DEMI-FINALE 1 — ANGLETERRE (170) INDE (70)

— OUAAAIS !!! J'bondis sur mon siège comme un beau diable quand Merrick marque le premier but de la rencontre, ça débute plutôt bien pour les Anglais, c'est toujours bon pour le moral de commencer un match comme ça, mais bon on est au Quidditch et au Quidditch le vent tourne vite, et les Indiens ont visiblement pas l'intention de se laisser faire parce que déjà ils commencent à se rassembler pour partir à l'attaque et moi j'ai à peine le temps de miser que déjà j'ressors mes multiplettes pour ne pas perdre une seconde du match !

5,6

COTÉ DU BIEN

▬ Olàlàlààà, s'exclama Luzia en voyant les Anglais ouvrir le score en marquant un but à quelques minutes du début du match.
Elle n'avait pas gagné son pari, mais son équipe prenait la tête - c'est le principal, non ?
▬ TRICHE, rugissait Moran à ses côtés. T'as vu ?
L'Espagnole ne put s'empêcher de rire.
▬ Personne n'a triché, tu délires...

C'était évident : Moran ne soutiendrait jamais l'Angleterre... La famille Ozores elle-même avait d'abord supporté l'équipe espagnole avant son éviction dès la phase des poules. Maintenant, Luzia soutenait sa patrie d'adoption.
Les paris étaient de nouveau ouverts et la jeune fille ne put s'empêcher d'ajouter une nouvelle mise.

Citation :: Action 5&6

Citation :: Pari perdu : -2 dragées

Le membre 'Le commentateur' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'le dé ' : 5

Une immense clameur s'éleva dans les gradins lors de l'égalisation des Indiens au terme d'une action tout à fait rocambolesque qui avait mené le Souafle à passer entre les mains de trois Poursuiveurs différents en quelques secondes !
— On dirait que les Tigres de Shivah changent de tactique, annonça soudain le Commentateur en voyant Alaka Chakir rassembler ses joueurs pour leur parler quelques instants, visiblement la rencontre ne se déroule pas comme ils le veulent, mais oui les amis, c'est ça le Quidditch ! Allez, c'est reparti, le Souafle est aux mains de... Ohlalalalala mais que se passe-t-il ?? En guise de changement de tactique, les Indiens décidèrent d'employer la méthode forte et de contre-attaquer en envoyant leurs colosses de Batteurs à la charge, probablement enhardis par leur précédent succès. Résultat des courses, en quelques instants la poursuiveuse Diana Fly se retrouva avec l'épaule déboîtée par un Cognard adverse et dû descendre en catastrophe à quelques centimètres du sol pour se faire remettre l'os en place par l'équipe des Médicomages de la compétition. Les Indiens profitèrent de ce laps de temps pour marquer deux buts sous les protestations des gradins, mais l'arbitre du match décida de ne pas siffler de temps mort. Toutefois, lorsque la joueuse anglaise revint sur le terrain, le moral anglais se trouva reboosté car Diana Fly et sa nouvelle épaule s'empressèrent de faire une passe décisive à Gelena Somez qui parvint à marquer de nouveau pour l'Angleterre.

1, 2 : Soudain, un éclair doré traverse la pelouse et tout le stade se penche en avant tandis que les Attrapeurs Young et Kapoor se lancent dans une course effrénée. Les Poursuiveurs Indiens décident de profiter de cette distraction pour marquer deux buts supplémentaires.
3, 4 : Grâce à une pluie de coups de batte et d'épaules, les Indiens parviennent à marquer quatre buts supplémentaires, pour le plus grand bonheur de leurs supporters. Les Anglais commencent à s'énerver à leur tour, le match dégénère !
5, 6 : Les Anglais, bien remontés à cause de la violence des Batteurs indiens, redoublèrent d'effort pour rattraper garder l'avantage et, avec la ténacité qui leur est propre, parvinrent à marquer trois magnifiques buts, et sans violence, incroyable !

