ϟ la fiche de recensement

NOM - STEELE, NÉE ALLEN PRENOMS - ALLISON, KATHERINE, JORDAN DATE DE NAISSANCE - 21 DÉCEMBRE AGE - VINGT-TROIS ANS VILLE D'ORIGINE - PONTYPRIDD, SUD DU PAYS DE GALLES SANG - MÊLÉ ANCIENNE MAISON A POUDLARD - POUFSOUFFLE ORIENTATION - NEUTRE

« Il faut avoir du chaos en soi pour accoucher d'une étoile qui danse »

C'est lorsque vous croyez enfin la connaître qu'elle s'évapore entre vos mains, comme un claquement de doigt, laissant derrière elle les volutes de fumée d'un mirage créé de toute pièce pour vous mettre de la poudre aux yeux.
Allison, c'est l'image type du vernis bien lisse que l'on gratte du bout de l'ongle pour en découvrir le véritable aspect : son visage est doux pour celui ou celle qu'elle croise, mais ses jambes sont prêtes à être prises à son cou si l'on s'approche trop. Ses yeux bruns ne vous regardent pas, ils vous sondent, et si elle sourit, son sourire ne les atteint pas. Ses paroles sont toujours gentilles et prévenantes, mais derrière le miel de sa voix se cache l'avertissement informulé mais explicite de ne pas chercher à trop la connaître. Elle vous tendra toujours la main dans les moments difficiles ou en cas de détresse, mais n'attendra qu'une seule chose en retour ; de l'espace, et le respect de l'intimité.
Elle est calme et réfléchie, de bons conseils et discrète, fidèle et dévouée à celui ou celle qui demandera son aide, mais gare à son coeur : elle l'a brillamment caché derrière une solide carapace, et défend quiconque de le briser à nouveau. Quitte à passer à côté de beaucoup de bonheur et de joies sans doute, mais sa vie n'a, jusqu'à ce jour, jamais été vraiment très heureuse.
Allison cache de nombreux secrets, et un très lourd passé, dont elle ne parle à personne, pas même aux rares courageux qui ont sut s'accrocher et persister, et qu'elle considère comme ses proches.
Instinctive et méfiante de nature, c'est un petit animal blessé qui se cache derrière l'apparence de cette jeune femme frêle, qui suscite chez certain l'envie de la protéger. Grand mal leur prend ; Allison est forte et à un tempérament de lionne. Même lorsque l'envie de baisser les bras et de tout laisser tomber lui prend, elle sait puiser en elle la volonté de donner un bon coup de pied au sol et de se repropulser jusqu'à la surface.
Intelligente, elle est passée maître dans l'art de la transparence et sait se faire oubliée très facilement. Méfiez-vous ; il se pourrait bien qu'un jour, elle vous glisse entre les doigts...

VOTRE PATRONUS - Une gerbille
VOTRE EPOUVANTARD - Il prend l'apparence d'une grande silhouette sombre et encapuchonnée, représentant toutes ses terreurs d'enfance et son passé, dont elle aimerait se débarrasser à jamais
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Le bleu nuit
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – L'aigle, libre et majestueux
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Caramel
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Evanesco
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Fleury & Botts
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Nicolas Flamel

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Allison s'est mariée très jeune, et ne l'est pas restée longtemps. Aujourd'hui elle est séparée de son ex époux, mais à gardé son nom de femme mariée.

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Aucun des trois, heureusement. J'ai toujours adoré cuisiner, et surtout faire de la pâtisserie. Les spécialités anglo-saxonnes n'ont aucun secret pour moi, que ce soit les scones, les pancakes, les muffins ou les tartes, je les réussies toutes, en y ajoutant toujours ma petite touche personnelle. Mais j'ai aussi en réserve quelques spécialités de mon cru que je tiens de lointaines origines familiales plus... Orientales. Le knafeh, vous connaissez ? Non ? Ah... J'officie pour le moment dans un petit salon de thé que peu de monde connaît, dans la partie sorcière du quartier de South Molton Street à Londres. Mais j'ambitionne, un jour, d'ouvrir mon propre salon.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
[Blanc] J'ai été mariée, lorsque j'étais un peu plus jeune. Désormais, je ne le suis plus. Hum, question suivante s'il vous plaît ?

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
Disons que je n'aime pas beaucoup parler de mon passé... Il y a vraiment très peu à raconter. Je viens de Pontypridd, dans le sud du Pays de Galles. Mon père, moldu, y travaillait dans une usine, tandis que ma mère, moldue également, s'occupait de ma jeune sœur et moi à la maison. Avec l'aide de ma grand-mère, sorcière, elle, qui habitait avec nous. Lorsque j'ai été en âge d'entrer à Poudlard, le Choixpeau m'a envoyée à Poufsouffle où j'ai effectué une scolarité tout à fait banale. A la majorité, j'ai quitté le domicile familial et ne suis pas allée à l'École Supérieure de Magie, j'ai travaillé tout de suite. Fin de l'histoire.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Vous vous moquez de moi ? Mon plus grand projet est sans doute celui de réussir à ouvrir mon salon de thé. J'aimerais le décorer à mon goût, et faire en sorte qu'il soit un lieu dédié à la lecture, mon autre passe-temps favoris. Les gens y viendraient pour boire un thé comme pour lire un moment, et pourraient repartir avec une pâtisserie ou un livre. L'argent que je gagne et qui ne file pas pour la grande majorité dans la pension où je vis est mis de côté pour nourrir à bien ce rêve.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Je n'ai aucune opinion sur la question est suis aussi neutre que peut l'être un parchemin vierge.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Puisqu'il est impossible d'effacer d'où je viens, j'aimerais qu'il fasse en sorte que l'avenir me sourit.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? Nick et Cassy. Où avez vous connu le forum ? Sur Pluton, lors d'une de mes nombreuses expéditions intergalactiques pour la NASA. Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Oui c'est fait + dahlia

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

AUTRE :
— Exemple de post de façon RP de votre choix.

Derrière le comptoir, Allison malaxait d'une poigne de fer la pâte qu'elle saisissait des deux mains. De la farine lui recouvrait les avant-bras, et quelques mèches brunes s'échappaient du chignon improvisé qu'elle avait fixé sur le haut de son crâne et qui tenait grâce à un pic à brochette en bois.
— Ce n'est pas ça que je dis. En fait, ce que je dis, c'est qu'il faut te trouver un homme, fit Kate en faisant claquer sa langue contre ses dents. Allison eut une exclamation sans joie, et épongea les perles de sueur sur son front d'un revers de la main, laissant sur sa tempe une large traînée de farine.
— Les hommes, c'est fini. J'arrête.
— Formidable, répondit Kate en levant les bras au ciel, elle va donc passer aux trolls !
Allison éclata de rire et leva les yeux de sa pâte pour fixer sa collègue de travail.
— Trollesse, répondit-elle, amusée. Les trolls aussi, il y en a eu beaucoup dans ma vie.
— C'est bien ce que je dis, tu es mal entourée. Il faut que tu rencontres du monde ! Et par « monde » – elle mima les guillemets de ses mains – je veux dire un homme.
Allison sourit et souffla sur une mèche qui lui tombait devant les yeux, sondant la vaste pièce qu'était Le Taon Qui Passe, le salon de thé dans lequel les deux jeunes femmes travaillaient.
— Un homme comme celui qui agite frénétiquement la main dans ta direction, par exemple ? Elle désigna le fond de la salle d'un mouvement de la tête.
— Oups ! Fit Kate, saisissant le crayon qu'elle avait derrière l'oreille et le calepin dans la poche de son tablier, filant s'occuper de son client.
Allison secoua la tête, narquoise, et s'absorba dans ses pensées comme ses mains s'absorbaient dans sa pâte. Kate n'aurait sut dire à quel point elle avait visé juste en disant qu'elle était mal entourée. C'était la triste vérité, et ce depuis qu'elle était jeune. Mauvais départ dans la vie, mauvaises habitudes par la suite, Allison était devenue une jeune femme sauvage et désabusée, déjà triste à tout juste vingt-trois ans. Cependant, pas de place à l'apitoiement, Kate revenait déjà au pas de courses.
— Un café avec un soupçon de lait, et deux beignets à la marmelade. Tu te rends compte ? Ce type m'a dit “ heureusement que vous avez un joli sourire, sinon je serai parti depuis longtemps à force d'attendre ! ” Non mais quel toupet !
— En même temps, c'est vrai que tu as un joli sourire.
— Et toi aussi, quand ça t'arrive de laisser tomber ton masque de demoiselle en détresse sentimentale ! Allison se tendit imperceptiblement. Ma chérie, je dis ça pour toi. Le seul homme que tu fréquentes ici, c'est notre cher patron ! Alors forcément, si tu aimes le genre décrépi, crâne pointu et cheveu rare, tu es au bon endroit, mais si...
Allison s'était tout à fait tendue, désormais. Se raclant la gorge, toussotant et sourcillant comme si elle était en pleine crise épileptique, elle désignait l'ombre derrière sa collègue et l'intimait au silence, ce que, bien sûr, elle ne comprit pas.
— MESDEMOISELLES, je ne vous paye pas à pérorer comme des pies au comptoir ! Piailla leur employeur, d'une voix chevrotante et rendue haut perchée par l'âge. Miss Flannigan, il y a des miettes de feuilleté prêt de l'entrée. Il la regarda, les mains sur les hanches. Et bien, allez donc les ramasser mon petit, elles ne vont pas se ramasser toutes seules ! Allez, allez ! Puis, se tournant vers Allison, de nouveau absorbée par sa tâche, il plissa les yeux. Ms Steele, qu'est-ce que... Est-ce de la farine, là, sur votre joue ?