ϟ la fiche de recensement

NOM - Cavendish PRENOMS - Alaska Isley DATE DE NAISSANCE - 11/12/1950 AGE - 27 ans VILLE D'ORIGINE - Londres SANG - Je suis née d'une famille de sang pur mais c'est un passé dont je n'ai pas encore connaissance. Je me pense sang mêlé. ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Serdaigle ORIENTATION - Côté du bien silencieux, peut-on estimer que je suis neutre ?

Le coeur sur la main, je laisse sa chance à tout le monde parce que j'estime que les gens peuvent toujours changer. Bien sûr, cette chance à aussi ses limites parce que je peux me montrer très rancunière, perdre mon amitié ou ma confiance, c'est la perdre pour toujours. Je suis très ouverte d'esprit, accueillante et sympathique. Mon credo est d'offrir le sourire au gens et je le fais par mes inventions ou simplement en en mettant plein la vue depuis mon balai. J'ai de multiple facette, généralement facile à dompter mais je peux aussi m'adapter selon mon interlocuteur. Je suis parfois un mystère, parlant peu de moi, je préfère nettement en apprendre davantage sur vous. Alors, prêt à me rencontrer ?

VOTRE PATRONUS - Dhole
VOTRE EPOUVANTARD - Hatman, une ombre vêtue d'un chapeau et d'un imperméable parce qu'il représente l'obscurité.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Chou à la crème, gourmande, j'apprécie également celui au toast grillé.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Sortilège du Patronus parce qu'il incarne la beauté la plus pure à mes yeux.
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – La pimentine lorsqu'elle est utilisée sur les autres.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Fleury & Botts, mettre tout droit les pieds dans le culture et la connaissance, c'est ça la vie que j'ai décidé de mener !
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Merlin et les joueurs de Quidditch qui se sont démarqués. Mention spécial à Devlin Whitehorn et Barberus Bragge.
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – L'hippogriffe bien sûr, on a pas toujours besoin de balai pour s'envoler.
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – Vanille, menthe et framboise.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Alaska est une sang pur qui s'ignore, elle a été adoptée bébé par une famille de sang-mêlé. Elle n'a pas connaissance de cette information. Plutôt chétif à sa naissance, la famille de sang pur dont elle est issue craignait qu'elle le soit une déception et ne devienne quelqu'un de fragile, qu'elle face honte à la famille. Incapable de la tuer, ils l'ont déposées dans un orphelinat de moldu. Même s'ils détestaient cette sous-race, ils étaient persuadés de ne jamais recroiser l'enfant nul part. Fatalement, elle ne porte pas le même nom que ses parents biologiques mais bien celui des Cavendish qui l'ont adoptées. (Possibilité ouverte d'avoir une fraterie plus jeune qu'elle mais sans lien de sang du fait de son adoption à elle).

