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| Il était le nouveau Pollock | ALEXANDER | |
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Jyn S. Dawkins PRÉFET POUFSOUFFLELes actes non les paroles font la loyauté. | HIBOUX POSTÉS : 508 | AVATARS / CRÉDITS : Saoirse Ronan | cosmiclight. | SANG : En quoi ça te regarde, tête de noeud ?
| Sujet: Il était le nouveau Pollock | ALEXANDER Dim 30 Sep 2018 - 18:18 | |
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Jyn était particulièrement contente de sa journée. Elle avait été productive. En effet, outre son cours de soins aux créatures magiques - de loin son cours préféré comme il ne fallait pas user de la baguette - elle avait vendu pour son pesant d'or, de beaux champignons hallucinogènes à une serpentard pleine aux as. La petite galloise espérait fermement qu'avec les bénéfices, elle puisse acheter sa sortie de Poudlard au professeur Dumbledore. Jyn n'avait parlé à personne de ses petites manigances parce qu'elle n'en avait pas envie, en plus du fait que justement, peu s'intéressaient à sa vie. Il y avait bien Wilda qui faisait des efforts pour se rapprocher d'elle, mais la petite sauvage veillait à la tenir à bonne distance pour l'instant. La Serdaigle en effet, avait l'air toute impliquée dans son existence et la Poufsouffle n'avait pas encore décidé s'il s'agissait d'une bonne ou d'une mauvaise chose. Mieux valait pour la septième année que la jeune fille considère cela comme une bonne chose. Quoi qu'il en soit, c'était avec un semblant de sourire aux coins des lèvres qu'elle se promenait dans le château. Elle jubilait à l'idée de rendre une feuille de parchemin vide au professeur McGonnagall, qui, elle le savait, allait finir par la transformer en scarabée si elle continuait sur cette voie. Les nouvelles résolutions pour cette année scolaire valaient ce qu'elles valaient, mais elles satisfaisait au moins Jyn qui les mettait en oeuvre. Hors de question de continuer ses études dans ce château jusqu'à sa majorité, elle devait impérativement trouver un moyen d'être renvoyée. Il tenait beaucoup à la gamine de retrouver ses parents adoptifs qui lui manquaient.
On lui avait jadis dis, qu'avec le temps, les séparations seraient plus aisées et moins douloureses. Malheureusement, il arrivait exactement le contraire. Jyn avait passé un été pénible bien que lucratif. Sa convocation au Ministère par une employée l'avait fais réfléchir comme elle l'avait comparé à un homme qui peut-être - espérait-elle ou non - était son père biologique. Cette ressemblance frappante avait dis cette femme, avait tout à fait dérangé la jeune fille qui avait fuis comme elle savait si bien le faire. Retrouver la petite maison des Dawkins au Pays de Galles l'avait réconforté mais elle avait craint le retour de la rentrée, et elle avait raison. Sur le quai de King's Cross, elle avait manqué de pleurer. Il fallait remonter loin pour trouver les sources de son malaise, et sans doute s'agissait-il là d'un résidu de traumatisme après son abandon. Les autres pensait-elle hargneusement en croisant le regard de certains élèves de Poudlard, n'avaient pas eu sa malchance. Elle buta net en apercevant Ambrosius au détour d'un couloir, et préféra se cacher derrière le mur pour ne l'observer que discrètement. Ses yeux lagons suivaient ses mouvements et son coeur sembla se briser dans sa poitrine lorsqu'elle vit qu'il était accompagné par une fille. Elle rebroussa chemin pour changer de couloir, les pensées brusquement noires. L'orpheline ressentait pour ce garçon un mélange d'émotion qu'elle ne parvenait pas à gérer. Elle se retrouvait balbutiante, et timide devant le minois du sang-pur sans arriver à poser de traîtres mots sur ce qu'elle ressentait. Brusquement, elle se demanda ce qu'elle avait trouvé de beau dans cette journée, et les épaules avachies elle continua sa marche dans l'idée de se promener dans le parc. Les couchés de soleil n'étaient peut-être pas aussi lumineux que les yeux clairs d'Ambrosius Flint, mais ils restaient plaisants à regarder pour qui n'avait pas le moral. Cependant, une curieuse apparition la laissa un peu pantoise. Là, au bout du couloir près d'une vitre, se trouvait un garçon... En train de peindre ? Une grimace s'afficha tout naturellement sur le visage de la Poufsouffle qui ne s'embarrassait pas vraiment de la politesse envers les individus lambda. Là, à demi-cachée derrière une colonne elle observait ce garçon, ce Serpentard en train de peindre tout naturellement le paysage de Poudlard qui s'étendait sous yeux.
