ϟ la répartition

NOM – Forks PRENOMS – Ewan ϟ Daniel DATE DE NAISSANCE – 4 Juillet 1959 AGE – 15 ans VILLE D'ORIGINE – Castletown ϟ île de Man CLASSE – Cinquième année SANG – Sang mêlé

Tu n’es pas le genre de garçon à te prendre la tête, ça non. Finn a toujours dit que tu étais un peu simplet mais c’est plutôt que tu ne comprends pas pourquoi tu devrais t’énerver pour des choses qui sont soit inutiles, soit surfaites. Ton frère, lui, est du genre à avoir beaucoup d’objectifs et à chercher à les réaliser coûte que coûte. Toi, c’est plutôt la force tranquille, la vie au jour le jour. Tu es toujours souriant. A un tel point que certaines personnes sont déjà demandées s’il t’arrivait par moment d’avoir le moral dans les chaussettes. Il faut bien avouer que c’est assez rare. Tu es un épicurien qui adore profiter de la vie et de ses petits moments inattendus. Prendre les choses du côté positif, c’est ton affaire. L’optimisme incarné, celui qui ne se laisse jamais abattre sans pour autant être trop téméraire.

Tu aimes aider les gens, peut-être plus que toute autre chose. Tu es quelqu’un de sociable, quelqu’un qui a besoin du contact avec les autres. Pas pour exister mais pour te sentir vivant. Tu es toujours prêt à remonter le moral d’un camarade, soit-il dans la même Maison que toi ou non, ou bien à proposer et à apporter ton aide si le besoin s’en fait sentir. Qu’il s’agisse d’un bon ami ou d’un simple camarade de classe, tu es prêt à faire tout ce qui est en ton pouvoir pour lui venir en aide.
Il arrive que certains n’aiment pas tes petites "incursions" dans leur vie privée et tu as appris à te faire reconduire avec le sourire mais la plupart des gens t’apprécient. Tu as beaucoup d’amis, n’ayant aucun problème pour t’en faire. Et sur ce point, tu n’es absolument pas sélectif. Tu es quelqu’un qui fonctionne au feeling, pas au jugement. Tu vois toujours le bon là où il est. Indubitablement, tu es quelqu’un d’optimiste.

Comme les amis sont importants pour toi, tu leur es totalement dévoué. Tu es d’une loyauté sans faille même si ce n’est pas toujours réciproque. Partager tes dissertations ou bien assumer ensemble les bêtises d’un seul, c’est tout à fait toi. Ceci dit, Finn a peut-être raison. Tu es trop gentil par moment. Ce n’est pas que tu te laisses marcher sur les pieds, non, tu as un minimum de fierté mais c’est plutôt que dans ta volonté d’aider les autres, tu en oublies souvent que certains ne sont pas comme toi.
Les secrets ont et seront toujours bien gardés avec toi et même si tu es quelqu’un d’enjoué et de bavard, tu mets un point d’honneur à respecter la volonté de tes amis.

Ta curiosité est insatiable. Certes pas quand il s’agit des cours ennuyeux à mourir du Professeur Binns mais chaque instant est pour toi une chance de t’émerveiller et d’apprendre de nouvelles choses. Tu aimes apprendre à découvrir les gens et, paradoxalement, même si tu sais parfaitement garder un secret, tu chercheras toujours à en apprendre d’autres. Par simple curiosité.

Finn dit aussi que tu es des fois bien trop naïf à placer ta confiance en quelqu’un sans vraiment le connaître, juste parce que tu as le bon feeling. Mais il ne peut pas comprendre. Ce n’est pas son genre, à lui, de toute façon. Et puis, il dit beaucoup de choses, Finn. Comme dire que tu es maladroit, alors que Non, ce n’est pas vrai !

Mais il faut croire que depuis votre arrivée à Poudlard, vous, les jumeaux inséparables, avaient pris des voies différentes.  

