Bon allez je m'y mets ! Ca fait longtemps que je réfléchis sur l'univers de Hp, vous vous en doutez un peu, du coup je m'y suis mise il y a pas mal de temps à un fanfic, je crois que ici y'a que Gid, qui avait lu le 1er chapitre xD
J'en suis à peine au chapitre 2, donc ça mettra du temps à sortir, mais je prévois, (et j'ai besoin de vos accord pour ça) d'utiliser certains perso d'atdm, qui ne sont pas canonique aux livres.

Je tiens aussi à vous dire, que j'ai rajouter des personnes qui ne devrait pas y être, j'ai laisser vivre des personnes qui aurait du mourir lors de la première guerre etc... Désolée, oiur les puristes, j'en suis une, mais je suis aussi une grande rêveuse

Place au 1er chapitre !

Elle déambulait à travers les tentes, les allées, tout était flou, et les sons formaient un brouhaha général. S’était presque comme si elle était ivre, avec l’impression que tout bougeait moins vite, que le haut et le bas était mélangé et pourtant elle était en parfaite possession de ses moyens.  Les gens couraient, sautaient, s’embrassait, il semblait joyeux tout ceux vêtu de vert et de blanc, ses couleurs si familière et pourtant si lointaine. Les autres de rouge et noir s’extasiait moins et pourtant s’était à ne pas douter qu’ils avaient partagés un moment fabuleux tous ensemble. Elle marcha encore un peu, quittant le camping, puisque c’était bien ça à l’évidence, puis s’arrêta en lisière de forêt. Elle regarda en silence le spectacle qui s’offrait à elle, simple spectatrice. Elle semblait être invisible aux yeux des autres, pourtant il ne pouvait pas la rater. Elle se tourna dos à la forêt et observa le camping sous un angle général. De la ou elle était, elle voyait la majeur partie, du campement géant, et, un peu plus loin, isolé, une immense structure de forme ovale, montant assez haut dans le ciel,  qui n’avait pu être construite que par la magie. Elle observa un instant cette structure puisqu’elle ne voyait pas d’autre mot pour la décrire, comme si cela lui semblait familier également. Elle perdit beaucoup de temps perdu dans ses pensées, si bien qu’elle ne se rendit même pas compte que la nuit avait commencé à tomber. Ce n’est que les mouvements de panique des gens, les cris qui la sortir de sa transe. Les gens couraient dans tout les sens tentant d’échapper à quelque chose de terrifiant mais qui lui était encore invisible. La majorité des gens tentait de rejoindre l’abri de forêt et c’est alors qu’elle les aperçut, flottant à plusieurs mètres au-dessus du sol. Trois personnes, en lévitation, dans un état de stupéfixion et en dessous un groupe de personnes en longues capes portant des masques et de longues capuches.
Elle commença à ressentir la même terreur que les gens qui continuait de s’enfuir. Elle les avait déjà vu ces personnes encagoulés. Ils avaient sur elle un effet de peur sans nom. C’était y’a longtemps pourtant, on en voyait plus des spécimens comme ceux là. Enfin du moins le pensait-elle. Elle s’était tellement éloignée du monde de la magie ces dernières années, que peut-être elle avait loupé quelque chose d’important.
Décidé à ne pas avoir à faire à eux à nouveau, elle s’enfonça à son tour dans la forêt en courant. Elle resta caché longtemps caché derrière un buisson sans bruit. Jusqu’à ce qu’elle considérât comme la fin. Dans le ciel, noir de la nuit, angoissant un faisceaux vert apparût brisant l’obscurité et une figure se forma dans le ciel. Cette chose flottant dans le ciel la terrifia plus encore que les personnes encagoulés.
Sans même se soucier d’être repéré ou pas elle se laissa contrôler par la peur et libérer un cri de terreur et d’angoisse.
« NOOON ! » c’était comme cette ancienne vie qui la rattrapait, ces évènements passés seize ans plus tôt. Seize ans plus tôt ou les ténèbres avait régné et qui rattrapait leur retard car ce soir, au-dessus du camping flottait maintenant la marque des Ténèbres.


Le cri résonnait dans toutes les pièces de l’appartement. Les yeux grand ouverts, de la sueur qui perlait, elle continuait de crier, sans pouvoir s’arrêter. L’horreur l’avait prise et lui donnait la nausée.

***

Reginald se réveilla en sursaut. Quelqu’un avait crié dans la nuit et il n’était pas compliqué de savoir qui, ni pourquoi. Encore ces cauchemars qui la hantait. Elle avait une bonne passe pourtant ou elle avait totalement cessé d’en faire. Le corps endoloris par les blessures du passé, Reginald se leva doucement, son bras gauche replier sur sa poitrine et se dirigeât, titubant, vers la chambre ce sa colocataire depuis prêt de quinze ans.
Devant lui s’offrait un bien triste spectacle, la femme, paniquée, pleurait toute les larmes de son corps, lequel était agité de spasmes et elle continuait de crier des « Non non non » sans s’arrêter.
Il s’approcha doucement d’elle la main droite lever pour lui signifier qu’il ne lui ferait pas de mal s’assit sur le bord du lit et la prit dans ses bras.
Les liens entre eux avait été compliqué. Né chacun dans des familles ennemis, et pourtant lointaine parente, tout les avait éloignés, pourtant lorsqu’elle lui avait sauver la vie, il avait décidé d’essayer, d’apprendre à se supporter. Reginald avait quitté le monde de la magie tout comme elle pour totalement disparaître. Et puis de toute façon, tout le monde les croyait mort tout les deux.