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Vos informations me semblent bien erronées. Une première Rita à moins d'avoir encore déformer certains propos dans votre superbe imagination si débordante. Je n'ai pas un mais bien deux métiers. Je suis joueuse de Quidditch professionnelle, j'ai été recrutée par l'équipe Harpies de Holyhead à ma sortie de Poudlard et fidèle que je suis, j'y joue encore avec toujours autant de passion. Et depuis deux ans, je tiens également la boutique de farces et attrape que feu mon grand-père, l'ingénieux Zonko, m'a légué. Un cocktail d'activités dans lesquelles je m'éclate. Lorsque je dois m'entraîner ou jouer un match, c'est une étudiante qui me remplace à la boutique. Ce n'est pas toujours évident et pas de tout repos de cumuler deux carrières aussi brillantes mais je m'en sors tout de même plutôt pas mal. C'était important pour moi de ne pas laisser tomber la boutique de grand-père après sa mort.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
Question complexe. Appelons un chat un chat, j'ai eu quelques coups d'un soir juste pour le fun, par envie. Bref, vous avez saisis l'idée. Homme ou femme, ça ne m'importe pas vraiment, je suis ouverte d'esprit et je ne veux pas me fermer de porte surtout pas lorsqu'on parle de plaisir. Pour ce qui est des relations stables, je n'en ai eu qu'une seule et je ne suis pas assez naïve pour vous dire qui c'est et les raisons de.... la rupture. Ni-même s'il est encore en vie. Ou si c'était une femme. Je garderai le flou le plus totale sur toute cette affaire.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
Pas si trépidante que ça puisque je n'ai quasiment rien dis. Vous avez le chic pour exagérer, Rita. Je me demande bien ce que je lirais à mon sujet dans la presse. "Scoop : Cavendish, star du Quidditch en concubinage avec son fléreur" ? Non, je suis persuadée que vous trouverez mieux que ça. Je voulais dire, pire que ça. Mais soit, j'ai accepté l'interview alors je prend le risque. Mon enfance donc, c'est votre question ? Mon enfance a été particulièrement heureuse. Je suis de sang-mêlé. Ma mère, Murphy Zonko est une sang-mêlé elle aussi cependant mon père, Milton Cavendish était un né-moldu. Découvrir qu'il était sorcier a été un choc pour lui et sa famille mais ils n'ont pas pu faire autrement. Après Poudlard, il est retournée vivre à Londres, adoptant une vie parfaitement moldu à l'égal de sa propre famille.  Sa rencontre avec ma mère a été le fruit du hasard, un magnifique hasard et puis je suis arrivée, tout simplement. Petite, on m'a éduqué avec les deux cultures différentes et je n'ai pas su décider si je préférais l'une ou l'autre. C'est sans doute ce qui m'a conduit à devenir Serdaigle. Tout savoir, tout connaître, on a jamais fini d'apprendre dans la vie et je trouve ça merveilleux la connaissance. Il en faut. Et oui, je suis une sportive avec une cervelle, ça ne devrait pas vous étonner, Rita, il faut sortir du cliché. Enfin passons. J'étais la plus heureuse lorsque j'ai reçu ma lettre. Le plus fier, je crois, a été mon grand-père du côté de ma mère, Mr Zonko, le vendeur de farces et attrapes bien connus de tous. Mon enfance a été heureuse, bercée d'amour et de bienveillance alors débarquer à Poudlard a été un peu différent. J'ai alors compris que tout le monde n'était pas aussi ouvert d'esprit, notamment les Serpentards. Je les appréciais peu, si peu... Fatalement, si l'on me demande, mon souvenir le plus marquant de Poudlard c'est mon intégration à l'équipe de Quidditch. J'aimais déjà énormément voler mais en devenant poursuiveuse de l'équipe, la passion m'est tombée dessus. J'avais lu beaucoup de chose sur ce sport mais le pratique n'était pas une mince affaire. Travailler, il n'y a que ça de vrai pour progresser !

Oh bien sûr. J'y songe. Ma vie dans Pouldard n'a pas été de tout repos pour les professeurs et mes camarades. Je suis souvent la rigolote de service et avec un grand-père aussi ingénieux que le mien, forcément je me faisais remarqué. Il n'était pas rare que je ramène le dernier cris en matière de farce et que je fasse tourner en bourrique amis et ennemis. L'insouciance et déjà cette volonté de faire sourire et rire les gens. Je ne perdais jamais l'occasion de faire des bêtises ou ne serait-ce que des grimaces. Je me suis tout de même calmée en grandissant.... Ou peut-être pas. En clair, j'ai adoré Poudlard. J'ai rencontré la plupart de mes amis là-bas, je ne peux qu'en avoir de bons souvenirs.

Bien sûr, je peux passer pour un rayon de soleil intouchable mais moi aussi je perds parfois ma bonne humeur. Parfois je suis triste, déprimée. Ce sont les aléas de ma vie. Même si je préfère être optimiste, ma vie a aussi été semée d'embuche. Tout n'est pas tout rose même si je n'en donne jamais vraiment l'aperçu. Cette partie vous intéresse évidemment, demoiselle Skeeter. Mes parents ont été tués lorsque j'ai eu 15 ans. Ça a été un sérieux coup dur dans ma vie mais mon grand-père maternelle a su... me redonner le sourire, veiller sur moi et s'occuper de tout pour que je sois heureuse et épanouie même sans eux. Les perdre est sans doute la tâche la plus sombre de mon existence et il est rare que j'en discute, je suppose que vous serez incapable de garder ça pour vous.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Mes projets se sont concrétises assez tôt et je n'en ai pas vraiment eu de nouveau depuis quelques temps. Mais si jamais cela devait changer, je vous le ferai savoir avec plaisir chère Rita. En outre, je rêve d'un monde meilleur même si je réussi à trouver ma place dans celui actuel, il pourrait être nettement amélioré. Je n'ai pas les armes suffisantes pour y prendre part mais je soutiens l'Ordre du Phénix de loin en silence. J'essaye d'aider le monde à mon petit niveau mais finalement j'espère réussir à m'impliquer davantage même si cela signifie que je dois me mettre en danger. Peut-être que quelqu'un réussira à me convaincre suffisamment pour sauter le pas.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Je n'aime pas vraiment parler politique puisque c'est un sujet à conflit. Je suis plutôt neutre dans toute cette histoire. Je voudrais seulement faire ma propre vie et égayer les gens pour éclairer la leur et apaiser les tensions du quotidien, les tensions politiques. Malgré tout, j'ai bien un avis sur la question. Bien que neutre, je m'estime plutôt du côté du bien. Je suis pour la magie aussi blanche que la neige et j'abhorre la magie noir. Je devrais sans doute détester les mangemorts pour cette cause abjecte qu'ils prônent mais je ne le peux pas. Pas tous. Je ne veux pas mettre tout le monde dans le même panier. Je suppose que certains mangemorts n'ont simplement pas le choix, qu'ils ont été formatés dès la naissance sans comprendre qu'échapper à tout cela était possible, difficile mais possible. Tout comme les membres de l'Ordre ne sont pas toujours les gentils. Enfin, c'est seulement ce qu'on peut supposer en restant en retrait. Peut-être qu'un jour, je pourrais vous parler de tout cela avec un avis bien plus complet et surtout plus concret. On ne sait jamais ce qu'il peut advenir de l'avenir. Ce que je sais seulement, c'est que je resterai dans la lumière.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Si j'en ai entendu parlé ? Évidemment ! J'adore les moldus, leurs inventions, leurs histoires. C'est un monde merveilleux qu'ils ont, j'adore y passer du temps et découvrir absolument tout ! Mais là n'est pas la question, revenons-y. Trois voeux, n'est-ce pas chère Rita ? La paix mondiale pour débuter, c'est-à-dire un monde quasi utopique où Voldemort n'existe pas. Où il n'y a pas de suprématie du sang et pas de différence entre moldu, créatures ou sorciers. Ce n'est là qu'un seul et unique veux qui pourrait contenter tout le monde. En deuxième, je demanderai que la femme devienne tout à fait l'égale de l'homme et enfin en troisième et dernier voeux, que la joie, les sourires et les rires se répandent dans la vie de tous.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Non ! Où avez vous connu le forum ? Par Emrys Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Oui + mercredi-murlap

Vous avez la possibilité de réserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

— Vous êtes dans le Poudlard Express en direction de Londres. C'est votre tout dernier voyage en train, Poudlard, c'est terminé pour vous. Décrivez vos impressions et vos sentiments au cours d'un RP.

