J'étais en train d'écrire un courrier à Sasha dans ma chambre. Elle avait beaucoup de mal à retourner chez elle, vivre avec son père alors qu'il lui avait infliger le tatouage. Je n'étais pas en mauvais terme avec mon père, mais je pouvais comprendre sa souffrance qu'elle cachait continuellement. Je lui montrais mon soutiens quand la porte de ma chambre voltigea sur ces gonds et qu'un tableau s'écrasa au sol. Thomas ! Je les avais entendu se disputer d'en bas et comme d'habitude, c'était chez moi que Thomas, venait passer ses nerfs. J'étais habitué.  Et puis bon j'essayer certes de montré des valeurs à mon frère, mais je n'aimait pas le voir dans cet état.

-"Je t'entends très bien Thomas, cesse de crier s'il-te-plait." Dis-je en levant les yeux de ma lettre. Je le vis tirer sur son pull, dans sa rage comme pour lui faire la peau. J'avais des défauts, pas mal, comme celui de ne pas m'investir assez, d'après mon père, dans mon rôle d'héritier premier des Avery. Thomas lui était sujet à la colère.

"THOMAS, criais-je quand il fit voler ma lampe de chevet. Si tu veux casser des choses, tu vas dans ta chambre !" Il se jeta finalement en travers de mon lit et se mit à pleurer à chaudes larmes. Je me levait en soupirant de ma chaise et m'assis sur mon lit à côté de lui.

-"Bon et t'as fait quoi pour qu'il te prenne ta baguette ?" demandais-je en passant une main dans ses cheveux, comme le faisait notre mère quand on allait pas bien.

J'écoutai le plan de Thomas avec attention. Parce que sans exagérer c'était pas comme si on risquait pas du tout nos vie dans cette entreprise. Comme d'habitude, dans la précipitation, le plan de Thomas manquait avait des défauts et ne prenait pas en comtpe les variables que représentait les adultes.  C'était à moi de l'améliorer pour faire en sorte d'améliorer nos chances de survie. On ne devait surtout pas se faire prendre.

Après la dispute, mère avait du partir s'isoler dans ses serres, comme d'habitudes
depuis plusieurs années déjà. Elle ne supportait pas les disputes et préférait le calme et la solitude. Un coup d'oeil par la fenêtre me confirma sa présence dans les maisons de verres du jardins. surper ça nous faisait un élément en moins à nous occuper. Toutefois il restait père qui lisait toujours dans le salon et l'elfe de maison, qui n'hésitait pas à cafarder à père nos moindre faits et geste. Il faudrait s'occuper de lui en premier et peut-être par la même occuper père suffisamment longtemps pour qu'on accomplisse notre besogne.

-"Ecoute moi bien Thomas, avant ça, il va falloir qu'on se débarrasse momentanément de Immondus et trouver une solution pour que ça occupe père."

Quand tout fût claire pour sa petite tête, nous sortîmes et nous dirigâmes vers la cuisine ou se trouvait l'infâme elfe de maison occupé, comme toujours à cette heure, à nettoyer l'argenterie et les verres de cristal dans l'armoire de la cuisine.
Je le bloquais tandis que mon frère se faufilait derrière pour l'empêcher de passer. Même en légitime défense, il n'avait pas le droit de s'en prendre à nous, notre père le ferais executer ou pire le libérerai pour un tel acte.
Je le bousculais et le plateau de verres et de couverts qu'il tenait s'écrasa au sol dans un fracas assourdissant. Sans perdre une seconde, j'attrapai le cole de la chemise de mon frère et le tirait en avant vers la sortie. Pile quand nous nous faufilions dans le cellier, père apparaissait dans le couloir menant à la cuisine. Parfait, le temps que père réprimande Immondus, cela nous laisserais quelques bonnes minutes mais nous aurons interêt à faire vite.

"Une bonne chose de faite" dis-je à mon frère avec un clin d'oeil. "On passe à la suite ?"