ϟ la fiche de recensement

NOM - CORNER PRENOMS - CAMERON HARVEY DATE DE NAISSANCE - 27 SEPT 1952 AGE - 24 ANS VILLE D'ORIGINE - BELFAST, QUARTIER DE ARD EOIN (Ardoyne pour les intimes) SANG - MÊLÉ ANCIENNE MAISON A POUDLARD - POUFSOUFFLE CHAPEAUFLOU GRYFFONDOR ORIENTATION - J'ai pas le sens de l'orientation moi, je me perdrais sur un terrain de Quidditch ! C'était un peu dur d'ailleurs quand j'étais joueur, je confondais toujours ma droite de ma gauche, enfin, bref.(neutre)

Cameron est un garçon joyeux, au sens de la fête exacerbé. Il se démarque par un caractère particulièrement direct et aux vérités tranchantes. Amusant, parfois lourd, il n'a de cesse de rire et de sourire (et de se ridiculiser accessoirement dans les magasins). Pas encore tout à fait mature – pour ne pas dire pas du tout – il a néanmoins un emploi et a réussi par un miracle incroyable, ses études. Boudeur, il a tendance à beaucoup se chamailler comme un enfant. Homme sans réelles prises de tête, Cameron est quelqu'un de loyal et doté d'un je m'en foutisme total.
Naturel – pour ne pas dire vulgaire – mais aussi tête en l'air, il manque énormément de tact et passe son temps à faire des gaffes pour mieux s'excuser après. Si Cameron a des idées d'adulte bien arrêtées, il ne comprend parfois pas certaines allusions et passe pour un imbécile fini(s-t). Complètement dans un autre monde, Cameron fait pourtant très bien son travail. Garçon enjoué, on ne peut pas dire qu'il se démarque par sa délicatesse et peut s'avérer être au contraire une espèce de brute de décoffrage. Casse-cou, il est une véritable tête brûlée quitte à se mettre en danger inutilement : c'est un audacieux qui n'a pas peur de grand chose le concernant. Contrôlé par ses émotions, il ne réfléchit qu'après coup et une fois souvent, après qu'on lui ai dis la stupidité de l'acte qu'il va faire. C'est aussi un garçon qui hyperbolise et dramatise énormément : son piètre jeu théâtral ne l'arrêtera cependant jamais. Ancien pitre à Poudlard, il n'a guère évolué là-dessus. Hyperactif, Cameron a toujours besoin de bouger et a du mal à se poser : il aime le changement et pire encore, il adore le provoquer ce qui le rend particulièrement inconstant. Têtu comme un mulet, l'ancien Poufsouffle a du mal à accepter la défaite. Le jeune homme est aussi coquet et aime prendre soin de son apparence. Fantasque, impliqué, il sait se passionner pour beaucoup de choses et de gens. Il n'est cependant pas du genre à idolâtrer inutilement quelqu'un.

VOTRE PATRONUS - UN OURS (cela vous étonne ? Je ne crois pas)
VOTRE EPOUVANTARD - ABIGAIL ÉMÉCHÉE, CE DÉMON (Abby morte)
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – TURQUOISE
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – LES LOUTRES
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – JE PRÉFERE LES GÂTEAUX DE PAPY BROSSARD.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – RECURVITE
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – LE MAGASIN DE QUIDD'
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – MORGANE LE FEY

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Cameron sera le père de Michael Corner.

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
D'un air un peu gauche, Cameron se faufilait entre les sièges pour suivre Rita Skeeter. LA Skeeter. Il était stressé. Qui ne le serait pas avec un journaliste comme cela ? « Ni l'un ni l'autre. Vous êtes pas trop perspicace, je dis ça comme ça. A quoi elle sert la plume de poule qui écrit-là ? » demanda-t-il en jetant un coup de tête dédaigneux à la chose qui avait relevé sa pointe vers lui d'un air menaçant. Il leva les bras en l'air, l'air coupable : « C'est bon j'ai rien dis... » marmonna-t-il en tapant finalement ses doigts sur le bois en signe d'impatience. « Je suis juriste, Miss Skeeter, rien que ça ». .