HORS JEU a écrit:: Misez sur l’action que vous voulez (2 dragées), si elle est tirée au sort vous gagnez les 2 dragées, sinon c’est perdu ! Vous avez jusqu'au ~~dimanche 8 juillet~~ lundi 9 juillet !!

Récapitulatif des paris 3:

Composition des équipes :

ORDRE DU PHÉNIX

« Regardez mes cheveux ! », s’exclama la jeune femme en tirant une longue mèche de ses cheveux brun afin de bien les exposer sous les yeux du vigie, « Brun ! Et mes yeux ! » continuait-elle en se tortillant d’impatience, les yeux paniqués. « Pareil que Glynnis! Je vous jure, Monsieur, c’est ma mère et il y a une place pour moi! » Wilda sentait qu’elle allait perdre son sang froid d’une minute à l’autre. La sorcière n’était pas impolie, ni colérique, mais la paniquait la gagnait : l’hymne nationale était terminée, le sifflet de l’arbitre avait retentit et les exclamations des spectateurs envahissaient déjà l’atmosphère à la fois festive et tendue et elle se voyait bloquer l’accès au match. « Pas de billet, pas d’entrée. » répéta fermement l’énorme vigie qui bloquait l’entrée de la loge. « Monsieur je vous en priiiiiiiiiiiie », supplia-t-elle, « la loge au complet peut confirmer mon identité » geignait-elle en se mordant les lèvres, terriblement fâchée contre elle-même d’avoir oublié son billet, assumant à tort qu’on allait la reconnaître, comme à l’habitude. « Oh! Donnez-moi du véritasérum » s’écria-t-elle en regagnant espoir, « ou… ou… venez avec moi! Vous allez bien voir que j’y suis attendue ! ». Devant l’expression stoïque du vigie, Wilda poussa un soupir de désespoir et se laissa tomber sur les genoux. « Monsieur, je ne peux pas manquer le match, ce serait la fin du monde, je compte les dodos depuis quatre ans… », toujours en pleurnichant son innocence, la sorcière agrippait maintenant les souliers du pauvre vigie. Contre toute attente, une voix bourrue s’interposa : « Wilda ! Mais qu’est-ce que tu fais, grouille, la partie est commencée depuis belles lurettes! » ses yeux passèrent du vigie à la jeune femme et revinrent au vigie : « Ça va, elle est avec nous. ». Sans se faire attendre, la serdaigle sauta sur ses jambes et grimpa l’escalier à toute vitesse pour rejoindre sa famille et amis dans la loge.

Aussitôt arrivée, elle accourra en trombes vers le devant de la loge, histoire d’avoir la meilleure vue possible sur les joueurs, n’ayant aucune idée du développement du match. Wilda était, évidemment, affublée aux couleurs de l’Angleterre – tout autre accoutrement lui aurait value de se faire jeter en bas des estrades – mais en son for intérieur, la poursuiveuse mourrait d’envie de voir jouer l’équipe indienne, dont elle considérait le jeu bien plus technique et complexe. Ainsi, lorsqu’on s’approcha pour lui demander sa participation aux paries, elle y glissa subtilement ses pièces, en faveur de l’Inde.

Parie : 3-4

HJ:

COTÉ DU BIEN

Comment ça personne n'avait triché ? Les Anglais trichaient toujours au Quidditch pensait hargneusement Moran. Au lieux de lui répondre, il lui lança un regard scandalisé avant de voir un joueur filer juste en face de sa tribune. Le courant d'air fit violemment voler tous les drapeaux de leur tribune. "YES !" scanda-t-il en voyant qu'il venait de gagner son pari. Au but de l'Angleterre cependant, le jeune homme bougonna quelques mauvaises paroles à l'égard de Gelena Somez. Il n'était pas vraiment réputé pour être bon joueur, mais on s'y faisait. "Si l'Inde gagne ce match, je te paie une bierraubeurre !" dit-il à la jeune femme qui, tout naturellement supportait l'Angleterre, sa patrie d'adoption, "en guise de consolation". Il accompagna sa phrase d'un clin d'oeil avant de se reconcentrer sur le jeu et de miser sur l'action 1 (1.2).

