ϟ la répartition

NOM - andrews PRENOMS - maya fauveea DATE DE NAISSANCE - 13 mai 1962 AGE - 13 ans VILLE D'ORIGINE - plymouth CLASSE - troisième année SANG - sang mêlé

Maya n’attire pas les conflits, elle reste même en dehors et cherche au mieux à les éviter. C’est une mauviette sans répartie qui ne tiendrait pas assez longtemps psychologiquement pour remporter une battle de mots et encore moins un duel à la baguette. Pourtant elle adore assister à ce genre d’animations et est la première à envenimer les situations pour faire en sorte que ces dernières s’éternisent. Quand elle apprécie quelqu’un elle peut-être adorable mais gare à celui qu’elle ne porte pas dans son coeur, elle s’avère être une véritable peste et queen de la fourberie. C’est pour masquer son manque de confiance en elle que Maya agit ainsi. En effet, elle est très possessive, surtout en amitié. Elle ne fait jamais les premiers pas et, même si sa timidité ne dure que quelques minutes, est facilement impressionnable. L’on pourrait croire d’elle qu’elle est naïve mais ce n’est en réalité qu’un prétexte qu’elle utilise pour tenter de se faire bien voir de tous. La moindre petite remarque peut la travailler durant des jours même si cela ne la concerne pas personnellement. Elle exige des autres qu’ils l’acceptent comme elle est mais ne parvient pas toujours à s’appliquer cette politique de vie. Maya ne peut jamais vraiment prédire comment elle va se conduire, c’est un personnage qui se cherche et qui a bien du mal à se trouver.

VOTRE PATRONUS - un fennec
VOTRE EPOUVANTARD - un corbeau
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – le jaune
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – le lapin
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – savon
VOTRE COURS PRÉFÉRÉ – métamorphose
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – avis : faire apparaître des oiseaux.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – fleury & bott

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? -

Explications : Tu te trouves dans le Poudlard Express, en route vers ta Première Année. Soudain, une élève un peu plus âgée entre dans ton wagon et commence à te poser des questions.

« Salut, je peux m'installer ici ? Moi c'est Penny Clearwater, je suis Préfète, et toi tu t'appelles comment ? Tu vas faire ta première rentrée à Poudlard, on dirait. Faut pas t'inquiéter, ça va aller. Tu sais déjà dans quelle Maison tu voudrais aller ? »

Maya, petit être si fragile qu’elle était, ne cessait de pleurer depuis que le train avait démarré. Enfant unique et pourrie gâtée, elle ne comprenait pas pourquoi ses parents avaient décidé de l’envoyer faire ses études à l’autre bout du pays alors qu’elle pouvait tout aussi bien continuer de faire l’école à la maison. Elle reniflait tout à fait élégamment quand une fille rentra dans son compartiment. Au lieu de reprendre une certaine forme de contenance, elle ne fit que s’effondrer de nouveau à l’entente des mots « première année », « Poudlard » et « Maison ». « Je veux rentrer chez moi ! » pleurnicha-t-elle auprès de Penny avant de se moucher une énième fois. Puis, parce qu’elle ne connaissait que l’ancienne maison de sa mère quand elle était plus jeune, elle sanglota : « Serdaigle. » presque inaudiblement.

« Je vois, je vois. Ben verdict à la cérémonie de Répartition, alors ! C'est le Choixpeau qui décide, après tout. Mais j'espère que tu iras là où tu veux. Au fait, ton nom me dit quelque chose, t'as déjà des frères et soeurs à Poudlard ? Et tes parents, ils font quoi dans la vie ? »

Gênée que Penny soit si intrusive dans sa vie, Maya se contenta de hocher la tête négativement. Elle n’avait pas de frères et soeurs et ne voulait pas parler de ses parents. Pas après la trahison qu’ils venaient de lui faire. « Mes parents sont trop nuls. » répondit-elle en tapotant ses yeux pour sécher ses larmes. « Ma mère travaille au… au département des transports magiques et… mon père… il…, elle bégaya plusieurs fois bloquée par les sanglots au fond de sa gorge, banqu… banquier. »

« Ah oui non en fait, j'ai dû confondre avec quelqu'un d'autre. Bref ! Sinon, comment tu vois ton futur, à ta sortie de Poudlard ? Tu dois bien avoir des projets d'avenir, tu sais ce que tu veux faire plus tard ? »

« Je sais pas ce que je veux faire…» paniqua-t-elle tandis que la question de la préfète ne faisait que lui mettre un peu plus de pression. Elle n’avait jamais pris le temps d’y penser et ne comptait pas pour autant le faire de sitôt.