VOTRE PATRONUS – Un phoque, comme ceux que tu as déjà pu observer au large de ta chère île.
VOTRE EPOUVANTARD – Une masse brûlante, enflammée. Un corps peut-être. Le tien ? Celui de ton frère ? Tu ne sais pas. Tu ne veux pas t’approcher. Toutes ces flammes, tu en as si peur.
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Tu aimes bien le jaune de ta Maison mais tu éprouves une attirance particulière pour un beau violet lilas.
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Tu éprouves une drôle de fascination pour les dragons, comme ceux qui autrefois dormaient sous Camaaloth. Tout feu, tout flamme.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Il ne faut pas le dire mais la cannelle est ton péché mignon. Mais chut.
VOTRE COURS PRÉFÉRÉ – Tu aimes autant prendre soins des autres que des animaux. Les Soins aux Créatures Magiques, donc. Assurément.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Locomotor Barda. Faire voler des objets, il n’y a rien de plus amusant.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – La ménagerie magique, sans hésiter. Mais il ne faut pas trop d’y emmener, tu risquerais d’en ressortir avec un nouveau compagnon.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? – Tu as pour compagnon de métamorphose un hibou Grand-Duc du nom de Myrddin. Tu l’as depuis ton premier jour à Poudlard et depuis toujours, tu trouves qu’il a un air sage de vieillard.
Tu as un frère jumeau, Finnegan, avec qui tu partages tout, même depuis que le Choipeau vous a répartis dans des maisons différentes. Même si Finn est à présent à Serpentard, tu sais que de toute façon vous n’êtes pas si différents que ça.
Tu as une peur panique du feu, remontant à déjà quelques années. Du moment que le feu se tient loin de toi, dans un âtre bien chaud, tout va bien. Mais tu dois déployer une sacrée volonté pour te tenir près d’un chaudron sur le feu en cours de potions.

Explications : Tu te trouves dans le Poudlard Express, en route vers ta Première Année. Soudain, une élève un peu plus âgée entre dans ton wagon et commence à te poser des questions.

« Salut, je peux m'installer ici ? Moi c'est Penny Clearwater, je suis Préfète, et toi tu t'appelles comment ? Tu vas faire ta première rentrée à Poudlard, on dirait. Faut pas t'inquiéter, ça va aller. Tu sais déjà dans quelle Maison tu voudrais aller ? »

Comme la porte du compartiment s’ouvrait et que la jeune fille s’avançait, tu sursautas. Tu ne voulais pas l’avouer mais elle t’avait sorti d’une petite sieste impromptue. « Heu, Salut ! répondis-tu alors avec enthousiasme comme pour cacher que tu dormais quelques secondes auparavant. Vas-y, installes-toi. Penny, c’est ça ? Ewan Forks ! » Tu lui tendis ta main dans un geste qui n’avait aucun intérêt pour les enfants de ton âge. Mais tu aimais bien faire comme les adultes. « Et oui, je vais faire ma première rentrée à Poudlard, ouuuuuh ! » Tu fis un grand geste avec tes mains comme pour mimer que tu étais effrayé. Apparemment, ce fut assez ressemblant. « Non, non, je ne m’inquiète pas ! Pourquoi je le serai, au juste, n’est-ce pas ? » Le silence retomba avant qu’elle ne te demande où tu voudrais bien te retrouver. « Aucune idée ! Ça m’est égal. Franchement. Mais on m’a dit que la salle commune des Poufsouffles était super accueillante, avec de bons lits bien douillets et à côté des cuisines, en plus ! t’exclamas-tu sur un ton rêveur. Et puis, je ne me vois pas vraiment monter tous les jours les escaliers pour aller à Serdaigle ou Gryffondor. »

« Je vois, je vois. Ben verdict à la cérémonie de Répartition, alors ! C'est le Choixpeau qui décide, après tout. Mais j'espère que tu iras là où tu veux. Au fait, ton nom me dit quelque chose, t'as déjà des frères et soeurs à Poudlard ? Et tes parents, ils font quoi dans la vie ? »

« Ouaip, je suis sûr qu’il choisira bien. » Maman disait que le Choipeau était extrêmement vieux, qu’il avait appartenu à Godric Gryffondor lui-même. Un tel objet ne pouvait pas faire de mauvais choix. « Hmm, pour sûr que mon nom te dit quelque chose. T’as déjà certainement utiliser plus d’une fourchette dans ta vie, lui répondis-tu en pouffant de rire. On t’avait déjà tellement fait cette "blague" que tu préférais en rire plutôt que de t’énerver. De toute façon, ce n’était pas dans ta nature. Eeefin bref ! Mon père est moldu donc, non, pas de grand sorcier de ce côté-là de la famille. Mais ma mère, elle, est sorcière. C’est la fille de Barnabas Sivans, mon grand-père quoi. Tu connais pas ? C’est un grand médicomage. Il a donné son nom à une maladie. Le syndrome de Barnabas Sivans. Mouais, c’est pas trop cool comme nom mais bon, les maladies c’est jamais cool de toute façon. » Tu aimais vraiment beaucoup ton papy Barny et ça te rendait extrêmement fier de savoir qu’il faisait des recherches pour soigner les gens, même si ça ne concernait vraiment que très peu de monde. « Oh et je te présente mon frère, Finn, t’exclamas-tu en désignant d’un geste la place où aurait dû se trouver Finnegan, juste à côté de Penny. Il y eut un grand blanc et tu ne sus plus où te mettre. Où était-il donc bien passé ? Il s’était fait la malle pendant que tu dormais. Pour aller découvrir le train tout seul, ouais ! Heu bah … Pas de Finn, conclus-tu, les joues toutes rouges. Hum, c’est mon frère jumeau donc t’as pas forcément besoin de le voir. C’est moi, pareil … Le même quoi. »