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| | | | Sujet: Re: Il était le nouveau Pollock | ALEXANDER Lun 1 Oct 2018 - 19:50 | |
| C’était son jour ! Alexander ne s’était pas levé du mauvais pied aujourd’hui. Déjà, une bonne note en histoire de la magie avait rattrapé la bourde qu’il avait faite lors du dernier contrôle. Il revoyait encore la tête du professeur et son air exacerbé, relire son erreur : « Les géants viennent de l’Asie du Sud. ». Il faut dire que tout le monde avait du mal à suivre ce bourrage de crâne ennuyant, ce qui explique cette réponse venant du hasard. Puis, comme à son habitude il avait passé un peu de son temps libre à la bibliothèque, histoire de mettre le nez dans quelques tragédies grecques. Mais cette journée n’était rien si nous ne parlions pas du « stand de bisou ». Alexander était frais pour une semaine grâce à ça. En plus, d’avoir rejoint une cause qui lui tenait à cœur, la défense animal, il avait embrassé Greta Catchlove. Cette scène était digne d’une romance, enfin dans la tête d’Alexander, il préférait oublier qu’il avait dû payer pour le faire... Cette journée était parfaite, mais Alexander savait que ce n’était pas fini. Il savait très bien comment il allait finir sa journée. Le couché de soleil de cette soirée allait être spécial ! D’après ses études, une chevauchée d’Hippogriffe devait s’en aller dans les montagnes pendant le soleil couchant. Double raison d’y assisté : voir ce spectacle fabuleux mais aussi le peindre ! Le serpentard avait acheté de la nouvelle peinture dans une nouvelle boutique du chemin de traverse, il allait enfin pouvoir l’inaugurer. Après les cours, il déposa ses affaires dans le dortoir, prit son chevalet et sa mallette de peinture et rejoignit l’aile Est. Il avait longuement réfléchi à l’endroit qu’il choisirai pour peindre. Au fond d’un couloir une grande vitre donnait sur la vallée, et de la il pourrait observer l’ascension des créatures dans le ciel, illuminé des derniers rayons de soleil. C’est avec ferveur qu’il commença à installer son matériel. Chevalet en place, il sorti sa palette de couleur et entama la toile. La verdure flamboyante de la vallée était plaisante et les couleurs chaudes de sa nouvelle palette représentaient parfaitement le ballet de couleur érigé dans le ciel. Un instant suffit à Alexander pour être subjugué, les créatures débutaient leurs ascensions par une course folle. Attentif au moindre détails, le peintre retenait la scène mythique afin de pouvoir la retranscrire en toile. Ils étaient grandioses, puissants et fières, comme des guerriers qui partaient au front. Leurs teints grisâtres laissaient paraître une nuée de plume lorsqu’ils décolèrent, et en quelques instants ils étaient partis pour un long voyage. Après le spectacle, le sorcier vert prit du temps pour imager ce souvenir mémorable. Quand soudain il senti une présence dans son dos, comme si on l’observait secrètement. Persuadé d’une présence, il dit d’une voix curieuse : « Tu viens de rater un grand spectacle. Sort de ta cachette voyons, je ne vais pas te manger. Je m’appelle Alexander, tu veux m’aider à peindre ? » - Spoiler:
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| Sujet: Re: Il était le nouveau Pollock | ALEXANDER Sam 6 Oct 2018 - 11:45 | |
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Jyn était beaucoup trop sauvage pour venir parler à un inconnu d’elle-même. Ce n’était pas dans ses gènes, quoiqu’elle ne savait pas du tout de quoi ils étaient fais, puisque ses géniteurs dans son esprit, n’étaient que deux ombres marchant d’un pas empressé. Il lui semblait peut-être que son père avait des yeux clairs, mais elle était bien incapable d’être certaine de cela avec les années qui passaient. Le souvenir, aussi chéri soit-il, tendait à s’effacer doucement et délicatement comme s’il n’avait jamais existé, comme s’il n’avait jamais été là et qu’il ne désirait que la laisser. La jeune fille y pensait souvent pour ne pas dire tous les jours, en ayant sans arrêt cette crainte insidieuse et abominable qu’elle ne se souvienne vraiment plus de ses deux parents. Peu de gens connaissaient les terribles afflictions qu’une fille de son âge ne devrait même pas avoir. Jyn n’en parlait pas, elle gardait tout pour elle quitte à être une petite boule de nerf qui finissait par exploser en une pluie de limaces. Beaucoup dans ce château