Et bouse, à peine Merrick trouve-t-il la faille que Khan égalise, plutôt réactifs les indiens, j'dois dire que j'ai peut-être sous-estimé les compatriotes de Chakir là, les Batteurs ont l'air pas commodes du tout (et j'peux vous dire que je sais reconnaître un Batteur pas commode quand j'en croise un !) genre même Jeff il a presque l'air d'un gentil à côté, et bref, c'est pas gagné du tout cette histoire j'ai l'impression, et même que...
— OH EH L'ARBITRE LA, C'EST QUOI CA ! je gueule en me levant d'un bond en voyant Diana Fly dégringoler en se tenant l'épaule, le visage tout grimaçant après avoir reçu un énorme Cognard, et j'sens la main de Nestor sur mon épaule qui me force à me rasseoir, à croire que mon père a honte de moi ! mais aaaaaaaaah ! j'peste en me rasseyant, impuissant face aux indiens qui, comme des fourbes, profitaient de la blessure de la Poursuiveuse pour creuser le score.

3,4

COTÉ DU BIEN

Luzia plaqua sa main contre sa bouche en réaction à la blessure de Diana Fly.
▬ Ils n'y vont pas de main morte, les Indiens, répliqua-t-elle en voyant qu'ils n'attendaient pas le retour de la poursuiveuse pour marquer.
▬ Si l'Inde gagne ce match, je te paie une bierraubeurre, ricana Moran à ses côtés.

Luzia ne répondit pas de suite, surveillant l'équipe médicale qui prodiguait les derniers soins à Diana Fly. Son retour sur le terrain fut salué par une salve d'applaudissements. Il était temps pour les Anglais de se reprendre. Enhardie par la réussite de son précédent pari, l'Espagnole misa une troisième fois !
▬ Méfie-toi, Powell, répliqua-t-elle, c'est peut-être toi qui auras besoin d'être consolé !
Elle accompagna sa pique d'un clin d’œil à son ami avant de se tourner vers le match.

Citation :: Action 1 : 1&2

Citation :: Total des gains :
Pari 1 perdu : -2 dragées
Pari 2 gagné : 2 dragées

Le membre 'Le commentateur' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'le dé ' : 4

— MAIS C'EST UNE VÉRITABLE VENDETTA QUE MÈNENT GOTRA ET RAMAN CONTRE LES ANGLAIS ! vociféra le Commentateur dans son micro-magique tandis que les Batteurs indiens se déchaînaient comme de beaux diables sous les encouragements de leurs supporters survoltés. De mémoire de Commentateur, et Merlin sait que j'ai de la mémoire, je n'ai pas vu pareil déballage de violence depuis le match opposant les Lions d'Afrique du Sud aux Éléphants du Sénégal, en 1964 ! Quel match, voici Jeff Williams qui... OH ! Le Capitaine des Anglais, probablement excédé par le manque de fair-play de ses adversaires, envoya un violent Cognard en pleine face du Batteur Gotra, qui en tomba de son balai, fort heureusement rattrapé par de ses coéquipiers. Raman en représailles donna un violent coup de batte dans le dos du Capitaine Anglais, qui percuta de plein fouet le manche de son balai et se redressa, le nez en sang. Très vite, le match tourna à la bagarre générale. Mais qu'attends l'arbitre pour siffler !!! Quel toupet de la part de Raman, jamais vu ça ! Temps moooort ! réclama le Commentateur ulcéré.

