ϟ la fiche de recensement

NOM - de Launay PRENOMS - Pontos Louis Abraham DATE DE NAISSANCE - 3 avril 1943 AGE - 34 années de pitreries. VILLE D'ORIGINE - la belle ville de Cork, en Irlande. SANG - Mêlé, merci papa. ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Poufsouffle. ORIENTATION - côté du bien, mais personne ne l'a approché pour entrer dans une organisation, dans l'immédiat.

Pontos est... un con. Mais attention, aussi bien un bon qu'un mauvais con. Dans le bon sens du terme, il est derrière les farces stupides que l'on se fait toujours entre amis (du genre mettre du poil à gratter dans votre caleçon, prendre un marqueur moldu pour vous dessiner des choses sur le visage pendant que vous dormez etc...) mais à côté, il est aussi le mauvais con. Celui qui va vous flanquer son poing dans le nez juste si vous avez le malheur de jeter un regard trop appuyé sur la personne qu'il aime. Pas que ce problème se pose encore aujourd'hui en réalité. Mais en dehors de ça, Pontos est aussi un homme de cœur, le style à se dire que de toute manière, tant que vous ne le faites pas chier, il se fiche bien que vous soyez un moldu, un cracmol, un sang-mêlé ou un sang-pur. Au bout du voyage, vous allez tous mourir de la même manière... fidèle en amour et en amitié, sa famille, ses proches, passent avant tout et son bon caractère peut vite se changer en Mister Hyde si une personne l'agace. Monsieur à un peu le sang-chaud... un fait qui ne s'arrange pas dans les grandes villes. En tant que petit gars de la campagne, il déteste le vacarme des grandes agglomération, préférant les bêlements des moutons et chèvres de sa maison.

Derrière ces traits normaux pourtant, Pontos cache une facette plus sombre de sa personnalité. Une peur panique de perdre ceux qui lui sont chers et souvent, il lui arrive de rester dans son logis pendant des jours entiers, le temps de chasser une nouvelle vague de panique s'étant frayée un chemin dans son cœur. Dans ces moments-là, lui faire entendre raison sur la stupidité de ses craintes relève de l'impossible, à moins de vouloir vous prendre un sort dans le coin de la trogne. Enfin... au moins, il vous prévient avant, donc si vous insistez, c'est de votre faute.

VOTRE PATRONUS - Un ours, style grizzly.
VOTRE EPOUVANTARD - Une couverture d'enfant, tâchée de sang, contenant un bébé immobile.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Aussi étrange que ce soit... gazon.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Accio, parfait pour les petits flemmards.
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – La potion d'enflure. Franchement, qui n'a jamais rêver de faire enfler quelqu'un qu'il déteste? Pas qu'il l'ait déjà fait, bien entendu.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Le glacier, un bon ami à lui d'ailleurs.
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Soyons original... Merlin.
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – Les dragons, pratique pour tenir chaud... ou cramer la ferme de ce voisin très très agaçant.
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – Ha ça... du chocolat avec un touche de caramel pour qui y prête bien attention. En fond, un léger parfum de parfum mélangeant violette et herbe fraîche.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? -  

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Oula! Vous êtes bien loin de la vérité ma chère Rita. Même si sauver des vies est un métier tout à fait honorable, je dois admettre que ce n'est pas ce que je fais. Peut-être qu'avec un peu de sérieux lors de mes études, j'aurais pût, mais cela me fatiguais prodigieusement. Je suis magiarchéologue. En gros, mon métier consiste à me rendre, avec mon équipe, sur des sites de fouilles sorciers afin de découvrir des vestiges de la vie de nos ancêtres. Souvent, il nous arrive de travailler en équipe avec nos homologues moldus, car il faut se rappeler que le secret magique est assez récent, et certaines cultures mélangeaient à la perfection nos deux mondes. Si bien que parfois, nous devons en quelques sortes leur mâcher le travail, en faisant par exemple en sorte de trouver les items magiques avant eux... ou en désarçonnant les sorts présents sur les lieux de fouilles. Nous nous souvenons tous des malédictions les ayant frappés par le passé, faute d'un mauvais travail de nos équipes.  

