ϟ la fiche de recensement

NOM – Hook mais bientôt Corner PRENOMS – Abigail « Abby » Penelope DATE DE NAISSANCE – le quinze février mille neuf cent cinquante-trois AGE – vingt-quatre ans du coup ? VILLE D'ORIGINE – Liverpool, je viens de la campagne ! SANG – sang-mêlé avec une maman née-moldu et un papa aux lointaines origines mold… euh… on continue ? ANCIENNE MAISON A POUDLARD – Gryffondor bien sûr, la maison des vainqueurs. Mais Chapeauflou Poufsouffle ORIENTATION – oh, neutre pour l’instant, vous savez la guerre et moi c’est comme sorcier et gobelin, ça va pas bien ensemble vous voyez…

Abigail est d’un naturel extraverti sans ce que cela soit pénible. En même temps avec sa mine d’ange, on lui pardonne tout facilement et il suffit qu’elle fasse les yeux doux pour obtenir ce qu’elle veut. Le seul qui résiste à son charme, c’est Cameron mais bon lui, c’est un abruti fini. Son côté amusement et rarement sérieux lui aura valu certaines heures de colle à Poudlard, mais cela ne lui a enlevé en rien sa bonne humeur. Les blagues, les sous-entendus suspects, les rires à en faire résonner la pièce, Abby se reconnaît bien dans tout cela. Bébé, elle était déjà énergique alors imaginez maintenant… Non, vous ne pouvez imaginer avant de l’avoir vue, je pense. C’est un cas celle-là, je vous jure… Et puis bavarde, très bavarde ! Elle part toujours très loin, ne finit même pas sa phrase avant d’entamer un autre sujet qui n’a rien à voir avec le précédent, racontant toujours un peu sa vie. Des soucis de concentration ? Oh, sûrement. On pourrait se demander comment elle a fait pour venir à bout de ses études pour être médicomage. La chance, peut-être. Ou les yeux doux, encore une fois. Entêtée elle est ? Ça, c’est sûr !

Très franche, elle n’hésite pas à dire ce qu’elle pense, et ce sans filtre. Puis, c’est un peu comme ça qu’ils fonctionnent avec Cameron. Ils se disent tout, absolument tout. Sans gêne. Ça en deviendrait presque gênant, m’enfin bon… Elle n’est pas là pour plaire à tout le monde. Tu ne l’aimes pas ? Abigail s’en fiche royalement, elle elle vit, toi tu pourris, tant pis pour toi. Avec un caractère aussi fort, on pourrait forcément en conclure qu’elle possède une maturité qui va avec, et non ! Abby est une véritable enfant dans l’âme, comme si elle ne voulait pas grandir – est-ce le cas ? Il y a de ces fois où elle devrait tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler, mais la sorcière fait quand-même attention à ce qu’elle dit pour ne pas blesser les autres. Sa grande sensibilité et son futur métier l’y oblige, mais tout de même. Elle n’aime pas faire du mal dans le seul but de faire du mal. Pour elle, il y a forcément du bon dans l’autre. Même s’il est mauvais. Par contre, si cette personne ose lui faire du mal, alors non seulement Cameron sera là, mais en plus elle ne se gênera ab-so-lu-ment pas pour lui faire la misère !

Et pour contraster avec tout ça, Abigail possède néanmoins ce sens de la responsabilité – un minimum quoi – et, si elle aime faire la fête, elle sait se modérer et tempérer son copain quand il le faut. Parce que lui, niveau responsabilité mais c’est zéro quoi, alors qu’il est juriste au Magenmagot tout de même ! Honnêtement, elle se demande tous les jours comme ils ont fait pour prendre un spécimen comme lui… Mais bon, il faut bien qu’ils se complètent quelque part, hein…  

VOTRE PATRONUS – un colibri, c’est joli les colibris vous trouvez pas ?
VOTRE EPOUVANTARD – Cameron dans un bain de sang, c’est dire à quel point je l’aime cet abruti
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – je dirais celle de la joie
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – oh, y’en a tout plein ! Les chiens, les chats, les hippogriffes, les phénix, les… bon, j’aime bien les animaux en fait, donc j’peux pas vraiment choisir. On peut passer à la suite ?
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – rooh mais c’est quoi ces questions sans réponse…Je sais pas, là comme ça je dirais… Fraise ? Pomme ? Non, en fait savon c’est pas mal, y’en a qui aiment pas mais… Bon, je sais pas
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Bloclang pour éviter que mon copain ne dise trop de bêtises
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Honeydukes ! Si vous saviez à quel point j’aime les sucreries…
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Ignatia Wildsmith, grâce à qui la Poudre de Cheminette existe !

