ϟ la répartition

NOM - Oorlos PRENOMS - Astrid DATE DE NAISSANCE - 20 Décembre AGE - 15 Ans VILLE D'ORIGINE - Llanberis CLASSE - Cinquième année SANG - Apparemment pas d'accident donc Sang-Pur

Astrid est quelqu'un d'assez arrogant, sûre de ses forces. Elle sait ce qu'elle vaut et elle en est fière. Elle est fière de ses origines et d'où elle vient. Elle est fière de sa famille et de ce qu'ils ont accomplis. Pourtant elle est assez ouverte elle adore les gens qui ont des avis divergents du sien. Elle aime discuter, elle sourit et est plutôt chaleureuse. Mais elle peut être méchante si elle n'aime pas quelqu'un, voire jalouse selon les cas et même parfois vindicative. Elle n'aime pas l'humiliation, elle se considère plutôt au-dessus de ça. Cependant son caractère fort peut lui attirer quelques foudres si elle ne fait pas attention. Astrid n'est pas le genre de fille à laisser quelqu'un sur le bas-côté, elle déteste les "on-dit" et ne croit jamais aux rumeurs. Elle préfère vérifier par elle-même.  
C'est aussi quelqu'un qui aime s'amuser, qui ne dit jamais non à quelques coups foireux du moment qu'ils ne visent pas à humilier quelqu'un.
C'est une personne d'honnête qui ne tolère pas la trahison. Elle ne pardonne pas et garde toujours une certaine rancœur même si elle ne le montre pas.
Astrid est une jeune fille plutôt taquine, tactile et elle ferait n'importe quoi pour ses amis, les plus proches comme ceux qui le sont moins. Si elle vous apprécie c'est une très bonne chose pour vous, elle ne vous oubliera jamais.

VOTRE PATRONUS - Une Gazelle
VOTRE EPOUVANTARD - Des aiguilles
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Rouge
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Tortues
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Pomme
VOTRE COURS PRÉFÉRÉ – DFCM
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Expelliarmus
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Le Magasin de quidditch mon chou.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Elle a une cicatrice fine qui part du coude jusqu'au poignet du bras droit.

Explications : Tu te trouves dans le Poudlard Express, en route vers ta Première Année. Soudain, une élève un peu plus âgée entre dans ton wagon et commence à te poser des questions.

« Salut, je peux m'installer ici ? Moi c'est Penny Clearwater, je suis Préfète, et toi tu t'appelles comment ? Tu vas faire ta première rentrée à Poudlard, on dirait. Faut pas t'inquiéter, ça va aller. Tu sais déjà dans quelle Maison tu voudrais aller ? »

Ah tient, salut, fais comme chez toi. Je m’appelle Astrid Oorlos, et oui je vais entrer en première année, je crois que ça se voit ahah. pour la maison ? Je ne sais pas trop, Gryffondor sans doute, c’est une très bonne maison, la meilleure, si j’y suis envoyé.

« Je vois, je vois. Ben verdict à la cérémonie de Répartition, alors ! C'est le Choixpeau qui décide, après tout. Mais j'espère que tu iras là où tu veux. Au fait, ton nom me dit quelque chose, t'as déjà des frères et soeurs à Poudlard ? Et tes parents, ils font quoi dans la vie ? »

Oh je suis fille unique, aux dernières nouvelles. Tant mieux d’ailleurs. Mon père est un employé au Ministère, sous-chef à la Brigade de la Police Magique ! Et ma mère travaille au Département de contrôle et de régulation des créatures magiques. C’est classe pas vrai ? Bon peut-être plus mon père que ma mère, mais franchement, le Ministère quoi. Mais je ne pense pas que tu nous connaisses en tout cas moi je ne te connais pas.

« Ah oui non en fait, j'ai dû confondre avec quelqu'un d'autre. Bref ! Sinon, comment tu vois ton futur, à ta sortie de Poudlard ? Tu dois bien avoir des projets d'avenir, tu sais ce que tu veux faire plus tard ? »

T’es une bavarde dit donc, moi qui étais bien toute seule. Mon futur… Mais c’est assez lointain quand même… Une carrière au Ministère comme mes parents me plairait bien. Auror, c’est sympa, tu ne trouves pas ? Enfin, un métier où il y a de l’action !

« Quelle ambition ! Moi je veux devenir joueuse de Bavboules pro, mais apparemment c'est super-compliqué. C'est un peu mon rêve, tu vois. Tu as peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et te propose d'exaucer trois de tes vœux. Si un tel génie se présentait à toi, qu'est-ce que tu demanderais, toi ? »

Ah, oui quelle ambition. Mmh pour les vœux, c’est assez personnel non ? Je ne vais pas être originale en te répondant donc. J’aimerais que tout ce qui doit me revenir me revienne. Que ma famille soit protégée et euh… Ah ! Je sais ! Qu’on interdise la production d’aiguilles. Non mais ces choses sont horribles tu ne trouves pas ?

