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La cuisine, ce lieux de débat | ABBY

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Razvan Vacaresco

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L'homme n'est libre que de choisir sa servitude.

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MessageSujet: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Ven 13 Juil 2018 - 17:04


Aujourd'hui, c'est le jour terrible, celui pour lequel je stresse pendant un mois à l'avance - ouais, genre vraiment j'aime pas du tout la journée qui se profile - : aujoud'hui, enfin, ce soir, on va aller manger chez la mère d'Abby. Et je n'aime pas du tout cette femme. C'est pas qu'elle est méchante tu vois, parce qu'elle n'est pas foncièrement mauvaise, je crois juste qu'on a tacitement convenu qu'on ne s'appréciait pas. Elle dit que j'influence mal sa fille mais elle n'accepte pas de voir que c'est elle qui m'influence et que moi je suis juste la victime de service influencé par la fille et détesté par la mère, enfin, bref. Clairement, c'est la journée qui pue. Là, en plus, on est en cuisine, Abigail et moi, on essaie de se mettre d'accord sur qui fait quoi et ça bloque déjà : "Mais on va pas ramener ça pour manger le soir, tu veux pas qu'on dorme ou quoi ?" je demande avec des yeux ronds, "c'est vachement trop lourd, puis ta mère a déjà dû faire à manger pour un régiment, elle ne nous a pas non plus demandé de ramener l'entrée, le plat, le dessert et la salade de fruit quoi". Appuyé contre la table de la cuisine, j'ai l'impression que je vais la casser avec mon poids d'ours polaire : "je te dis, on fait une mousse légère pour le dessert c'est suffisant" je m'entête. Entre elle et moi on est bien évidemment pas sorti de l'auberge hein, parce qu'on est têtus comme des sombrals. Le genre de gens qui disent qu'il faut aller à droite alors qu'en fait c'est à gauche, et qui n'acceptent pas leur bêtise même quand on leur prouve par A+B qu'ils ont faux. "Au pire, JE fais ma mousse, tu fais ton je-sais-pas-quoi et je plaiderai non coupable ce soir !" je décide de conclure pour mettre fin au débat.
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Ven 13 Juil 2018 - 17:25

Alors lui mais c’était pas possible. À chaque fois c’était la même chose, il me prenait la tête avec ses menus débilos bourritos alors que sincèrement, s’il me laissait faire, mais touuut serait tellement plus simple. Mais non, il fallait que Môsieur s’en mêle et foute la pagaille partout. Quelle organisation, les mecs étaient vraiment doués — ironie du soir bonsoir. En plus, j’avais réellement. Tout. Préparé. Tout ! Les plats que j’allais prendre, les recettes, les ingrédients, et voilà qu’il venait mettre son grain de bouse de Sombral à trois mornilles, ça allait trois secondes. Là, je venais de lui exposer mon plan pour le dessert. Ma petite fierté. Et voilà qu’il était ENCORE pas content. J’aurais dû m’en douter, il avait toujours quelque chose à redire.
— Tu rigoles, c’est toi qui va dormir vu comment tu bouffes ! Je pointai un doigt vers lui, menaçante comme je savais le faire. Et tu parles pas de ma mère comme ça ok, elle nous a demandé de ramener à manger, on ramène à manger, point final, fin de la discussion.
En plus il allait y avoir Connor, mon petit frère, à table. Face d’épinards – Cameron pour traduire – et lui s’entendaient à merveille. Nan et puis quoi encore ? Il voulait aussi que je le laisse faire toute la cuisine ? Alors ça, dans ses rêves. Autant aller directement s’enterrer à Abney Park, le chemin était plus court. Non non, hors de question qu’il cuisine. C’était intoxication assurée.
— Et bah VAS-Y, fais TA mousse, tu verras qu’on va même pas y toucher à TA mousse, parce que tout le monde va préférer MON fondant au chocolat ! pestai-je.
Celui-là alors. Il se pensait toujours au-dessus de tout, c’était pas possible.
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Ven 13 Juil 2018 - 17:39


