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Maladresse d'un jour, maladresse toujours.... LIBRE.

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MessageSujet: Maladresse d'un jour, maladresse toujours.... LIBRE. Maladresse d'un jour, maladresse toujours.... LIBRE. 129196351Mar 22 Mai 2012 - 16:41

Depuis des semaines voire des mois, Poudlard ne parlait que de ça. Évidemment que les évènements récents étaient importants et partiellement inquiétants ; mais oui, Mary Elizabeth en avait marre. Marre d'entendre à chaque coins de couloirs parler des évènements au Ministère. Certes, elle avait conscience de ce qui se déroulait et ferait tout ce qui était en son pouvoir pour changer les choses. Hélas pour elle, elle n'était qu'une simple élève à peine diplômée. Les actions bien qu'honorables d'un élève n'auraient pas autant de répercutions et de conséquences qu'elle pourrait espérer ou même envisagée. Et puis, qui croirait et prendrait une élève au sérieux ? De plus, Mary avait reçu par chance, une lettre de ses parents le matin même. Une chance. Depuis, quelques temps, le courrier se faisait rare au Château. Mais quand Isis, sa chouette, était arrivée ce matin avec une lettre entre les pattes. Mary s'était littéralement décomposée, ne sachant pas si elle devait se réjouir ou paniquée.. Au fil de sa lecture, la rouge et or avait été soulagée d'apprendre que ses parents étaient encore en vie mais que leur travail les occupait plus qu'avant à cause des nouveaux décrets instaurés et des nouvelles menaces présentes. Ils l'avaient rassurée mais ne s'étalant pas d'avantage. D'habitude, ses parents lui auraient racontée toutes les dernières nouvelles de la capitale et des informations sur le Ministère. Mais là, rien. Peut-être craignaient-ils que le courrier soit surveillé.... Néanmoins, ils n'avaient oublié son anniversaire. Ils avaient dû faire une exception pour l'occasion. Une grande occasion, Mary venait d'avoir ses 17 ans ! Elle pourrait enfin user de la magie comme bon lui semblait. Par Merlin, merci ! La Gryffondor avait essayé de trouver une quelconque information intéressante sur l'état de ses parents qui avaient été plus qu'évasifs sur le sujet. Elle s'inquiétait réellement pour eux. De plus, ses parents occupaient des postes clés. Sa mère était auror et le pourcentage de la retrouver morte augmentait de jour en jour. Quant à son père, il passait le plus clair de son temps à Ste-Mangouste. Les blessés arrivaient par dizaines chaque jour et la jeune fille craignait que ce nombre ne cesse de s'aggraver avec les jours à venir... Et même, la plus optimiste des personnes ne pourrait que consentir à cette affirmation sinistre. Triste pensée pour un jour qui aurait dû être heureux.... Personne ne pouvait plus se mentir sur les évènements en prétextant tel ou tel pseudo-accident magique. Non, il fallait ouvrir les yeux, se montrer réaliste pour une fois. Et les élèves ne pouvaient rien nier avec la mort du Professeur Mirall par les partisans du côté obscur... Triste nouvelle pour Poudlard qui commençait petit peu à s'en remettre. Certains semblaient s'affoler et ne tenaient plus en place, scandant à qui voulait bien écouter de fuir et retourner chez eux. Mary n'en pouvait plus. Et ce matin encore plus que les autres. La pluie s'était pourtant arrêtée de tomber laissant aux élèves quelques moments de répits. Mais la jeune fille s'était levée du mauvais pied et avait les nerfs en compote. Elle aurait dû se sentir de bonne humeur mais rien n'y faisait...
Afin de se changer les idées, Mary s'étaient rendue à la bibliothèque chercher quelques livres intéressants à livre et étudier. Elle souhaitait s’aérer l'esprit penser à autre chose mais rien n'y faisait. Aider, elle voulait aider. En sortant de la bibliothèque les bras chargés de gros bouquins poussiéreux et anciens auxquels il fallait “ accorder une attention spéciale et religieuse à ses précieux manuscrits ” d'après la vieille bique de bibliothécaire, Mme Pince. L'attention qu'elle vouait à ses ouvrages était étrangement bizarre. Elle en prenait soin comme de sa première plume (qui soi-disant passant semblait être toujours des nôtres !)... Cela ressemblait presque à de la maniaquerie : si un élève un tantinet pressé touché les précieuses pages de ses 'enfants', elle fonçait sur lui pour lui dire de faire plus attention ; tel un faucon fondant sur sa proie. Enfin. Elle avait réussi à en emprunter cinq sur des thèmes différents mais au fond, le sujet resté le même : trouver un moyen de se défendre sans que ça n'éveille les soupçons. Pour ce coups-ci, elle avait réussi. Un manuel de botanique, de métamorphose, de potions, de DCFM et de sortilèges. Tout portait à croire qu'elle était prête pour des heures de révisions ! Mais que nenni. Les bras chargés, elle descendait les escaliers avec la plus grande des attentions craignant que sa maladresse ne se manifeste. Marche par marche. Mais la Gryffondor avait la vue obstruée par les ouvrages et ne se rendit compte que trop tard lorsqu'elle rata une marche et dévala le reste de l'escalier de sa moitié à sa fin. Maladresse un jour, maladresse toujours ! Sa tête était douloureuse et son poignet lui faisait mal... Lorsqu'elle réussit à se mettre en position assise, elle s'examina des pieds à la tête afin de juger des dégâts de sa chute terrible. Résultat de son check-up : un mal de crâne énorme, un poignet endoloris et une nouvelle collection de bleus ! Cette fille avait vraiment de la chance. D'une part sa maladresse maladive et voilà que les escaliers commençaient à y ajouter leur grain de sel, ce qui n'arrangeait rien aux choses sauf ajouter une collection de nouveaux et augmenter son propre records de blessures de guerre ! Puis, remise de ses émotions, elle chercha des yeux les livres qu'elle venait d'emprunter et les trouva éparpillés autour d'elle.

