Dans la bibliothèque le préfet, avait commencer des recherches afin de trouver un moyen de trouver l'assassin des parents de Maxine. Il avait promis de faire son possible pour l'aider et cela faisait un an qu'ensemble, il travaillait la-dessus, doucement mais surement. Sauf que voilà entre les missions pour les SERPENTS, le mariages de Brooklyn et son père malade, Dylhan n'avait pas vraiment eu le temps de continuer à chercher une solution.
Remplacer pour une journée de ses obligations par sa collègue féminine, il décida donc de se rattraper et pénétra dans la bibliothèque. Clairement le serpentard n'était pas un habitué de cet endroit. Il était de loin plus du genre à menacer pour obtenir une réponse.
Il déambula dans les rayons jusqu'à trouver celui des sortilèges de persuasion. La persuasion ! Peut-être qu'avec ça ils arriveraient quelques part. Concentrer sur sa recherche, il fut pris au dépourvu quand une vingtaine de livres lui tomba dessus. en tentant d'éviter la plus grosse partit, il trébucha sur un grimoire déjà au sol et s'étala les fesses sur le sol. LUI ! Un Yordanov tomber les fesses, sur le sol ! Que celui qui avait fait tomber les livres se pointes et il prendrait cher ! On ne ridiculisait pas un Yordanov comme ça, sans en payer les conséquences ! D'ailleurs, déjà un garçon pointait son nez derrière le rayon tout en s'excusant. Un premier année, Serdaigle de surcroit ! Il ne perdait rien pour attendre.
"-Est-ce que ça va?" Il osait demander si ça allait ! Le bulgare se releva dignement, épousseta sa robe de sorcier et repositionna son insigne de préfet sur son torse. Il n'avait pas quitter le jeune garçon du regard, son regard froid et hargneux dont il se servait sans vergogne.

-"Est-ce que ça va ? T'es tu déjà pris un livre sur la tête ?" Demanda-t-il au serdaigle tout en se rapprochant dangereusement de lui. Il y avait du monde dans la bibliothèque, il serait difficile de le coincer pour le martyriser, mais il pouvait toujours, le menacer et lui faire peur, comme il le faisait si bien. Grâce à son empathie, le serpentard sentait déjà inquiétude monté chez sa victime. Parfait, le jeu pouvait commencer !

HJ:

Pourquoi fallait-il toujours que des gens s'amuse à jouer aux héros ? Ca finissait toujours mal pour eux ! Peut importe ce qui avait pu pousser Ozores à intervenir, elle avait interrompu le préfet et il se chargerai d'elle aussi.

-"Tiens tiens ! Luzia Ozores" dit-il avec un sourire carnassier. "Ca faisait longtemps, je comptais justement te relancer un avertissement" Il avait pris plaisir à menacer la jeune poufsouffle l'année précédente et même si les coupable qu'elle recherchais avait quitté poudlard, Dylhan avait décidé de recommencer cette année ! Elle lui offrait l'opportunité. Il s'occuperais d'abord du premier année et ensuite ça serais son tour.
Il trouva le serdaigle non loin de lui, l'attrapa par le col et le plaqua contre l'étagère qui trembla sous le choc. Il savait parfaitement que Luzia, ne préviendrais pas Mrs Pince ou d'autres élèves présent. Elle ne l'avais pas faits quant il l'avait coincer dans un couloir pour la menacer, elle ne le ferais pas plus maintenant.

-"Tu sais ce que tu mérite ?" dit-il cette fois à l'adresse du premier année. "Que je te colle au mur dans les cachots, comme un moustique. Un moustique que mes camarades et moi nous ferons un plaisir d'écraser !" continua-t-il, sa voix se faisant de plus en plus froide et menaçante. Ce qu'il ressentait, alors que cela aurait pu le faire prendre pitié pour sa pauvre victime l'exalta au contraire. Il aimait le pouvoir qu'il exerçait en effrayant les gens.

dragées:

Il aurait du ignorer Luzia. Il aurait pu et se serait concentrée sur le première année. Sauf que l'envie de lui rabattre son caquet était plus forte.