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
Il y avait quelqu'un en effet. Elle s'appelait Ahinui, et nous nous sommes rencontrés lors d'un travail que je faisais en Nouvelle-Zélande. Des sorciers d'origine Maori et nous-mêmes faisions équipes sur un site bien précis, pouvant faire une avancée majeure dans la façon dont la magie était pratiquée au cœur des tribus avant l'arrivée des colonies. Ahinui m'a détesté dès qu'elle m'a vu. Elle trouvait que j'étais un poseur, un type ne respectant en rien l'histoire de sa culture, de son peuple, faisant de moi un sorcier ne méritant pas l'honneur de fouler ce sol. Bon, j'étais un peu con à l'époque, je vous l'accorde... mais je crois que ça ne justifiait pas tous les regards noirs et tous les mauvais coups qu'elle me jouait pour me faire partir. C'était il y a environs 10 ans maintenant, mais je me souviens encore de tous les 'incidents' qui m'arrivait, et qui étaient clairement de son fait. Je pense qu'elle m'aurait encore détesté longtemps si je n'avais pas trouvé l'entrée d'une galerie souterraine, qui nous a mené à une découverte incroyable... et si je n'avais pas insisté pour qu'on la mette à son compte. Six mois! J'ai mis six mois à pouvoir l'inviter à prendre un verre sans qu'elle me dise qu'elle préfèrerai encore avaler des couleuvres vivantes! Après, elle m'a expliqué qu'elle détestait généralement tous les sorciers extérieurs au pays, mais elle a fini par voir que je m'intéressais à leur passé, et que je ne voulais pas tout ramener en Angleterre pour ma gloire personnelle. Nous nous sommes mariés trois ans plus tard, après de nombreux voyages de ma part vers son pays... autant vous le dire, elle était radieuse! Beaucoup moins quand elle a découvert la météo de notre pays! Pas un jour ne passe sans qu'elle me manque, ainsi qu'à nos enfants.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
Je suppose que le passé impacte notre avenir oui. Enfin, même si je pense que ma vie n'est pas des plus passionnantes, je vais vous en toucher un mot.

Il faut savoir, en premier lieu, que mon père est un sang-mêlé français. Oh, il affirme que depuis le temps que nous sommes sorciers, nous pourrions parler de sang-pur, mais même si cela remonte au 13ème siècle, un moldu est passé par-là, donc désolé mais non. En France donc, notre famille appartient à la noblesse et son mariage a été arrangé avec une famille anglaise bien avant qu'il soit seulement en âge de parler. Sa famille voulait en effet étendre son emprise ici. C'est ainsi qu'il a épousé ma mère alors qu'il venait d'avoir 18 ans, et elle 20. Tout ce que je sais, c'est que ce n'était pas l'amour fou au début et sans la surveillance constante de ma famille pour avoir un héritier, j'aurais mis bien plus longtemps à arriver. Voyez-vous, je suis le fils aîné d'une fratrie de trois enfants, uniquement des garçons. L'un a 32 ans et l'autre vient d'en avoir 31. Nous avons donc grandis ensemble et, les enfants soudant parfois les couples, il semble que papa ait réussit à gagner l'amour de notre mère en arrêtant d'agir comme si le monde devait embrasser le sol qu'il foulait. Maman déteste les prétentieux, et les traîtres. Je me souviens, quand j'avais cinq ans... une dispute a éclaté entre eux car papa a été surpris en train de tromper maman... il se peut que je sois celui ayant balancé qu'il jouait au cheval avec la nourrice... sa tête n'a pas retrouvé une apparence normale pendant bien trois semaines. Ne jamais mettre une Irlandaise en colère.

Bref, en dehors de ça mon enfance fut vraiment heureuse et avec mes frères, nous jouions souvent à être les chevaliers de la table ronde, jusqu'à ce que je me rende à Poudlard pour la toute première fois. Maman était tellement fière et soulagée! Pas qu'elle ait craint que je sois un cracmol, j'avais montré des signes de magie assez tôt. Elle était juste soulagée de savoir que maintenant, son fauteur de trouble officiel n'allait plus être là pour montrer aux deux plus jeunes comment user de la magie pour faire des bêtises plus gros qu'eux. Comme envoyer le chat sur le toit de la maison.

