ϟ la fiche de recensement

NOM - Martens PRENOMS - Octavius Eugene. Octavius, Issu du nom de premier empereur romain mais surtout une référence au chiffre 8 qui semble être SON chiffre. Eugene, du prénom de son grand-père paternel. DATE DE NAISSANCE - 8 octobre 1948. AGE - 29 ans et toutes ses dents. VILLE D'ORIGINE - Bath, près de Bristol. Il a grandi à Kelston. SANG - Sang-mêlé. Sa mère était une Bulstrode. Son père était un né-moldu, fils d'un militaire de la Royale Navy. ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Serdaigle. Néanmoins, le Choixpeau a également hésité avec la maison Poufsouffle qui lui aurait convenu tout autant. ORIENTATION - Côté du bien (Ordre du Phœnix). Il ne comprend pas comment on peut faire une hiérarchisation de l'espèce humaine. En Novembre 1975, lors d'un bref retour au Royaume Uni, Dumbledore en personne lui a proposé de rejoindre les rangs de l'Ordre.

Octavius dégage une image très proprette : classieux, posé, souriant, intelligent... Le parfait gentleman anglais dans toute sa splendeur. Mais si l'on creuse un tout petit peu plus, on se rend vite compte qu'il ne se résume pas qu'à cela. Très loquace et passionné, il est ce que beaucoup appelle un « excentrique » (souvent avec un ton condescendant).
C'est un homme aussi qui a besoin du sentiment d'avoir le total contrôle de sa vie et peut devenir très irritable si ce n'est pas le cas. Sa liberté est très importante pour lui et n'a pour seule limite que sa profonde volonté d'être une bonne personne. C'est de cette volonté qu'émerge un bon nombre de ses convictions mais également de ses douloureux dilemmes. Comme toute balance qui se respecte, il est très difficile pour lui de faire des choix.

Octavius n'a pas toujours été comme cela. Il a été façonné par ses nombreuses expériences au cours de ses voyages. Il était un adolescent très peu affirmé et confiant, l'ayant mené à avoir une scolarité très peu enviable. Un très sage et bon élève appréhendant plus que de raisons chaque contrôle, rasant les murs du couloir pour ne pas se faire remarquer par les mauvaises personnes... Un jeune garçon vivant par procuration en lisant des récits d'aventures jusqu'à ce qu'il ait un déclic.

VOTRE PATRONUS - Pendant longtemps, son patronus a été un chat (un chat de salon tout touffu). Il semble avoir changé pour devenir un argus bleu.
VOTRE EPOUVANTARD - Depuis son premier cours de vol à Poudlard, il a une peur bleue du vide.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Caramel, un grand classique.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Appare Vestigium. Ce sortilège lui a beaucoup servi au cours de ses voyages en terres inconnues.
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – La potion pour nettoyer les blessures. Cela lui a souvent sauvé la vie (ou tout simplement un membre).
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Il ne fait pas vraiment les boutiques. A vrai dire il évite pour le bien de son porte-galion et pour ne pas avoir cette petite voix dans sa tête qui lui fait des reproches. Il préfère les vendeurs ambulants, de toute manière.
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Daisy Dodderidge, son idée était tellement géniale ! Non pas qu'il fasse parti de ces gens voulant une nette séparation entre moldu et sorcier mais voilà.
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – Le démonzémerveille.
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – Odeur de café moulu épicé.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Il est polyglotte. Il est parti 10 ans à l’étranger. C’est un animagus (un lapin blanc). Il est flexitarien.

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Il afficha un grand sourire à l'entente de cette question, même si elle venait de la part d'une femme qui semblait tout bonnement insupportable.
« Je suis anthropomage. J'étudie les civilisations d'un point de vue objectif. Je viens tout juste de rentrer de voyage. Est-ce bien payé, dites vous ? Oh eh bien je vous répondrais que cela m'apporte des connaissances, des expériences, de belles rencontres... Là est la vraie richesse d'une vie, vous voyez ? » Il marqua une courte pause. « Ceci dit, je ne sais pas si je vais rester assez longtemps au Royaume-Uni pour me trouver une situation professionnelle concrète stable. Mais j'ai du mal avec le concept de travailler pour un employeur et d'en dépendre. Vous ne trouvez pas que cela brime la liberté ? Je ne sais pas. J'imagine néanmoins que si je m'établis pour une assez longue durée, il va bien falloir que j'y passe. Malheureusement, on ne vit pas d'amour et d'eau fraîche. L'argent ne fait pas le bonheur mais est nécessaire dans nos contrées. Enfin, la société d'aujourd'hui nous pousse à penser que pour être heureux, il faut acheter et consommer massivement. Hélas, je me fais parfois avoir malgré mes efforts pour ne me contenter que ce dont j'ai vraiment besoin. Même si je suis convaincu que nous avons de la chance d'avoir accès à tout cela et que nous pouvons bien nous faire plaisir de temps à autre en s'acceptant quelque achat futile. Tant que cela ne devienne pas une habitude qui pourrait être éventuellement délétère pour un autre être vivant, la planète ou même simplement notre porte-galions. Encore faudrait-il qu'il soit un minimum rempli. D'où l'intérêt de travailler un peu. »