La tête collée contre la vitre du Poudlard Express, tu observes l'extérieur sans même réellement entrevoir le paysage. Tu devrais avoir le sourire aux lèvres, crier de joie comme tes autres petits camarades. Surtout toi, la petite farceuse de Poudlard enfin devenue grande. Mais non, tu n'y arrives pas. Ce rare silence de ta part en dit long, en tout cas pour tes amis les plus proches qui, même s'ils te voient, assisse là, dans ton coin, ne viennent pas te déranger pour te laisser le temps de méditer. Tu sortiras de cette torpeur bien assez tout. Pour l'heure, tu ne réalises pas encore que Poudlard est terminé. Ou plutôt si, tu le réalises mais tu es déçue de ne pas pouvoir partager ce moment-là avec tes parents. Seulement deux ans qu'ils ne sont plus là. Tu te montres forte et souriante en constance mais ils te manquent atrocement. Tu aurais aimé qu'ils soient présents pour ton premier match de Quidditch, pour le dernier également. Qu'ils soient présent à la gare pour venir te féliciter d'avoir obtenu de très bonnes notes. Qu'ils soient là, tout simplement. Tu n'es pas seule, évidemment. Ton grand-père lui, sera là. Il est toujours là. Toujours. Mais tu sais aussi que ça ne pourra pas toujours être le cas. Tu ne peux pas te leurrer tôt ou tard, lui aussi devra te quitter et ça, ça te terrifie réellement. C'est à cela que tu songes, assisse dans ce train qui va te ramener tout droit à la maison, la mort. C'est difficilement concevable de penser à ça dans un moment qui devrait être aussi joyeux mais c'est la nostalgie et la peine qui ont pris le dessus sur toi. Pendant un temps en tout cas car lorsque tu lèves la tête pour entrevoir le peloton de tes amis dévorer des friandises après que la dame soit passée avec son chariot, tu affiches un rictus qui semble chasser ton chagrin. En tout cas en apparence. Tu finis par te prêter au jeu. Ils ne voudraient pas que tu sois triste. Tu n'es plus une enfant, pleurer sur ton sort ne les ramènera pas, tu le sais parfaitement. Tu n'es pas la seule à souffrir de la perte de quelqu'un, ça aussi tu le sais. Tu n'es pas plus malheureuse que les autres et c'est ça, qui te ramène à la réalité justement. Les autres. Profiter de ceux qu'on aime tant qu'ils sont encore vivants. Profiter de pouvoir leur offrir une dose d'amour et de bonheur, c'est ton credo ça. Et le spectacle doit toujours continuer.

Tu attrapes un dragé surprise lorsque vient ton tour. Parfum fraise. Pas mauvais et pourtant, la grimace qui apparaît sur ton visage amène l'hilarité générale dans la cabine où vous êtes tous ensemble. Toi-même tu finis par pouffer de rire en machouillant le délicieux bonbon. Vous discutez, vous blaguez. Vous parlez de tout, sauf de vos avenirs respectifs. Tu espères pouvoir revoir chacun d'entre eux et que vos routes ne se sépareront pas. Pas avant de longues années en tout cas. Toi, tu as eu une proposition pour entrer dans une équipe professionnelle de Quidditch, preuve que tes efforts et ta technicité on payé puisque c'est ce que tu voulais. Le problème, c'est que tu ne sais pas vraiment si tu veux accepter la proposition ou pas. Alors à quoi bon parler de l'avenir ? Même avec la passion et les diplômes, un chemin n'est jamais vraiment tout à fait tracé ni-même définitif. Tu n'en as donc parlé à personne, tant que rien n'est fait tu n'en parleras pas. Histoire de ne pas attirer le mauvais oeil.

Lorsque le train s'arrête et coupe court à vos festivités, tu attrapes ta valise dans le compartiment dédié. Tu salues tes amis en leur donnant rendez-vous à tous quelques jours plus tard à Pré-au-lard. Garder contact, ça te tiens réellement à coeur. Ce n'est qu'ensuite que tu descends à la hâte pour rejoindre ton grand-père, lui sauter dans les bras et pleurer. Pleurer parce qu'il t'a manqué. Pleurer pour tes parents. Pleurer parce que l'école est terminée. Pleurer parce qu'il t'explique à quel point il est fier de toi. «Merci, Papy. Merci. » souffles-tu entre deux sanglots, le serrant dans tes bras aussi fort que possible.

Salut Alaska, bienvenue parmi nous !