce qu'il aimait pas ta pelle. Non, sérieux. Il veut aucun objet à potentiel dangereux chez lui, alors il t'a dit nope. Pas étonnant que tu sois maintenant de mauvais poil. Et Pupuce aussi. Parce que Pupuce aime pas qu’on parle mal d’elle. C’est une pelle, certes. Qui a connu des jours meilleurs, okay. Mais elle a des sentiments, bardel ! Tu grognes et tu jures l’entendre grogner dans ta tête en guise d’accord. Non, c’est pas vrai. Mais tu te plais àl= l’imaginer. Tu le fais parce que tu vis seul et que tu peux pas tellement faire la conversation à tes animaux de compagnie. Ils causent bien assez entre eux.
Tu es donc là, dans le Chandron Baveur à ruminer ta matinée, Pupuce à tes côtés et terminant ton verre d’alcool. C’était pas prévu, tu voulais juste un café, mais tu as besoin de te calmer les nerfs sur quelque chose et rien ne vaut une bonne Bierraubeurre le matin dans ce genre de cas. La pinte payée et avalée, tu te rends jusqu’à l’arrière-boutique ou tu fais face à un mur de pierre dans les teintes rougeâtres. C’est Pupuce qui décide de taper le mot de passe pour passer, mais ‘faut croire que l’agacement la déconcentre et la rende totalement idiote. Eh bien, oui. Le mur ne s’ouvre pas et pour cause. Il faut que la magie coule dans tes veines et ce n’est certainement pas ton cas. Sinon, ce ne serait pas drôle, hein. De te sentir comme un imbécile, de devoir rebrousser chemin et de payer la Poudre de Cheminette à Tom qui se marre sous cape avant d’accepter la monnaie et de te donner ce qu’il te faut pour passer de l’autre côté de la barrière. Il le sait pourtant. Ce bougre te connaît, sait ton petit problème, mais il ne fait rien pour te prêter main forte. C’est pour mieux se marrer, dit-il. Heureusement que t’en complexes pas.
— Bordel…
Bon, c’est vrai que c’est précisément là où tu souhaites te rendre, mais… non. T’as atterri dans une cheminée lambda dont tu en sors pour te retrouver enfin au Chemin de Traverse. Il y a du monde, comme d’habitude, en fait. Et il te faut jouer des coudes, des épaules et parfois de Pupuce pour avancer à contre-courant. T’as l’impression qu’ils sont tous là pour la premier fois de leur vie vu comment tu vois certains s’extasier pour pas grand-chose. Bon, déjà, il n’y a pas les mioches. Ce qui est un excellent point. Tu n’as rien contre les enfants, mais ils sont chiants à jamais faire gaffe. Alors que t’avances d’un pas assez assuré vers l’Allée des Embrumes, tu chopes au passage quelques regards noirs et suspicieux auxquels tu réponds par un clin d’œil. Qu’ils se mêlent de leur postérieur, m’enfin ! Tu respires finalement par le nez, alors qu’un type bloque ton passage et veut pas se pousse. Normal, il t’ignore royalement. Ce gars est pas net et pour preuve, il offre des mots d’amour… à un mur. Okay, tout va bien. Tu patientes, mais rien ne se passe. Alors tu amènes ta pelle que tu colles contre sa joue. Il sursaute, te regarde avec un mélange d’hébétement et d’agacement.
— Dis-lui bonjour. — Hein ? — Elle t’aime pas. Donc soit tu nous laisses passer, soit tu lui dis bonjour.
Bien sûr, tu lui dis pas que le « bonjour » sert à le frapper. De toute façon, comme il semble pas vouloir être poli avec Pupuce, il se colle un peu plus contre sa… dulcinée, te laissant un très maigre passage. Cela te suffit et t’avance d’un pas rapide, ignorant ceux qui te détaillent, se demandant de quelle baguette tu es fais. Et pourquoi t’as un pelle posée sur ton épaule manquant d’assommer tout le monde. Tu finis enfin par ouvrir la porte de ton lieu d’arrivé, rasséréné par l’endroit que tu connais assez bien.
— Bonjour, Morticia, salues-tu enfin.
