Son plaisir à ouvrir le score fut tout de suite entaché par la révélation de la rouquine à la prononciation du nom de son époux. Bartemius Croupton. Avait-elle bien entendu ? Cette jeune femme, belle, douce et brillante était en couple avec ce cynique et éteint fonctionnaire ? L'auror écarquilla les yeux de surprise en se tournant machinalement vers elle. Avant d'avoir articulé quoi que ce soit, la chance tourna et Pitt rentra une boule. La commande de shots arriva et la sorcière s'enfila le sien aussi vite qu'elle le put : - Et vous …  ? Essaya Pitt, galvanisé par son tir réussi. - Audrey, lui suggéra-t-elle – Et vous Audrey, êtes vous mariée ? Poursuivit-il en armant son bras. - Par Merlin non jamais de la vie ! Dit-elle sans remarquer la drôle de tête de son interlocuteur à son exclamation dont elle se moqua royalement. - Bartemius Croupton ? Mais depuis combien de temps ? La questionna-t-elle devant les deux anglais dont l'un attendait la réponse autant que la brune, squeezant complètement le jeu ou même les deux hommes. La brunette saisit le verre de Pitt et se le siffla avant qu'il n'ait pu rétorquer quoi que ce soit.


PAIR : - Cela ne me pose aucun problème à vrai dire ! Déclara Doyle en brandissant sa main devant le visage de la rousse en secouant son annulaire emprisonné d'un anneau d'or.

IMPAIR : - Cet homme a beaucoup de chance, j'espère qu'il se rend compte du joyau qu'il possède !! Déclara Doyle soudain pris de poésie.

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'le dé ' : 6

Artemis n’était pas gênée pour parler de banalités sur sa vie, de manière générale, sauf bien entendu, lorsque les informations étaient extorquées par un homme ayant des vues sur elle et ayant - comble du comble - un peu bu. Elle décida donc, pour affronter la soirée, de siffler le shot que Pitt leur avait commandé pour fêter son exploit. La réflexion d’Audrey arracha un gloussement sincère à la psychomage qui ne comprenait que trop bien son point de vue sans pour autant le partager avec elle. Elle semblait bien trop indépendante et passionnée dans son travail pour se complaire dans ce genre de vie, pensait Artemis. La rouquine s’approcha de la table pour tirer son coup et rata malheureusement le trou de quelques millimètres. Elle grimaça non seulement pour son échec mais également pour la question que son amie venait de lui poser.
Il lui semblait percevoir dans son ton de la surprise, voire même de la résignation. Artemis après tout, n’était pas étrangère aux mauvais sentiments qu’était capable de déclencher l’homme qu’elle avait épousé de nombreuses années auparavant, tout comme elle n’était pas étrangère à la surprise que provoquait toujours cette révélation. Ils étaient, à dire vrai, aussi différents qu’on pouvait l’être, et ils l’avaient eux-même compris lorsqu’ils se fréquentaient à Poudlard. “Un peu plus de quinze ans” commenta-t-elle à Audrey, en égayant son visage un sourire  joyeux, “pourquoi ? Cela te surprend-il autant que cela ?”. Elle préférait en rire plutôt qu’en pleurer. La réflexion de Doyle lui donna cependant envie de se cacher derrière l’Auror, puisqu’elle ne pouvait pas esquiver une question à son égard : “Oh, vous êtes marié aussi ?” demanda-t-elle en forçant un air curieux que seule une personne sobre aurait remarquée.

PAIR : Doyle s'avance pour jouer son coup, mais au lieu de tirer, il s'assoit sur le billard avec un air conquérant : "On ne s'entend plus très bien à dire vrai ! C'est un peu chacun de son côté vous savez, même si on est marié depuis une dizaine d'années, cela doit bien faire cinq ans que la passion s'est..." commence-t-il sans jamais, de toute évidence s'arrêter. Comme Artemis se retrouve un peu dans ses paroles et ressent peut-être une pointe de tristesse pour lui, elle préfère le pousser à jouer : ils ne sont pas à une séance de psychanalyse collective après tout !