et même en dehors, en avaient fais les frais sans que pourtant - et c’était suspect - l’on ne daigne la renvoyer. Ce casse-tête devenait un véritable labyrinthe tel que l’était le château aux premières années. Jusqu’où devait-elle aller pour être renvoyée ? Que devait-elle faire de si abominablement malsain pour qu’enfin - enfin ! - l’on pose à la sortie du parc ses maigres valises ? La question l’avait longtemps taraudé à la Coupe du Monde de Quidditch où elle avait réussi à s’incruster et à gagner quelques sous, et elle la hantait d’autant plus que maintenant, l’année avait repris. Elle avait pensé avoir le temps mais il s’était effondré sur elle, et désormais, l’orpheline avait peur, et s’inquiétait. Pensive, songeuse ou méditative, tant d’adjectifs qui définissaient la Poufsouffle, ces temps-ci. Et le garçon qui peignait justement, ne pouvait pas dire le contraire si tant est qu’il daigne la regarder. Jyn ne lui répondit pas de suite et envisagea même de prendre ses jambes à son cou pour ne pas avoir à répondre, et pour ne pas être vue. Néanmoins, elle se cacha un peu plus derrière la colonne, vision stupéfiante et singulière pour lui répondre d’une voix cassée : “Non”. La proposition n’était pas alléchante pour cette jeune fille encore enfant qui n’aimait pas l’art, et qui avait déjà assisté à l’envol des hyppogriffes les années précédentes, dans le parc. Elle l’avait raté lors de sa première année parce qu’elle avait été collée, mais depuis, elle s’était toujours arrangée pour être collée avant ou après, mais jamais pendant. Leur vol était majestueux et fier, leurs ailes battaient d’abord la terre pour finalement battre les airs, et Jyn leur enviait, plus qu’elle ne l’admettra jamais, leur liberté.
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| | | | Sujet: Re: Il était le nouveau Pollock | ALEXANDER Lun 8 Oct 2018 - 15:36 | |
| Après sa question, Alexander pensait évidemment que sa proposition était enviée. Ce genre d’événement n’arrivait qu’une seule fois par an, et puis, sa compagnie était agréable. Discuter, peindre et rire devant un magnifique coucher de soleil, c’était presque cliché, mais plaisant. Il ne savait même pas qui se cachait derrière cette colonne, et il avait eu l’audace de l’inviter. Pourtant, Alexander tenait à l’intimité de cette scène, même s’il avait décidé de peindre en plein milieu du Dédale du collège. Il n’avait pas envie d’être dérangé par un quelconque inconnu. Mais bon, il semblait que l’inconnu l’observait franchement, ce qui expliquait sa réaction. Quand, le jeune rusé entendit la réponse dans l’ombre, il se demanda si c’était une blague. Qui observe autrui sans vouloir le rejoindre, ensuite, ou même sans se montrer ? C’était bizarre, Alexander fut un peu énervé de cette réaction futile et enfantine. Déjà il se faisait épier par quelqu’un qu’il ne connaissait pas, mais en plus, l’individu ne daignait même pas se présenter à lui. - C’est carrément flippant cette situation, j’hésite même à utiliser ma baguette, pensa le jeune homme.- Il valait peut-être mieux éviter d’utiliser la magie pour ça, le sorcier était rusé, et obstiné, mais il n’acceptait pas qu’on se moque de lui. Alors il essayait de convaincre son mystérieux hôte. « Dis voir, tu n’es pas obligé de te montrer mais dis moi au moins à qui j’ai à faire. Ce n’est pas très poli de ta part ! Entonna Alex. Je n’ai pas envie de gâcher ce doux moment avec une dispute, ou même une bagarre. Mais je ne supporte pas qu’on se moque de moi, ne m’obliges pas à utiliser ma baguette, tonna le garçon. » Alexander peut être d’une délicatesse folle pour un serpentard, mais il sait se faire entendre, il n’aime pas qu’on joue avec lui et il l’a montrer avec un discours explosif. Il usa de la menace pour faire sortir l’ombre de sa cachette. Les sortilèges, c’était le talent magique d’Alexander, il en connaissait un tas, utiles ou non d’ailleurs, mais il avait une dizaine de coups dans sa manche pour débusquer l’inconnu. Il est en revanche très diplomate avant d’utiliser la magie, alors il espérait convaincre son interlocuteur avant de passer à l’action. - Hors RP:
Petite réaction explosive d'Alex, j'espère que tu m'en veux pas aha! Je voulais essayer son côté serpy
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| Sujet: Re: Il était le nouveau Pollock | ALEXANDER Sam 13 Oct 2018 - 12:03 | |
| Jyn était une enfant qui enviait des choses que la plupart des enfants soit avaient, soit ne voulaient pas. Elle était de ces enfants bizarres que personne ne comprenait jamais vraiment, à l’air un peu gauche et sauvage, incompréhensible. Ses attitudes étaient parfois moquées, souvent remarquées, comme elle n’agissait pas comme la normalité que la société dictait. La petite orpheline aimait mettre un coup de pied aux conventions, aux habitudes, elle aimait se démarquer sans pourtant aimer être observée. La Poufsouffle aimait faire sa vie comme elle l’entendait sans que l’on daigne lui demander d’accorder son violon à ceux de ses camarades. Tous ces camarades qui aimaient tant la magie sans voir la beauté de celle qui émanait de la nature. Jyn, de part sa lignée qu’elle ne connaissait même pas, portait un jugement farouche sur ces individus-là. Elle n’aimait pas la magie condensée, et elle n’aimait franchement pas la magie tout court. Pourtant, elle pouvait avoir une franche affinité avec elle, affinité qu’elle essayait absolument de rejeter. La jeune fille ne voulait pas que sa nature lui impose quoique ce soit, ni que la société le fasse, ou que ses parents le fassent. Monsieur et Madame Dawkins cependant - et elle savait sa chance d’avoir été adoptée par des gens si compréhensifs - veillaient à ne pas réveiller le dragon qui sommeillait dans son coeur. Ils l’écoutaient, étaient attentifs à ses besoins, sans pourtant lui passer tout. Jyn ne voulait pas les déranger de toute manière. Ils étaient ses parents, ils la considéraient comme leur fille, mais elle ne pouvait pas s’empêcher de se sentir étrangère dans leur vie. Jamais un mot toutefois n’avait été prononcé en ce sens, c’était quelque chose qu’elle imaginait plus qu’elle ressentait. L’orpheline s’imaginait des choses, angoissait toujours de son retour à Poudlard, car elle craignait qu’en son absence, ses parents l’aient oublié. Qu’ils ne veuillent plus d’elle. Comme jadis ses parents biologiques l’avaient fais. Dans le coeur de la jaune et noir, une pierre sembla tomber en son centre, et elle se sentit un peu mal… Jusqu’à ce que la voix du garçon qu’elle espionnait ne la réveille d’un coup de fouet. Jyn habituellement, était très discrète. Ambrosius Flint ne remarquait même pas quand elle l’observait discrètement - et presque amoureusement - dans l’ombre d’une alcôve, il ne remarquait pas lorsqu’elle fuyait en courant de peur qu’il la remarque. Ambrosius était gentil avec elle, et la jeune fille craignait qu’il ne trouve ses quelques attitudes un peu bizarres, et elles l’étaient assurément, et que de ce fait, il prenne peur et ne veuille plus jamais lui parler. Mais face à l’individu présent, la petite galloise n’en avait rien à faire. Elle était partagée entre l’idée de l’insulter dans sa langue maternelle ou dans celle qu’il comprendrait assurément. “ M’en fou” bougonna-t-elle avant qu’il n’ajoute qu’il pourrait utiliser sa baguette pour la faire sortir de son terrier : “ Hmpf…!”. Elle se cacha un peu plus sans pourtant sortir de sa cachette. Jyn n’était pas habituée à utiliser son bout de bois bien qu’elle y soit parfois obligée en cas de force majeure. Elle préférait se battre avec ses poings, à la moldue ! “ Pourquoi je me moquerais ?” souffla-t-elle bien que sa voix se portait jusqu’à lui comme l’architecture du couloir était propice aux murmures les plus interdits. On ne pouvait pas dire qu’elle avait peur de lui, et il fallait dire que la jeune fille n’avait pas peur de grand monde. Kamikaze sur un balai volant, légèrement suicidaire avec ses pairs, elle n’était pas une gamine de laquelle on s’approchait, de peur d’être tenu responsable de sa mort prématurée. (654) - Spoiler:
T'inquiète, on a rien prévu de particulier sur le déroulement, fais comme tu le sens
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| | | | Sujet: Re: Il était le nouveau Pollock | ALEXANDER Dim 28 Oct 2018 - 18:13 | |
| De son naturel calme et observateur, cette situation faisait ressortir la facette nerveuse d’Alexander. Pour de simples petits détails, il pouvait devenir votre pire ennemi, et il ne valait mieux pas l’avoir comme adversaire. Obtus comme une mule, il voulait découvrir l’identité de cette jeune fille. Oui il avait jugé que cette voix provenait sûrement d’une jeune femme. Cette situation devenait embarrassante et Alex devait trouver une solution.