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Sujet: Re: Guilty Pleasure [pv Morticia] Mer 15 Nov 2017 - 19:43
Ah décidément quelle douce existence elle pouvait mener. Morticia se levait d'une humeur guillerette chaque jour à l'idée de retrouver son affaire et toute cette pile de paperasse qu'elle ne négligeait que par manque de temps. Après un petit déjeuner tout à fait sain et équilibré, elle se mit donc joyeusement en route pour son travail, le sourire aux lèvre et... Ouais non... vous non plus vous n'y croyez pas hein ? Non, Morticia était une femme amère qui ne faisait ce qu'elle faisait que parce que cela lui servait. Elle avait un train de vie confortable grâce aux revenus de sa House, mais elle n'avait pas toujours rêvé de faire un tel travail. Elle se contentait de gérer ses affaires de façon à ce que cela fonctionne encore. Ses papiers se faisaient au dernier moment contrainte et forcée, et oubliez tout de suite son sourire. En général, quand vous pouvez le voir sur son visage, il est faux. Sa journée avait mal commencé car elle avait manqué son réveil, pour commencer. Ce qui ne laissa plus que quelques maigres minutes pour être prête. Alors avalant rapidement un café froid de la veille en grimaçant, elle partit en coup de vent, tout en se cognant au meuble de l'entrée histoire de bien faire les choses. Grommelant tout ce qu'elle pouvait sur le trajet et insultant toute personne lui bloquant la route, elle finit par arriver, heureusement à l'heure. Il était donc temps de revêtir une tenue de travail et de s'y mettre. Ce jour-là ça serait une sublime robe moulante vert émeraude, accompagnée de quelques plumes de paons piquées dans les cheveux. Si il y avait bien une chose à soigner dans ce genre d'endroits, c'était bien les apparences...
Sa journée avait donc commencé, les commandes au bar s’enchaînaient, l'argent rentrait, et les filles passaient de chambres en chambres aux bras des différentes personnes présentes ce jour-là. Rien d'inhabituel en somme. Toujours le regard un peu partout, Lady Tiger surveillait chaque client, histoire qu'il n'y ait pas de problèmes. Mais c'était calme ce soir... Finalement une pelle passa la porte de l'établissement. Pas seule, bien entendu, mais c'était assez particulier pour être noté. Morty connaissait cette pelle, et surtout l'homme qui la tenait. Un homme assez particulier en fait. Un cracmol qu'elle n'aurait pas fréquenté si il n'avait pas été un peu comme elle au final. Ils avaient chacun leurs tares et vivaient très bien avec. Au final, il était l'une des rares personnes que Morticia appréciait véritablement voir dans son antre.
-Bonjour, Morticia
Alors qu'il s'approche de son bar elle se tourne vers lui avec un début de sourire. Un vrai pour une fois. Elle aime bien cet homme, il la fait rire. C'est entre autre pour cela qu'elle lui pardonne cette manie de toujours traîner avec cette vieille pelle. Une habitude étrange à laquelle il semblait tenir.
-Mais c'est mon déviant préféré ! Alors, qu'est-ce que je peux pour toi aujourd'hui ?
Ce n'était pas réellement méchant comme appellation. Après tout, on pourrait lui dire la même chose, et pas qu'un peu...
— Mais c’est mon déviant préféré ! Alors, qu’est-ce que je peux pour toi aujourd’hui ?
S’il y a bien une personne avec qui tu n’as pas à jouer la comédie, c’est bien ce petit joli bout de femme derrière le comptoir. En tant normal, Pupuce se serait fait un plaisir de déglinguer la face de celui ou celle qui oserait t’appeler le « déviant », mais vu l’endroit où tu te trouves et qui te parle, cela ne te dérange pas du tout. Après tout, ce n’est pas que tu n’acceptes pas ta différence – avec ton côté irrésistible de Cracmol, ‘faudrait beau voir que tu vises les complexes -, c’est juste que tu as très rapidement comprit que ce n’est pas quelque chose d’accepté dans la communauté magique et moldue. Alors, tu caches, joue le jeu. Mais qu’on ne te demande pas de flirter avec le sexe faible pour faire semblant. Il y a des limites. C’est pour cela que ça se passe aussi bien avec Morticia. Tu n’as pas besoin de jouer les hétérosexuels en mal de cuisse à écarter. Bon, il faut quand même avouer que cela a été plutôt houleux entre vous deux au tout début. A cause de Pupuce, selon elle. Une fichue pelle n’a rien à faire dans une maison de passe, mais il en est hors de question que tu t’en sépares. Et puis, cela a permis de lui rendre pas mal de service. Comme refaire le portrait à un client trop violent envers l’une des fille ou l’un des gars. L’excuse n’est pas vraiment innovante. Il ne veut pas payer, la performance est pas assez fun à son goût, il/elle refuse le bondage, le client est bourré ou aime naturellement frapper tout ce qui l’entoure. Tu n’es pas toujours présent pour régler le problème, même si tu sais Morrison capable de se débrouiller toute seule – cette femme peut parfaitement se montrer effrayante-. Mais tu te fais un plaisir de virer le grossier personnage à ta manière dès que tu es dans les parages. Tu sais pas trop pourquoi tu fais ça. Après tout, tu ne travailles pas ici. Sans doute, ton côté militaire, gars qui sauve tout le monde, même un chat des ruines – t’es bien en train de soigner un corbac blessé chez toi -. En tout cas, c’est depuis ces moments que la propriétaire des lieux te laisse te balader chez elle avec Pupuce et que vous avez commencé à sympathiser.
