ϟ la répartition

NOM - hurley PRENOMS - louisa DATE DE NAISSANCE - 15 mars 1962 AGE - 14 ans VILLE D'ORIGINE - hornchurch, en banlieue londonienne CLASSE - quatrième année SANG - née moldue

Louisa est une fille avec un bon fond mais qui a besoin des autres pour exister. Elle sait parfaitement qu’elle peut obtenir ce qu’elle désire et qu’il lui suffit simplement de battre des cils à la bonne cadence. Pourtant, elle possède une facilité impressionnante à se faire des amis et justement, cette sociabilité peut lui faire défaut et briser le personnage qu’elle a créé et qu’elle joue pour se faire accepter à Poudlard. Elle est complexe, à la fois mystérieuse et mélancolique, elle pèse le moindre des mots qui pourrait s’échapper de sa bouche mais ne parvient parfois pas à les retenir. Louisa est emprisonnée dans l’image superficielle qu’elle souhaite donner d’elle. Sa stabilité émotionnelle est horriblement fragile : fatiguée ou affamée, il suffira d’un petit rien du tout pour qu’elle perde son sang-froid et qu’elle se mette à Hurley (hurler lol). Elle peut faire peur car elle est fausse et lunatique et adapte son comportement en fonction des gens avec qui elle se trouve. C’est une peste, une manipulatrice, une menteuse et une jalouse qui n’hésitera pas à en faire subtilement baver à celles et ceux qu’elle considérera comme des rivaux. Elle parait douce, prudente et innocente mais n’en reste pas moins obstinée et combative. Son humour est d’une finesse sans renom (tout comme celui de sa joueuse hihihi) même si les autres ne parviennent pas toujours à le saisir. Elle ne s’épanouie pleinement que lorsqu’elle est entourée. Elle est si froide et sérieuse qu'elle en devient déstabilisante lorsqu'elle baisse un peu sa garde. Ce qu'elle voudrait, elle, c'est redorer le blason et elle n'hésite pas à râler sur ses camarades de maison si elle ne les trouve pas assez investis. Elle ne sait pas où elle en est, se perd dans ses mensonges et son besoin de briller, à la recherche en permanence d'une sécurité amicale et familiale. Son père ne l'a pas reconnu, elle ne sait rien de lui mais, parce qu'elle n'assume pas de ne pas avoir une famille parfaite, a imaginé un idéal autour de lui pour le faire exister à travers des balivernes. Une situation qu'elle aura du mal à gérer à Poudlard. Hurley, c'est le nom de sa mère et elle considère que personne n'a besoin de le savoir. Elle reste dans sa zone de confort et joue les drama queen à la perfection n'hésitant pas à écrabouiller quiconque lui barrerait le chemin. Pourtant, c'est au fond un petit être inoffensif en manque d'amour et de figure d'autorité, sous sa carapace se trouve une toute autre personne qu'elle préfère ne pas laisser sortir au risque de montrer des signes de fragilité. Louisa, ah, Louisa ! Elle n’est que clichés et s’en accommode parfaitement… quoique.

VOTRE PATRONUS - un mara nain
VOTRE EPOUVANTARD - un tsunami
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – cheddar
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – meteorribilis recanto : modifie les conditions atmosphériques
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – potion capillaire lissenplis
VOTRE COURS PRÉFÉRÉ – étude des moldus
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – gaichiffon
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – artemisia lufkin
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – nundu
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – un gâteau à la cannelle, des bougies senteur fleur d'oranger et de la bergamote

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Monsieur le Choixpeau, je sais pas trop si je veux qu'elle soit serpentard ou poufsouffle du coup je vous laisse décider et voir si ça passe en née moldue chez les verts ou pas je sais plus je panique au secours éclairez ma lanterne c'était pas prévu que j'hésite maintenant impossible de savoir ce que je veux faire help me s'il vous plait je ne suis que perte et doutes quand les choses sont pas prévues j'ai tendance à me laisser submerger promis après la répartition je me détends

Explications : Tu te trouves dans le Poudlard Express, en route vers ta Première Année. Soudain, une élève un peu plus âgée entre dans ton wagon et commence à te poser des questions.