Non mais vraiment je ne sais pas comment expliquer à Abigail qu'elle en fait trop et que sa mère n'a clairement pas besoin de prendre plus de poids - vraiment, autant faire à manger à Connor, ça me va parce que le pauvre gosse est maigre comme un clou, mais alors nourrir à fond la mère, jamais. Sérieusement, elle veut tout ramener, sa mère va cuisiner beaucoup aussi, résultat on va gaspiller et le gaspillage c'est vraiment pas bon ni pour elle, ni pour moi, ni pour l'humanité ni pour personne voilà. "Mais j'ai même pas mal parlé de ta mère !" je m'exclame en me saisissant de la cuillère en bois pour accentuer cette phrase de gestes grandiloquents, "t'es parano, y'a ramener à manger et ramener à manger, please ne fais pas ton fonda-" ne puis-je finir puisque madame, justement l'ouvre pour me dire qu'elle va faire son fondant au chocolat. Il faut un mois pour digérer la bête, parce qu'Abby a un sérieux problème avec les mesures prévues dans les recettes - l'ogresse - elle en met toujours trois fois trop, comme les épinards avec la béchamel.
Je la regarde d'un air outragé - oui oui outragé - parce qu'elle est persuadée que personne ne touchera à ma mousse alors que c'est clairement une de mes spécialités - elle ne l'admettra jamais, on parle quand même de la fille qui met trois fois trop de béchamel dans les épinards quoi - alors je décide de prendre la vache par les oreilles : "Ouais bah j'vais faire ma mousse et ton frère il va la manger lui au moins, toi t'es trop fière pour admettre qu'elle est légère, bonne et parfaite c'est tout". Ca y est, je boude. Ma mousse à la fraise est la meilleure, elle va la déguster c'est moi qui le dit. Je m'en fais chercher mes fraises à l'autre bout de la cuisine sans cesser de lui jeter de temps en temps des regards mauvais.
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Dim 15 Juil 2018 - 0:02

— Cameron Corner, tu vas me lâcher cette cuillère en bois tout de suite !
Non seulement il pourrait se faire mal avec vu son côté maladroit inné, mais en plus je le vois faire des gestes un peu trop proches du vase que ma mère nous a offert il y a quelques semaines. J’adore les fleurs qu’il y a dedans, il a pas intérêt à faire n’importe quoi. Sincèrement, il devrait y avoir un arbitre parce qu’ici, la cuisine, c’est vraiment une salle de match. Des matchs verbaux – même si y’a des tomates qui volent de temps en temps – où on s’en prend tout le temps plein la figure. Surtout lui en fait, parce que moi je me laisse pas faire. J’étais pas à Gryffondor pour rien, c’est pas la lionne qui va se faire marcher dessus par un blaireau tout jaune non mais oh.
— Ouais bah mon frère a très mauvais goût si tu veux savoir et… EH, METS-PAS CONNOR DANS L’HISTOIRE OKAY ?
Il manquait plus que le père et ça y était, le jeu des sept familles au complet. Alors que je commençais à prendre ma tablette de chocolat, je le vis partir avec sa moue dégoûtée et boudeuse qu’il me sortait un peu trop souvent à mon goût. Ça y est, il recommençait son cinéma.
— Et bah bas-y, monsieur boude encore ! De toute façon, c’est toujours moi la méchante dans l’histoire ! T’es jamais content ! Et puis, et puis… Merde je trouvais plus mes mots. Et puis tu fais chier, hein !
C’était super triste comme fin de phrase n’empêche, complètement ridicule. En plus ma voix était montée tellement haut dans les aigues qu’elle s’était presque brisée à la fin, ça enlevait tout à la crédibilité…  
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Dim 15 Juil 2018 - 10:45