Je suis dans un gros caca de licorne..... Pince va m'arracher la tête ! ” marmonna-t-elle à demi consciente la tête en ses mains.

Elle le savait. Si Pince l'apprenait, elle allait passer un sale moment à comprendre sa maladresse et son manque d'attention aux enfants de la bibliothécaire adorée. Mais pour le moment, le plus important était de récupérer ses livres. A quatre pattes, elle tenta avec grand mal de rassembler ses affaires et les livres en une pile face à elle. Comme journée d'anniversaire, elle n'aurait pas pu rêver mieux !.... Bon anniversaire Mary.

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MessageSujet: Re: Maladresse d'un jour, maladresse toujours.... LIBRE. Maladresse d'un jour, maladresse toujours.... LIBRE. 129196351Dim 3 Juin 2012 - 12:52

Mary Elizabeth était toujours à quatre pattes au pieds de l'escalier à ramasser ses bouquins et examiner les quelques blessures qu'elle venait de se faire. Vraiment, aujourd'hui, elle passait une très bonne journée. La journée parfaite dont elle avait toujours rêvée... Une chute dans l'escalier avec des gros livres dans les bras de quoi garantir une jolie chute à l'arrivée et du beau spectacle. La Gryffondor n'osa pas se relever, du moins pas pour le moment. Sa tête lui faisait mal et elle était persuadée de s'être reçue sur le crâne le plus imposante de ses emprunts : un gros livre de métamorphose qui ne se contentait pas de regrouper les enseignements de base de la matière mais se penchait également sur des techniques plus poussées que l'ont n'enseigner pas à Poudlard. La jeune fille plongea sa tête entre ses mains et souffle longuement. Lorsqu'elle releva la tête, une jeune fille dont elle ignorait le nom et était persuadée de ne l'avoir jamais vu s'était approchée d'elle. Mary ne la regardait pas réellement mais quand la nouvelle venue s'exprima, elle n'en revenait pas. Au fur et à mesure de ses paroles, les yeux de la Gryffondor ne cessait de s'ouvrir pour finir par ressembler à deux grandes soucoupes. Oui, elle était outrée par les propos de la petite fille qui semblait à partir à la maison des Serdaigles. A présent, ses yeux fusillaient la Serdaigle. Mary était véritablement choquée par l'attitude de sa camarade... Mais le caractère travailleur des Aigles ressortait chez la Bleue et Argent comme une marque faite au fer rouge. Même si d'un certain côté, la Rouge et Or les plaignait puisque certain n'avait que très peu de vie sociale en dehors des pages sèches de leurs grimoires. La Gryffondor le sentait. Elle sentait que sa camarade avait compris sa gaffe mais ne rien pour lui tendre une perche pour s'excuser. Elle était de mauvaise humeur. Lorsque la jeune Serdaigle tenta de s'approcher, Mary lui tourna volontairement le dos feignant de chercher quelque chose. Lorsque Mary eut enfin rassembler tous ses ouvrages, la Serdaigle tenta une seconde approche et s'excusa mais resta tout aussi gauche qu'à sa première tentative.

