ϟ la fiche de recensement

NOM - DUNBLAIR. PRENOMS - CORMAC, QUINN, FILIP. DATE DE NAISSANCE - 02 FEVRIER. AGE - 27 ANS. VILLE D'ORIGINE - GALWAY, IRLANDE. SANG - MÊLÉ, MAIS NE LE CRI PAS SUR TOUS LES TOITS. ANCIENNE MAISON A POUDLARD - SERDAIGLE. ORIENTATION - NEUTRE.

Voilà un homme bien énigmatique et contradictoire que Dunblair. Pour autant qu'on le sache, il n'est pas chose aisée de le cerner et de lire en lui. Et à tout ceux qui se mettront en tête un jour de découvrir qui est-il vraiment : du fond du cœur, bon courage !

Il faut savoir que Cormac n'est pas quelqu'un qui se dévoile. Non pas qu'il soit du genre taiseux ; il possède de l'éloquence et de la prestance, deux qualités qui font de lui quelqu'un de respectable et de respecté parmi ses paires au Ministère, et qui lui ont permises d'accéder au Magenmagot, à un poste tout à fait honorable pour son jeune âge, outre ses grandes capacités intellectuelles.
Car qu'on se le dise : Cormac Dunblair est un self-made-wizard !
Irlandais pur souche issu d'une famille modeste de sorciers au sang-mêlé, rien ne le prédestinait à une grande carrière, ni même à une vie telle que celle qu'il mène.
Le secret de sa réussite ? Une recette particulièrement corsée qui, si elle est suivie à la lettre, est la clef qui mène au succès. Et son ingrédient principal : l'antagonisme de son caractère.

Cormac ne s'en cache pas ; il ne répond peut-être pas aux critères d'une beauté sculpturale évidente, mais cultive un côté Dandy dont il est fier et qui lui colle au corps comme une seconde peau. Pourtant, derrière son air affable de gendre idéal, éduqué et rangé, se cache un caractère bien trempé de jeune chien fou, plein de fougue et de passion, d'intransigeance et de feu.
Ce torrent de vie et d'adrénaline qui coule dans ses veines et irradie son être de folie et de cette rage de vivre typique des irlandais, est savamment dissimulé sous un masque placide et doux de jeune sorcier plein d'ambition et de détermination.
Le visage qu'il montre est toujours celui de cet homme mesuré et discret, imperturbable et droit dans ses bottes, sur qui l'on peut compter.

Cependant, malgré tous les principes et bonnes volontés dont il se pare, ce ne sont souvent que des voeux pieux qu'il n'applique pas au quotidien. Ni bon, ni mauvais, Dunblair est versatile et vogue au gré du vent, là où son intérêt le porte. Vous êtes du côté du bien ? Il l'est aussi. Vous êtes du côté du mal ? Il l'est aussi. Vous êtes neutres ? Laissez-moi vous dire que vous avez trouvé votre maître en la matière.
Quelle que soit votre opinion, si vous demandez la sienne à Cormac, il saura savamment vous faire croire qu'elle est la même que la votre.

Animé de ses propres motivations, guidé par ses propres convictions, Dunblair ne fait confiance à personne d'autre qu'à lui-même, quand bien même il sait parfaitement bien simuler l'inverse. Son meilleur allié est son instinct hors paire, ce flair presque animal, qu'il suit jours après jours et qui ne lui a jamais fait défaut.
Capable du meilleur comme du pire, il fraie avec les gentils comme avec les méchants, et ne se révèle jamais. Cormac Dunblair est un homme que l'on aime ou que l'on déteste, mais qui ne laisse en aucun cas indifférent.

VOTRE PATRONUS - Un singe capucin.
VOTRE EPOUVANTARD -  Se retrouver au beau milieu de la salle 10, jugé par tout ses collègues du Magenmagot.
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Le vert des landes, le brun de la tourbe irlandaise.
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – L'homme.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Poivre.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Alohomora. Le sort qui ouvre absolument toutes les portes....
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Fleury & Botts.
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Merlin.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Méfiez-vous de l'eau qui dort...