— Oh trois fois rien. J’me demandais si t’avais pas sorti un magasine à mon goût récemment. J’suis en cours de lecture. — Laissez-moi ! — Oh allez, j’suis sûr que t’aimes ça… ! — Laisse-moi ce plaisir, Morti’. J’ai besoin de passer mes nerfs et Pupuce aussi.
Tu n’attends pas de réponse et te dirige vers la source du bruit, la mâchoire tendue et ta pelle frémissante. C’est vrai. Tu as eu une sale journée et tabasser un gougnafier va te soulager quelque peu. Dans l’un des très nombreuses chambres, tu repères un sorcier que tu prends en flagrant délit. Ton sang ne fait qu’un tour alors que tu vois ta pelle atterrir sur le faciès rougeaud du pauvre malheureux et ton pas se fait immédiatement plus lourd. Certes, tu as fait la guerre, mais tu n’aimes pas pour autant la violence. Tu le frappes à ton tour, prenant le soin de bien viser le nez. Le sorcier se cogne la tête contre le mur, choit au sol. Le mignon t’aide à sa manière en prenant la baguette du nodocéphale. Toi, tu le chopes par le col et le force à avancer le menaçant de recevoir un coup de pelle dans son fondement s’il se débat. Bien évidemment, la menace ne fonctionne pas. Pas grave, vous êtes proche de la sortie Puis, tu jettes le gars dans la rue et tant pis s’il se salie et déchire son pantalon au niveau des genoux au passage. Tu le menaces avec Pupuce et lui interdit formellement de remettre les pieds ici. C’est un lieu de plaisir, pas de violence gratuite. Les gens qui travaillent ici le font parce qu’ils le veulent, mais en aucun cas on n’a le droit de les forcer. Le mignon te glisse sa baguette et tu la balances dans la rue comme un vulgaire morceau de bois. Tu sais que tu ne ferais pas le poids si jamais l’envie lui prend de vouloir se venger de cette humiliation en te lançant un sort, mais tu comptes sur le fait qu’il ne veut pas attirer l’attention. Après tout, c’est un membre du Ministère de la Magie, tu as vu sa photo dans la Gazette du Sorcier, il y a quelques jours. Le type se tire enfin, grommelant des injures.
— Bon débarras, grognes-tu.
Tu tournes alors vers Morticia et tu lèves les mains en signe d’innocence.
— J’ai rien cassé, cette fois !
C’est vrai que, jusque là, tu t’es pas demandé s’il fallait faire attention à la décoration, ne te contentant que de frapper la personne trop récalcitrante. Bon, sauf les femmes. Parce que tout le monde est choqué pour un rien quand on gifle une femme. Dans ce cas-là, tu préfères agir en client et laisser faire ton amie. Aucune envie de te retrouver avec des chauves-souris sur le crâne. Enfin, tu tournes ton regard vers le mignon à la joue blessée et fronce les sourcils. Outre le fait que tu n’aimes pas la violence – tu ne le répèteras jamais assez – tu penses aussi que cela va être mauvais pour son business, ça. Néanmoins, tu poses une main rêche et douce sur son bras, lui demandant s’il va bien. Il opine du chef. T’aimes bien ce garçon. Tu le fais souvent avec lui quand tu en as marre de te pignoler le salsifis avec ta main droite. Généralement, quand tu sais que tu vas être son client, tu demandes à le réserver pour la nuit entière. Bon, vous le faites pas toute la nuit – t’as des limites, quand même -, mais tu en profites pour le laisser dormir et toi, l’observer et réfléchir à tout un tas de truc qui te refile des mal de crâne.
Une idée de génie rapplique.
— Une nuit offerte pour te remercier, ça te dit ?
Ah bah il a eu la même idée que toi. C’est génial.
— Seulement si la patronne est d’accord. Après tout, j’étais seulement venu pour un magazine potentiellement alléchant. T’en dis quoi ? Pour avoir viré l’autre glandu, n’avoir rien cassé et avoir servi de garde du corps ? Ca vaut bien une nuit gratuite avec cette beauté, non ?
