ϟ la fiche de recensement

NOM - Peeves PRENOMS - Poils au menton DATE DE NAISSANCE - Moyen-âge, grandiose époque où le gibet fut inventé AGE - Mental ? VILLE D'ORIGINE - Montcuq SANG - Poils aux dents ANCIENNE MAISON - Et ta mère ? Il paraît qu’elle était tellement grosse que le choixpeau l’a répartie dans les quatre maisons ! ORIENTATION - Poils au fion

Grandiose ? Génial ? A se tordre de rire ? Fabuleux ? Tordant ?
C'est ce qu'on devrait raconter sur moi, pourtant j'entends que des « Peeves est terriblement grossier, insupportable, et sa voix est trop criarde ». Les fils de troll ! Mes blagues sont toujours les plus hilarantes!
Au lieu de cela, on les trouve vaseuses et de mauvais goût... Mes fesses, ouais!
Je n'ai aucune limite, et ne m'arrête jamais. Je suis trop marrant, je le sais !
Qu'on dise que je vais trop loin et que j'ai une grande gueule, çà ne me gène pas, j'aime bien. Eh ouais, je suis le plus célèbre et le plus perturbateur des fantômes de toute la Grande-Bretagne, quand même ! Ma réputation me précède (en vrai, j'ai tout appris à Lockhart).
Grand fauteur de troubles, je suis le plus calé en matière de fourberies et de conneries, on fait pas mieux sur le marché, et on peut dire que je n'en loupe jamais une ! Esprit frappeur et petite frappe, je suis le meilleur en matière de vacheries et de sale coups. Bombarder les élèves de bombabouses ? Check. M'introduire en loose dans les toilettes des filles pour leur faire peur ? Check. Faire des croche-pattes aux professeurs ? Check. Déclencher des batailles de bouffe dans la Grande Salle ? Check. Imiter des bruits de gros pets bien sonores à côté de Dumby pendant le discours de la répartition des premières années ? CHECK, et re re CHECK !
Oui, je vous l'accorde, je suis (un poil de cul) immature, sournois (léger, léger) et retord, mais avouez... Qu'est-ce qu'on se marre !

VOTRE PATRONUS - Tu veux entendre une autre blague sur les poils ?
VOTRE EPOUVANTARD - C’est moi ton épouvantard ! *s’enfuit en entendant le bruit des chaînes du Baron Sanglant*
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Crotte de nez
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Bombarda … Maximaaaaaa !
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – La même que ta mère, la potion d’haleine de chien.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Le quoi ?
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Albus Dumbydork ? Non, je rigole, je voulais juste l'insulter !
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – Les grinchebourdons, cachez leur ruche dans le dortoir des premières années et c’est la poilade assurée !
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – Un subtil mélange entre le fumet du pet foireux et le relan gastrique.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Quand 'y a d'la bagarre, quand ça chauffe au château, appelez donc Peevy, il viendra illico !

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Un large sourire fendit le visage de Peeves avant qu'il réponde non sans fierté. Je ne suis que l'esprit frappeur le plus célèbre et le plus perturbateur de toute la Grande-Bretagne ! Le bout de son index explora le fin fond de sa narine et il trouva une crotte de nez qu'il roula en boulette. Même une vilaine guenon comme toi devrait le savoir, non ? Et l’esprit frappeur de faire honneur à sa réputation en envoyant de manière tout à fait gratuite sa boulette verdâtre s'écraser sur le visage de l’apprentie journaliste.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
Peeves arrêta un instant de bondir d’un coin à l’autre de la pièce pour flotter quelques bons centimètres au-dessus du fauteuil. La journaliste avait sans doute deviné, vu la posture tout à fait sérieuse qu’il adoptait, qu’il ne lui raconterait que des cracs. Eupraxia Mole en 1876 ! La coquine était tellement folle de mon eau de toilette qu’elle m’autorisa à me baigner une fois par semaine dans les toilettes du rez-de-chaussée ! L’esprit frappeur ne tint pas plus longtemps en place et envoya danser en l’air son chapeau avant de le récupérer adroitement avec son crâne. Une directrice généreuse vraiment, elle a fait concevoir spécialement pour moi cet élégant bonnet à grelots par Madame Bonhabit à Paris. Ce fut avec un sourire malveillant qu’il conclut sa petite histoire. J’ai été peiné de la voir quitter le château pour ‘des raisons de santé’ … mais est-ce qu’elle ne l’avait-elle pas mérité, à vouloir m’acheter pour que je débarrasse le plancher ?