-"Tu faisais moins la maligne la dernière fois Luzia sussura-t-il en maintenant toujours le petit serdaigle contre le mur. Il sentit les émotions de Luzia, tout comme celle du gamin de Serdaigle. Il maitrisait de mieux en mieux son empathie et ne se laisser plus avoir par la peur ou la tristesse des autres. La pitié avait quitté son coeur quand il avait appris à maîtriser son don. "Je m'occuperais de toi une autre fois ! Souviens toi, je sais tout de toi ma chère Luzia !"

Il s'était trop concentrée sur la jeune poufsouffle puisqu'il ne sentit le soulagement du premier année. En fait son attention fut ramener sur lui uniquement grâce à se stupide rat. Il retira vivement sa main de l'épaule du jeune homme et la secoua pour libérer la douleur. Du sang commençait à perler des petits trous sur sa peau provoquer par les canines de l'animal.
Bravo Mayers, bravo. Mettre le préfet en colère était surement le meilleur moment pour se le garder à dos. Véritablement énervé contre le rongeur et contre ce petit qui lui échappait, il ne put pour autant s'empêcher d'éclater de rire quand le petit le menaça de sa baguette. Il était ridicule. Son air autoritaire à deux gallions n'impressionnait nullement le serpentard. Le préfet comptait bien lui faire comprendre à lui et à Luzia qu'on ne se fichait pas de lui et pire encore, qu'on ne le ridiculisait pas !
-"Je savais que les nouveaux étaient naïf mais pas au points de me menacer moi d'un baguette dont ils savent à peines se servir. Laisse moi te montrer quoi en faire."
D'un mouvement vif, le jeune garçon se retrouva maintenue dans les airs par une corde invisible, sa cape retombant sur ses frêle épaules. Il tourna le regard vers Luzia pour la défier de lui faire quelque chose.
certes, il était vulnérable puisqu'il maintenait le serdaigle en l'air grâce à sa baguette mais si lui jetait un sort, elle prenait le risque de voir le premier tombé. sur des personnes si petites et si fragile, la chutes pouvait dur surtout si sous le choc d'un potentiel sort, Dylhan le projetait en même temps.

Dylhan Yordanov, un sourire sarcastique sur les lèvres, prenait un malin plaisir à rappeler à la jeune fille leur dernière entrevue. Luzia se souvenait très bien de celle-ci, de sa peur et de ses larmes une fois que le Vert et Argent l'avait laissé.

- Souviens toi, je sais tout de toi ma chère Luzia !

La dénommée soupira, perdant patience et surtout, ne sachant pas vraiment quoi dire. Ses mains devenaient moites, et elle ne savait pas comment les tirer d'affaire sans s'attirer d'ennuis.

- Écoute, tant mieux pour toi, mais lâche ce... avait-elle commencé, capitulant presque.

Mais elle n'avait pu achever sa phrase car Dylhan venait de lâcher le garçon, le visage grimaçant de douleur. Elle mit du temps à comprendre qu'en fait, il venait de se faire mordre par le rat du Serdaigle, qui, profitant de l'occasion, courut auprès de la jeune fille, brandissant sa baguette. Tout s'était passé tellement vite, que Luzia ne se rendit pas de suite compte que le gamin brandissait sa baguette contre le préfet. Elle en reste estomaquée. C'était à Gryffondor qu'il méritait d'être, pas à Serdaigle.
Et puis, elle le trouvait adorable, à dire que Yordanov ne devait pas lui faire de mal, à elle.

- Et je t'interdis de l'approcher aussi.

Cela restait quand même un acte très téméraire et qui risquait de lui coûter cher. Luzia avait deviné juste lorsque le garçon se retrouver en quelques instants la tête dans le vide, suspendu par les chevilles, le visage désormais caché par sa cape qui le recouvrait. Elle fit quelques pas en sa direction, mais Yordanov la défia du regard de faire quoi que ce soit. Sa baguette, rangée dans la poche droite de sa robe ne lui serait d'aucune utilité.

- Hééééé ! Arrête !

Il était trop fier de son coup, le septième année, et voir le visage de Luzia semblait augmenter sa joie.

- Laisse-le, supplia la Poufsouffle. Je te promets qu'on ne dira rien de ce qu'il s'est passé ici. Et d'ailleurs, tu ferais bien de baisser ta baguette, avant que Madame Pince ne débarque.

Ce que Luzia espérait de tout son cœur.