ϟ la fiche de recensement

NOM - Carrow PRENOMS - Basilius dit "Basil" DATE DE NAISSANCE - 7 Juin 1939 AGE - 35 ans VILLE D'ORIGINE - Oxford SANG - Sang-Pur ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Gryffondor ORIENTATION - Du côté du bien, mais faut pas pousser le bouchon trop loin, hein. J'fais pas parti de l'Ordre.

Basil est un homme animé par un très profond sentiment de rage envers ses parents, à cause de la manière dont ils l'ont élevé. Il hait sa famille, ses frères, ses parents, ses cousins, tout le monde. Basil maîtrise très bien l'art de la manipulation et de l'hypocrisie qu'il retourne avec joie envers ses géniteurs. Mais il peut être quelqu'un de très sincère envers ceux qui le méritent, ceux qui sont ses amis et qui sont éloignés des idéaux de sa famille. Mais il a également une très grande estime de lui-même, il peut-être très agréable et il est très ouvert (malgré tout ce qu'il laisse penser à sa famille). Cependant, Basil est méfiant, impulsif s'il se sent insulté, même s'il reste quelqu'un de très courageux et plaisantin. C'est quelqu'un de rancunier qui fera preuve d'une grande patience s'il veut se venger de qui que ce soit. Ne soyez pas étonné de recevoir le revers de la médaille, quelques années plus tard.

VOTRE PATRONUS - Une panthère
VOTRE EPOUVANTARD - Un aigle qui l'attaque
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Orange
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Les chats
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Goût pastèque ma foi.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Legilimens
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Obscurus Books
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Gwendoline la Fantasque

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? -

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?

Ici, vraiment ? Bon, d'accord. Balayeur, sérieusement ? J'espère au moins que j'ai un balai magique alors… Mais non, malheureusement pour vous, je travaille au Ministère de la Magie en tant qu'employé au Service du Commerce International. Un poste important, notez-le bien.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?

Euh non pas au dernière nouvelles. Puis en quoi ça vous regarde, vous êtes intéressée ? Moi pas, en tout cas.
Mais j'ai d'autres projets que de mener à bien une vie sentimentale vous voyez ?


RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !

Tu parles d'une vie sentimentale trépidante… Elle l'est autant que la vie d'un elfe. Enfin bon. Pour vous répondre je dois dire que je suis assez d'accord avec vous Miss Skeeter. Le but que je me suis fixé et dont je ne vous parlerai pas, a entièrement été dicté par mon enfance et je ne vis que pour l'atteindre, figurez-vous. Et je l'atteindrai nul doute de cela. Mon enfance a été assez stricte et mondaine, famille Carrow, vous devez pouvoir comprendre. J'ai deux frères, Morfin et Merrick. Je me suis plu à Poudlard, j'aimais beaucoup mes professeurs et j'adorais les matières enseignées. Sinon, je peux dire que j'ai eu une enfance et scolarité des plus banales… Si on peut dire ça comme ça.  

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.

Mais quelle fouineuse dîtes-moi… J'espère que vous n'allez pas écrire un de vos articles pour le chiffon qu'est la Gazette du Sorcier hein. Manquerait plus que ça.
Je suis quelqu'un d'assez matérialiste qui vis dans l'instant, si j'ai des objectifs, je n'appelle pas cela des rêves et je ne les considèrerai jamais comme tel. J'espère un jour diriger le Service du Commerce International, après tout, j'estime faire de l'excellent travail… Continuez.


RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.

J'avoue ne pas trop aimer parler de cela, surtout avec quelqu'un qui a une si mauvaise réputation… Mais bon, je me sacrifie pour la cause. Je trouve la magie noire intéressante à étudier mais je suis plutôt orienté magie blanche. Mais bien évidemment, j'ai de très bonnes connaissances des deux côtés, je suis instruit, si vous voyez ce que je veux dire. Je pense que pour pouvoir mesurer pleinement la puissance de la magie blanche, il faut avoir des bases en magie noire, et que cela vaut pour contrer cette dernière. Comment nous défendre de quelque chose que nous ne connaissons pas ? Pour la politique… Je préfère ne rien dire sur Notre Ministre de la magie, comprenez bien que cela pourrait me valoir mon poste.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?

Je vous l'ai dit. Je ne fais pas dans les rêves mais dans le concret. Amenez-moi la vraie lampe et là, nous pourrons en discuter.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Serpentard, Moran Powell eheh. Où avez vous connu le forum ? Ah... Google. Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Eh oui j'ai lu le règlement ~ dimanche-dahlia

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :


Sujet ACTION :

— Au cours de l'un de vos voyages par poudre de cheminette, vous vous retrouvez malencontreusement dans la cheminée d'un inconnu (moldu, sorcier, ministre, soyez imaginatif). Décrivez votre réaction au cours d'un RP.