-« Tout va bien Rose ! C’était juste un cauchemar ! Tout va bien ! » Il n’avait jamais été doué pour rassurer les gens. Sans doute était-ce pour cela qu’il avait perdu la majorité des gens auquel il tenait. Rose semblait se calmer. Reginald la changea rapidement, puis enleva les draps mouillé pour en mettre d’autres, secs.  Il prit une serviette qu’il humidifia d’huile de manticore, seul reste du monde magique. Il la recoucha et s’installa à ses côtés pour la rassurer. N’y voyez aucune ambiguïté là-dessus, Rose comme Reginald avait tout les deux perdu des êtres cher une quinzaine d’années plus tôt, leur cœur était meurtrit à jamais. Il lui plaça la serviette humide sur le front pour qu’elle en aspire l’odeur puis finalement sur le thorax comme si il s’agissait d’un doudou.
En quelques secondes la femme brune se calma et se rendormit. Reginald lui mit beaucoup plus de temps.  Les cauchemars de Rose l’avaient toujours faits replongé dans son ancienne vie en tant que sorcier, cette vie qu’il avait eu tant de mal à fuir.
Pas plus tard que l’an dernier, le monde sorcier était revenu au galop dans leur vie lorsque les informations moldus avait annoncé qu’un meurtriers venait de s’échapper d’une des prisons les mieux surveillés du pays. Sirius Black ! Quel sorcier ne connaissait pas ce nom ? Tout le monde le connaissait et Rose mieux que quiconque. Il avait guetter sa réactions jour après jours, avait craint qu’elle ne fuit pour le retrouver, pour se venger, mais non, elle était rester la, continuer sa vie, sans même faire de cauchemar.
Reginald, sur une décision personnelle dont il ne lui avait pas fait part avait décidé de reprendre un abonnement à la gazette des sorciers. Pour leur propre salut ils ne pouvaient pas rester indéfiniment loin de la magie. Tôt ou tard, ils devraient se dévoiler à nouveaux.
Aux premières lueurs de l’aube, Reginald s’endormit enfin. Et avec la dose d’huile de Manticore, Rose ne se réveillerait pas tout de suite non plus.

Quand l’homme se réveillât, le soleil était presque à son zenith. Il se leva toujours aussi lourdement et se prépara tranquillement.  De toute façon, aucun d’eux n’avait de chose de prévues aujourd’hui.
Douché et habillé, il se rendit dans le salon-cuisine ou il mit la bouilloire à chauffer.  Il sortit une fiole du placard à pharmacie et versa quelques gouttes dans l’eau. Rien de mieux que de l’essence Ginko Biloba pour reprendre des forces. Depuis qu’il avait quitté le monde magique et abandonner sa passion pour les potions, l’homme ne se servait plus que des mélanges d’huiles essentiels et d’essences uniquement végétales.  De végétaux que l’ont trouvait un peu partout bien sur. Il n’était plus question d’utiliser de la Belladone, ou de champignons tels que le tue-loup. Finit poisons et autres potions, il n’utilisait plus que de l‘homéopathie.
Il but sa tasse tranquillement, assis devant un journal moldus. Aucunes nouvelles bien intéressante. Une grève était annoncée chez les taxis, une nouvelle loi sur le travail allait être voté très prochainement, bref, rien qui ne l’intéressait plus que ça. Il avait mis du temps à se faire aux images immobiles des journaux moldus, selon lui, les informations contenues dedans perdaient grandement leur intérêt. Cependant il ne s’en sortait pas trop mal. Le plus dur pour lui avait été d’apprendre à se passer d’elfe de maison.

Il passa la journée à préparer le prochain cours qu’il donnerait à ses élèves. Qui aurait cru un jour que luis Reginald Bushnell enseignerait à des moldus, il en aurait rit au nez de la personne qui le lui aurait dit. Et pourtant, il s’était attaché à ses élèves. Se trouver un boulot avait été difficile avec sa convalescence. Après la guerre ils en étaient tout les deux ressortis affaiblis, blessés. Reginald avait de nombreuses cicatrices pour témoigner, boitait et ne pouvait quasiment plus utiliser son bras gauche.
Pourtant il avait trouvé sa place dans l’enseignement.

En milieux d’après-midi Rose daigna enfin se réveiller. Elle se leva l’air accablé. Reginald l’observa assis sur son fauteuil. Elle parlerait quand elle en aurait besoin et pas avant.
-« J’ai revue la marque des Ténèbres, Redgie. » dit-elle tandis que l’homme recrachait sa gorgée d’un énième café. « Elle flottait dans le ciel au-dessus d’une sorte de grand champs. » murmura-t-elle.
Reginald resta silencieux. D’après Rose, il ne s’agissait pas d’un simple souvenir. Se pourrait-il qu’il s’agisse d’un rêve prémonitoire ? La jeune femme en avait déjà faits plus d’un. Mais si jamais c’était le cas, alors… Reginald n’osait pas imaginer les conséquences qui en résulteraient.
-« Je ne pense pas qu’il y ait lieux de s’inquiéter pour le moment. Crois moi, si Tu-sais-qui était revenue, nous l’aurions su. »  Si Reginald restait suspicieux, il se devait quand même de rassurer la jeune femme. Mais c’était sans compté la gazette du sorcier qui parut le lendemain…

HJ: