ϟ la fiche de recensement

NOM - FORTARÔME PRENOMS - ALICE DATE DE NAISSANCE - 11 SEPTEMBRE AGE - 22 ANS VILLE D'ORIGINE - HERSHAM, ANGLETERRE SANG - PUR ANCIENNE MAISON A POUDLARD - GRYFFONDOR ORIENTATION - COTÉ DU BIEN

Alice est une jeune fille douce et gentille, qui voit toujours le verre à moitié plein. Elle est positive, toujours d'agréable compagnie. Elle a le coeur sur la main et n'hésite jamais à aider un ami lorsqu'il est dans le besoin. C'est une personne juste et loyale et ses amis savent qu'ils peuvent compter sur elle. Elle est courageuse et ne recule devant rien lorsqu'il s'agit d’œuvrer pour le bien. Elle aime rire, elle a elle-même beaucoup d'humour. C'est une sorcière brillante et intelligente qui se donne toujours à fond pour réussir, que ça soit dans ses études ou dans son travail.
Mais elle a aussi quelques petits défauts. Alice est maladroite, un vrai ogre des montagnes dans un magasin de porcelaine. Elle est aussi de nature très anxieuse. Elle stresse avant des examens, elle stresse avant un rendez-vous, elle stresse à l'idée de rencontrer les parents de Frank, bref. Et dans ces moments-là, Alice devient une vraie pile électrique, comme disent les moldus. Elle court partout, fait les cent pas, change trente fois de tenue. C'est aussi une jeune femme très émotive, les larmes lui montent aux yeux très facilement.

VOTRE PATRONUS - Une chouette, plus particulièrement une chevêche d'Athéna.
VOTRE EPOUVANTARD - Une horde de inféri.
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Le vert ou le jaune, elle hésite.
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Elle aime beaucoup les oiseaux en général, les moineaux comme les aigles, les mésanges comme les toucans, bref.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Chewing-gum.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Lumos car il permet d'apporter la lumière dans les endroits sombres.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Fleury & Bott, bien sûr.
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Artemisia Lufkin, première sorcière à devenir Ministre de la Magie.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Alice épousera Frank et deviendra la maman du grand et courageux Neville Londubat. Elle est la cousine de Florian Fortarôme et une descendante de Dexter Fortarôme, ancien directeur de Poudlard.

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Je suis auror, j'ai fini mes études il y a peu de temps. Et c'est vrai qu'on peut dire que c'est un métier formidable, répondit-elle dans un sourire.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
Vous êtes bien curieuse, Mrs Skeeter, fit-elle en souriant poliment. Quant à l'amour, eh bien mon coeur est comblé, je pense que c'est tout ce que vous avez à savoir.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
Alice se racla la gorge, se tortillant un peu sur sa chaise, croisant puis décroisant ses longues jambes blanches.
Eh bien... commença-t-elle. J'ai grandi à Hersham, une petite ville à un peu moins d'une heure de Londres. J'ai eu une enfance somme toute assez banale, aussi banale que peut l'être une enfance sorcière.
Pas si banale que ça si on prend en compte sa famille assez farfelue, ses parents très atypiques, ses oncles et tantes inénarrables, mais Alice n'avait guère envie d'entrer dans les détails avec Rita Skeeter.
J'ai toujours été proche de ma famille, ajouta-t-elle alors que de nombreux souvenirs remontaient à la surface. Je passais mes journées entre la maison de mes parents, celles de mes oncles et tantes et celles de mes grands-parents. On se retrouvait très souvent tous ensemble, c'était bien, on se sentait bien.
Un peu perdue dans ses rêveries, Alice sourit, le regard dans le vague. Puis elle prit une profonde inspiration qui la ramena à la réalité et elle reporta son attention sur la journaliste.
Mes pouvoirs se manifestèrent assez tôt, il ne me restait plus qu'à attendre ma lettre de Poudlard qui ne tarda pas à arriver. A l'école, le Choixpeau m'envoya à Gryffondor et je me fis pas mal d'amis dans ma maison, et dans les trois autres aussi d'ailleurs.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Comme je vous le disais, je viens à peine de terminer mes études, rappela Alice. Alors pour l'instant, tout ce qui compte c'est de m'épanouir dans mon travail. Pour le reste, on verra bien ce que l'avenir nous réservera.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Je ne suis pas « plutôt » magie blanche, fit Alice en accentuant le mot « plutôt » par des guillemets mimés avec les doigts. Je suis entièrement magie blanche ! Sinon, j'aurais choisi une autre vocation, vous ne croyez pas ?