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?

Chère Rita, veillez-bien à ce que votre Plume à Papote note que contrairement à ce que vous avez l'air de prétendre, ce n'est pas la première fois que nous nous rencontrons... Outre le cocktail du Ministère d'hier soir, c'est au Magenmagot que nous nous croisons le plus souvent. Cela vous revient ? Je suis celui que vous essayez d'alpaguer à chaque fin de jugement, à la sortie de la salle 10. Cependant je vous rappelle à nouveau que je suis soumis au plus strict secret professionnel concernant les dossiers que nous traitons au Magenmagot. Pour information, je n'accepte toujours pas les pots-de-vin. En revanche, rien n'interdit les dîners d'affaires...

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?

Effectivement, il y en a bien une. Ma femme Iris, nous fêtons nos six ans de mariage cette année. Les noces de Chypre, paraît-il, bien qu'en toute honnêteté je n'accorde que peu d'importance à ces conneries. Oh j'aime ma femme, ne vous méprenez pas. Oui, j'ai de l'affection pour elle, c'est une personne aimante. Sans doute un peu trop. Ou alors, c'est que nous n'avons pas le même degré de sentiments. Voyez, Iris ne donne pas dans la demie mesure. C'est une irlandaise, tout comme moi, elle a le sang chaud ! En société, elle est d'une docilité déroutante. Mais à la maison... C'est une autre paire de manches ! Ma femme est excessive, en tout. Et d'une possessivité et d'une jalousie hors normes ! Elle vous dirait même sans doute que j'aime plus ma sœur qu'elle. Peut-être est-ce le cas. Mais pour le meilleur, comme pour le pire, c'est avec elle que je suis marié. Ceci dit, je reste ouvert à toutes propositions...

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !

Je n'aime pas trop parler de mon passé. Pour la simple et bonne raison qu'il n'y a rien de vraiment trépident à raconter... Je suis un irlandais pur souche, et je suis issu d'un milieu franchement modeste. Mon père, qui est sorcier, travaillait dans une usine de fabrique de balais. Ma mère, sorcière également, y travaillait aussi, c'est ainsi qu'ils se sont rencontrés. Et comme je vois déjà venir votre question, j'ai des grands-parents et des aïeux moldus, bien que je ne saurais vous dire dans quelles branches exactes.
J'ai deux sœurs. Une sœur jumelle, Rosaleen. Nous sommes ce que l'on appelle des « jumeaux fusionnels », et je n'ai pas honte de dire qu'elle possède littéralement la deuxième moitié de mon cœur. Comme si nous ne faisions qu'un. Entre nous, pas même besoin de mots, nous nous connaissons par cœur. Elle est mon alter ego, et je suis capable d'absolument tout pour elle.
Ma seconde sœur, Sinead, a deux ans de moins que nous. À l'inverse de Rosaleen, je ne m'entends absolument pas avec elle. Pour ne rien vous cacher, Sinead est mauvaise. Elle voit le mal partout, s'imagine toujours le pire, et envisage chaque situation de façon retorde. C'est d'ailleurs elle qui a insufflé l'idée en ma femme que je lui préférais ma jumelle. Sinead, comme on le dit chez nous en Irlande, porte le mal en elle, et je ne lui accorde pas ma confiance.
Nous sommes tous les trois sorciers, et avons effectuées nos scolarités à Poudlard, Rosaleen et moi à Serdaigle, Sinead à Serpentard.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Vous savez, j'ai appris une chose dans la vie : ne jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. J'ai de l'ambition et aspire à une carrière conséquente au sein du Magenmagot, auquel je me consacre corps et âmes depuis des années. Ma chère Rita, il faudra vous contenter de cela, j'en ai bien peur...