Ton ton veut se jouer charmeur, joueur, mais t’es pas doué pour ça. Tu ne dirais certainement pas non à une nuit d’ivresse, mais tu ne veux pas ruiner ton amie et le jeune homme.
hrp:
Pardon pour le temps de réponse. ^^" Dis-moi si un truc te chiffonne, je me suis un peu (beaucoup) emballée. Surtout qu'une idée de pv est née dans le même alors, du coup, je me suis fait tout un scénario. XD
Morticia avait ses réguliers de comptoir. Ils allaient généralement ensuite voir ses petits protégés. Mais la plupart du temps les choses passaient d'abord par elle. Normal, après tout elle était la chef ici. Elle commençait donc à connaître pas mal de monde. Y compris ce jeune homme qui était entré avec sa partenaire habituelle : Pupuce. Pupuce c'était... une pelle. Oui une pelle. Mais même pas magique ou autre hein. Juste sa pelle. Morticia n'avait jamais vraiment compris son intérêt pour cette chose qui en avait déjà beaucoup trop connu pour un tel objet. Mais elle avait fini par se résoudre à le laisser ce balader dans sa maison avec son truc. Le revoilà donc avec sa pelle, à l'aise comme toujours, lui redonnant un léger sourire.
-Oh trois fois rien. J’me demandais si t’avais pas sorti un magasine à mon goût récemment. J’suis en cours de lecture.
Son goût, oui, bien sûr. Morticia savait très bien de quoi il parlait. Et il était inutile qu'elle lui propose ce dernier numéro où elle trônait en première page. Elle n'était pas son genre. Pas assez virile comme certains pouvaient le dire. Elle avait commencé à répondre en cherchant dans le casier avec ses nouveautés quand quelque chose vint la perturber dans son entreprise.
-Laissez-moi ! -Oh allez, j’suis sûr que t’aimes ça… !
Alors ça, c'était le signal pour monter à l'étage et gentiment sortir quelqu'un de la maison. Elle avait déjà commencé à faire le tour de son bar quand Embla l'avait arrêté.
-Laisse-moi ce plaisir, Morti’. J’ai besoin de passer mes nerfs et Pupuce aussi.
Elle n'avait pas eu le temps de lui répondre qu'il était déjà parti... Dans l'idée Morty aimait plutôt gérer ses petites affaires mais bon, puisqu'il était parti.. Elle quitta pourtant son bar prête à réceptionner le paquet quand il en aurait fini à l'étage, guettant le moindre bruit un peu inquiétant. Ah, c'était lui. Encore un qui avait tendance à se penser trop important pour qu'on lui interdise quoi que ce soit. Morticia s'en était méfié mais elle n'avait jusqu'à présent pas eu de réelle raison de le chasser de l'endroit. Voilà qui était fait visiblement.
-Bon débarras
Le personnage s'éloignait en grommelant et il était probable qu'elle le revoit rapidement pourtant. Qu'il rentre serait encore une autre histoire. Morticia regagna donc son bar les sourcils froncés en surveillant qu'il ne fasse pas demi tour.
-J’ai rien cassé, cette fois !
Embla la sortit de sa pensé, les mains levées. Encore heureux qu'il n'avait rien cassé. Autrement il en aurait entendu parler.
-J'espère bien. Tu sais comment je fonctionne autrement, tu casses tu payes.
Se tournant vers son protégé qui était avec leur client indésirable, elle vit qu'il avait été blessé. Embla s'était enquis de son état et il avait l'air de dire que ça allait, mais Morty ne ferait pas une bonne matronne si elle ne prenait pas un peu soin d'eux. Sortant une fiole et un linge de sous son comptoir (et elle seule pouvait vraiment dire tout ce que cachait ce meuble), elle lui fit signe d'approcher pour lui tapoter doucement la joue.
- Une nuit offerte pour te remercier, ça te dit ? -Seulement si la patronne est d’accord. Après tout, j’étais seulement venu pour un magazine potentiellement alléchant. T’en dis quoi ? Pour avoir viré l’autre glandu, n’avoir rien cassé et avoir servi de garde du corps ? Ca vaut bien une nuit gratuite avec cette beauté, non ?
Ah bah c'était effectivement bien de penser à elle. Non parce qu'il prenait ses aises le petit à forces. Alors terminant de soigner son travailleur (si je puis dire), elle repris tout de même la parole.
-Mon chéri tu n'as pas le sens des affaires, on reverra ça plus tard hein. En attendant, dans mon extrême bonté, je peux accepter de décommander tes prochains rendez-vous pour vous laisser, mais une nuit se règle Embla, comme toujours. Tout travail mérite salaire, surtout le notre. Et toi mon chou tu fais ce que tu veux de ton temps libre mais actuellement tu es en service.
Elle avait dit cela sur un ton étonnamment calme pour elle, à la limite du doux. Une fois la joue de son chouchou soignée, elle se tourna vers leur client commun.
-Alors, tu veux rester avec ta beauté ou repartir avec ton magazine ?
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Sujet: Re: Guilty Pleasure [pv Morticia]
Guilty Pleasure [pv Morticia]
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