ϟ la répartition

NOM - AVERY PRENOMS - THOMAS PERSEUS DATE DE NAISSANCE - VINGT SIX JUILLET AGE - DOUZE ANS VILLE D'ORIGINE - LONDRES CLASSE - DEUXIÈME ANNÉE SANG - PUR

SADIQUE | Thomas prend plaisir à faire souffrir, manifeste une méchanceté et une cruauté systématiques. Il jouit du malheur des autres, des larmes, de la soumission et des supplications. Il est sans pitié, d'une extrême sévérité, il ne se laisse pas toucher par la souffrance d'autrui et il se plaît à torturer que ça soit moralement ou même physiquement, notamment sur des animaux. Il est admiratif de ceux qui savent utiliser la Magie Noire.
IMMATURE | Thomas manque de maturité intellectuelle et affective. Il ne prend pas au sérieux les ordres qu'on lui donne et fait toujours comme bon lui semble. Il rate volontairement des cours, ne s'attache (quasiment) jamais émotionnellement parlant et préfère l'amusement aux responsabilités, si bien que son entourage sait qu'il est impossible de lui faire confiance. Il est insolent et s'amuse de l'ironie et du sarcasme pour énerver ses camarades. Pour Thomas, le monde est un jeu dont il a inventé les règles.
LUNATIQUE | L'humeur de Thomas et ses dispositions à l'égard des autres varient très souvent. Il change facilement d'opinion et est sujet à des volte-face subites qui le rendent instable et parfois dangereux. C'est un garçon redoutable qui peut passer du calme à la violence en un temps record, il est donc difficile de savoir sur quel pied danser avec lui. Il est excessif et a un comportement impulsif. De même, il n'hésite pas à retourner sa veste suivant la tournure des événements, afin de toujours s'allier aux plus puissants.
CLASSE | Thomas a une allure, des manières, des paroles qui témoignent d'une bonne éducation. Il fait parti de l'élite et ça se voit sur lui, sur sa façon de se vêtir, sur ses fréquentations et sur son comportement. Il est méprisant, ne tolère pas les sangs de bourbe (plus tard, il changera d'avis sous certaines conditions) ni les traîtres à leur sang. Il a de la dignité, de la grandeur et respecte les valeurs de sa famille et des Sang Pur en général. Sa gueule d'ange est un atout pour lui, lui permettant d'obtenir tout ce qu'il désire. Il est aimable et charmant en société, n'hésite pas à complimenter la veuve quand il le faut, afin de toujours avoir l'air du parfait gentleman qu'il n'est plus une fois à l'abri des projecteurs.
ADROIT | Thomas exécute toujours avec précision les gestes nécessaires à la réussite de ce qu'il veut réaliser, que ce soit le maniement d'une baguette magique ou encore l'art des potions. C'est un élève très brillant malgré son immaturité. Il sait également faire preuve de finesse d'esprit, de savoir-faire, d'habileté dans ses démarches, ses relations avec autrui. Il saura vous mettre dans sa poche en un rien de temps. Il est adroit en pratique comme dans les relations humaines. Il agit avec ingéniosité, intelligence et sait trouver les moyens de parvenir à ses fins. Il est compétent dans la stratégie et la manipulation.
EFFICACE | Thomas remplit toujours les tâches qu'on lui demande, atteint son but et aboutit à des résultats utiles. Quand on lui donne une tâche à réaliser, vous pouvez être certain que le travail sera accompli proprement et dans les délais. Certes, il est difficile de lui faire confiance en temps normal mais sur le terrain, ses camarades savent que Thomas ira jusqu'au bout, quoi qu'il advienne. Il est infaillible et sûr de lui et de ses capacités à réagir sur le vif.

VOTRE PATRONUS - Il aura la forme d'un vautour, qui n'hésite pas à s'enrichir aux dépens des autres, un rapace qui poursuit ses proies avec voracité.

VOTRE EPOUVANTARD - Lui-même suffocant, enterré vivant six pieds sous terre, enfermé dans un cercueil.

VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Le noir.

VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Le requin.

VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Cassis.

VOTRE COURS PRÉFÉRÉ – La botanique, une des spécialités de sa mère qui passait des heures à lui parler des plantes avec beaucoup de passion, lorsqu'il était plus jeune.

VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – A treize ans : le sortilège Accio. Tout à porter de main sans même avoir à se bouger. Mais une fois adulte, il vouera un culte au sortilège de Doloris.

VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Gringotts. Ce n'est pas vraiment une boutique mais c'est l'endroit qu'il préfère sur le Chemin de Traverse. Toutes ces richesses, tous ces trésors regroupés en un seul et même endroit, ça laisse rêveur.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Thomas est un fervent adepte des Échecs version sorciers, une maîtrise qui demande notamment de la stratégie, de l'intelligence, de la réflexion... C'est un domaine dans lequel il excelle. Et puis, il adore voir les pièces se massacrer, ça a probablement un effet thérapeutique sur lui.

Explications : Tu te trouves dans le Poudlard Express, en route vers ta Première Année. Soudain, une élève un peu plus âgée entre dans ton wagon et commence à te poser des questions.

« Salut, je peux m'installer ici ? Moi c'est Penny Clearwater, je suis Préfète, et toi tu t'appelles comment ? Tu vas faire ta première rentrée à Poudlard, on dirait. Faut pas t'inquiéter, ça va aller. Tu sais déjà dans quelle Maison tu voudrais aller ? »

Fais comme chez toi, ma grande, tu peux même t'installer sur mes genoux si tu le souhaites.
Ses copains se marrent, Thomas est plutôt satisfait d'amuser la galerie.
Eh, du calme. J'arrive pas à suivre.  Moi c'est Thomas. Thomas Avery, de la grande lignée des Avery, tu dois surement connaître, sinon sors un peu de ton trou. La maison dans laquelle je voudrais être ? Tous les membres de ma famille ont été envoyés à Serpentard, j'espère leur faire honneur.

« Je vois, je vois. Ben verdict à la cérémonie de Répartition, alors ! C'est le Choixpeau qui décide, après tout. Mais j'espère que tu iras là où tu veux. Au fait, ton nom me dit quelque chose, t'as déjà des frères et soeurs à Poudlard ? Et tes parents, ils font quoi dans la vie ? »

Mon frère est à Poudlard, il s'appelle Rohan Avery. Ma mère est herboriste, de très grande renommée. Sa clientèle comprend toute l'élite de la Sorcellerie, rien que ça. Quant à mon père, ça te regarde pas, ce qu'il fait. Mais si tu veux tout savoir, c'est quelqu'un de très important dans le monde magique. J'ai pas le droit d'en dire plus, encore moins à une fille comme toi.

« Ah oui non en fait, j'ai dû confondre avec quelqu'un d'autre. Bref ! Sinon, comment tu vois ton futur, à ta sortie de Poudlard ? Tu dois bien avoir des projets d'avenir, tu sais ce que tu veux faire plus tard ? »

Tu me gonfles, avec tes questions, chérie.
Nouveau rire parmi ses camarades, Thomas bombe le torse, content de lui.
Je vais suivre les traces de mon père et retiens bien mon nom, tu risques d'en entendre parler dans le futur.

« Quelle ambition ! Moi je veux devenir joueuse de Bavboules pro, mais apparemment c'est super-compliqué. C'est un peu mon rêve, tu vois. Tu as peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et te propose d'exaucer trois de tes vœux. Si un tel génie se présentait à toi, qu'est-ce que tu demanderais, toi ? »

Ce que tout le monde demanderait, le souhait d'avoir un nombre illimité de voeux. Allez maintenant, du balai. T'es bien jolie mais tu causes un peu trop à mon goût.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? Je n'ai que Thomas. Miracle, pas vrai ? Où avez vous connu le forum ? Je l'ai créé, je suis un peu Dieu à mes heures. Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Mais bien sûr, samedi : sauge.

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Sujet ACTION :
— Tu t'es aventuré dans la forêt interdite et tu te retrouves nez à nez avec Aragog, développe ta réaction au cours d'un RP.