Ce qu'elle me court sur la baguette à me donner des ordres, vraiment nul doute que c'est bien la fille de sa mère. Je fais ce que je veux avec ma cuillère de bois, hein, elle ne s'en rappelle peut-être pas mais je suis très doué avec une baguette alors je ne vois pas trop le problème à utiliser un ustensile de cuisine pour marquer mon désaccord avec sa majesté la Reine des plats. Qu'on ne vienne pas me dire ensuite que je ne fais pas d'efforts dans la maison, moi j'aime bien cuisiner mais Abigail n'aime pas que je cuisine, la preuve elle ne veut pas que je fasse ma mousse à la fraise alors qu'elle est vraiment bonne et le pire du pire, c'est qu'elle me souhaite de n'avoir aucun succès. "Non mais je rêve !" réponds-je en la regardant d'un air de petit gnome, "je ne suis pas débile au point de casser un truc avec..." ne puis-je finir ma phrase puisque justement, je fais le con et je casse le vase horrible que ma belle-mère - qui n'en porte que le titre, de belle...- nous a offert l'année passée. "Rho ça me saoule !" je râle devant mon oeuvre, "de toute façon il était vraiment super moche". Et voilà qu'elle s'excite encore à me demander de ne pas mettre Connor dans l'affaire, mais ce n'est pas mon problème si son frère a bon goûts, sérieusement, elle sait qu'il va prendre mon parti - même si c'est pour l'ennuyer - et elle ne l'accepte pas parce qu'elle est super jalouse. "Mais ton fondant n'en porte que le nom Abby, sérieux le truc c'est un gâteau trop cuit pas un fondant, tu penses qu'il va préférer quoi ? Et puis tes parents ils vont prendre ton parti parce qu'ils ne m'aiment pas et c'est franchement pas admirable, Connor au moins il est objectif quand à mon don culinaire" je plaide. Mais ce qu'elle me goooonfle ! Je préfère alors faire ma mousse dans mon coin, j'ai décidé de ne plus l'ouvrir et qu'est ce qu'elle fait encore ? Bah elle râle bien sûr, non mais vraiment une hystérique cette nana, elle devrait être interdit de cuisine à vie c'est trop dangereux pour elle - surtout pour elle, elle va encore se cramer le bout des doigts avec son "fondant" - pour moi - parce que les indigestions ça va deux minutes - et pour sa famille qui va vouloir lui faire plaisir alors que c'est pas bon ! "Je fais ce que je veux j'te signale !". Ca a au moins le mérite d'être aussi immature que moi.
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Lun 16 Juil 2018 - 20:45

Il y avait de ces jours où je me demandais comment on avait pu finir ensemble. Même, emménager ensemble. C’est vrai quoi, au tout début c’était carrément la guerre, et même maintenant nos caractères avaient plutôt l’air de nous séparer que de nous rassembler. C’était de bonne guerre entre lui et moi à chaque fois. Bien sûr, à chaque fois c’était lui qui rendait les armes car à la maison, les femmes gagnaient toujours, mais la victoire était rude à chaque fois parce que Face d’Épinard ne se laissait pas faire. Qui aurait pu croire les Poufsouffle d’une telle capacité d’endurance ? Du jamais vu. Cameron était une exception chez les Blaireaux, c’était peut-être pour ça que je l’aimais – un peu, n’exagérons pas dans la démonstration des sentiments.
— OH ! MON VASE ! m’écriai-je en me jetant sur ledit vase.
Mais pour le moment, l’heure était au conflit de desserts. Je lui jetai un regard courroucé qui valait bien mille mots et sentis des petites larmes perler au coin de mes yeux que j’essuyai d’un geste rageur. C’était pas le moment pour que mon empathie reprenne le dessus – ouais ce don ou malédiction pouvait aller jusqu’aux objets qui m’étaient chers, c’était complètement débile.
— Espèce de botruc, t’avais qu’à faire attention ! Tu fais toujours n’importe quoi !
Je me relevai d’un bond et arrachai la cuillère en bois à celui qui était censé être un noble juriste du Magenmagot. Noble de rien du tout oui. Je le menaçai alors avec ma nouvelle arme.
— Et t’avise plus à toucher à ce bout d’bois, c’est clair ?
Cette cuisine avait toujours été notre terrain de mésentente, à croire qu’elle dégageait des ondes négatives qui nous mettaient de mauvaise humeur. Ceci expliquait donc cela. Et puis, ce qu’il me sortit eut le don de me faire rire aux éclats. Rire nerveux, qu’on soit bien clair.
— Mais quel don Cameron ? Franchement, là, je vois pas de quoi tu parles. À part casser des vases, tu sais faire quoi hein ?
J’étais devenue complètement hystérique, mais c’était complètement de sa faute à lui ! Il avait qu'à pas contredire tout ce que je disais, en commençant par mon fondant au chocolat – qui était très bon – et mon vase cassé. Pour ce coup-là, je lui en voudrais toute ma vie, c’était certain.
— Et non tu fais pas ce que tu veux, ça se saurait sinon ! Eh oh, tu vas m’écouter l’Harvey Davidson ?
Harley de son véritable second prénom ou Harvey, on était plus à ça près.
— On est deux dans cet appart donc y’a un moment faut que tu fasses des concessions ! Déjà que j’accepte de mettre un petit peu moins de béchamel dans ton foutu gratin, tu vas pas en me plus me casser les coquillards avec ta gélatine de fraise HEIN ?
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Mar 17 Juil 2018 - 21:39

Abigail, Abigail, Abigail...

Quelle pipelette, et quelle mauvaise foi. Je ne sais pas si elle se prend pour la reine d'Angleterre mais elle ferait mieux de redescendre sur terre, elle n'a pas d'auréole sur la tête ni de couronne, la preuve elle s'excite pour un simple vase qu'on peut réparer avec de la magie, mais évidemment, comme elle est hystérique, elle n'y pense pas de suite. C'est le temps que la lumière monte au cerveau tout ça tout ça... Devant ses larmes de crocodile à cause du vase, je soupire violemment, sors ma baguette et incante un sortilège pour le réparer : "Satisfaite ?". Non mais je vous jure, en plus cette sauvageonne m'arrache des mains ma cuillère de bois DONT J'AI BESOIN POUR FAIRE MA MOUSSE, ELLE COMMENCE A EXAGÉRER LA BLONDE LA. "Rends moi ma cuillère de bois, j'en ai besoin, parce que contrairement à toi j'ai des notions en pâtisserie, oui oui" je lance en avançant la main pour récupérer ce qui m'appartient sur l'instant. Et en plus elle met en doute mon talent en cuisine. J'hallucine. Mauvaise foi bonjour, j'ai jamais vu ça c'est bien une anglaise. "Abby, je ne sais pas ce que tu manges quand tu cuisines, ou ce que tu crois manger quand tu le fais, mais on a vraiment pas les mêmes valeurs là-dessus" je statue enfin en croisant les bras sur ma poitrine, "ton flan, ou je sais pas ce que tu veux faire N'EST PAS BON OKAY, la dernière fois j'ai passé la soirée aux chiottes et devine quoi ? Bah j'ai été malade une semaine, voilà, c'est dit, je ne voulais pas te vexer mais tant pis !". Quelle petite chieuse.
"AH NE M'APPELLE PAS HARVEY TOI" je m'écrie en ouvrant grand les yeux, oubliant que je boudais. Ce deuxième prénom, je l'aimais parfois et le détestais souvent, surtout lorsqu'elle l'utilise pour me crier dessus et faire la mégère à la maison. Parce que oui, elle fait la mégère à la maison, avec son flan au chocolat, la fille elle confond café et chocolat mais vous pensez qu'il existe un espoir ? Sérieux ? "Des concessions ? Des concessions ? Mais tout le monde râle que les femmes passent trop de temps en cuisine, je VEUX BIEN faire un peu la cuisine et tu râles ? Mais j'hallucine !". Pourquoi je ne vis pas avec une fille normale qui serait contente que je mette un peu la main à la pâte pour faire la graille ?
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Ven 20 Juil 2018 - 13:45

