ϟ la fiche de recensement

NOM - BATES, le nom de celui qui est à l'origine de ma transformation. Mais même si Fenrir a voulu me faire oublier mon véritable nom, je m'en souviens encore. Il s'agit de NOTT. PRENOMS - WOLFGANG, comme si j'étais prédestiné. DATE DE NAISSANCE - 5 MARS 1950. AGE - 25 ANS. VILLE D'ORIGINE - LEEDS, je crois, c'est assez flou. SANG - MÊLÉ, probablement, quoiqu'il a été pur, fût un temps. ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Je n'ai jamais été à Poudlard. ORIENTATION - côté du mal, c'est ce qui sied le mieux à un enfant de Greyback, non ? Mais comme je l'ai quitté, je dirais NEUTRE.

Déconnecté de la réalité. Impulsif, a des difficultés à se contrôler. Très observateur, guidé par son flair et son instinct qui ne le trompent jamais. Froid et distant, ne sait pas comment se comporter avec les gens. Violent et agressif lorsque la bête prend le dessus, lorsqu'il n'arrive pas à la contenir. Méfiant, n'accorde sa confiance qu'à ceux de sa meute. Docile, soumis, dévoué, sait qu'il n'est pas un alpha et ne cherche pas à le devenir, sait rester à sa place. Perdu, à présent qu'il est libre. Débrouillard, malin, habile, a dû apprendre à survivre dans la forêt. Efficace, un vrai petit soldat. Discret, invisible, sait se faire oublier. Joueur, gamin, c'est comme s'il n'avait jamais grandi, en fait. Pas très éloquent, s'exprime le plus souvent par monosyllabe.

VOTRE PATRONUS - Je n'ai jamais eu l'occasion d'en produire un.
VOTRE EPOUVANTARD - Fenrir Greyback. Cet homme est aussi fascinant qu'effrayant.
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Le gris, peut-être.
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Devine.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Quand j'étais enfant, c'était la cerise. Maintenant, ça serait plutôt goût foie et tripes, je dirais.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Je n'en connais que très peu.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – J'y allais quand j'étais plus jeune avec mes parents, je me souviens d'avoir été captivé par la boutique de Quidditch.
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Y'en a-t-il un mieux qu'un autre ?

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - J'ai été mordu à l'âge de dix ans, je n'ai même pas eu le temps de recevoir ma lettre pour Poudlard, c'est con. Mon père m'a abandonné à Greyback et a fait croire à ma mort. Je le sais, j'étais là à l'enterrement, tapi en bordure du bois avec mon nouveau mentor qui tenait beaucoup à me montrer à quel point les sorciers pouvaient être fourbes et mauvais. J'ai vu ma soeur effondrée au dessus de ma tombe et les fausses larmes sur les joues de ma mère. Puis j'ai vécu avec ma meute comme un enfant sauvage, comme un vrai loup pendant 15 ans avant de réussir à m'enfuir. Maintenant, me voilà en ville, complètement ignorant du monde qui m'entoure et parano à l'idée que Greyback puisse me remettre la patte dessus. Je sais qu'il me retrouvera, ce n'est qu'une question de temps. D'ici là, je me fais discret, je longe les murs, je me cache dans l'ombre.

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Rien de tout ça. Actuellement, je ne fais rien, je viens d'arriver en ville. Avant ça j'étais... chasseur, quelque chose de ce genre.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
Non, y'a personne, non.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
C'est que je n'ai pas été à Poudlard. Quant à mon enfance, j'en garde très peu de souvenirs...

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Vous vous moquez de moi, c'est ça ? Non, je demande parce que j'ai du mal à saisir l'ironie. Sinon, des projets... Survivre ? Survivre, ouais. Et retrouver ma soeur.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Magie blanche ou...? Je ne pratique pas la magie, en fait. Pas encore, du moins.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Je lui demanderai à revoir ma soeur, et peut-être qu'il pourrait me fournir une baguette, à l'occasion. Non, je sais pas trop, je m'en fous un peu de ta question.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? On est nombreux dans ma tête. Où avez vous connu le forum ? Gazette du sorcier, rubrique petites annonces. Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Oui, peut-être, non, veaudelune.