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Et vous Rita, de quel côté êtes-vous ? La question n'est pas simple, vous ne rougiriez pas ainsi, autrement. Vous m'avez parlé d'un jocker, hier soir. Je le joue pour cette question.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Les contes, comme les légendes voyez-vous, sont monnaie courante en Irlande, je vois très bien duquel vous parlez. J'utiliserai mes vœux je pense pour en obtenir d'autres encore, et réinventer ma vie sans cesse. Je pourrais, comme un chat, accumuler les existences et les expériences. Devenir un autre chaque fois, et écrire de nouvelles pages à mon histoire.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? :couet: Où avez vous connu le forum ? Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : + sauge

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Bienvenue avec ce nouveau perso haut en couleur

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

AUTRE :
— Exemple de post de façon RP de votre choix.

Des notes volantes traversaient couloirs et plafonds du Ministère. Dans le bureau de Cormac, qu'il partageait avec sa secrétaire, les parchemins bourdonnants créaient comme un second plafond au-dessus de leurs têtes.
Vera était partie plus tôt ce soir là, veille de Noël exige. Après lui avoir souhaité de joyeuses fêtes à sa femme et lui, elle avait tourné les talons dans un nuage de parfum qui durait encore dans la pièce, bien qu'elle l'ai quittée depuis plus d'une heure déjà. Cormac fut saisi de cette capacité qu'avaient les femmes à laisser leur emprunte longtemps derrière elles, même lorsqu'elles n'étaient plus là.
Refermant le dossier sur lequel il était penché d'un geste sec, il se balança en arrière dans sa chaise, posa sa nuque sur le dossier et renversa sa tête. Portant ses deux mains à son visage, il ferma les yeux et expira longuement par la bouche ce souffle d'exaspération synonyme d'heures supplémentaires éreintantes. Recoiffant une mèche qui lui tombait sur le front, il resta dans cette position une minute encore, avant de décider que l'affaire Murphy n'était pas urgente et attendrait son retour au bureau après les fêtes. De toute façon, Cormac le savait, les charges allaient être abandonnées contre ce pauvre vieux.

Attrapant son long caban de laine, il l'enfila et verrouilla la porte derrière lui.
Arpentant les corridors du niveau 10 du Ministère, il répondait aux salutations de ses collègues, échangeait quelques banalités avec eux – oui, Iris servirait sa succulente dinde aux marrons cette année encore, oui la neige redoublait d'ardeur dans sa chute et annonçait une tempête, mais que serait noël sans une bonne tempête de neige, n'est-ce pas ? –, levant les yeux au ciel des qu'il se retrouvait seul.
Des pas précipités dans son dos annonçaient que quelqu'un lui courait après, et Cormac espéra que cela ne soit là qu'une vue de son esprit, due au verre de Whisky qu'il avait bu avec sa secrétaire à la santé de la divine naissance.
— Eh, minute compatriote ! Cormac s'arrêta en grimaçant, jura silencieusement en fermant les yeux, et se retourna pour offrir un sourire impeccable à son interlocuteur.
— Salut mon vieux, toujours là ? N'as-tu pas une charmante femme qui t'attends à la maison ?
Mitchell O'Brien éclata d'un rire gras, ses petits yeux verts pétillants d'amusement.
— Je te retourne la question, Mac. En fait, c'est justement pour elles que je te cherchais, fit-il, essoufflé. Regina à fait un cadeau à Iris et m'a interdit de rentrer à la maison si je n'arrivais pas à te le donner avant que tu partes.
— Mitch, mon grand, tu vas pouvoir t'en retourner sereinement à tes pénates ! Nous nous échangerons les nôtres la semaine prochaine. Iris voulait vous inviter à dîner à la maison. Le 28, entendu ? Je dois te laisser, je suis attendu et en retard déjà.
Mitchell lui lança un regard de connivence et lui administra une tape amicale dans le dos à lui décoller les poumons. Cormac en eut le souffle coupé.
Une fois parvenu dans le grand hall du Ministère de la Magie, il se dirigea directement vers les grandes cheminées et prit la poudre d'escampette.

Aiden Turner les dix petits nègres

Ton perso a l'air vachement intéressant ! Rebienvenue chez nous en tout cas !