Y’en avait des millions d’hommes sur cette planète. Que dis-je, des milliards ! Et pourtant, il avait fallu que ça tombe sur le plus relou de tous. C’est vrai quoi, même à Poudlard ou encore mieux, à l’ESM il y avait des ces bombes, je vous dis même pas… Mais je sais pas, j’avais fini avec cette face de citrouille, ça faisait même plusieurs années qu’on avait emménagé ensemble. Comment on faisait pour se supporter l’un l’autre ? Grand mystère. Seul Merlin tout puissant connaissait la réponse et encore, on devait constituer une véritable énigme à ses yeux.
— Crois pas qu’un simple sort peut tout réparer, Cameron ! crachai-je de colère.
Et il pensait s’en tirer à bon compte, comme ça. Nan mais sincèrement. Le mec n’assumait même pas ses erreurs et passait à travers tout ce que je pouvais lui dire. Appelez ça un juriste incompétent. Ça devait donner pendant les jugements, ça m’aurait même pas étonnée qu’il ait perdu un ou deux dossiers – voire plus, tiens. Et en plus il me demandait de lui repasser la cuillère en bois ? Qui savait ce dont il était encore capable ? Je le connaissais suffisamment pour savoir qu’il ne fallait pas lui faire confiance quand il était dans cet état-là.
— Alors là, même pas en rêve ! T’es une véritable catastrophe ambulante.
En plus il OSAIT me critiquer son mon flan de l’autre fois ? Alors que je lui en avais fait pour lui faire plaisir ? C’était Saint Mangouste qui se foutait de la charité là ! Je roulai des yeux en soupirant d’exaspération. C’était ridicule.
— Ah bah j’ai bien senti quand j’y suis allée après toi, sale crado va ! T’avais même pas ouvert la fenêtre pour aérer ! Et d’abord, tourne pas l’histoire à ton avantage hein, si t’as été malade c’est parce que t’as insisté pour que je mette plus de farine ! Et encore une fois, ça m’écoute pas !
Pauvres voisins, mais pauvres voisins… Je les plaignais très sincèrement, mais l’heure n’était pas à la culpabilité. Il fallait remporter ce combat coûte que coûte. Après tout, les femmes étaient bien plus douées dans le domaine à ce qu’on disait.
— JE T’APPELLE COMME JE VEUX D’ABORD ! J’étais comme une hystérique. Moi je ne fais pas partie de ces gens qui râlent et je ne VEUX PAS que tu t’approches de cette cuisine, point final, fin de la discussion !
C’était pénible à la fin.
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Ven 27 Juil 2018 - 0:05


Non mais j'hallucine, oké j'ai cassé son vase - qu'il était moche - mais maintenant mademoiselle râle parce que "on ne peut pas tout réparer CAMERON" nia nia nia, non mais vraiment c'est une pleureuse cette fille, je ne sais pas comment je fais pour la supporter. "Ca va, t'es une sorcière, ton pot de chambre est comme neuf là, tu vas pas commencer hein" je réponds, irrité. Et pour preuve de ma bonne fois, je lui montre son pot sous toutes les coutures, "allez tient, prends-le, t'as pas intérêt à le casser parce que gneugneu on ne peut pas tout réparer". Elle saoule ! Cette fille de toute façon, elle passe sa vie à hurler comme si elle était dans une ferme à parler à Kiri la vache laitière de la famille, c'est une sauvageonne. Et après en plus elle me traite de catastrophe ambulante. Sans doute que je dois tirer ma tête de garçon super choqué, parce que franchement c'est Sainte Mangouste, ou la chapelle du Pape qui se fou de la charité, là. Elle crame soit le gratin de patates, soit les pâtes et elle dit que c'est moi la catastrophe ambulante ? Alors que j'ai juste cassé son pot de chambre une fois ? Franchement ! Je préfère ne pas répondre, sinon ça va aller crescendo et cette sauvage blonde va me percer le tympan. "Non mais c'est toi la pseudo cuisto là,  t'avais pas qu'à en mettre de la farine, en plus je t'ai dis de mettre une pincée de bicarbonate pour mes intestins mais nada ! Que nenni ! Tu t'en fou !" je rage devant elle, parce que franchement, elle occulte a moitié de l'histoire ne j'ai jamais vu quelqu'un avec autant de mauvaise foi. "T'es hystérique là, sérieux descends d'un cran j'ai plus de tympan" je préfère lui dire, parce qu'elle hurle comme une mémé sourde. "JE VEUX FAIRE MA MOUSSE QU'EST CE QUE CA PEUT TE FAIRE ? J'suis dans mon coin, avec mes ustensiles, si tu ne veux pas m'écouter, oké mais laisse moi cuisiner ça, au moins pour ton frère et moi !". Autant lui proposer une solution de secours. Agacé, je me saisis de mes fraises et me mets à les couper d'un air provocateur. Elle m'énerve.
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Dim 7 Oct 2018 - 23:03