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Ok, je crois que je suis perdu. Mais cette ville... Elle est si grande, trop grande, trop bruyante. Et ces immeubles, si hauts, c'est oppressant, toute cette foule... J'essaye de me frayer un chemin comme je peux, ça se bouscule, coup de klaxon, je manque de me faire renverser par une voiture. Le chaudron baveur. Il faut que je trouve le chaudron baveur, mais comment...? « Tu vas dégager de la route, abruti ?! » Je grogne, rejoins le trottoir, les pupilles dilatées. J'essaye de me souvenir... Où ? Mais c'est trop loin, rien ne me revient. Je repère une espèce de parc, je m'y engouffre. Je respire un peu mieux, comme si ces trois arbres au milieu de la ville immense pouvait me garder en sécurité. C'est con, c'est faux, je suis seul et dans la merde, aucun membre de ma meute ne va sortir des fourrées pour me venir en aide. « Il faut que tu partes d'ici... » Je sursaute, c'est une femme et elle pose sa main sur mon bras. « Les flics vont arriver, ils n'aiment pas les clochards, va-t'en, va te cacher ailleurs. » Les, quoi ? C'est la barbe et les cheveux longs... shit ! Je quitte le parc, fais quelques mètres et repère la femme qui vient de m'accoster sur le trottoir en face. Je traverse, des klaxons, encore. « Hé, attendez ! » Elle se retourne avant de poursuivre son chemin d'un pas plus rapide. « S'il vous plait ! » Je la rejoins en quelques enjambées. J'ai toujours été plus rapide que mes congénères sur des épreuves de vitesse... « Je viens d'arriver en ville et je... » « Tiens, prends ça et rends-toi aux bains publics, c'est au bout de la rue. » Elle me glisse un billet dans la main. Je la fixe, interdit. « C'est tout ce que je peux faire pour toi... Va. » Et elle s'éloigne mais je n'essaie pas de la rattraper, cette fois. Je fais demi-tour, me rends à l'adresse qu'elle m'a indiqué. Lorsqu'il me voit entrer, le tenancier soupire derrière son comptoir. Je glisse le billet dans la fente en plexiglas de sa cabine et en échange, il me donne un numéro en m'indiquant une porte sur la droite. Je la pousse et découvre une salle recouverte de carrelage et de miroir. C'est désert, je m'en réjouis. En passant devant un miroir, je surprends mon reflet et sursaute. J'ai l'air d'une bête, je ne peux pas rester comme ça... Une grosse femme se présente à moi. « Votre numéro ? » J'ai l'air de la faire chier, ça me déstabilise. Je lui donne et elle s'éloigne puis revient quelques instants plus tard avec une boîte fermée qu'elle me tend. Je reste un moment à regarder son contenu. Dedans, un savon, une serviette, un blaireau, un rasoir, une brosse à dents... Une demi-heure plus tard, je ne me reconnais plus. La peau lisse de mon visage, ses joues creuses, ses cernes... La serviette autour de la taille, j'inspecte mon reflet recouvert de cicatrices rouges et boursouflées, certaines plus vieilles, d'autres plus récentes. Une fois propre et net, j'enfile mes vêtements sales et troués en regrettant que la bonne femme ne m'ait pas donné un billet de plus pour trouver des vêtements plus décents. Tant pis, je ferai avec. Puis je quitte les lieux en remerciant le patron, toujours terré dans sa cabine. A présent, il s'agit de trouver le chaudron baveur et d'espérer que ma bonne étoile ne m'ait pas abandonnée.

Bienvenue p'tit boule

J'avoue, on va te balancer à Greyback, louveteau Bienvenue !

J'approuve à trente-mille pour cent ce perso omg omg
Va nous falloir un lien avec Rab

(re)Bienvenue à la maison