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  2 : Serpy et Adulte Où avez vous connu le forum ?  Question intéressante. Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Je l'ai lu, depuis le temps et je m'engage à le respecter ! + mercredi-menthe

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BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

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SUJET ACTION – Grenier

18 Mai 1964 – Bristol

Encore une après-midi seule, Astrid commençait à en avoir ras-le-bol. Ses parents travaillaient et l’avaient laissé une fois de plus seule face à son destin. La petite fille s’ennuyait à mourir. Elle n’avait pas envie de sortir. Puis, de toute manière, vu la flotte de dehors, ça n’aurait pas été très intelligent. Elle n’avait pas non plus envie de s’amuser avec ses jouets sorciers. Que faire, que faire ?
Depuis la récente manifestation de ses pouvoirs, un mois auparavant, Astrid Oorlos se sentait en confiance. Elle se sentait pousser des ailes. Un mois qu’elle était invivable avec ses parents qui ne savaient plus quoi faire. S’il fallait faire une bêtise, Astrid l’avait déjà faite dans la maison. Mais maintenant qu’elle avait était jusqu’à la limite de ses possibilités, elle devait bien constater qu’elle s’ennuyait. Enfin presque.
Astrid n’allait jamais dans le grenier. Sa mère, son père, ses oncles, grands-parents, enfin bref tout le monde le lui interdisaient, sans qu’elle ne sache vraiment pourquoi. Et le meilleur moyen pour qu’elle le fasse était de lui interdire. Cela faisait quelque jour que l’idée de monter, contre tous les ordres familiaux lui trottait dans la tête. La veille encore, elle avait tâté le terrain avec ses parents… Qui lui avaient dit qu’il n’y avait rien pour elle là-haut. Esprit de contradiction ou pas, elle avait immédiatement prit la décision que le lendemain serait le jour de la grande exploration vers l’inconnu.

Le jour du 18 mai 1964, la petite Oorlos se leva bien tôt. Elle mangea, s’habilla enfin, fit tout comme d’habitude, sous le regard de ses parents qui ne s’imaginaient pas ce qu’elle allait faire. Elle leur souri quand ils partirent, attendit un peu, sans doute une demi-heure, histoire d’être sûre qu’elle ne serait pas dérangée, puis avait grimpé les escaliers quatre à quatre. Elle trébucha sur la dernière marche, mais s’en sortit sans dommage. Le cœur battant et les yeux brillant, elle prit la clé de la porte sous un vase (ses parents s’imaginaient vraiment qu’elle ne savait pas où état la clé) et elle s’ouvrit sans résistance. Elle se précipita à l’intérieur sans attendre, pensant trouver ici, avec son imagination d’enfant monts et merveilles fascinants.

Il n’y avait rien.

La pièce était poussiéreuse, mal entretenue en comparaison avec le reste de la maison, des toiles d’araignées énormes étaient contre la seule vitre présente, ce qui faisait qu’on y voyait presque rien. Astrid s’avança quand même, guère impressionné par ce spectacle ridicule. C’était donc ça qu’ils lui cachaient ? Sérieusement ? Il doit y avoir autre chose dans les boîtes.
Astrid n’avait pas tort de penser cela. Ses parents s’étaient naïvement dit que laisser la pièce pour vide dissuaderait la petite fille si elle s’y aventurait par provocation. Mais non, pas du tout, ça avait en fait l’effet inverse. Elle saisit une petite boîte totalement au hasard, la posa par terre et entreprit se l’ouvrir en essayant de laisser le moins de traces possible. Une fois son enquête terminée, la boîte serait là où elle avait toujours été et personne ne saurait qu’elle était monté là-haut.
La petit Oorlos lança sa main à tout hasard dans la boîte pour en ressortir un très bel objet. Un bibelot. Le terme de bibelot n’était pas mélioratif, elle le posa à côté d’elle sans plus s'en préoccuper, récurant le fond de sa boîte. Mais l’objet commença à faire un bruit.
La petite fille sursauta tellement fort qu’elle se cogna la tête contre le plafond bas. Sur les fesses, sonnée elle attrapa l’objet et l’observa avec le peu de lumière qu’elle avait.
L’objet était rouge, comme sa couleur préférée. A tout bien y regarder il était très beau, elle aurait bien voulu l’emmener dans sa chambre. Elle le secoua. Jamais elle n’aurait pu poser les mots sur les sons qui sortaient de ce truc.

- Ça appartenait à ton grand-père.

Astrid sursauta pour la seconde fois et faillit faire tomber l’objet au sol. Elle jeta un regard furieux à son oncle, posté dans l’encadrement de la porte.

- Celui qui est mort précisa-t-il.

Elle ne répondit rien et reporta ses yeux sur l’objet.

- Tu devrais le poser Astrid, c’est objet puissant et dangereux. Surtout lorsqu’il est entre les mains d’une enfant.

Ah, nous arrivions là à une phrase qui faisait bouillir Astrid. Mais la petite fille ne dit rien. Elle était docile et acceptait toujours de suivre les ordres de ses parents, même à contre-cœur. Son oncle avait dû être recruté pour la surveiller le temps que ses parents reviennent.

- Qu’est-ce que c’est ?

- Je ne sais pas. Mais papa disait toujours que cela venait de son père et qu’il y tenait beaucoup. Peut-être qu’un jour, tu l’auras aussi ?

Cette phrase remit du baume au cœur de la petite fille. Comme prévu, elle reposa l’objet dans la boîte, l’esprit envahis par les sons étranges qui s’étaient échappés de l’objet. Elle remit la boîte à sa place, et en fermant la porte, personne ne saurait jamais qu’elle était passé par ici. Elle suivit son oncle, qui ferma sous ses yeux l’entrée, et recacha la clé au même endroit.

- Si tu n’y retournes pas, je ne dis rien à ton père. Deal ?

Bienvenue à Poudlard !