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Je lui demanderai de veiller sur mes proches... dit-elle avant de balayer sa réponse d'un geste de la main. Enfin c'est une réponse bateau, tout le monde doit vous dire ce genre de chose. Alors disons... Que Bertie Crochue éradique les goûts douteux de ses paquets de bonbons, que les Harpies de Holyhead gagnent la coupe de Quidditch cette année et que je puisse enfin avoir une journée de repos pour que Frank puisse m'emmener voir les Eddie goes to Diagon Alley en concert.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? Du rouge et du vert. Où avez vous connu le forum ? Dans un prospectus. Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Oui (+ violette)

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Alice était allongée dans l'herbe dans le jardin de la maison de ses parents. Ses jambes étaient relevées et sa main était posée sur son ventre. Un chapeau de paille recouvrait son front et une partie de ses yeux. Le soleil caressait la campagne anglaise de ses rayons encore doux à cette période de l'année.
Sur la terrasse discutaient sa mère et son cousin Daniel. De là où elle était, Alice n'entendait pas leur conversation. Elle resta allongée ainsi de longues minutes, écoutant les bruits de la nature, les bruissements de feuilles, les pépiements d'oiseaux. Puis tel un clown farceur sortant de sa boîte à surprise, elle se redressa d'un bond.
— Daniel, j'ai besoin que tu me déposes à Londres s'il te plaît, dit-elle en s'approchant de la terrasse, l'herbe fraîche chatouillant ses pieds nus.
— Tu vas voir Frank ? demanda sa mère.
— Peut-être, répondit-elle dans un sourire amusé, ses joues rosissant légèrement.
Elle s'assit à la droite de son cousin, s'empara de la carafe d'eau qui trônait au centre de la table et se servit un verre. Mais elle n'y toucha pas.
— Et le réseau de cheminée ? demanda Daniel.
— Je n'ai plus de poudre de cheminette, fit Alice en haussant les épaules.
— Et tu ne peux pas transplaner ? Car tu sais que j'y vais en voiture moldue, à Londres.
— Je sais...
— Et tu détestes ça.
— Je sais ça, aussi...
— Alors pourquoi veux-tu venir avec moi ?
— S'il te plaît...
Alice joignit les mains comme en prière, le regard suppliant. Daniel se mit à rire.
— Bon, eh bien d'accord. Sois prête dans une heure !
Alice pouffa et enlaça son cousin.
— Merci Danny, tu es un amour !
— C'est ce qu'elles me disent toutes.

Au moment du départ, Alice avait revêtu une robe verte à fleurs blanches, des ballerines et un gilet ample de laine rouge. Elle embrassa sa mère et l'informa qu'elle resterait à son appartement de Londres. Daniel chargea sa valise dans le coffre de sa Ford et s'installa au volant. Alice dût faire un effort surhumain pour monter dans cette machine de malheur.
— Ça va aller ? demanda son cousin, un sourire au coin des lèvres.
— Evidemment, répondit Alice, le regard rivé devant elle, les mains posées à plat sur ses genoux.
Daniel alluma le moteur et fit ainsi trembler tout l'intérieur de l'auto. Puis il enclencha la première et démarra. Derrière eux, la mère d'Alice leur faisait signe et elle ne s'arrêta qu'après qu'ils aient disparus dans le virage au bout de l'allée.
Les jambes d'Alice tremblaient maintenant et ce n'était pas la vibration du moteur qui les faisait trembler. Peu à peu, méthodiquement, elle parvint cependant à se contrôler.
— Tu sais qui j'ai vu, mercredi dernier ? demanda Daniel en lui jetant un coup d'oeil.
Alice savait qu'il faisait ça pour la distraire et elle lui en fut reconnaissante.
— Non ? Dis-moi, fit-elle en le regardant.
— Francis ! s'écria Daniel. Il est de retour à Londres et il n'a prévenu personne, tu penses ! Je ne serais pas tombé sur lui par hasard au Chemin de Traverse, jamais je n'aurais su qu'il était revenu de son voyage.
Francis était le frère de Daniel, le cousin d'Alice. Il était parti en expédition autour du monde pendant plus d'un an. Il ne s'entendait pas très bien avec ses parents et avait un peu coupé les ponts avec son frère également. C'était le mouton noir de la famille, mais Alice l'aimait bien.
— Il va bien ? demanda Alice. Qu'est-ce qu'il t'a dit ?
— C'était difficile de le faire parler, tu sais, répondit Daniel.
— Peut-être car c'était toi qui parlais ? fit Alice en riant.
— Pas cool ! répondit Daniel, faussement offensé.
Le reste du trajet se passa sans encombre. Les deux cousins discutaient et Alice en oubliait même qu'elle était en ce moment même dans une de ces voitures pour moldus qu'elle détestait tant. Et puis le fait de savoir qu'elle allait retrouver Frank dans un peu moins d'une heure lui donnait du courage pour affronter tout ça.

COUCOU *Carey :*-*: *