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? – Abigail est empathique, c’est-à-dire qu’elle est extrêmement sensible avec les énergies qui se dégagent autour d’elle. La tristesse des autres, elle les ressent, la souffrance, elle la ressent. Sa mère étant semblable, elle lui a appris depuis toute petite à maîtriser ce don dont elle ne voulait pas et le vit beaucoup mieux à présent.
— Elle sera la maman du futur Michael Corner.

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Je suis balayeuse, c’est un métier formidable, vous trouvez pas ? Oui, sincèrement, j’adooooore ramasser les déchets par terre, je trouve ça dingue ! Le métier de mes rêves. Non mais sérieusement Rita, c’était quoi cette question ? Je rigolais tellement en voyant la tête de la journaliste. Mais non, bien sûr que non que je suis pas balayeuse ! Je travaille encore moins pour le Ministère. En fait, j’étudie encore, mais j’en suis à ma dernière année pour être Médicomage. Cette fois je vous dis la vérité vraie, je vous assure.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
Quelqu’un qui a souffert en amour ? J’écarquillai grand les yeux. Vous plaisantez j’espère ! Cameron et moi on s’est rencontré à Poudlard, et depuis on se lâche plus ! Bon, il faut dire qu’on s’aimait pas trop avant, même pire que ça, on se détestait ! Si si, je vous assure, je pouvais pas me voir sa face en peinture. En plus il a fallu que ça soit mon ennemi au Quidditch… Vous comprenez, lui à Poufsouffle et moi à Gryffondor, c’était pas l’amour fou ! Et puis un jour, je sais pas trop, il y a eu un truc qui a changé. Comme si on aimait bien se taquiner, se chercher… Quand Cam’ a quitté Poudlard – parce qu’il a un an de plus que moi en fait – c’est là qu’on s’est dit que ça serait pas mal d’essayer de se mettre ensemble. Et maintenant, on habite dans le même appart’ ! Donc j’ai vraiment la tête de quelqu’un qui a souffert en amour ?

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
Y’a rien de bien passionnant vous savez. Je pense que j’ai eu une enfance comme les autres, avec des parents et une famille aimante, des amis adorables que je garderai pour la vie… À Poudlard c’était chouette, j’avais plutôt de bons résultats sans pour autant être la meilleure de la classe, mais faut dire ce qui est, je n’étais pas mauvaise non plus. En plus de ça, vous savez que OH MAIS JE VOUS AI PAS DIT ! Je vis Rita sursauter d’un coup. Cameron a laissé la fenêtre ouverte toute la journée hier, comment ça caillait dans l’appartement, je vous raconte même pas ! Je l’ai bien recadré, quel irresponsable je vous jure. Hum. Bref. Euh, mon enfance vous avez dit ? Oh bah comme je le mentionnais, rien d’exceptionnel.
…
…
Rita, vous pouvez dire à votre Plume d’arrêter de m’inventer une vie ? Ça fait bien dix secondes que je ne parle plus.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Mes projets ? Emmerder mon chéri. Si, je vous assure (coucou Cameron, si tu passes par là). Sinon, comme projet sérieux… réussir mes études, ça serait pas trop mal. J’aimerais bien travail au niveau des Pathologies des Sortilèges, mais en tant que Médicomage hein, pas en tant qu’infirmière ! J’ai pas autant bossé pour arriver à ce stade, non pas que les infirmières sont nulles, me faites pas dire que je n’ai pas dit, mais je ne vise pas ça quoi. En plus y’a un des Médico là, Dearborn, il est plutôt pas mal vous trouvez pas ? Mais dites pas ça à Cameron, sinon il va m’en vouloir. Oh et puis au pire. Ouiii tu es beau aussi chéri c’est bon, te vexe pas !  

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Je soupirai et me grattai l’arrête du nez. C’était un sujet épineux. Moi je suis plutôt magie blanche mais honnêtement, avec la guerre qui se profile j’préfère pas me positionner. Vous savez, qu’on soit dans un camp ou dans l’autre, les pertes sont les mêmes alors… Je préfère être celle qui sauve des vies, je crois bien.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
First, j’aimerais bien que Cameron lève la lunette des toilettes quand il se décharge la vessie parce que vous savez quoi ? Qui c’est qui doit tout nettoyer après ? Et ben c’est Bibi ! Y’a un moment faut qu’il porte ses *bip* - et c’est le cas de le dire -, qu’il assume d’être un homme nom d’un Scroutt à Pétard. Je vous jure, j’ai l’impression d’être sa mère des fois. Enfin bref. Deuzio, si le génie pouvait le doter d’un cerveau, tout simplement. Et tertio et bien… Qu’il prenne soin de mes parents, d’accord ? Je veux dire, mes parents c’est toute ma vie, même si Cameron apprécie pas trop ma mère – trop calme apparemment, mais il s’est vu ? Enfin voilà, vous savez tout.  