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
Le sourire d'Octavius muta en sourire nerveux. Parler de sa vie sentimentale, hein ? Ce n'était pas du tout un exercice auquel il aimait se livrer. Il trouvait la question terriblement indiscrète. Et puis dès que l'on entrait pas dans les normes d'un pays donné, on était jugé.
« C'est une question indiscrète. Je préfère ne pas y répondre. » marmonna-t-il. « Qu'est-ce que cela change à ce que je suis ? Que je sois marié, célibataire, libertin, veuf, avec des enfants ou un cœur en peine... Vous ne trouvez pas ça malsain de vouloir connaître tous ces détails ? Bien que très humain, je vous l'accorde. »

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
Quelles étaient ces questions, doux Jesus ? Mrs. Skeeter tenait réellement à ce qu'il déroule tous ses souvenirs de jeunesse qui n'étaient pas toujours reluisants ? Il ne pouvait même pas s'esquiver une seconde fois.
« J'ai grandi près de Bristol, dans un petit village. Ce sont mes grands-parents qui nous ont élevés, ma sœur et moi. Vous voyez, mes parents étaient aurors et cela les obligeait à rester sur Londres. Ils n'avaient pas vraiment le temps pour s'occuper de nous. Ce qui est tout à fait normal. Ils sauvaient des vies et nous étions entre de très bonnes mains. Ils nous ont quitté quand j'avais 8 ans. » Il gardait toujours le sourire, même si cela pouvait paraître incorrect. « Ce sont des choses qui arrivent. Enfin bref. Nos grands-parents nous ont donné une éducation assez stricte et très encadrée. Ils étaient moldus mais ont préféré nous faire l'enseignement à la maison au lieu de nous envoyer à l'école. Je crois qu'ils craignaient que nos pouvoirs se manifestent là-bas. Je n'avais pas vraiment le droit de beaucoup sortir, j'étais un enfant assez seul. Des fois je sortais avec ma grand-mère et le dimanche on allait à l'Eglise. Puis quand je suis entré à Poudlard, j'ai été réparti à Serdaigle. Pour être honnête, au début j'ai eu beaucoup de mal à m'adapter. Je n'avais jamais vraiment quitté la campagne où j'avais grandi et n'avait jamais autant été entouré d'enfants de mon âge. J'étais en plus assez timide ! C'était terrible ! Il suffisait qu'une fille me parle pour que je me mettre à rougir et bégayer. Mais avec le temps, j'ai réussi à m'y faire. On réussit toujours à s'adapter. N'est-ce pas, Mrs. Skeeter ? »
Octavius avait volontairement omis les détails les plus « importants » et « croustillants ».

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Son rêve ? Il l'avait déjà réalisé. Il le réalisait chaque jour que Dieu faisait. Et maintenant, qu'est-ce qu'il voulait ? De quoi avait-il envie pour le futur ?
« Pour l'instant, je pense rester en Angleterre pour quelques semaines, le temps de mettre ma vie en ordre. Mais je ne sais absolument pas combien de temps je vais rester avant de repartir. En tout cas, je ne pense pas que ce sera dans l'immédiat. Alors on verra ce qu'il adviendra. »

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
« Vous savez... S'il y a bien une chose que j'ai apprise ces dernières années, c'est que la différence n'est pas synonyme d'infériorité. C'est une réaction humaine très primitive de rejeter la différence et de la juger inférieure. Mais c'est un cap qu'à l'heure actuelle on devrait tous avoir surmonté. Je pense que rejeter ce qui est différent d'une façon aussi violente est très rétrogradant pour l'espèce humaine. Ironiquement, les moldus faisaient ça avec les sorciers. Au Moyen-Âge. Cela remonte déjà à quelques siècles, quand même. Vous ne pensez pas que les mentalités devraient évoluer ? »
Il aurait pu partir sur un long débat sur ce qu'était véritablement la magie noire, en quoi elle pouvait fondamentalement se différencier de la magie blanche. Mais il n'avait pas vraiment envie de rallonger la conversation.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Octavius prit le temps pour réfléchir à cette question qui n'était simple qu'en apparence. On avait certes beaucoup d'envies comme une nouvelle paire de chaussure ou du nouveau linge de maison mais un Génie pouvait nous donner absolument tout ce qu'on voulait. Cela aurait été bête de gâcher un vœux pour une paire de godasses.
« Ca va vous sembler très matérialiste mais je demanderais de l'argent. Sans argent, on fait absolument rien ici. Ensuite je demanderais une cape d'invisibilité. Pourquoi ? Eh bien chacun ses secrets, Mrs. Skeeter. Et est-ce que j'ai le droit de demander la paix dans le monde ? Non ? C'est dommage. »