« Salut, je peux m'installer ici ? Moi c'est Penny Clearwater, je suis Préfète, et toi tu t'appelles comment ? Tu vas faire ta première rentrée à Poudlard, on dirait. Faut pas t'inquiéter, ça va aller. Tu sais déjà dans quelle Maison tu voudrais aller ? »

Louisa, du haut de ses onze ans, s’empressa de vérifier que son serre-tête était toujours bien en place lorsque la dite Penny entra dans son compartiment. Elle la jugea du regard et, si l’on aurait pu croire à un certain malaise, elle se sentit bizarrement tout à fait à sa place. « Bonjour… Penny. Je suis Louisa Hurley. » Elle faillit lui dire qu’elle pouvait l’appeler Lou mais se retint. Bien que son envie de se faire des amis soit présente, elle ne pouvait pas devenir familière avec n’importe qui. Pas avant d’avoir été répartie. « Mon oncle m’a dit que l’Elite rejoignait Serpentard alors… » Elle papillonna des yeux. S’il y avait bien une maison à laquelle elle pensait correspondre c’était bien celle-ci. (ptdr, bichette)

« Je vois, je vois. Ben verdict à la cérémonie de Répartition, alors ! C'est le Choixpeau qui décide, après tout. Mais j'espère que tu iras là où tu veux. Au fait, ton nom me dit quelque chose, t'as déjà des frères et soeurs à Poudlard ? Et tes parents, ils font quoi dans la vie ? »

Lou rigola nerveusement, des frères et sœurs au château ? Elle aurait bien voulu mais vu sa situation familiale c’était impossible. De sorcier chez elle, il n’y avait que son oncle maternel qui, par un hasard s’était retrouvé chez les verts. Du côté de son père, elle n’en savait absolument rien. « Je pense que tu te trompes, je suis fille unique. » « Enfin je crois » manqua-t-elle d’ajouter. Elle portait le nom de famille de sa mère puisque son géniteur ne s’était jamais donné la peine de se manifester. « Ma mère travaille dans la Recherche Historique dans le Londres moldu…, elle lissa son uniforme tout juste enfilé, mon père lui, il est… euh… il travaille dans les affaires étrangères… c’est un… il voyage beaucoup, c’est un métier vraiment intéressant et je… je voyage aussi pendant les vacances… oui pendant les vacances… les pays… le monde, c’est génial… oui. » Au fur et à mesure qu’elle s’était enfoncé dans son mensonge, ses joues avaient pris une teinte cramoisie. Elle venait d’entrer dans un cercle vicieux et n’était pas au bout de ses surprises.

« Ah oui non en fait, j'ai dû confondre avec quelqu'un d'autre. Bref ! Sinon, comment tu vois ton futur, à ta sortie de Poudlard ? Tu dois bien avoir des projets d'avenir, tu sais ce que tu veux faire plus tard ? »

« Dans les affaires étrangères sorcières ! » S’exclama-t-elle naturellement, puis, comprenant qu’elle s’en était inspiré pour le personnage de son père, elle rajouta d’une petite voix : « Presque comme mon père mais chez les sorciers. ». Penny n'avait pas besoin d'en savoir plus.

« Quelle ambition ! Moi je veux devenir joueuse de Bavboules pro, mais apparemment c'est super-compliqué. C'est un peu mon rêve, tu vois. Tu as peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et te propose d'exaucer trois de tes vœux. Si un tel génie se présentait à toi, qu'est-ce que tu demanderais, toi ? »

Lou, qui n’avait pas envie de se tenter à quelconques vœux irréalisables, se leva. « Tu m’excuseras, Penny, je dois aller au petit coin. ». La pauvre manquait d’éclater en larmes d’une seconde à l’autre.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  une rouge, une jaune Où avez vous connu le forum ?  le groupe facebook Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : oui + murlap (trop chou ce mot d'ailleurs, dommage que l'animal soit si laid)

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

Sujet DESCRIPTION :  
— La première manifestation de tes pouvoirs magiques et la réception de ta lettre d'admission

Une balade à Londres. Voilà ce que m’a mère avait prévu ce jour-là. Quelques instants volés dans la grande ville et non pas dans notre ridicule ville de banlieue. L’argent ne manquait pas chez nous mais il était impossible pour une mère et sa fille de vivre dans l’excès. Parfois, quand elle était de bonne humeur et qu’elle réussissait à voir plus loin que son mariage raté, elle m’emmenait pour promener. Nous passions l’après-midi à flâner dans les ruelles puis, après avoir dégusté une bonne glace, j’avais l’autorisation de me rendre au parc pour jouer avec des nouveaux copains.