La sorcière avait l’air d’être intouchée par les menaces du serpent. Pourtant grand amateur de sortilège, il l’aurait débusqué de sa cachette sans broncher. Un peu plus diplomate que nerveux, Alexander décida d’envoyer une demande de plus : « Tu te moques tout simplement de la situation, en te cachant. C’est presque malsain d’observer une personne comme ça, surtout que tu n’es pas très discrète ! Et puis, si tu ne t’intéresses pas à ma peinture ou à ce spectacle, pourquoi restes-tu ici à m’observer ? Si cela ne t’intéressais pas, tu serais déjà parti. » Alexander avait vu juste, c’était illogique de rester ici à l’observer si tout cela était ennuyant. Peut-être que l’espionne trouvait un intérêt à cette scène finalement.
C’était pourtant une journée parfaite et cette espèce de rat avait tout gâché. Depuis, les premières heures du jour, Alexander était heureux. Et là ! Cette sorcière le m’était mal à l’aise en l’observant dans l’obscurité. Elle n’avait pas l’air de vouloir se présenter et n’avait sans doute pas l’intention de s’enfuir. Il fallait agir. Alexander réfléchissait au sortilège qui l’aiderait dans cette situation. Le locomotor mortis pouvait avoir un effet comique si la jeune sorcière perdait l’équilibre mais le but n’était pas de se moquer. Alors il opta pour un petit sortilège : « Incarcerem ! » cria Alexander en sortant sa baguette. Des cordes magiques sortaient des murs pour ligoter l’espionne. Le jeune serpy se déplaça lentement avec un sourire perfide pour découvrir, enfin, l’identité de la perturbatrice. |
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| Sujet: Re: Il était le nouveau Pollock | ALEXANDER Mar 30 Oct 2018 - 21:22 | |
| Jyn étant une sorte d’animal tout à fait suspect et bizarre, elle n’avait pas les mêmes manies que les autres. Ses habitudes différaient toujours, et elle était généralement celle que l’on moquait, mais pas l’inverse. Car si les éclats de rire étaient souvent dirigés vers elle à cause de son incapacité relative à utiliser correctement sa baguette, il ne lui venait cependant jamais à l’idée de juger ou se moquer des autres. La jeune orpheline se contentait d’observer, sans cependant émettre ou penser à un quelconque jugement, car elle savait très bien que les autres ne se gênaient pas pour faire cela. Il y avait bien trop de gens sur Terre pour juger les autres sans qu’elle n’ait besoin d’y mettre son grain de sel. Elle leva les yeux au ciel à la tirade du peintre, qui ne se posait pas les bonnes questions. Avec Jyn, il ne fallait pas raisonner de manière logique, mais chercher l’illogisme chez elle et dans les questions qu’on voulait lui poser. Elle ne l’observait pas pour se moquer, mais simplement parce qu’elle était bizarre. Était-ce si étonnant ? se demandait-elle en retroussant son petit nez comme elle se posait elle-même des questions maintenant. Pourtant, elle fut interrompue car le sauvageon décida de l’attaquer, alors qu’elle n’avait rien fais, uniquement parce qu’il avait tout seul, piqué son propre orgueil. Quelle ironie ! “Hé !” s’exclama-t-elle en se retrouvant au milieu du couloir, à moitié disparue tous les cordes qu’elle se mit à mordre comme si elle allait la couper en deux alors que ses dents n’étaient pas des scies du tout. “Je m’en fou de toi ou de ta peinture” s’égosilla-t-elle, les larmes aux yeux, “lâche moi lâche moi !”. Elle se mit à gigoter pour qu’il la lâche. Ça y est, elle n’avait rien contre lui avant, mais maintenant, elle le détestait sérieusement ! |
| | | | Sujet: Re: Il était le nouveau Pollock | ALEXANDER Ven 14 Déc 2018 - 12:08 | |