D’accord, on est des sorciers, d’accord, on fait de la magie, d’accord, on peut tout réparer, mais ça n’excuse pas tout ! S’il croit que je vais lui pardonner aussi facilement. Il pense toujours qu’il va s’en sortir tranquillement celui-là, et bah cette fois-ci, c’est non ! N ! O ! N ! La période où la femme était soumise à l’homme est désormais révolue, ici c’est moi qui commande. Enfin, quand cela arrange monsieur parce que oui, un coup il va me laisser faire puis la fois d’après, vas-y que ça râle et que ça va faire à sa manière. Sauf que s’il mettait pas son grain de sel, et bah j’hausserais jamais le ton et personne se prendrait le chou, voilà ! Tout ça, c’est entièrement de sa faute.
— Tu vas pas t’en sortir comme, l’Épinard ! vociférai-je d’un ton agressif. Si j’avais été un chat, j’aurais sorti mes griffes et courbé le dos avec les poils tout hérissés. Mais je suis une sorcière normale, du coup je devais plus ressembler à une hystérique avec des gros yeux qu’autre-chose. Encore une fois, la faute à lui.
Et le voilà qu’il retournait ENCORE l’histoire à son avantage ! C’était bien les mecs ça, toujours à vouloir s’enlever toute responsabilité. Nous les femmes, on devait tout encaisser. Il était incroyable.
— Pardon ? le coupai-je. PARDON ?! Tu m’avais harcelée, OUI, harcelée Cameron, pour que je mette encore plus de farine, et tu me sors quoi ? T’avais pas qu’à en mettre de la farine ? Mais c’est que tu deviens amnésique mon coco, faut te faire soigner !
Et en plus il me dit d’arrêter de crier non mais…
— C’EST DE TA FAUTE SI JE CRIS ABRUTI ! hurlai-je littéralement.
Ce trou de Sombral se tourna vers ses pauvres fraises pour les couper – enfin, pas les couper mais les réduire en bouillie tellement il y allait fort – afin de se couper de tout débat. Je connaissais bien cette réaction et je n’allais pas rentrer dans son petit jeu.
— Très bien, fais ta mousse à la noix, ça en fera plus pour vous deux. Personne d’autre n’y goûtera de toute façon, autant aller à Ste Mangouste directement pour ne pas perdre de temps.
Je lui tournai alors le dos et commençai à faire fondre le chocolat. La cuisine devint alors d’un silence et d’un calme fulgurant comme elle n’en avait pas connu ces trente dernières minutes.
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Mer 10 Oct 2018 - 18:59