1, 2 : L'arbitre allait siffler le temps mort quand soudain... Le Vif d'Or apparaît ! Immédiatement, Peter Young et Netra Kapoor s'extraient de la bagarre pour se lancer à la poursuite de la balle dorée. Les spectateurs ne savent plus que suivre, quel match de folie !
3, 4 : L'arbitre, qui était occupé à dragouiller une ramasseuse de Souafle, semble réaliser que le match dégénère et siffle la faute. Les Batteurs indiens sont exclus du jeu pour 5 minutes, ce qui permet à l'Angleterre de rattraper le score, mais n'empêche pas l'Inde de marquer un nouveau but : 70 à 80 !
5, 6 : Pour toute réponse, ledit Raman envoie un Cognard sur la loge du Commentateur qui doit précipitamment quitter sa place. L'arbitre siffle finalement la faute, met en garde les Batteurs indiens et accorde deux lancers francs à l'Angleterre. L'Angleterre ramène le score à 40-70.

HORS JEU a écrit:: Misez sur l’action que vous voulez (2 dragées), si elle est tirée au sort vous gagnez les 2 dragées, sinon c’est perdu ! Vous avez jusqu'au vendredi 13 juillet !

Récapitulatif des paris 4:

Composition des équipes :

Et dire que tout ça partait d’une simple idée de se vider la vessie.
Sven vociférait contre la porte des toilettes dans lesquelles il était coincé depuis le début du match alors qu’il avait été en avance avec le reste de sa famille pour assister à cette demi-finale. À croire que quelqu’un avait fait exprès de l’y enfermer pour qu’il ne puisse pas aller s’asseoir dans les gradins et il commençait réellement à croire à la théorie du complot. D’autant plus que le Norvégien adorait le Quidditch… Il expira un bon coup avant de tambouriner à nouveau contre la porte sans perdre de sa fougue. Quelqu’un viendrait bien à sa rescousse, non… ?
Il entendait de loin la voix du commentateur, faisait des paris sur si les cris de joie étaient en faveur de l’Inde ou de l’Angleterre et espérait ne pas avoir loupé trop de belles actions. Et l’hockeyeur tambourinait, tambourinait.
« HÉ ! AIDEZ-MOI ! » s’époumona-t-il pour la énième fois.
Et comme par magie, la porte se déverrouilla en un clic et s’ouvrit sur un sorcier de la soixantaine.
« Un problème jeune homme ? Vous allez bien ? fit-il de sa voix aigre.
— Merci monsieur, merci mille fois, j’étais bloqué dedans depuis le début du match et je n’ai rien pu voir, rien du tout vous voyez, je suis vraiment trop dégoûté et… Attendez, c’est quoi le score là tout de suite ? enchaîna rapidement Sven.
— Euh... Je… Si, Inde 70 et Angleterre… Ah, ma mémoire chavire ! Et bien… Ah si, Angleterre 20 ! »
Le Norvégien fit une mine incrédule. Comment ça ? Seulement 20 ? Mais ce n’était pas possible, les Anglais étaient les favoris depuis des décennies ! Comment pouvaient-ils avoir un tel désavantage ?
« Attendez… Vous êtes sûrs ?
— Affirmatif ! » acquiesça vivement le vieux sorcier.
Le visage de Sven pâlit, et en remerciant rapidement son sauveur, courut à toute vitesse en direction des gradins pour rejoindre ses amis, Adrian et Violette. Niveau orientation, ça va, il s’en sortait.
« Pfiou, j’étais coincé aux toilettes, j’vous raconte pas la galère, » souffla-t-il une fois qu’il se fut assis aux côtés d’Adrian.
Sven jeta un coup d’œil aux compteurs. Le soixantenaire disait vrai. Les Indiens étaient bel et bien en avance.
« Dritt ! » pesta-t-il entre ses dents. Bon, c’était parti pour son premier pari de cette demi-finale.

1,2 › Le Norvégien avait hâte de voir le Vif débarquer pour qu'enfin ce match se termine sous les hourras des supporters anglais.