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
Que de souvenirs grandioses à Poudlard. Peeves opéra trois salto dans les airs qui rendirent même la plume à papote nauséeuse. Tous ces gros mots écrits sur les tableaux et ces armoires qui tombent de manière hasardeuse sur les élèves ... se remémorait-il avec émotion ses meilleures années d’esprit frappeur. Cela me manque parfois de tirer des boulets de canons à travers les fenêtres … Si seulement le vieux Dumby n’était pas si coincé ! gémit-il de sa voix stridente et désagréable.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Rien ne réjouissait plus Peeves que d’avoir un auditoire en matière de bêtises et il frappa extatique dans ses petites mains. Je compose actuellement une petite chansonnette sur notre concierge, elle s’intitulera ‘Picott le Coprolithe !’ … c’est un gros travail car ce n’est pas facile de trouver des rimes en ite à part dynamite ! C’est très important que les paroles collent à la mise en scène ! J’ai tout un tas de plis à faire dans les tapis avant la rentrée aussi, les petits nouveaux ne vont pas dévaler tous seuls les escaliers sur les fesses !

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
PROUUUUUUUT ! répondit l’esprit frappeur en écrasant ses joues gonflées d'air contre les paumes de ses mains.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Une nouvelle fournée de bébés sorciers chaque année et l’éternité pour les traumatiser ! C’est que Peeves était un esprit frappeur déjà comblé. Il laissa tomber au-dessus de la journaliste une bombe à eau qu’il avait rempli dans la cuvette des toilettes lors de son bain hebdomadaire ce matin même … puis, inspiré par un nouvel air, il disparut enfin. Rita raconte que du caca, Peevy l’a bombardé de pipi ! AHAHAH !

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? Je suis dans toutes les maisons. Où avez vous connu le forum ? Je suis le forum. Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : NON.

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Cette nuit de l’an mille huit cent soixante-seize était semblable à toutes celles que Peeves connaissait depuis huit cent quatre-vingt-trois années, il flottait dans les couloirs à la recherche d’un élève de première année égaré … Quelle drôlerie cela serait de le suspendre à un lustre par l’élastique de son slip. L’aube se levait déjà - aucune âme prudente n’ayant croisé la route de l’esprit frappeur aussi virulent que le siècle - lorsqu’un reflet chatouilla l’oeil de notre antihéros. Ce dernier apparut bientôt au-dessus du chatoyant attirail qui avait attiré sa plus maléfique intention. Oooooooh ! planait-il rêveur au-dessus de la corne d’abondance qui dégueulait de pistolets à mèche, canons en bronze, carabines de tir à verrou, tromblons à percussion, revolvers à broche, poires à poudre. De ces objets, il ne connaissait que la réputation de pétarader et de massacrer et cela se trouvait largement suffisant à piquer son intérêt lorsque … VLAM ! Une grande cloche de verre enchantée tomba au-dessus de sa tête distraite. Outraaaaage ! persifla-t-il d’une voix stridente qui n’était pas sans rappeler le son de crissement d’ongles sur un tableau d’ardoise. L’esprit piégé essaya bien à plusieurs reprises de s’échapper mais, la cloche enchantée se trouvant renforcé par plusieurs sortilèges de maintien, il y virevoltait aussi inutilement qu’un papillon. Les couleurs de sa tenue en rappelaient par ailleurs les plus vives couleurs. L’instigateur du piège se révéla bientôt en surgissant de l’ombre : Aygron Carpet. Le vieux bonhomme, perpétuant l’héritage de la conciergerie de l’école, maudissait l’esprit frappeur et s’était juré d’en finir avec lui. Et dans toute l’histoire de Poudlard, au moins conserverait-il la réputation d’avoir été le plus prêt d’y parvenir. Ton règne de terreur s’achève ce jour, démon ! déclama-t-il dramatiquement. Pour toute réponse, l’esprit frappeur darda sur lui son regard noir et méchant et agrandit encore sa bouche en étirant la commissure de ses lèvres. Il lui tirait puérilement la langue.

Un peu plus tard, la grande horloge sonnait huit heures mais aucune oreille ne l’entendit. BOM ! BANG ! BAR ! BANG ! DA ! BANG ! MA ! BANG ! XI ! BANG ! MAAAA ! BANG ! BANG ! BANG ! Peeves tira-t-il huit boulet de canons à en faire trembler les murs. Quelle ne fut pas la surprise du corps professoral - et des pauvres élèves qui les avaient précédés - de trouver leur esprit frappeur tout feu tout flamme dans le hall d’entrée. Sus à l’ennemi ! Tous aux abris ! Peevy sonne le hallali ! cria-t-il avant d’allumer le cul de son canon avec une bougie. Le boulet qui en fusa ne traversa heureusement que la bedaine du moine gras - lequel crut bien mourir une seconde fois - avant de laisser une percée béante dans le mur. La horde en pyjama amusa terriblement l’esprit frappeur qui se donna à coeur joie de recommencer, enfonçant cette fois-ci dans le canon un pauvre elfe de maison. Ahahahahah ! se pourfendait-il de mille éclats de rire tandis que les badauds scandalisés s’enfuyaient par le trou fumant de son œuvre. POUDLARD EST A MOI ! Et cette assertion se révélerait exacte lors des trois prochains jours que durerait le siège.

Je suis bien heureuse de ne plus être à Poudlard :couet:

Bienvenue Peeves !