| Alexander était passé du côté le plus perfide des serpentard, et il faut l’avouer, ça lui faisait du bien. D’un naturel très calme, il pouvait exploser et devenir un sorcier rusé et puissant. La jeune fille l’avait touché dans ses principes et avait atteint son attitude créative. Lui qui voulait passé une journée parfaite, elle l’avait transformé en duel de baguette. Quoiqu’elle n’a même pas essayer de riposter au sortilège, ce qui avait un peu déçu le sorcier. Cette petite escapade avait bien amusé Alex et il attendait la réaction de sa victime pour planifier la suite. Le sorcier fourbe et talentueux était de sorti, laissant l’artiste en devenir se reposer dans sa tanière. La jeune fille dévalait perturbée et même bizarre. Elle réagissait de manière étrange et il était compliqué pour l’esprit aiguisé d’Alex de la cerner. Elle lui demande la lâcher avec son sortilège, ce qui fit rire le serpent. Il avait déjà vu cette jeune sorcière poufsouffle mais il ne savait pas mettre un nom sur son visage. Pourtant elle était connue pour être assez récalcitrante à la vie de sorcier, et pour divers fait d’indiscipline. Ce qui était encore plus drôle, d’attraper une fille aussi rusée. Même trop rusée et dangereuse pour une poufsouffle. « Dis moi ton nom jeune perturbatrice, je te connais pour être l’une des élèves des plus agitée dans ce châteaux. Ta réputation te précède. » Il desserra un peu les liens pour la laisser souffler sans pour autant la libérer. - Hors RP:
Désolé du grand retard...
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| | | Jyn S. Dawkins PRÉFET POUFSOUFFLELes actes non les paroles font la loyauté. | HIBOUX POSTÉS : 508 | AVATARS / CRÉDITS : Saoirse Ronan | cosmiclight. | SANG : En quoi ça te regarde, tête de noeud ?
| Sujet: Re: Il était le nouveau Pollock | ALEXANDER Sam 22 Déc 2018 - 23:12 | |
| Ainsi ligotée dans le couloir, Jyn se sentait particulièrement humiliée... Et ce n'était clairement pas un bon point pour le Serpentard, qui, outre le fait qu'il avait levé la baguette sur elle - sale sorcier ! - se permettait maintenant de ne pas la libérer pour admirer son oeuvre - sale, sale sorcier ! Ha ! Jyn les détestait tellement que si son regard avait été un objet, il aurait été un couteau. Car la petite sorcière détestait ses congénères de manière si farouche que si l'un d'eux s'avisait d'utiliser la magie contre elle, ou devant elle, elle explosait comme un éruptif. Son animal totem aurait pu en être un que ce ne serait surprenant pour personne. Il fallait, pour s'attirer ses faveurs - ou un semblant d'amitié ! - ne pas utiliser la magie et apparaître comme un moldu parfait. Elle même veillait à ne pas se servir de son "bout de bois" comme elle désignait sa baguette sans affection aucune et le peintre qu'elle observait avait grillé tous les codes. Un, il avait utilisé la magie devant elle, et deux il avait utilisé la magie sur elle. Les dents de la petite orpheline n'étaient malheureusement pas suffisamment aiguisées pour couper en deux les cordes extrêmement serrées qui l'entouraient. Elle lui tira la langue comme une petite sauvageonne, et continua de gigoter en priant pour qu'un sauveur passe et la délivre de son mal. Voyant, cependant, qu'il ne réagissait pas avec sa voix nasillarde, la Poufsouffle souffla à plein poumon pour ne pas hurler son nom : « Je m'appelle Jyn », avant de se murer dans un silence similaire à une chape de plomb. - HJ:
Déso pour le peu de dialogue, c'est qu'elle est pas très bavarde
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