ϟ la fiche de recensement

NOM - McWhistle. PRENOMS - Vance. DATE DE NAISSANCE – 1er Mars. AGE – 21 ans. VILLE D'ORIGINE - Cardiff. ANCIENNE MAISON - Serdaigle. SANG - Sang mêlé. ORIENTATION - Coté du bien.

VOS DÉFAUTS –

Il n'y a qu'une fine limite entre qualité et défaut, pour ma part certaines de mes qualités sont des défauts et inversement, tout dépend de l’œil qui me regarde et de la façon de penser de son propriétaire. Ne nous attardons pas sur des discussions ô combien philosophique et faisons la liste de ce qui ne va pas, habituellement, chez moi. Dans un premier temps, je suis un jeune homme autoritaire, prêt à tout pour diriger. Entre mon impulsivité et mon amour pour la castagne, je ne suis pas forcément quelqu'un qu'autrui porte dans son cœur. Lorsqu'on parle de mon caractère, on répète bien souvent que je suis calculateur, et pour une fois, "on" n'est pas un c... Un imbécile pardon. En effet, j'aime prévoir et être imprévisible, même si, des fois, cela m'amène à désobéir aux règles. Est-ce que je suis une mauvaise fréquentation ? Bonne question.

VOS QUALITÉS -

J'en reviens à la dernière question que j'ai posée. Suis-je une mauvaise fréquentation ? Peut-être que, ce que la normalité appelle, mes qualités vous aideront à répondre à cette énigme. J'ai, bizarrement, beaucoup moins de choses à dire si ce n'est que ma franchise n'a d'égard et que l'hypocrisie est une chose contre laquelle je me bats. Malgré mes défauts, je reste quelqu'un d'humain et digne de confiance. Comme j'ai l'habitude de le dire : "Je n'ai qu'une seule parole !". A part ça, je suis quelqu'un d'aimant, car quand j'apprécie ou lorsque j'aime quelqu'un, je deviens un tout autre homme prêt à tout donner pour une personne. Alors ? Est-ce que ma réponse vous convient ?

TRAVAIL, OCCUPATION - Je poursuis actuellement mes études afin de devenir professeur de défenses contre les forces du mal.

FRÈRES & SOEURS - J'avais malheureusement un demi-frère né moldu décédé à l'âge de onze ans d'une leucémie, je ne saurais en dire plus étant donné qu'il est décédé deux ans avant mon arrivée sur Terre. Sinon j'ai une sœur que je considère comme la seule femme de ma vie. Quand je vous disais que je pouvais être quelqu'un d'aimant, là en est l'exemple même. Naïa est la seule fille à qui je ne pourrais pas faire de mal. Malgré ses cinq années de moins, elle a toujours su m'épauler lorsque j'en avais besoin. Sa chevelure blonde et ses yeux gris font que je trouve qu'elle est la plus belle fille du monde, et aucune autre ne pourra, un jour, la surpasser.

VOTRE PATRONUS - Un chien.

VOTRE EPOUVANTARD - Naïa poignardée en plein cœur.  

VOTRE OPINION POLITIQUE -

Vous osez parler de politique ? Pour moi, tout cela n'est que le mal incarné. Comment peut-on admirer un homme, si l'on peut appeler ça ainsi, qui a un problème de racisme profond ? Je rêve chaque nuit de sa mort et c'est grâce au valeur que m'ont appris ma famille que je me suis rangé du côté du bien. Là où je crains quelque chose, c'est pour ma sœur, influençable comme elle est, elle pourrait se perdre en chemin.  

RÉSUMÉ DE VOTRE FUTUR -

Ce que je ne sais pas encore, c'est que j'abandonnerais les études pour me consacrer à plein temps à la chasse à ces foutus mangemorts. Je pense que ceci était ma destinée. Cela ne m'empêchera guère d'atteindre mon objectif ultime et de transmettre mon savoir. Effectivement, je deviendrais professeur de Défenses Contre les Forces du Mal quelques années après la fin de la guerre et ce pendant deux ans. Je prendrais la décision de quitter l'univers pédagogique pour devenir Auror et m'occuper de mes deux jeunes filles.

ET VOTRE PASSÉ -

On oublie généralement les mauvais souvenirs pour laisser place aux bons. C'est ce que je vais sûrement faire, que voulez vous, je suis un sorcier mais je reste humain. Je suis né, au Velindre Hospital un peu à l'écart de la grande ville qu'est Cardiff, d'une mère d'origine française et d'un père pur gallois. Ils s'étaient rencontré car ma mère avait fuis sa famille pour éviter le mariage forcé ordonné par les familles de sang-pur. C'est donc dans la capitale du Pays de Galles que je commençait une vie bien plus que banale. A 5 ans, je faisais mes premiers pas dans une école, non loin de la résidence familiale et c'est dans ce même établissement que mon premier trait de caractère fut découvert. Effectivement, durant tous les jeux qu'on faisait entre copains, je voulais être le chef, quitte à frapper tous les autres et à me retrouver avec le bonnet d'âne. Elle est bien loin cette époque où lorsqu'on fait de mauvais choix, une punition telle que le bonnet d'âne suffit. Je me rappelle, j'avais ma place au premier rang. Et oui, je suis studieux, j'aime apprendre, certes, je faisais l'idiot à toutes les récréations, mais cela ne m'empêchait guère de boire les paroles de mon professeur.

