Citation :

• Ouvrir un Sujet ▬ 2 dragées ▬

Couloirs vides ou presque vides. Seuls quelques élèves se promènent encore ici et là mais dans l'unique but de regagner leur dortoir. A cette période de l'année, les gens ne s'attarde pas trop dehors ou encore dans l'ensemble de l'enceinte de l'école, la noirceur de la nuit donnant plutôt envie de profiter profiter de la lumière dansante d'un feu de cheminée située en salle commune.  Pourtant, Ariane avait quitté ce petit feu et cette petite salle pour s'engouffrir dans tous les couloirs possibles, à la recherche de son meilleur et plus vieil ami. Il traînait presque trop dans les couloirs ces derniers temps, obsédé à l'idée de retrouver une seule et unique personne. Bon c'est bien de ne pas abandonner, elle ne va pas lui en vouloir pour si peu mais là, il faudrait bien qu'il lâche l'affaire le temps d'une petite soirée d'autant plus qu'il y avait un devoir à rendre pour le lendemain, travail qu'il fallait bien finir.
Alors, Ariane s'était lancée à la recherche d'Amycus, sans vraiment en être ravie, ne nous le cachons pas. Et alors qu'elle finit finalement par arriver dans un couloir quasi vide, il y a ce cri qui sort du couloir voisin, interpellant la  blonde qui ne tarde pas à savoir ce qu'il se passait. Elle arque pourtant un sourcils, se demandant ce qu'il avait bien pu faire cette fois et rapidement, la jeune Rowle montra le bout de son nez. Silencieuse, en retrait, elle s'était placée contre le mur, les bras croisés, ses yeux bleus observant la scène avec attentive. « Je … je ne sais pas de quoi tu parles. ». Elle roule des yeux, Ariane, finissant par sortir de sa cachette qui n'en était pas vraiment une. «Je suis sûre que si». dit-elle sur un ton froid, sans émotion. Elle avait à peine fait quelques pas, assez pour être assez proches du duo et à présent, son regard scrutait la scène avec une nonchance presque terrible. «Vous en faites du bruit». dit-elle en fixant la jeune fille qui semblait sur le bord des larmes. Pendant une fraction de secondes, le visage impassible d'Ariane vacilla vers un air plus désolé, peiné mais ce fut si bref qu'il en était quasi imperceptible. Sa tête un père penchée, elle la tourna vers Amycus, toujours les bras croisés. «ca va t'es content, tu l'as retrouvé ?» demande-t-elle comme une grosse impatiente,  bien qu'un sourire en coin complice avait prit place sur son visage alors que ses iris s'en allaient également dans les coins de ses yeux pour se poser sur Sybille. «Ne me regarde pas comme ça. Ce n'est pas ma faute si tu ne fais pas attention à qui est autour de toi quand tu lances un sortilège de désarmement». ajoute-t-elle avec un léger ton amusé.

Citation :

• Sans le nom du perso ▬ 2 dragées ▬

« Plutôt satisfait, oui». Petit sourire. Ça fait déjà un bon moment qu'Amycus cherche cette petite. Mais là, il faudrait qu'il se concentre un minimum sur d'autres détaillés alors forcément, le voir enfin régler ses comptes sera une problème en moins sur la longue liste que le duo avait. «mais elle ose pas avouer son crime, la fourbe». Ariane ose les épaules, un petit air amusé sur le visage comme pour dire que c'était normal qu'elle n'avoue pas. Elle tente d'échapper à la situation, sauf que ça ne fonctionnait pas vraiment,voir pas du tout. La pauvre Serdaigle cherchait tant bien que mal un soutient chez la blonde qui lui fit vite comprendre qu'elle n'allait pas vraiment la sortir de cette galère. Elle essayait de parler mais sans succès et c'est finalement Amycus qui prit les choses en main , lui demandant d'avouer son crime. Ariane, elle, ne disait rien tout en contentant de croiser les bras. «Je ne sais pas de quoi tu parles, ça n’était pas moi. »  La jeune Rowle roule les yeux, soupire, rit de façon glaciale. «Si habituel. Tellement que tu devrais savoir qu'à part énerver davantage tes interlocuteurs, tu n'as rien à y gagner ou à espérer». Et du coin de l'œil, Ariane remarquait que son meilleur ami commençait sérieusement à perdre patience.