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? Anonymous (à vous de savoir qui je suis ) Où avez vous connu le forum ? Google de son doux nom m'a montrée la voie à suivre Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : réponse + code du jour où nous sommes (bien caché dans le règlement !!)

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

C’était un samedi dans tout ce qu’il y a de plus normal et j’étais installée tranquillement sur la table de la salle à manger, concentrée sur une partie d’échec sorcier que mon père m’avait passée lorsqu’on avait emménagé ici avec Cameron, il y avait de cela bien trop longtemps pour que je fasse l’effort de compter. Et ces petits bouts de bois commençaient sérieusement à me pomper le chaudron parce qu’ils étaient en train de gagner. Oui. J’étais en train de perdre face à personne, super drôle. Je soupirai de frustration et me grattai la tête pendant que je réfléchissais. Sérieusement. Quelle idée d’essayer, en plus j’étais super nulle aux échecs. Bon, c’était déjà mieux que l’autre face de citrouille qui regardait la télé dans la pièce d’à côté, mais quand-même. Mon papa, lui, il était super fort, et je l’admirais vraiment pour son esprit stratégique. Je lui en voulais juste de ne pas m’avoir refilé le même.
Échec et mat.
« Rooh mais sérieusement là ? » soupirai-je. Ça devait faire au moins la troisième fois que je perdais contre cette chose, y’avait vraiment un truc qui n’allait pas.
Avec un soupir de mécontentement, je remis les pions en place non sans assener à la plaque en bois le regard le plus noir que je puisse faire. Comme si ça allait changer quelque chose. Mais bon, c’était toujours bien d’essayer quelque chose, non ? Au mieux le jeu allait me laisser gagner pour une fois, au pire ben… Y’avait pas de pire, je touchais déjà le fond. Je me fis craquer les doigts et m’étira le cou pour me préparer à cette nouvelle partie quand une voix criarde m’agressa les oreilles.
« ABIGAAAAAAIL ! CA PARLE EPINARDS, C'EST POUR TOI ! » Cette fois-ci, le soupir qui franchit mes lèvres fut davantage de l’agacement qu’autre-chose.
« QUOI ENCORE ? » Ce qu’il me soulait avec ça lui. Déjà que je faisais l’effort de lui en faire des épinards, en plus il me cassait les citrouilles à chaque fois que y’avait une émission là-dessus… À ce stade-là, autant repeindre les murs en vert, au moins on était dans le thème. Peut-être avait-il été un épinard dans sa vie antérieure ? Seul Merlin savait.
J’arrivai donc dans notre petit salon convivial et m’adossai contre le mur, une moue sur le visage. C’était un cuisto qui montrait la recette du gratin d’épinards et clairement, il ne mettait pas assez de…
« Tu mets trois fois trop de béchamel !
— Pardon ? rétorquai-je, interloquée, les yeux ronds comme un vif, c’est juste toi qui aimes pas la béchamel, arrête de te plaindre. » Qu’il était gonflant ! Je faisais des efforts, et monsieur n’était jamais content. Il fallait savoir un peu, dans la vie.
Et en plus, voilà qu’il perdait sa baguette. Bah bravo Cameron. Ça se dit juriste et ça perd le truc le plus utile pour un sorcier.
« Mais elle est où ma baguette ?
— Entre tes jambes, tête de lard. » répliquai-je non peu fière de ma réplique cinglante.
Et pendant qu’il cherchait sa baguette, j’aperçu la télécommande pas très loin et, grâce à ma discrétion légendaire, la subtilisai à la table basse avant de couper le son. C’était marrant, on voyait le gars parler mais sans sa voix. Mais Cameron sembla comprendre mon petit jeu et me supplia de lui rendre la télécommande. Même pas en rêve. Non mais il se prenait pour qui ? Si c’était le seul moyen pour qu’il me laisse faire mes épinards comme je voulais, alors je prenais direct.
« Ouais, très drôle Abigail, rends moi ma télécommande, s'il te plaît, ça parle épinard et j'aime les épinards. »
Je me tournai alors vers la télé en mode ébahie par le discours muet de l’écran  
«  C’est diiiingue ça a l’air suuuper passionnant ce qu’il dit ! Tu trouves pas ? » Et bim, un point partout. T’avais qu’à pas me chercher chaudron rouillé.

Le Doc Dearborn est terrifié, il m'a chargé de te souhaiter la bienvenue à sa place, sale folle re !

Bienvenue chère collègue

Vous êtes bien la preuve que trop, c'est jamais trop, Manon et toi

(re)Bienvenue à la maison