À Poudlard, je rejoignais la maison des Poufsouffle. Ce n'était pas une surprise en soi, je n'étais pas prêt à tout pour arriver à mes fins, ni spécialement rusé, ni avec des ambitions plus grosses que ma... bref... donc Serpentard me fermait ses portes. Les Gryffondors? J'avais toujours trouvé cela prétentieux d'avoir le roi de la jungle comme emblême, m'y retrouvait m'aurait remplis d'horreur. Serdaigle demandait bien trop de sérieux - à mes yeux d'enfant remplis de clichés - et bien que je ne sois pas un idiot, la simple idée de me creuser la tête pour remplir les attentes de cette maison me fatiguait. Restait donc Poufsouffle qui, à mon grand bonheur, me recevait et m'apprenait que la salle commune se trouvait près des cuisines. Des cuisines qui ont souffert de mes fringales nocturnes.

Malgré mes airs à me foutre de tout, je développais un certain intérêt pour l'Histoire de la Magie (même si oui, le professeur était d'un ennui mortel) et mes notes restaient tout à fait correct à chaque fois que cela devenait urgent pour mon avenir. J'adorais aussi la métamorphose et les cours de sortilège. Les potions par contre... disons que cela me demandait un effort de concentration, au risque de m'endormir, la tête sur mon bureau. Heureusement, je terminais mon cursus avec d'assez bon résultats pour faire le métier de mes rêves.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Mes projets? Dans l'immédiat, faire en sorte que mes enfants grandissent aussi heureux que possible. Ce n'est pas toujours évident, surtout avec des jumeaux en bas-âge, mais je ferais tout pour ça. Autrement, mon rêve ultime concerne ma carrière. Vous n'êtes pas sans savoir que l'Atlantide n'est un mythe que pour les moldus, et mon rêve serait d'être l'archéologue qui trouvera son emplacement, afin de lever le voile sur un pan entier de l'histoire de la magie. Je ne peux que me demander quel incident magique a causé sa destruction alors que, eut-elle survécu, le monde tel que nous le connaissons pourrait être bien différent vu leur évolution pour l'époque. Je sais, je sais, je suis un doux rêveur. Certains de nos compatriotes ne croient même plus en ce mythe, mais ne vivions-nous pas des espoirs qui dorment au fond de nous? Si nous cessons de rêver, nous sommes déjà morts.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Au risque de me faire des ennemis, je pense que ce groupe suivant un certain noir n'est rien d'autre qu'un gang de clowns, qui pensent qu'une certaine supériorité leur est dû pour le statut de leur sang. Cela montre à quel point ils sont bêtes. En effet, mon métier m'a permis d'apprendre une chose primordiale, car voyez-vous, nous faisons aussi de la généalogie... enfin, je divague.. ce que je veux dire, c'est que ces gens pensent être mieux que les nés-moldus en particulier. Hors, saviez-vous que ces personnes que l'ont dit nées-moldues sont en réalité les descendants de vieilles familles sorcières, qui ont un jour donné un cracmol, et dont le gêne magique se réveille parfois des générations plus tard. Techniquement, ils descendent tous de sorciers, je pense donc que ces gens sont des sang-mêlés comme les autres, mais c'est juste moins flagrant vu que la magie s'est éteinte pendant très longtemps. Tenez, vous avez peut-être même des cousins de la famille Black qui sont nés-moldus, même si leur melon leur interdit de l'admettre.

Bref vous avez compris que je suis contre ces idées stupides. Mon camp est celui où les gens peuvent vivre sans avoir honte de leur héritage ou de qui ils sont. D'ailleurs, je suis presque certain que nous pourrions trouver des dossiers amusant sur la famille de ce Voldemort, si nous creusions un peu sa généalogie. En voilà une bonne idée!

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Alladin? Bien sûr que je connais! Saviez-vous qu'à l'origine le personne était asiatique? Pardon, je fais encore des digressions.