IMPAIR : "Oui ma douce et belle Élizabeth..." commence-t-il à rêvasser si bien que la rouquine se retrouve à grimacer en direction d'Audrey. Elle n'était pas sûre de vouloir entendre un amoureux éperdu toute la soirée ! "Jouez votre coup, ou je joue à votre place !" plaisanta-t-elle. "Et vous, Monsieur Pitt ?" renvoya-t-elle la balle vers le pauvre homme qui se tenait bien silencieux entre eux.

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'le dé ' : 5

- Waow ! S'exclama-t-elle franchement en écarquillant un peu plus les yeux. - Quinze ans ! Ajouta-t-elle entre incrédulité et malgré tout de l'admiration. D'une part car passer quinze ans de sa vie avec le même homme lui semblait improbable, voire impossible, mais avec cet homme-ci, cela relevait selon elle de l'exploit. L'auror avait du mal à imaginer le sévère Barty Senior dans une relation amoureuse, mais peut-être avait-il des talents cachés, comme être un fin cuisinier.. Ou bien un excellent amant. A cette simple idée, l'anglaise grimaça puis finit par répondre à la question de la psychomage : - A vrai dire oui ! Mr Croupton est si...chercha-t-elle le bon mot à employer avec son épouse. Morne ? Triste ? Terne... Sans t'offenser, bien sûr. Si elle avait dû l'imaginer avec une femme, l'auror ne l'aurait probablement pas associée à une personnalité rayonnante comme Artémis. Doyle prit la parole, mettant son grain de sel à la conversation qu'Audrey aurait préféré finalement être privée, mais tant pis. Alors qu'il évoqua sa douce épouse, la rousse le coupa en le poussant à poursuivre la partie, ce qu'il fit :

PAIR : Pitt répondit naturellement : - Je suis marié également, mais nous sommes séparés depuis quelques semaines. Doyle pendant ce temps rentra une boule jaune pour son plus grand plaisir en reluquant toujours la femme mariée. - On dirait que les joncheruines ont changé de camp ! Lâcha-t-elle en faisant de moins en moins attention à son langage sorcier.

IMPAIR : Pitt répondit naturellement en s'approchant dangereusement de la brune  : - Je suis libre comme l'air .. Sinon je ne vous aurais pas invité à boire un verre .. Pendant ce temps Doyle manqua son tir, laissant place à une Audrey gênée qui triompha avec deux boules rentrées. - Quelle chance de boursoufs ! Lâcha-t-elle en faisant de moins en moins attention à son langage sorcier.