A l'âge de 8 ans, je découvrais que je n'étais pas un petit garçon comme tous les autres. Ma mère mit plus d'une heure à m'expliquait que j'avais du sang de sorcier dans les veines, et que c'était un secret entre nous. Et moi, tout content, j'allais le répéter à mes camarades de classe. C'est comme ça que je finis par avoir une réputation de menteur, ce qui, évidemment, me donner encore plus envie de taper tous ceux qui me désignait comme tel.

2 ans plus tard et pas mal de claques données, et reçues, j'entrais dans le monde réel de la magie, et des étoiles dans les yeux, j'en ai eu des tonnes. Pour commencer, il y eut ce train somptueux qu'est le Poudlard Express par lequel on accède en traversant un mur, ensuite ce magnifique château, la grande salle avec des bougies flottantes dans l'air. Et ce chapeau, ou du moins ce choixpeau qui hurla au dessus de ma tête « SERDAIGLE ». Que de bons souvenirs !

Les trois années qui suivèrent furent plus que normales. Je fis des rencontres et je me révélais bon dans certaines matières telles que les potions ou la défense contre les forces du mal. J'étais moins bon en sortilèges ou bien en métamorphose qui étaient les deux matières où je peinais le plus. C'est à ma quatrième année que se rajouta une matière dont j'ignorais quasiment l'existence : L'amour. Et oui, forcément, en grandissant, nous commençons tous à aimer une jeune fille ou un jeune garçon, pour ma part, la jeune fille me suffira. Et mon premier réel désastre amoureux frappa en sixième année, où la demoiselle que j'aimais tant mis un terme à notre relation pour aller s'installer dans les bras rugueux de mon pire ennemi de l'époque. Enfin bref, j'ai dis que j'abordais que les bons souvenirs. J'obtins mes BUSEs ainsi que mes ASPICs avec des notes plus que confortable et à la fin de mes années Poudlard, je pris la décision de m'inscrire à l'École supérieure de magie. Sinon, j'ai rencontré depuis peu une demoiselle qui embellit mes grises journées.

EXEMPLE DE POST DE FAÇON RP -

Cette journée avait pourtant bien commencée. A l'instar de la plupart de mes réveils, ce matin là, j'avais ouvert les yeux avec un sourire éclatant de joie. Et puis, sans se mentir, quand on se lève en contemplant le soleil éclairer notre fenêtre de ses premières lueurs, comment voulez vous faire grise mine par la suite ? J’entamais donc mon petit rituel matinal par la petite douche ni trop chaude, ni trop froide, ou comme direz la normalité, tiède. Je continuais avec l'habillage, et en ce beau samedi, je laissais au placard ma belle robe de sorcier et optais plutôt pour une tenue décontractée : un jean tout à fait classique et un tee-shirt bleu ciel. J'enchaînais avec le coiffage, ou l'art de se mettre en valeur facilement. Et pour finir, je partais en direction de la grande salle pour prendre mon petit-déjeuner.

C'est en arrivant dans la salle commune que j'eus la surprise de la journée. Elle était là. Joy, ou autrement dit, ma petite amie depuis un an maintenant. Elle m'avait fait découvrir ce qu'était l'amour et tous les petits désagréments qui vont avec. Mais ça, ce n'était pas grave, j'étais dingue amoureux. Peu importe les habits qu'elle portait ou la coiffure qu'elle avait, je la trouvait sublime en tout temps. "Tu es bien matinale aujourd'hui !" lui dis-je avant d'amener mes lèvres sur les siennes. "Tu...Heu attends là !?" balbutiais-je. Non je ne rêvais pas, je venais de me prendre un vent. Je rétorquai :"Depuis quand tu tournes la tête quand je t'embrasses ?". D'un air grave, elle me répondait que c'était fini, qu'elle ne m'aimait plus.

Je ne pense même pas pouvoir mettre des mots sur la sensation que je ressentis à ce moment précis. Tout ce que je peux dire c'est qu'une immense envie de taper partout me vint à l'esprit. J'essayais de garder mon calme, sûrement par fierté, mais mes dents ne pouvaient s'empêcher de se serrer et ma mâchoire de claquer. Je pris une grande inspiration pour me lancer dans un grand discours mais n'en vis pas l'utilité. C'est pourquoi, je ne répondit rien d'autre que :"D'accord.".

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