Citation :

• sans le nom du perso ▬ 2 dragées ▬

Elle insiste Sybille. Elle se cabre à tout nier et malheureusement pour elle, c'est loin de diminuer son temps de torture. Ariane, à la limite, elle s'en fiche royalement ; elle n'a pas de compte à régler avec cette fille. Mais Amycus était bien décidé à en finir avec cette fille, à lui donner une bonne leçon à sa façon. Et plus la blonde voit son meilleur ami serrer le cou de la jeune fille, plus elle se rend compte qu'il ne compte pas continuer ce petit jeu plus longtemps. Il prévient Amycus, il met sa victime en garde. Mais elle persiste, alors qu'elle est dans un état définitivement pitoyable aux yeux de la jeune Rowle. «Laissez-moi partir, s’il vous plait.» . Mais la tension monte, même Ariane ne sent, comme elle sent toujours tout. Carrow a toujours été violent et ça pouvait partir dans des extrêmes ce genre d'histoire. Ariane soupire, se disant qu'il allait falloir faire autrement mais , juste avant qu'elle n'ouvre la bouche, elle voit le poing d'Amycus se serrer, le bras bouger, près à percuter le visage de Sybille. Alors, Ariane s'alarme et d'un geste vif elle se saisit du poignet de son meilleur ami, le tenant le plus fermement possible. «Amycus !» s'était-elle exclamer pour accompagner son geste, le stopper davantage. La blonde le regarde, sans encore le lâcher , un air à présent plus calme que le visage. «C'est toi qui va avoir des ennuis si tu fais ça. Il y a d'autres moyens, de te faire plaisir.» dit-elle avant de regarder vers sa camarade Serdaigle.

Comment une impure avait-elle put penser qu’elle pourrait s’en prendre à ton frère sans répercussions ? Existait-il vraiment des gens si stupides qu’ils pensaient pouvoir ennuyer un Carrow tout en restant anonyme ? Pas tant que tu étais dans le coin, en tous cas. Cela t’arrangait presque, que quelqu’un ait osé humilier Amycus, car tu avais finalement une bonne raison pour relâcher ta tension sur quelqu’un. Cela faisait trop longtemps à ton goût que tu n’avais eu personne à martyriser, et la Trelawney était une cible parfaite - faible et silencieuse. Tu étais bien contente que les petits oiseaux de ton frère avaient réussi à trouver qui avait été la responsable du désarmement, et maintenant, l’heure de la chasse avait sonnée.

Mais tu devais être patiente. Il se passait beaucoup de choses dans ton monde, en ce moment, et tu devais jouer tes cartes avec délicatesse et intelligence - chose que ton frère était incapable de faire. Tu étais très amie avec Evan, mais il avait cette rivalité un peu stupide avec Amycus, et tu n’y pouvais rien. Ils passaient leur temps à s’envoyer des hostilités, et parfois tu t’affairais à assister ton frère dans ses missions. Tu faisais bien entendu en sorte qu’Evan ne s’en rende pas vraiment compte, parce que tu tenais à le garder comme allié, mais si ton frère te demandais de l’aide, tu n’hésitais pas, le choix était vite fait.

Et Sybille était l’outils parfait pour assister son frère. Alors que ton frère la tenait fermement, et que vous échangiez quelques mots, la faible implorait qu’on la laisse partir. Cela te faisait jubiler d’excitation, et tu devais te retenir pour ne pas être aussi violente que ton frère. Pas cette fois, et pas ici. Laissant partir le bras de ton frère, tu te mis de l’autre côté de la proie, et sortit ta baguette de ta poche. Avec un sourire en coin, tu la fis glisser du haut de son front jusqu’à sa gorge, lentement. “Il serait dommage qu’il t’arrive quelque chose, je trouves, surtout que tu pourrais m’être utile…” Tu fis mine de réfléchir un moment. “Pourquoi ne pas faire un marché ?”

Tu fis pression sur sa jugulaire avec ta baguette, lui montrant qu’elle n’avait qu’une option, accepter. “On te laissera partir sans t’amocher à deux condition. La première est que tu dois reconnaître ce que tu as fait à mon frère, et tu dois te mettre à genoux pour t’excuser.” Tu souris en coin, jetant un coup d’oeil complice à ton frère.Tu reportas ton attention sur la Serdaigle, ta baguette menaçant toujours sa veine. “Je ne te conseilles pas d’essayer de refuser… Ca me donnerait le plaisir de t’envoyer un l’infirmerie.” Tu ris de satisfaction à cette idée. Même si tu aimerais que tout se passe comme prévu, l’idée de pouvoir lui faire du mal t’habitais comme un rêve.

Citation :

Désolée du retard !!