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'le dé ' : 4

Artemis était accoutumée à toute sorte de réaction lorsque l’on sortait sur la table le sujet portant le nom de son époux. Elle avait toujours été consciente de leurs différences flagrantes, et c’étaient sans doute les choses qui l’avaient le plus séduites dans son compagnon. Il était beau pensait-elle, de ne pas avoir de partenaire aux idées radicalement similaires, afin d’enrichir la réflexion, et le débat, de manière ordonnée et calme. Chose que l’immense majorité des gens n’était pas capable de faire. La psychomage aimait tout naturellement les discussions auréolées d’un jugement éclairé, et bien qu’elle ne soit, justement, que très rarement d’accord avec Bartemius, elle comprenait son avis et se trouvait incapable d’affirmer qu’il avait tort. Les sensibilités différentes portaient à des jugements différents, en quoi donc, étaient-ils faux ? Comment définir la réalité de la chose, sinon en se positionnant à tort comme porteur de la vérité universelle - que personne, pas même elle, pas même lui, ne possédait. “Quinze ans” soupira-elle en écho à l’exclamation de son amie, tout en hochant la tête. Il n’y avait guère que lorsqu’elle donnait le chiffre à voix haute qu’elle réalisait le chemin parcouru : “Mais nous nous fréquentons depuis plus longtemps”. C’était vrai. Ils ne s’étaient certes pas trouvés de suite à Poudlard, mais ils n’avaient pas attendus la fin de leur scolarité, d’autant plus qu’il était plus âgé d’un an par rapport à elle. La surprise d’Audrey avait été celle des amies d’Artemis, et des connaissances - puisque c’était souvent la seule dénomination que l’on pouvait accorder à l’entourage de Bartemius - de son époux. Et la raison de cette surprise, la rouquine ne tarda pas à l’apprendre. Loin d’elle l’idée de s’effaroucher, comme elle n’était pas une femme à juger mais davantage une femme à comprendre, elle sourit simplement avant de répondre : “Disons simplement que nous sommes deux individus bien différents” préféra-t-elle la voix de la sagesse à celle des émotions. Ironique pour une femme qui ne s’intéressait qu’à cela, et qui avait choisis ce métier-là pour les étudier et les développer. “Mais pourquoi tu ne veux personne, au fait ?” demanda-t-elle en observant Doyle se positionner pour tirer son coup. Elle écouta la remarque de Pitt avec beaucoup d’amusement et décida de titiller la bête pour l’amour de la plaisanterie : “Il faudra peut-être prendre des mesures plus expéditives alors” s’adressa-t-elle à l’homme qui, évidemment, reluquait Audrey sans se gêner. C’est qu’elle était triste que son amie n’ait personne, même si, bien entendu, elle espérait qu’elle trouve mieux qu’un pimpant moldu.

PAIR : Doyle réussit son coup mais ripe sur le tapis du plateau en entendant l'expression d'Audrey et laisse une marque. Par réflexe, Artemis porte sa main à sa poche pour en sortir sa baguette avant de réaliser que son geste est suivi du regard par Pitt. Elle se contente donc de lui sourire avant d'indiquer la table à Audrey pour qu'elle tire son coup. "Rends moi fière, rentre la 13 !" s'exclame-t-elle en pointant du doigt la boule traîtresse, positionnée seulement à quelques centimètres du trou qui désignait leur côté de la table. "C'est quoi un jonchequine ?" questionne bêtement mais non pas moins innocemment Pitt, toujours à l'affût des moindres mots d'Audrey.  

IMPAIR : Une fois le coup de Doyle tiré, il se retire, penaud malgré sa réussite et va s'asseoir sur une chaise en suivant la conversation de loin. Pitt saute sur l'occasion pour complimenter Audrey : "Vous avez un langage très original... C'est agréable". Les yeux d'Artemis deviennent aussi ronds que les boules billard et elle tousse en invitant son amie à tirer la boule 13 : "Allez Audrey, celle-ci est facile !

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'le dé ' : 3

Différents. C'était peu de le dire. Bartemius respirait la tristesse, la lourdeur et n'avait pas l'air de mener une vie très excitante. Artémis méritait quelqu'un de joyeux, bienveillant et attentionné, l'auror doutait que son supérieur ne soit comme cela. Pouvait-elle le lui dire ? Elle se garda toute réflexion tandis que la rousse lui renvoya une question en pleine face. Ce n'était pas vraiment qu'elle ne voulait personne. Il y avait bien quelqu'un qui gravitait autour d'elle pour lequel elle eut une pensée fugace qu'elle chercha à estomper au plus vite. L'ancienne gryffondor ne pouvait pas se permettre d'être avec quelqu'un, son travail était trop prenant, trop dangereux. Etre avec quelqu'un c'était se rendre vulnérable auprès de leurs ennemis, être avec quelqu'un c'était prendre trop de risque pour soi et pour l'autre. Elle se contenta d'un sourire vague et préféra plaisanter : - C'est plutôt que personne ne veut de moi, je suis insupportable ! Heureusement, la conversation dévia vite sur Pitt et la sublime réplique piquante de son acolyte. Morte de rire, l'anglaise se positionna devant la boule 13 tandis que l'homme bientôt séparé répondit : - Laissons Audrey décider de mon mariage ! Si elle rentre la boule, je divorce sur le champ, sinon je me remets avec ma femme ! Cet homme était cinglé ! Malgré tout, la lionne s'exécuta, hésitant à échouer volontairement son coup :