Je détestais le transplanage. Vraiment, une véritable aversion. J'avais mon permis bien entendu, et si j'étais réellement en retard, ou s'il s'agissait d'un rendez-vous officiel, j'étais bien forcé d'utiliser ce moyen de transport.
Oui mais voilà, là je n'avais pas de rendez-vous officiel, je devais simplement aller voir un ami qui habitait en Ecosse, et n'étant pas particulièrement doué pour le vol à balais, je préférais largement la poudre de cheminette. Il ne m'en voudrait pas de terminer par terre dans son salon plein de poussière je le savais. Mon ami était un potionniste de talent, et j'avais parfois besoin de quelques potions pour m'aider à être en forme toute une journée. Et puis, son salon étant sa zone de travail (zone de guerre, plutôt), un peu plus de poussière ne le choquerait pas. Tout était censé se passer très bien, et en fait tout allait bien sauf au moment où ma langue à fourché à cause de la poudre que j'ai avalé.

C'est donc en m'étouffant que j'ai parcouru nombre de cheminées pour finir dans une pièce très claire, bien éclairée de toute évidence. J'étais plein de poussière et je n'avais pas finit de m'étouffer. M'habituant à la lumière agressante, je sortis ma baguette et je réalisais que je me trouvais… A St Mangouste. Formidable. A l'opposé de là où je voulais aller. J'étais dans une grande pièce, et je devais être dans la salle d'attente. Des gravas avaient explosés dans la pièce. Les gens me regardaient comme si j'étais un demeuré. Mais en fait, ils n'étaient pas forcément en bon état non plus.
Au bout d'une rangée de dix sièges, un homme se prenait pour… un poulet et battait des ailes. Une femme, un peu plus loin, avait une main qui lui avait poussé sur la tête. Une autre encore, avait dû se faire mordre par un animal monstrueux. Mais je n'avais pas trop le temps de rêvasser ici. Je devais partir pour l'Ecosse, illico presto. Alors que j'allais sortir tout en me résignant à transplaner j'entendis un cri. Ma baguette toujours en main je vis une femme, de toute évidence une employée, se diriger vers moi d'un air furieux.

- Non mais ça ne va pas ? Utiliser la cheminée de l'hôpital au lieu de passer par l'entrée des visiteurs ? Elle est CONDAMNEE ! COMBIEN DE FOIS FAUDRA-T-IL PUBLIER UN ARTICLE DANS LA GAZETTE DU SORCIER ?

Je me figeais. J'avais démoli une cheminée condamnée, et j'étais un employé du Ministère. J'allais avoir des problèmes.

- Je suis navré de vous avoir causé autant de désagrément. A vrai dire, je me suis tout simplement trompé de conduit en prononçant ma destination, je n'ai rien à…

- Bah voyez-vous ça ! Toujours la même excuse ! Après vous allez me demander si je n'ai pas de la poudre de cheminette non plus ?

- A vrai dire cela me serait utile…

- Sortez de cet hôpital ! MALPOLI ! MALAUTRU ! Mal élevé !

Je détestais que l'on me donne des ordres. Et encore plus que l'on m'humilie devant une salle entière de personne.

- Allez dire à Ollender Carrow qu'il a mal élevé son fils. Je ne vous permets pas de me parler sur ce ton. Rappelez-vous en la prochaine fois que vous avez un haut fonctionnaire qui déboule de la cheminée. Bonne chance pour réparer tout cela, je crains que vous ne souhaitiez pas que je vous importune un peu plus de ma présence pour vous aider ?

En lui adressant un sourire des plus offensants je sortis de l'hôpital avant de me diriger vers une ruelle sombre. Je n'aimais pas me cacher derrière ce père que je détestais tant, mais parfois porter son nom pouvait avoir des avantages… J'étais de très bonne humeur aujourd'hui, et cette femme Ô combien désagréable, avait tout gâché. Elle n'avait jamais été très gentille que ce soit avec les patients ou les visiteurs, je n'avais pas eu de chance de tomber sur elle… Mais au moins, je trouvais satisfaction dans le fait qu'elle doive seule s'occuper de sa cheminée.

Sans un mot et avec une mine désastreuse, je transplanais, direction l'Ecosse !

Bienvenue à Londres, Carrow