Sérieusement, mais qui, à part un enfant de cinq ans, fait tout un fromage pour un pot de chambre cassé puis réparé ? Abigail a un QI d'huître et l'âge mental de mon petit-neveu, c'est vraiment fabuleux - pour elle - que j'arrive encore à la supporter. En plus elle en rajoute des couches et des couches sur les surnoms si bien qu'elle en devient ridicule, vraiment ridicule. Ca l'est tellement que je décide de l'ignorer momentanément. Mais comme c'est une pipelette sauvage, forcément, ça ne peut pas durer longtemps. Elle a l'air complètement allumée avec son air hystérique : "Ferme tes yeux, tu vas faire tomber tes globes oculaires". Une insulte supplémentaire aurait été la bienvenue mais j'ai l'étrange sentiment que si je lui dis ouvertement qu'elle est idiote, elle va me planter son couteau dans la main. La confiance règne. Et la voilà qui se plaint, gneugneu tu m'as harcelée, gneugneu t'as pas de mémoire gneugneugneu. Elle me gonfle cette fille c'est vraiment fou. De toute façon, j'ai jamais dis le contraire, mais Abby aime bien faire la fière avant de craquer et s'enflammer comme une allumette : "Tu dis toujours que t'es la femme, celle qui commande et tout ça, et là tu me dis que je t'ai harcelé et que ça t'a fait craquer ? Tu parles d'une force !" je rouspète en  mettant les poings sur mes hanches pour ne pas faire de gestes obscènes. Par contre, là, c'est à mon tour d'ouvrir grand les yeux quand la furie me traite d'abruti en hurlant. Je rêve ?! Avant de m'attaquer à mes fraises, je me tourne vers elle pour lui faire un geste obscène avec mon majeur, elle l'a bien mérité celui-ci, l'affreuse ! Je découpe mes fraises avec vigueur mais elle continue, hein, parce qu'elle n'est pas capable de mettre du jus de citrouille dans son whisky pur feu celle-là ! "Non mais sérieux, t'en as pas marre d'en faire tout à un fromage ? T'en fais des caisses, à chaque fois je pense que tu peux pas aller plus bas et tu le fais, mais vraiment tu me fatigues merde !" je m'exclame en continuant de couper mes fraises. Je jure rarement à l'oral, il faut bien le dire - la faute aux études de droit - du coup, tout est beaucoup plus percutant. Je coule un regard hostile vers le chocolat qu'elle fait fondre et BAM. JE M'OUVRE LE DOIGT. Merde merde merde !

Ça pisse le sang !
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Lun 19 Nov 2018 - 17:02

J’étais à deux doigts de quitter la cuisine avec mon chocolat pour le laisser tranquille et pour, surtout, être loin de cet énergumène et calmer un peu mes cordes vocales. Puis il me cherchait, je le sentais bien, et moi comme une débile je rentrais dans son jeu. Je le savais en plus que je tombais pile dans son piège, mais j’étais un peu sang chaud que voulez-vous, je m’énerve pour un rien et je pars vite en cacahuètes, surtout avec Came, mais c’est comme ça. Il était doué pour me transformer en furie et savait surtout en profiter le bigre. Mais non, je n’allais pas quitter la cuisine, certainement pas pour lui foutre la paix. J’allais être encore pire.
Mes mots semblèrent s’étouffer dans ma gorge lorsque monsieur l’épinard aborda la question de la force de la femme ou je sais pas quoi qui n’avait aucun rapport avant que mon visage vire au rouge tomate. Il était qu’un abruti fini qui faisait tout le temps en sorte que la situation se retourne en sa faveur, mais il semblait qu’il ne savait toujours pas face à qui il se trouvait. Il était face à Abigail Penelope Hook, et les Hook ne se laissaient pas faire aussi facilement, foi de Godric Gryffondor.
— T’es qu’un abruti fini ! T’es pas content quand je t’écoute ! T’es pas content quand je t’écoute pas ! Tu vas finir tout seul avec un pot d’épinard à la crème je te préviens ! hurlai-je en serrant les poings.
Il avait vraiment le don de me mettre hors de moi, c’était dingue. Ce mec m’énervait, il me… raah il n’y avait même pas les mots. Et puis là il me sortit son majeur et j’ouvris encore plus grand les yeux en continuant ma tirade, nan mais il se prenait pour qui ? Il avait 25 ans quand-même, c’était un peu vieux pour ça nan ?
— Je te… commençai-je à répéter, ET TOI TU CROIS QUE TU ME FATIGUES PAS PEUT-ETRE ?
Sérieusement, il réfléchissait des fois, oui ou merde ? Merde plutôt hein, c’était sûrement ce qu’il y avait à la place de son cerveau. Pendant qu’il coupait frénétiquement ses fraises à la noix, je m’occupai de faire fondre magiquement mon chocolat. Ça allait être parfait, et même lui allait être étonné. J’aimais bien faire la cuisine, c’était pas lui qui allait m’empêcher d’expérimenter mes choses. Et puis s’il était pas content, il avait qu’à se nourrir lui-même au lieu de faire le fainéant. Le silence apaisant de la pièce fut soudainement perturbé par un petit juron et je tournai la tête. Mais c’est pas possible, il n’était même pas capable de couper des fraises tout seul comme un grand. Il fallait toujours qu’il se fasse assister celui-là.
— Vulnera Sanentur prononçai-je en pointant ma baguette sur sa plaie avant de lancer sèchement, de rien. Avant de tourner à mon chocolat. Un vrai gamin.
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Lun 26 Nov 2018 - 18:50