« Quelle ambition ! Moi je veux devenir joueuse de Bavboules pro, mais apparemment c'est super-compliqué. C'est un peu mon rêve, tu vois. Tu as peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et te propose d'exaucer trois de tes vœux. Si un tel génie se présentait à toi, qu'est-ce que tu demanderais, toi ? »

« Je demanderais trois fois de rentrer chez moi ! »
De nouvelles larmes jaillirent de ses yeux et, n’ayant plus de mouchoirs à disposition, elle ne se priva pas de se servir du bas de la robe de Penny pour évacuer sa peine.

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Sujet DESCRIPTION :  
— Cette fois où tu t'es fait prendre la main dans le sac par Picott (pour quelle bêtise, et comment tu as échappé -ou non- à la retenue, etc)

Depuis quelque temps, Maya sentait bien qu’il y avait un truc qui ne tournait plus rond chez son chat. Il était devenu étrangement gentil. Coups de griffes étaient remplacés par des coups de tête affectueux, feulements par d’adorables petits ronronnements et les rideaux de son lit à baldaquin n’avaient pas plus subi les foudres de ses crises de folie depuis un certain moment. Elle l’avait trouvé et adopté en première année alors qu’il n’était encore qu’un bébé et qu’il venait, sans aucun doute, d’échapper à la mort certaine que lui promettaient les crocs d’un renard. Elle avait cru bon de penser que le feeling était tout de suite passé entre eux mais balivernes, depuis ce jour-là, il n’avait cessé de faire de sa vie un enfer. C’est pour cela qu’elle trouvait suspect que la boule de poils soit prise subitement d’un élan d’amitié pour elle.

Elle remonta les escaliers pour rejoindre son dortoir en rageant intérieurement d’avoir été expulsée de force par la vilaine bibliothécaire alors qu’elle avait largement le temps d’être dans sa salle commune avant le couvre-feu. Son devoir de sortilèges n’allait jamais avancer si même les professionnels se mettaient à lui mettre des bâtons dans les roues. Elle poussa un juron en trébuchant sur un obstacle non identifié puis écarquilla les yeux en reconnaissant Tom Chaton qui détalait à toute vitesse dans le couloir. Oh ! Cette fois-ci elle comptait bien mettre un terme à toute cette mascarade ! Abandonnant l’idée de retrouver les serdaigles, elle se mit à poursuivre son animal sans craindre s’il le fallait de ramper dans des endroits incongrus. Quoique.

Il lui mit rapidement une belle distance et elle pestait déjà contre le Ministère de ne pas intégrer plus d’activités sportives pour les élèves qui, visiblement, en avaient bien besoin. Pourtant, par elle ne sut quel miracle, elle se retrouva dans l’une des vieilles salles inutilisées et découvrit, dans la cheminée, Tom Chaton et visiblement tout le reste d’une famille de petits chats bien heureux. Alors qu’elle s’apprêtait à venir caresser l’un des bébés, elle se sentit tirée en arrière par le col de sa robe et poussa presque un juron. « Mais je… » commença-t-elle en essayant de se débattre en vain avant d’être coupée d’un geste de la main par cet imbécile de concierge. Elle savait qu’elle allait passer un mauvais quart d’heure et que le professeur Flitwick en entendrait sûrement parler. Elle était foutue et, pire encore, lorsqu’elle regarda une dernière fois derrière elle, elle vit Tom Chaton sur le pas de la porte, l’air plus diabolique que jamais. Saleté de chat.

Rebienvenue Miss Andrews... Les abus de Retourneurs de Temps sont dangereux pour la santé, on ne le dit jamais assez... Bon jeu malgré tout...

Nouvelle Maya dit nouveaux liens

(re)Bienvenue à la maison !