Je lui demanderai en premier lieu de ramener ma femme. Que voulez-vous, je suis un grand romantique. Ensuite, je demanderai un indice pour découvrir l'Atlantide... mais juste un indice, car je veux faire le travail moi-même. Enfin, une bonne tarte aux pommes, encore fumante, qui se régénère à chaque fois que nous la finissons. Mes enfants et moi adorons les tartes.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Nope Où avez vous connu le forum ?  PRD Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Oui capitaine, lundi-lutin de cornouailles

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Il était en retard! Encore! Comment faisait-il pour toujours être en retard afin d'aller chercher les jumeaux chez la nourrice?! Il pouvait déjà imaginer la petite Aimata en train d'attendre devant la cheminée, prête à pleurer si son papa n'arrivait pas rapidement, pensant sans doute qu'il allait s'en aller comme sa maman. Son frère, Ari, devait pour sa part dormir. Ce gamin se foutait de tout... on se demandait bien à qui la faute. Enfin... tout cela pour dire qu'après un dernier signe à ses collègues, Pontos entrait dans la cheminée et lâchait l'adresse de la nourrice mais à son arrivée, il y avait comme un problème. Cet endroit... ce n'était pas DU TOUT sa destination, et à en juger par l'air éberlué des gens en train de décorer leur sapin de Noël, il n'était pas le seul à se faire cette réflexion. Oh... à moins que ces gens ne soient des moldus? Ha oui. Une tévé... tévélision(?) laissait des images défiler, celles d'un f...film de noël? Merde. Les parents étaient figés et un gamin le fixait, entre être terrifié et ébahi par ce qu'il venait de voir. Nerveusement, l'homme se passait une main dans les cheveux, buttant au passage sur un nœud, avant de lâcher le premier truc lui passant par la tête.

— Ohohoh! Pardonnez mon intrusion, je travaille pour le service qualité du Père Noël. Je venais voir si votre charmant bambin était aussi sage que le dit la liste, et m'assurer que la maison était sûre pour l'arrivée prochaine du patron.

Bon, le gamin le croyait sans hésiter vu le cri de joie qu'il poussait, mais les parents... il aurait pût arriver nu sous un imperméable, ils auront sans doute eut autant l'air de le prendre pour un pervers. Baissant la voix, le sorcier s'approchait d'eux en leur jetant un discret sort de confusion, afin de les persuader qu'il n'était là que parce qu'ils l'avaient engagé afin de jouer le rôle d'un ami du père noël, pour faire plaisir à leur enfant. Vive la magie, cela fit l'affaire même si dans son coin, Pontos se demandait toujours comment il pouvait être arrivé ici. Il avait clairement demandé à se rendre au cottage de la vieille Mckin. Il n'était pas fou! Mais maintenant, voilà qu'il devait écouter un petit en train de lui dire qu'il avait demandé une poupée au Père Noël, parce que "les poupées c'est pas que pour les filles d'abords!" en plus de se faire bombarder de questions sur le pole nord, sous l'œil amusé de la famille sous l'emprise d'un sort.

— Et est-ce que t'as des enfants? C'est des lutins? Est-ce que les lutins ils sont  tout le temps contents et tout? Est-ce que t'es un monsieur qui a grandit avec des elfes? Pourquoi t'es pas tout petit?

Wow. Même ses enfants ne posaient pas autant de questions... quoi que si... et deux fois plus même.

— Oui j'ai deux enfants, ce sont encore de tous petits bébés de 1 an et demi. Mais ce ne sont pas des lutins, les lutins vivent dans la fabrique à jouets, et les humains avec le Père Noël.
— Je veux aussi travailler avec le Père Noël!
— Peut-être que tu pourras un jour, si tu crois très fort en la magie et que tu travailles dur.

Et ainsi de suite pendant dix longues minutes, avant que Pontos ne mette fin à l'échange, en expliquant qu'il devait aller voir d'autres enfants. Bon cette fois par contre, il prenait la porte pour sortir, avant de trouver une rue calme où il pût disparaître sans attirer l'attention. Vraiment... il n'y a bien qu'à lui que ce genre de chose arrivait. Heureusement que Noël approchait, autrement... Merlin sait avec quelle excuse il s'en serait tiré. La prochaine fois, il ne prendrait pas la cheminée pour aller chercher les petits et, en parlant d'eux, il apparaissait à peine dans le salon sentant bon le gâteau de la nourrice que deux petits bras se refermaient déjà autour de sa jambe droite, attirant son attention sur les cheveux bruns de sa fille, qui refusait obstinément de se décoller de lui.

Eh bien, en voilà un personnage intéressant ! Bienvenue chez nous !