J'ai mes multiplettes qui m'écorchent l'arête du nez tellement je les colle à mon visage pour être sûr de ne rien manquer à l'énorme scandale qui se déroule sur le terrain, les Batteurs indiens font un vrai massacre et l'arbitre ne siffle rien, et si une partie de moi reconnaît que c'est le jeu (bah oui), et que les Anglais aussi ont des Batteurs (assez transparents pour le coup par rapport aux Tigres !), eh ben c'est plus fort que moi, j'suis pas content, et quand j'suis pas content je veux que l'arbitre intervienne, et même le Commentateur est d'accord avec moi pour une fois !
— Mais enfin, une Poursuiveuse chez les Médicos et un Capitaine qui pisse du nez, il attend quoi l'autre, que les Indiens foutent le feu au stade ?! j'me tourne, ébahi, vers mon père qui a enfin l'air d'être un peu sur la même longueur d'onde que moi, et en fait ça a le don de me faire marrer, si bien que mon voisin se tourne vers moi d'un air scandalisé.
— Vous trouvez ça drôle jeune homme ?!
— Ne parlez pas comme ça à mon fils, vous ! qu'il intervient, mon incontrôlable père.
— Eh mais vous n'allez pas vous battre, quand même ? j'm'insurge en tentant de les repousser chacun sur leur siège tout en me demandant ce que c'est que ce match de furieux !

Citation :

Je tiens à préciser que j'ai juste de la chance, et que je joue 3 et 4

Le match prenait une tournure tout sauf plaisante, il fallait avouer qu'elle était heureuse de voir son équipe gagner dans les scores pour le moment, mais la violence qui s'exerçait sur le terrain était digne d'un match Serpentard-Gryffondor en bonne et due forme. Au moment où le bookmaker approchait, leur ami Sven pointa le bout de son nez ayant loupé la partie la plus intéressante du match. « Comment c'est possible ? » fit-elle le regard moqueur, il fallait bien avouer qu'elle était plus sûre d'elle depuis quelques temps quand il était question de chambrer ses amis.

1,2 › Elle voulait tout simplement que le carnage cesse et que les joueurs se concentrent sur autre chose...

Récapitulatif des paris:

POUFSOUFFLE

- Mais virez moi ces pakistanais!!! Hurla Proserpine à qui voulait bien l'entendre.

Ce match était une pure folie et la poufsouffle gesticulait en tout sens, ponctuant les paroles du commentateur !!!

1, 2 : L'arbitre allait siffler le temps mort quand soudain... Le Vif d'Or apparaît ! Immédiatement, Peter Young et Netra Kapoor s'extraient de la bagarre pour se lancer à la poursuite de la balle dorée. Les spectateurs ne savent plus que suivre, quel match de folie !

COTÉ DU BIEN

Moran était scandalisé par les propos tenus par le commentateur : "MAIS CE COMMENTATEUR N'EST MÊME PAS PARTIAL LA !" s'écria-t-il en moulinant avec ses bras. Plutôt mourir que d'admettre que non, Diana Fly ne simulait pas et que Jeff Williams ne s'était pas juste éclaté un vaisseau dans le nez dans le feu de l'action. En tout et pour tout, Moran rappelait toujours cet arrière grand-oncle présent dans toutes les familles, qui était mauvais joueur autant que mauvais perdant, et qui parvenait toujours à créer une bagarre générale dans les tribunes. Généralement et en toute sagesse, cet arrière grand-oncle était logiquement privé de stade. "J'ai déjà prévu mes mouchoirs figure-toi, on n'est jamais trop prudent" informa-t-il Luzia d'un air mutin, "mais je n'ai plus de larmes depuis que l'Écosse a perdu". Moran décida de parier pour la dernière action (5.6).

Sujet: Re: DEMI-FINALE 1 — ANGLETERRE (170) INDE (70)