Dix ans.

Voilà déjà dix ans que nos petits rituels avaient pris place et je ne m’en plaignais pas. Quelques années aussi que je me rendais chaque matin de la semaine à l’école et que j’apprenais. La lecture, l’écriture, les mathématiques, les sciences… tel un puits de savoir, je ne manquais aucunes leçons, mon envie de perfection battait tous les autres de mes désirs.

C’est lors de l’une de nos sorties que les choses changèrent. D’enfant sage et appliquée, je devins rapidement une petite fille renfermée à l’image de ma maigre vie. « C’était un accident, tout va très bien pour lui » me répétait ma mère. Je n’arrivais pourtant pas à me sortir la scène de la tête.

De la pluie. Des éclairs. Du tonnerre. L’orage faisait rage et nous tomba dessus sans que nous nous y attendions. Alors que nous venions de terminer notre dessert sucré et que nous rejoignions, comme d’habitude, le jardin du bout de la rue, la météo nous surpris. Puis tout se déroula très vite. Les gens paniquèrent, eurent envie de s’abriter, de ne pas être trempés, les talons des dames claquèrent au sol, les manteaux des hommes fouettèrent le vent et ma robe, oh, ma robe devint rapidement une masse de tissus me collant à la peau. Perdue,  séparée de ma mère par la foule et trempée jusqu’à l’os, je ne pus que me rendre dans un lieu que je connaissais. Bien vite j’aperçus l’entrée du parc et sans me poser la moindre question, rejoignis cet endroit familier.

Mauvaise idée.

Il est bien connu que les arbres et la foudre ne font pas bon ménage. Dans la panique, et parce que j'étais une enfant de dix ans après tout, je me mis à hurler. Je me mis à hurler parce que j’avais peur, parce que j’avais froid, parce que j'étais seule, parce que c’était dans mes gênes. Je criai d’ailleurs si fort que je n’entendis le craquement qu’en arrière son alors qu’il se produisit en réalité juste à côté de moi. Ma mère s’époumona aussi et, même si je sentais que quelque chose n'allait pas, je fus rassurée de savoir qu’elle n’était pas loin.

La suite est toujours un peu flou et, bien que j’y repense assez souvent, j’ai du mal à comprendre dans quel ordre les choses ont bien pu se dérouler. Je me souviens de ses yeux, de sa voix, de son cri, d’avoir suivi son conseil et d’être parti en courant me réfugier dans les bras de ma mère. Tout ça tandis que lui subissait le poids de l’arbre. Ou justement, ne le subissait pas. L’arbre était en l’air, comme par magie ? Une force surnaturelle semblait le maintenir et empêcher qu'il ne s'effondre sur le garçon.

Nous assistions à la scène avec ma mère et lorsque mon sauveur commença à ramper pour s’échapper, je sentis que quelque chose n’allait pas. Il n’aurait pas assez de force. Sans même m’en rendre compte, je priai très fort pour qu’il ne lui arrive rien, pour qu’il puisse s’en sortir sans une égratignure. Malheureusement, l’une des branches finit par s’enfoncer dans dos et les larmes jaillirent de mes yeux. Je sentis pourtant une étrange chaleur parcourir mon corps alors même qu’il pleuvait encore des cordes. Mon action ne servit pas à grand-chose, le garçon serait quand même blessé mais je sentis que j’avais réussi, que j’avais ouvert en moi une porte close depuis bien longtemps.

C’est une année plus tard que je compris. Poudlard, la lettre, l’admission. C’est aussi cette année-là que mon oncle m’avoua tout. Des choses que personne d’autres ne savaient, même pas ma mère. Il me raconta pour les maisons, pour Serpentard celle où il était allé, pour les cours, pour les repas, pour les matchs de Quidditch. J’étais apparemment en avance et devais attendre mon tour. Je n’eus jamais l’occasion de revoir mon sauveur, de savoir ce qu’il était devenu, de le remercier, mais cet évènement eut un effet traumatisant sur moi, un sentiment de malaise qui me poussait à comprendre que j’étais différente.

Une née-moldue ! Et bien belle qui plus est ! (re ?)Bienvenue chez nous !

J'adore le message dédié au Choixpeau

Re-bienvenue avec cette jolie louloute