PAIR : Elle visa le mieux possible et la boule 13 rentra facilement dans le trou. Elle explosa littéralement de rire ponctué d'un : « Vous savez ce qui vous reste à faire ! ». A ces mots, complètement saoul, Pitt se mit à genoux devant elle et proposa : « Voulez-vous m'épouser ? »

IMPAIR : Elle visa le mieux possible, mais manqua son coup. Audrey explosa de rire et lança franchement : « Voilà votre destin scellé ! »

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'le dé ' : 2

Au fil des ans comme psychomage à Sainte-Mangouste, Artemis avait vu passer du beau monde. Des gens désespérés, des gens vivant dans le déni, d'autres encore prêts à parler. Nombre d'entre-eux se livraient à elle en évoquant les relations difficiles qu'ils avaient avec leur conjoint, et la rouquine n'avait jamais pu s'empêcher de se sentir préservée de ce genre d'affliction terrible. Pourtant depuis quelques temps, son avis avait évolué. Artemis en effet, était maintenant arrivée à la conclusion - grâce à sa propre expérience personnelle bien entendu - que tout était cyclique. L'existence, l'amour et les relations étaient cycliques, tout ce qui touchait en réalité aux relations que les Hommes entretenaient entre eux, l'était. L'on passait du bonheur à la dépression en quelques mois à peine, avant de s'oublier pour aller mieux et recommencer, encore et encore. Parfois l'on prenait les mêmes et l'on recommençait jusqu'à la mort. D'autres fois, cependant, les relations évoluaient et se modifiaient, de même que ses membres. Ainsi donc, si Audrey était présentement insupportable comme elle le supposait - bien qu'Artemis en doutait sincèrement comme elle appréciait particulièrement son amie - cela ne devrait pas durer, de même que son célibat forcé. "J'en doute" sourit cependant sagement la rouquine sans la contredire. Savoir à quel moment livrer ses réflexions était probablement ce qui avait permit à son mariage de durer aussi longtemps. Cependant, il semblait que Pitt n'ai pas autant d'intelligence que la sorcière, puisqu'il trouva judicieux de partager une pensée qui traduisait à n'en point douter une envie profonde de mettre Audrey dans son lit. Les sourcils froncés malgré un grand sourire, elle observa son amie rentrer facilement la boule de son destin.

PAIR : Artemis éclate de rire devant la scène que fait Pitt pour demander en mariage l'Auror. Tout le pub les observe et certains badauds se mettent à siffler un air de mariage en attendant la réponse. Accoudée contre le rebord de la fenêtre auprès de Doyle, la rouquine observe l'homme, complètement ivre, sortir de sa poche une bague sans doute achetée pour sa femme. "Ca alors Audrey ! Quelle gentille attention, ne détruis pas la confiance de ce pauvre homme..." lui dit-elle tout sourire en suivant du regard Doyle qui donne une tape sur l'épaule de son ami avant de se saisir d'une queue de billard.

IMPAIR : Devant la perplexité d'Audrey et de tous les spectateurs de la scène - qui comprennent bien que ce pauvre mâle se donne en spectacle pour rien - Pitt décide d'argumenter. Malheureusement, le pauvre individu semble déjà gorgé d'alcool et à peine ouvre-t-il la bouche pour poursuivre qu'il crache de son gosier une lampée ou deux de whisky. Doyle grimace et essaie de ramasser son compagnon de beuverie pour leur éviter une humiliation supplémentaire.

