Cassiopea n’avait toujours pas fini son devoir de potion. 500 mots sur le veritaserum pourquoi ne pas écrire un livre sur le jus de citrouille temps qu’on y est ? Un travail que la jeune sorcière jugerait aussi débile qu’inutile. Et probablement pas pédagogique. Elle avait déjà listé la totalité des ingrédients, les variantes possibles, les risques, les potentielles effets secondaires… Elle n’avait plus aucunes idées de se qu’elle pouvait ajouter… Pourtant elle n’avait même pas encor atteint les 300 mots

La jeune serdaigle aimait beaucoup apprendre et découvrir de nouvelles choses, mais pour le coup, elle n’avait pas l’impression d’apprendre quoi que se soit. Il semblait plutôt qu’elle perdait son temps.

Elle soupira alors un grand coup et leva les yeux de son livre pour se vider la tête, espérant qu’une solution tombe du ciel. Et par chance, se fut en quelque sorte le cas. Sur une des autres petites tables de la sale commune était assise Viktoria Azakov, une autre élève de serdaigle que Cassiopea ne connaissait que de nom, et de réputation. D’après le peut de connaissance de Cassio sur la jeune blonde, elle était bonne élève, et comme elle était en 5éme année, elle devait sans aucun doute en savoir plus long sur le sujet. Cella ne coutait rien de demander.

Enfin, si, cela coutait beaucoup à Cassiopea, elle évitait généralement le contacte avec les autres étudiants, aillant été élevée seul par sa mère et n’étant pas très proche du reste de sa famille elle avait toujours vécu assez seul et n’avait pas été habituée aux contactes social. Elle n’avait donc pas appris ses codes bizarres par les quelles les humains semblent arrivé à parler pendant de longues minutes de sujet aussi banale que le temps qui fait ou le garçon qui vient de passer. Chaque fois qu’elle s’y était essayée Cassiopea avait eu l’impression d’être à coter de la plaque.

Une autre chose que la jeune Serdaigle détestait, c’était demander de l’aide, elle n’aimait pas que les gens sache qu’elle n’arrivait pas à faire les choses par elle-même. Mais visiblement, une étude statistique sur le sujet montrait qu’il était plus simple d’obtenir une reation pausifive des gens en leur demandant de l’aide qu’en leur en proposant. Puis quelle autre alternative avait-elle ? Se replonger dans son devoir jusqu’à trouver une idée ? Retourner à la bibliothéque relire tous les livres qui parle de la potion ENCORE une fois. Non merci, elle allait mordre sur sa chique et aller voir l’autre serdaigle.  

Elle se respira un grand coup, répéta à l’avance se qu’elle allait dire dans sa tête, se leva et se dirigea vers Viktoria.