« Ah oui non en fait, j'ai dû confondre avec quelqu'un d'autre. Bref ! Sinon, comment tu vois ton futur, à ta sortie de Poudlard ? Tu dois bien avoir des projets d'avenir, tu sais ce que tu veux faire plus tard ? »

Penny, tout comme toi, était incroyablement gênée et décida de couper court, jugeant le sujet un peu trop étrange. L’avenir, oui, c’était un bon sujet ça. « Je sais pas trop, avouas-tu. On a encore le temps, hein ? Finn voudrait bien devenir un grand directeur au Ministère mais c’est pas trop réaliste. Moi, tant que je peux aider les gens, ça me va. Médicomage, peut-être. Oui, c’est bien, médicomage. »

« Quelle ambition ! Moi je veux devenir joueuse de Bavboules pro, mais apparemment c'est super-compliqué. C'est un peu mon rêve, tu vois. Tu as peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et te propose d'exaucer trois de tes vœux. Si un tel génie se présentait à toi, qu'est-ce que tu demanderais, toi ? »

« Ouais, Alladin et le génie ! » Tu étais beaucoup plus légendes arthuriennes et mythes celtiques que contes des mille-et-une nuits mais avec un père moldu, tu en connais bien plus que la plupart des jeunes sorciers sur l’autre monde. « Hmm, je crois que mon principal rêve est en train de se réaliser. J’ai toujours rêver d’aller à Poudlard et d’apprendre vraiment à faire de la magie. Y’a rien qui pourrait me rendre plus heureux, je crois. »

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Un aigle qui roucoule et une belle lionne, me semble-t-il Où avez vous connu le forum ?  Internet est ton ami Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Of course + dimanche-demiguise

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Sujet DESCRIPTION :  
— La première manifestation de tes pouvoirs magiques et la réception de ta lettre d'admission

L’été était déjà arrivé depuis des semaines et, sur ta si chère petite île, il faisait une chaleur d’enfer. Juin touchait à sa fin et comme tous les enfants de dix ans, tu devrais être occupé à jouer dehors, voir des amis, sauter dans tous les sens à la vue d’une lettre portant le sceau de Poudlard, l’École de Magie et de Sorcellerie. Mais non. Tu broyais du noir. Depuis une semaine.
Toi qui avais toujours été si joyeux, te voir ainsi rendait tes parents anxieux et à chaque fois que tu voyais leurs regards se poser sur toi, tu ressentais un mélange de regret, de dégoût et de colère. Ils n’y étaient pour rien, tu le savais. Tout ça, ce n’était que de ta faute, ça ne venait que de toi. Pourtant, comment ne pas en vouloir au monde entier lorsque ton jumeau avait reçu une semaine auparavant une lettre par hibou et qu’il s’était immédiatement mis à sauter de joie dans toute la maison ? Finnegan était admis à Poudlard. Il avait produit la première étincelle de magie il y avait déjà deux mois. Quoi de plus normal.

Mais toi ?

Cet après-midi-là, comme tous ceux depuis une semaine, tu étais sorti te balader. Tu avais toujours aimé la mer et chaque jour tu espérais que sentir le sable chaud entre tes orteils t’aiderait à oublier, à te sentir mieux.
La vérité ? Rien n’y faisait.
Tu n’avais jamais eu aussi peur de ta vie. Une anxiété prenante, suffocante planait au-dessus de toi depuis que tu savais que Finn allait aller à Poudlard. Tu te posais tellement de questions que tu n’arrivais plus à réfléchir. Et si tu n’étais pas un sorcier ? Après tout, ton père était moldu et tu n’avais jamais produit la moindre magie. Vous alliez avoir onze ans dans moins d’une semaine, pourtant. Un Cracmol, toi ? A chaque fois que tu avais cette pensée, tu avais envie de pleurer et malgré les mots doux de ta mère, rien n’y faisait. Cela devenait urgent. Tu devais faire quelque chose, un tout petit quelque chose. Ce n’était rien, ça, un tout petit rien.
Chaque après-midi, tu finissais par t’asseoir dans le sable, les yeux rivés sur l’horizon. Et tu te concentrais. Si fort qu’il arrivait que tu en aies mal à la tête. Une main au-dessus du sable, tu espérais qu’un grain, ne serait-ce qu’un grain, ne se lève, défie les lois de gravité, prouvant que toi aussi, tu étais capable de quelque chose. Pourtant, jamais rien n’y faisait.
Cet après-midi ne dérogeât pas à la règle et tu revins bredouille quand l’heure du dîner approchait, aussi furieux contre toi-même que contre le monde entier.