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Yep (Alex = Serpy, Adrian = Serdy, Mary = Gryffon, Junior = Serpy et Romeus = Neutre). Où avez vous connu le forum ? Recherche internet Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Oui jeudi-jobarbille

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

Sujet ACTION :
— Au cours de l'un de vos voyages par poudre de cheminette, vous vous retrouvez malencontreusement dans la cheminée d'un inconnu (moldu, sorcier, ministre, soyez imaginatif). Décrivez votre réaction au cours d'un RP.

Il était temps de quitter la chaleur accablante de l'archipel de Zanzibar. Octavius avait bouclé sa valise et revêtu ses vêtements occidentaux qui lui tenaient extrêmement chaud. Il ne se sentait pas le courage d'enfiler son manteau. Il avait encore quelques rues à traverser dans la grande ville de Zanzibar pour arriver à l'endroit où il était supposé emprunter le portoloin qui allait le transplaner jusqu'à Londres. Il allait faire froid là-bas. Très froid. Ce fut en sueur qu'il arriva à une espèce de canette toute cabossée qui allait le ramener dans son pays d'origine. Il était partagé entre deux sentiments: le regret et l'impatience de rentrer chez lui. D'autres sorciers n'attendaient que lui pour transplaner. En vitesse, il enfila alors son manteau. Et c'est parti !
L'atterrissage fut difficile: Octavius s'écrasa la face contre le sol pavé enneigé d'un quartier sorcier de Londres. Il ne s'y ferait jamais, à ce moyen de transport ! Il sentait le froid mordre le bout de ses doigts. Il se releva douloureusement et sans perdre de temps, il rentra dans le premier commerce venu. Après une brève discussion avec le vendeur pour pouvoir emprunter sa cheminée. Il se plaça ensuite dans l'antre et prit une poignée de poudre de cheminette.
« 20 Bayswater Streeet ! » énonça-t-il clairement.
Et POUF ! Il atterrit soudainement dans une autre cheminée tel un Père Noël pas très dégourdi. Toussant à cause la suie qu'il avait inhalé, il se releva. Six paires d'yeux, sidérées, le dévisageaient. Il leva la tête et fut confronté à ces regards. Il resta bloqué quelques secondes. Ah. Ce n'était pas le bon endroit. Il semblait avoir perturbé l'heure du thé de ces messieurs dames. Il esquissa un sourire gêné.
« Mais qui êtes vous ? » s'offusqua une dame d'un certain âge très élégante.
« C'est le père Noël, daddy ? » demanda une petite fille à couettes à son père, l'air surexcitée.
« Non, darling ! » répondit la mère à la place de son mari.
Oh la la... Octavius s'était mis dans une sacrée bouse. Tandis que la famille moldue chez qui il venait de débarquer commençait à entamer un débat, il jugea bon de les interrompre.
« Mesdames, Messieurs, veuillez m'excuser pour cette intrusion impromptue. Ce n'était absolument pas voulu. Je me suis juste... Trompé d'adresse. »
« Vous entrez chez les gens par la cheminée, vous ?! »
C'est vrai que c'était stupide ce qu'il venait de dire.
« ... Plus ou moins. »
Nouvelle vague d'outrance. L'instinct d'Octavius lui disait de se carapater ! Mais il ne pouvait pas ! Il devait les oublieter ! Ce serait dommage qu'à peine rentré, il ait déjà des problèmes avec la justice magique ! Pendant que la petite famille débattait, il sortit lentement sa baguette avant de les interrompre de nouveau.
« Si vous voulez bien m'excuser mais... Confundo ! »
Il s'assura que le sortilège fasse effet sur toutes les personnes présentes et en vitesse, il se rapprocha de la sortie. Une fois devant la porte, il lança: « Oubliette. »
Et sur ce, il fila en vitesse ! Mais... Du coup... Quelle était la bonne adresse ?

T'as intérêt à mettre le bon code bien caché dans le règlement toi

RE

Bienvenue toi, on a le même âge c'est fou ça dis donc

Puisque tout le monde te dit re, je te dis reBienvenue aussi
Ce perso a l'air vraiment super cool !