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
Les joues de Cameron s'empourprèrent. « Je n'ai pas souffert en amour non, mais j'ai peut-être fais souffrir une ou deux filles, je l'adm... Non n'écrivez pas ça ! Je suis en couple, Miss Skeeter, mais je vous offrirai le café quand même. Abigail Hook de son nom de jeune fille, j'ai pas de photo d'elle sur moi là... Faut dire que je vois assez sa face à la maison. J'adore ton gratin d'épinards si tu me lis, ma chérie ».

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
« Bah ouais, carrément même ! J'ai eu une enfance de folie à Belfast figurez-vous. Mon père est vendeur immobilier d'origine américaine et ma mère est une sorcière de sang-mêlé qui est du genre à voyager pour étudier le temps ou je ne sais plus quoi.. Ça change toutes les quatre saisons. En fait, j'ai grandi avec mon père parce que mes parents sont divorcés... J'allais voir maman pendant les vacances. J'ai un petit frère Jefferson et une demi-sœur Victoria et un demi-frère, Benjamin... De fait, j'ai beaucoup voyagé lorsque j'étais enfant, et j'ai même plus traîné dans le monde moldu que sorcier finalement ! ». Il fit un pause pour sortir de son sac un paquet de gâteaux et reprit, l'air de rien : « Vraiment, je ne comprends pas que vous aimiez les dragées, c'est terrible. Tenez, je me promène toujours avec un paquet de gâteaux français, Papy Brossard de son petit nom, ça tue...Vous en voulez ? ».  

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Il mit un grand coup de dents dans son gâteau et prit son temps pour changer pour la quatrième fois de position dans la même minute. « Projets, rêves d'accord, euh... Je sais pas moi. Gagner le tournois de bavboule à Belfast ce serait troooop génial, mais je suis trop nul c'est fou. La dernière fois, j'ai pété le nez de mon adversaire, et en plus il s'est prit une giclée de bave, c'était drôle. Bref, je sais pas moi, je suis bien au Magenmagot, pourquoi vous voulez que j'aille chercher midi à quatorze heures ? »

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
« PROJETS ETRANGES ? MAIS C'EST VOUS, MADAME QUI ÊTES ETRANGE ! Les Bavboules, c'est un art de vivre ! C'est une religion !» s'exclama-t-il en hyperbolisant ses paroles par de gestes grandiloquents.  Il se calma pourtant immédiatement pour reprendre son sérieux comme s'il ne venait pas d'hurler pour une histoire de bavboules. « J'avoue que je ne suis pas trop positionné en politique, parce que, j'en vois passer des politiciens au Magenmagot, c'est tous les mêmes de toute manière. Alors moi, j'men fou ! Et vous ? ».

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Cameron s'éveilla brusquement : « Bah ouais que j'en ai entendu parler ! Franchement, je vous ai dis que je venais presque d'un monde moldu et vous me posez cette question... La sénilité nous guette tous, je suppose. Alors en vœu numéro un, je veux une Harley Davindson, ce sont des bijoux, ces motos, en numéro deux je veux une nouvelle robe pour les procès (la mienne est trouée sous les bras, ça craint) et en numéro trois, je veux perdre les cinq cent grammes que j'ai pris avec le fameux gratins d'épinard d'Abby, elle met trop de béchamel, c'est calorique ».

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  La liste ? Exhaustive, vraiment ? Jyn, Bella, truc, truc et machine encore un ou deux... Où avez vous connu le forum ?  Fouuuu Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Relu et mardi-manticore

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :
AUTRE :
— Exemple de post de façon RP de votre choix.