Ce soir-là, tu poussas la porte doucement. Tu étais resté dehors plus longtemps que prévu et ton père n’allait pas aimer ça. Avançant à pas de loup jusque dans la cuisine, tu tombas nez-à-nez avec ton frère.
- Ha ! T’es là, Ewan ! On t’attendait.
Quoi ? Ils n’étaient pas déjà à table ? Pendant un instant, tu te sentis soulagé mais aussi perturbé. Finn semblait avoir quelque chose à te dire. Tu le voyais. Tu lisais en lui comme un livre ouvert. Et lui aussi d’ailleurs … Tu l’interrogeais du regard.
- J-je … Je me disais, il fait super beau aujourd’hui. J’ai demandé à Maman et … ça te dirait qu’on aille sur la plage ce soir ? Tu arquas un sourcil. Pourquoi ? Et pourquoi y retournerais-tu alors que tu y avais passé tout ton après-midi. On pourrait faire un feu et-et dormir à la belle étoile. Ce serait cool, nan ? Maman est d’accord. De toute façon, on est pas loin.
Tu ne comprenais pas vraiment pourquoi Finn avait eu une telle idée mais soit. De toute façon, tu n’avais rien d’autre à faire ce soir. Rien d’autre que d’attendre que tes pouvoirs se manifestent.
- Ouais, pourquoi pas, maugréas-tu avant de te mettre à table.

Le soir venu, alors que le soleil commençait à peine à faiblir, Finn et toi rejoignîtes la plage en quelques minutes à peine, après avoir quitté la maison en assurant que tout allait bien se passer. Le soleil se reflétait chaleureusement sur la surface de l’eau et Finn entreprit de trouver du bois à faire brûler. Tu n’en revenais pas. Il n’avait rien prévu ? Tu avais envie de soupirer longuement mais devant l’enthousiasme de ton frère, tu décidas de ne rien dire et te mis toit aussi à la recherche de quelque chose à faire brûler.
Finalement, vous réussîtes à mettre la main sur quelques morceaux de bois flottés que vous réunîtes en un tas. Finn le regarda, fier de vous deux, puis finit par allumer le feu à l’aide de quelques herbes bien sèches et d’un briquet.

Tu passas alors une des meilleures soirées de ta vie. Finn n’avait peut-être pas pensé à ramener du bois mais il avait pensé aux marshmallows et aux sodas. Le silence de la nuit n’était brisé que par le doux ressac des vagues et vos rires enfantins. Pour la première fois depuis une semaine, tu réapprenais à aimer ton frère.
Ne sachant pas trop quelle heure il était, vous finîtes par vous coucher sur le sable, réchauffé par le feu qui faiblissait doucement.

Tu te réveillas en plein milieu de la nuit. Le ciel étoilé n’était plus masqué par la lumière chaleureuse du feu qui s’était éteint depuis déjà quelques heures. Tu ne sus pas pourquoi tu t’étais réveillé mais une chose était sûre, Finn, lui, dormait comme un loir.
Tu essayas de te rendormir en regardant les quelques braises qui restaient et en écoutant le doux bruit des vagues. Mais rien n’y faisait. Les minutes passaient et ton cerveau s’était remis en marche. Et toutes tes angoisses revinrent, comme cette folle obsession de faire ressortir tes pouvoirs. Tu te redressas alors, en tailleur dans le sable. Et comme tous les après-midi sur la plage, tu positionnas ta main au-dessus des braises, te concentrant comme jamais pour tenter de faire repartir le feu.

Il y eut un flash.
De la chaleur.
Tes pouvoirs avaient fini par jaillir.
Comme les flammes.

Mais tu étais bien trop proche. Avec tes pouvoirs encore immatures, les flammes incontrôlées vinrent lécher ton bras et mordre la manche de ton gilet qui prit aussitôt feu. Paniqué, tu te relevais en criant, réveillant en sursaut ton frère. Tu savais que tu devais enlever ton gilet mais tu n’y arrivais pas. Finn tenta bien de t’aider mais il était aussi paniqué que toi.
Alors que tu avais horriblement chaud et que les flammes grimpaient toujours plus, tu te précipitas dans l’eau. Les flammes s’éteignirent en chuintant mais toi, tu ne bougeas pas. Tu avais mal. Tu avais affreusement peur. Tu avais réussi à faire de la magie, tu n’étais pas un Cracmol et pourtant, tu ne le réalisais pas encore.
Finn s’approcha de toi au bout d’un moment, peut-être de peur de te brusquer et il te tendit la main.
- Viens, on rentre.
Finalement, tu n’avais que des brûlures superficielles et pourtant tu continuas à en faire des cauchemars bien des mois après. Même après avoir reçu ta lettre d’Admission.

Eh oui Élise, le voilà

Merci