« Mais, dites... Vous êtes sûrs qu'on a le droit ?
— Evidemment que non, imbécile, répliquai-je. C'est bien là qu'est tout l'intérêt de cette petite balade nocturne. Pourquoi ? Aurais-tu peur, Murray ?
— Non ! répondit vivement le Serpentard de première année. Bien sûr que non !
— Ha ha, il est à deux doigts de faire dans son pantalon », railla Mulciber, qui était en tête de groupe en ma compagnie.
Pour fêter notre troisième rentrée à Poudlard, Mulciber et moi-même décidâmes de tester un peu les nouvelles recrues de notre maison en leur proposant — que dis-je ? en leur imposant ! — une petite balade dans notre bonne vieille forêt interdite, histoire de reconnaître les courageux des pétochards. Nous en choisîmes quatre et, après avoir attendu que tous les élèves aient abandonné la Salle Commune pour leurs dortoirs, nous quittâmes tous les six le château en prenant soin de ne pas croiser Picott durant notre escapade.
« On va se faire prendre par le concierge... chuchota Murray.
— Oh dis pas ça ! répondit l'un de ses camarades prénommé Luke. J'ai pas envie qu'on se fasse virer dès notre première semaine.
— Taisez-vous,  vous allez nous faire repérer ! » s'énerva un troisième.
Je jetai un coup d'oeil amusé en direction de Mulciber avant de me retourner et de frapper bruyamment dans mes mains, histoire de leur flanquer la frousse. Nous étions arrivés devant l'entrée de la forêt interdite
« Bon, trêve de bavardage, dis-je pour couper court à leur conversation. Sachez qu'il est encore temps pour vous de faire demi-tour... Mais sachez également que si vous prenez la poudre de cheminette maintenant, il y a de fortes chances pour que toute la maison Serpentard soit au courant dès votre retour. C'est à vous de décider... Soit vous avancez, soit vous devenez la risée de votre maison pour le restant de votre scolarité... Verdict ?
— On reste ! » s'écrièrent Murray et Luke en choeur.
Les deux autres ne pipèrent mot mais, la tête baissée, firent un pas en avant. Satisfait, je me retournai vers Mulciber et d'un geste du menton, lui indiquai qu'il pouvait pénétrer le premier dans la forêt interdite, ce qu'il fit sourire aux lèvres.
Nous fîmes une bonne centaine de pas entre les arbres, éclairés seulement par les Lumos de nos deux baguettes à Mulciber et à moi, lorsque nous entendîmes une branche craquer sur notre gauche. Par réflexe, nous nous retournâmes tous les six en même temps. L'un des première année se mit à gémir tandis que les autres se contentèrent de retenir leur souffle.
« C'était quoi, ça ? fis-je d'une voix plus très assurée.
— J'en sais rien... me répondit Mulciber. Ça venait d'un peu plus loin... Allons voir. »
Mais lorsqu'il se retourna pour indiquer à nos recrues d'avancer, il remarqua qu'il n'y avait plus personne.
« Les chiens, ils se sont tirés !... Tom, tu crois pas qu'on devrait faire pareil ?
— Je ne sais pas, peut-être, répondis-je. De toute façon, la promenade n'a plus grand intérêt si on n'a plus personne a qui foutre la trouille. Barrons-nous d'ici. »
Et tandis que nous nous apprêtâmes à quitter les lieux, je sentis comme un courant d'air froid me caresser la nuque. Baguette en main, je fis volte-face et me retrouvai alors nez à nez avec... Une p***** d'araignée géante !
D'abord pris de panique, je me mis à hurler avant d'avoir le réflexe de m'enfuir à toutes jambes, Mulciber à mes côtés. Mais dans ma précipitation, je ne remarquai pas la racine qui ressortait sur le chemin de terre et trébuchai, la tête la première dans les feuillages. Je sentis alors s'enrouler quelque chose autour de ma cheville et alors que je me débâtais comme un fou furieux pour me dégager de l'emprise de l'araignée, je me sentis soulevé dans les airs, pendouillant à quelques centimètres du sol. Je savais ma fin proche et dans mon désespoir, je me mis à pleurer en maudissant le nom de Mulciber qui m'avait lâchement abandonné, préférant sauver sa peau que d'aider un copain. Alors que j'avais perdu tout espoir de survie, une voix tonitruante retentit dans la forêt interdite.
« ARAGOG ! »
L'araignée s'immobilisa, arrêtant ainsi mon ballottement.
« Relâche ce garçon ! » cria de nouveau la voix et aussitôt, ma cheville se libéra et je retombai lourdement sur le sol.
Affolé, je me mis à ramper sur plusieurs mètres avant de réussir à me relever. Sans me poser de question, je m'enfuis en courant mais je fus arrêté dans mon élan par la grosse main d'Hagrid qui m'agrippa par le col et me fit tomber à la renverse.
« J'ai rien fait ! Laissez-moi partir ! Je veux pas mourir !
— Tais-toi dont ! fit le garde-chasse d'un air sévère. Tu n'iras nulle part, je vous emmène toi et tes petits camarades tout droit chez le concierge ! Ça vous apprendra à braver le règlement, bande de petits morveux à deux noises ! »