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'le dé ' : 1

A la déclaration du moldu, Audrey manqua de recracher son verre. - euh.. On va oublier tout de suite cette proposition et … L'homme commença à argumenter, complètement imbibé, se donnant parfaitement en spectacle au milieu du bar. Doyle lui vint instinctivement en aide, le menant sur une banquette et le faisant s’asseoir. Tant pis pour la partie. Pitt était visiblement dans un bien pit-eux état (). Les nombreux verres ingurgités l'avaient rendue un peu pompette, mais elle gardait un éclat de lucidité et de sang froid, probablement propre à son métier d'auror. La lionne demanda un verre d'eau au serveur afin d'hydrater le saoulard et suggéra à son ami : - La soirée est terminée. Vous devriez rentrer.... Je vais vous appeler un taxi ! Pitt maugréa quelque chose qu'elle ne comprit pas. Un numéro de téléphone ? L'adresse de son lieu de travail ? Perplexe, Audrey lança un appel à l'aide à la psychomage. C'était bien les hommes. Vous leur parlez un peu, vous acceptez un verre ou deux, vous faites une partie de billard et tout de suite, ils pensent que vous voulez les revoir et sortir avec ? Hors de question de donner quoi que ce soit aux moldus. Surtout de faux espoirs. Sans pour autant être désagréable, la brunette rétorqua vaguement : - Reposez vous et parlez à votre épouse ..


(on continue qu'Artémis et Audrey? Ou on les fait rentrer aussi? )

La déchéance semblait avoir éclaté sur le visage de Pitt qui déclamait son amour et sa volonté d'épouser Audrey... A la grande surprise d'Artemis et au grand désarroi de Doyle. La psychomage vida son verre pour se retenir de sourire : elle était particulièrement rassurée de ne pas être la victime de ce genre de scène. Son amie, en revanche, semblait d'autant plus mal-à-l'aise, à tel point qu'elle décida de fuir pour le taxi. Un éclat malin brilla dans les yeux verts de la rouquine qui y vit là au contraire un très bon échappatoire pour ne plus les revoir, ni lui, ni son acolyte qui le faisait asseoir. Visiblement, ils étaient imbibés tous les deux, bien que l'homme marié avait l'air d'être plus pompette que son ami. Artemis attrapa Audrey par le coude lorsque celle-ci lui conseilla de parler à sa femme - c'était en effet une bien bonne idée - et elle fit un au revoir aux hommes, que seul Doyle vit. Elle lui adressa un sourire bien fugace avant de sortir du pub avec Audrey. "Appelles un taxi si tu veux, moi je n'en ai pas très envie" admit-elle en respirant un bol d'air frais, "c'était assez... Comment dire ? Humiliant ?". Malgré tout, elle avait quelques verres dans le gosier et elle ne put pas s'empêcher de lâcher un rire insignifiant. Quelle bien étrange soirée elle avait passé ! Elle se retira un peu dans l'ombre en jetant un regard à l'intérieur du pub. Pitt avait maintenant une serviette apparemment trempée sur le haut de son crâne. "Nous devrions filer avant qu'ils ne viennent" dit-elle en tendant la main vers l'Auror. Il valait mieux pour elles qu'elles transplanent avant d'être vues ou avant d'être à nouveau accaparées par deux moldus en manque d'amour !

Spoiler:

(allez conclusion )

Les deux jeunes femmes se volatilisèrent dans un pop caractéristique à deux rues de pub et Audrey reprit alors sur un ton tout à fait amical : - C'était une bien drôle de soirée. Il se fait tard, mais je remettrais bien cela à l'occasion. Ajouta-t-elle avec un sourire. Les occasions d'escapades alcoolisées se faisaient bien trop rare dans leur service et cela lui manquait. Elle salua Artémis et prit le chemin de son appartement Londonien. La fraîcheur sur son visage lui remettait petit à petit les idées en place, si bien qu'elle repensa à la révélation de la rouquine. Femme de Bartemius Croupton. Cette pensée la laissait perplexe. Comment ces deux individus aux caractères si opposés pouvaient ils être mariés ? Ce qui était sûr, c'est que l'auror ne verrait plus le petit chef de la même manière. Non, plus jamais....