Merci, moi aussi je vais bien. T'en fais pas pour les bouquins, ils vont bien. ” Lui répondit Mary d'un ton sec puis continua avec un ton qui s'était radouci. “ Nan, c'est pas grave quelques bleus ici ou là.

Mary Elizabeth, bien qu'étant de mauvaise humeur contre la Serdaigle en partie, ne pouvait pas garder longtemps cet aspect de fille froide et antipathique et esquissa un fin sourire envers la jeune fille. Puis cette dernière lui fit remarquer sa bosse sur le crâne d'où, si elle était encore lucide, coulait un mince filet de sang... Elle avait s'entailler le tempe ou le front dans sa chute. A cette évocation, la Gryffondor sentit ses joues s'empourprer.

Merci, je n'avais pas remarqué ! ” lança-t-elle non sans une pointe d'ironie en essuyant du bout du doigt le mince filet de sang qui continuait de couler.

Son doigt venait d'essuyer le filet de sang qui coulait depuis son arcade sur le long sa joue et porta son doigt dans son champs de vision afin de vérifier si elle saignait vraiment. Finalement, un passage à l'infirmerie ne serait pas du luxe.... Malgré son aversion pour les hôpitaux et autres lieux médicaux, elle consentit qu'un passage rapide lui serait plus que bénéfique.


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MessageSujet: Re: Maladresse d'un jour, maladresse toujours.... LIBRE. Maladresse d'un jour, maladresse toujours.... LIBRE. 129196351Mar 5 Juin 2012 - 12:37

Il fallait le dire, Mary n'avait pas été des plus aimables avec sa camarade Serdaigle et elle s'en voulait. D'un certain côté, elle n'était pas d'humeur très aimable, même pour son anniversaire. Au son réveil, malgré ses présents et ses cartes, elle avait triste et son esprit était resté ailleurs, absent. Puis, au fil de la journée, son morale ne cessa de se dégrader... Et sa chute dans l'escalier n'était en rien pour arragner les choses. Et hélas pour la Serdaigle qui passa au mauvais endroit au mauvais moment. La pauvre jeune fille s'était pris pleins la tête. Mary Elizabeth observait du coin de l'oeil sa camarade en ramassant à grande peine ses affaires et se relever. La tête lui tournait et Mary était obligée de se tenir à fin de la rembarde de l'escalier pour ne pas retomber et se retrouver face contre sol. Puis la Serdaigle lui dit quelque chose que Mary n'entendit et ne comprit pas. Elle jeta à la Serdaigle un regard plein d'incompréhension. Et fixa le tableau d'un chevalier en face d'elle pour ne pas défaillir. Lorsque son vertige passa, elle reporta son attention sur la Serdaigle et tenta de l'écouter le plus attentivement possible en oubliant ses vertiges à répétitions. Elle écoutait du mieux qu'elle pouvait en essayant de tous assimiler.

Je suis désolée.

Avant tout, elle voulait s'excuser auprès de la jeune pour son comportement. Et elle se rendait compte qu'elle avait agit d'une manière qu'elle-même désapprouvée : elle l'avait jugée sans la connaitre.

Vraiment je suis désolée. Et c'est gentil mais ce n'est que....

Et en même temps qu'elle lui répondait, la jeune fille fut prise d'assaut par les vertiges et fut contrainte de se rasseoir d'urgent pour ne pas tourner de l'oeil et éviter de ne se fracasser quelque chose d'autres.