Je venais tout juste de finir mon plat d'Irish cottage pie que j'avais cuisiné en cachette pour qu'Abby n'y touche pas. J'avais pris soin de lui jeter un sortilège de désillusion, parce que je ne voulais pas vexer madame qui pourrait se braquer de savoir que je faisais à manger à côté parce qu'elle était incapable de cuisiner correctement quatre feuilles d'épinards. Parce que justement, les épinards, j'en mangeais à tous les plats, et comme ça commençait à me courir sur la baguette, j'ai pris une grande mesure, à savoir : me faire moi-même à manger en cachette. Repu, satisfait, parce que j'étais décidément un excellent cuisiner – pas comme elle quoi - je me dirigeais paisiblement vers le salon pour m'affaler tel un bétail dans la campagne, sur le sofa. Comme nous avions des ascendances moldues, on s'était naturellement mis à la pointe de la technologie. Entendez par-là qu'on avait une télé. Aussi pris-je soin de l'allumer avec la télécommande en me délestant de ma baguette sans vraiment m'en rendre compte. Nous n'avions pas beaucoup de chaînes bien entendu, c'est l'époque qui le veut, hélas, mais tombais-je rapidement sur une émission de cuisine – quelle surprise ! –  qui traitait des épinards – deuxième grosse surprise ! Je me redressais pour que ma voix porte et que ma fiancée m'entende, toute occupée qu'elle devait être à arroser ses fleurs fanées, elle avait du mal à élever une plante en pot, ou à essayer de ranimer le poisson rouge qui avait rendu l'âme. « ABIGAAAAAAIL ! CA PARLE EPINARDS, C'EST POUR TOI ! » m'exclamais-je en repoussant les limites du respect à une frontière inconnue. « QUOI ENCORE ? ». Cette douce mélodie qu'était sa voix ne m'ennuyait jamais. Je posais vulgairement mes pieds sur la table basse en regardant l’ouverture de la porte d'un air tout à fait satisfait. Abby était gentille, mais vraiment, elle ne savait pas faire le gratin d'épinards et j'adore les épinards. Donc forcément, c'est saoulant. « Regarde » dis-je de prime abord en pointant le petit écran d'un doigt connaisseur, « tu mets trois fois trop de béchamel ! ». L'air triomphal sur mon visage ne valait rien à côté de la mine déconfite d'Abby et sa tête de six pieds de long. « Pardon ? C’est juste toi qui aimes pas la béchamel, arrête de te plaindre ». Beh. Elle était piquée au vif, vexée parce que je disais la vérité. Je mis ma paume conter ma bouche pour lui souffler un baiser. Abby était diablement mignonne lorsqu'elle s'énervait c'était comme un petit botruc qui se braquait. Brusquement, je cherchais ma baguette parce que j'avais un rayon de soleil qui venait percuter mon visage – déjà certes lumineux, mais tout de même – : « Mais elle est où ma baguette ? » lançais-je à voix haute sans cependant attendre de réponse de la part de ma chère et tendre, qui ne le fut cependant pas dans sa réponse. « Entre tes jambes, tête de lard ». Non mais pour qui se prend cette mégère, là ? Et en plus, elle me vole la télécommande avec un air provocateur. Je la fixe d'un air ahuri, estomaqué par l'individu farouche qu'elle peut être dans la vie de tous les jours. Je bougonne dans ma barbe en la fixant d'un air mauvais : « Ouais, très drôle Abigail, rends moi ma télécommande, s'il te plaît, ça parle épinard et j'aime les épinards ». J'aime vraiment beaucoup les épinards, et lorsqu'ils sont mal-cuisinés, ça me gonfle. « Sérieux ! » je lance à nouveau en faisant les gros yeux.

Vous me fatiguez tant, du love à plein chaudron, re

Bienvenue dude

Ah ! les voilà enfin vos deux persos mystères
A-t-on encore besoin de te souhaiter la bienvenue ?
((re)Bienvenue )