Pardon... ” articula-t-elle avec difficultés. “ Finalement, je suis pour aller à l'infirmerie. Ça te dit de m'accompagner ?

Mine de rien, cette jeune inconnue qui était venue à la rencontre était une personne avenante qui malgré un petit côté gauche avait su se montrer à l'écoute des autres. Mais également plus persuasive que Mary n'aurait pu le penser. Ou peut-être est-ce ces vertiges répétitifs et plus forts qui avait aidé la Serdaigle.

Oh fait, moi c'est Mary Elizabeth. Mais appelles-moi Mary. Et toi, tu t'appelles comment ?

Mary voulait se faire pardonner de sa mauvaise attitude envers la Serdaigle et la première chose était de se présenter à elle, parce que mine de rien, elle n'avait pas oublié les bonnes manières. Et même si en temps normal, elle avait une mémoire des prénoms, mais cependant, à Poudlard ça n'aidait pas beaucoup avec la multitude d'élèves et ses vertiges....
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MessageSujet: Re: Maladresse d'un jour, maladresse toujours.... LIBRE. Maladresse d'un jour, maladresse toujours.... LIBRE. 129196351Sam 23 Juin 2012 - 23:17

La jeune Serdaigle se présenta alors à son tour : elle s'appelait Jane... Mary tenta en vain de se souvenir d'elle et de sa répartition car de toute évidence, Jane était plus jeune qu'elle. Leur rencontre n'était pas la meilleure mais bon, elles auraient le temps de se revoir dans d'autres circonstances. Espérons-le. Puis Jane aida Mary à se lever avec difficultés.

Merci, et contente de te rencontrer si je puis dire...

La Gryffondor esquissa un faible sourire. Jane aidait avenante envers Mary, elle ne se connaissait pas et Mary l'avait pratiquement agressée mais elle persistait à l'aider. Néanmoins, Jane avait tenté de faire lever Mary en vain. Ses jambes étaient bien trop faibles pour supporter son poids. Puis Jane lui proposa de la tirer. Mary semblait réticente mais la persévérance de Jane la fit acquiescer. Cependant, au bout de quelques mètres, elles furent rattraper par la réalité. Il fallait se rendre à l'évidence, la différence de carrure et de taille étaient flagrantes. Jane était plus petite que Mary et on pouvait déjà remarquer que la petite Jane peinait à traîner sa camarade. Puis, se rendant compte de la situation, Jane s'assit à côté de Mary. Mary l’observait Jane qui avait les larmes aux yeux. Mary se demanda bien ce qui pouvait lui arriver...

T'en fais pas, ” commença Mary d'une voix faible, “ avec les années, Mme Pomfresh m'a appris quelques sorts de premiers secours, histoire de ne pas me rendre à l'infirmerie à la première chute, sinon je passerais ma vie là-bas.

Synchronisant ses paroles à ses actes, Mary sortit de sa poche intérieur de sa veste sa baguette en Bois d'Aubépine. Elle agita distraitement sa baguette devant son visage et sentit déjà les effets des sorts de guérison. C'était des sorts basiques d'infirmières mais Mme Pomfresh avait dû en avoir marre de voir la Gryffondor débarquer à l'infirmerie toutes les heures après être tombée, ou connue les autres conséquences de sa maladresse. L'infirmière lui avait alors prêtée un petit livre sur les sorts élémentaires de Médicomagie. Mary avait déjà lu un ouvrage de la sorte. Chez elle, elle en avait des tas, avec un père Médicomage, c'est un peu normal et avait donc pu apprendre les bases. Retrouvant un peu ses forces, son mal de crâne avait disparu et elle essuya distraitement le sang qui coulait sur son visage avec le revers de sa manche.

Tu vois, je vais mieux. ” souria-t-elle à Jane, en masquant avec brio ses vertiges qui redoublaient. Puis se redressant, elle se mit face à Jane. “ Alors Jane, qu'est-ce qui se passe ? J'espère que ces larmes ne sont pas à cause de moi...

Mary Elizabeth tenta de la faire sourire mais n'était pas sûre d'être la mieux placée pour cette tâche... Mary avait toujours été drôle malgré elle. Néanmoins, elle lui offrit un sourire sincère et chaleureux.
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