Je sais que j'énerve Abby à force de lui répondre ainsi, mais elle me courre aussi sur la baguette à faire sa tête de mule, là ! Typiquement le genre de fille à pas admettre qu'elle a tort et qu'elle est nulle en cuisine alors qu'il faut pas être Dumbledore pour s'en rendre compte, sérieux. Comme si c'était de ma faute si j'avais passé l'après-midi aux toilettes après avoir mangé son plat, alors que clairement, c'est de la sienne puisque devinez-quoi ? C'est elle la cuistot ! Et qu'on vienne pas me dire que je suis misogyne parce que je la laisse cuisiner, cette espèce de folle ne veut pas que je l'aide, ou que je fasse quoique ce soit. La preuve, elle combat ma mousse à la fraise comme si c'était une hérésie. Elle me gonfle, après elle se plaint parce que je râle mais j'ai des raison de râler, nom d'un lutin de Cornouailles ! "Mais tu m'écoutes jamais Abigaïl !" je réponds, irrité par ses enfantillages, "je te demande si je peux faire ma mousse en parallèle et tu me donnes l'impression que je profane ta cuisine là !". Elle en fait des caisses pour rien et en plus, elle se permet de remettre les épinards sur le tapis. Ça commence à me chauffer !
Et elle continue à hurler, à hurler, on dirait un archevêque qui essaie de convertir ses brebis égarées sans déconner. "Rho ferme la un peu !" je rouspète en levant les yeux au ciel. Si elle me disait simplement "tu as raison, Cameron, pardon vraiment", on n'en serait pas là en train de se crêper le chignon. Et je ne serais pas énervé et... JE NE ME COUPERAIS PAS LE DOIGT ! Ca me fait super mal, y'a du sang sur mes fraises, elles sont immangeables - et ça doit faire plaisir à la vicieuse fille qui partage l'appartement avec moi, ça me dégoûte. Et EN PLUS ELLE SORT SA BAGUETTE POUR M'AIDER ? NON MAIS JE RÊVE ? "J'tai rien demandé !" je lui réponds tout fier comme un paon. D'un coup de baguette j'envoie mes fraises à la poubelle, parce qu'il est question de s'avouer vaincu devant les liens sacrés du sang et je m'en vais de la cuisine pour aller bouder sur le canapé, les bras croisés. Nah !
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Mar 18 Déc 2018 - 20:41

— Et bien OUI, tu profanes ma cuisine ! fulminai-je en lui lançant un regard noir. C’est pas possible, c’était un véritable enfant. Il voulait toujours avoir raison, résultat des courses ça partait en n’importe quoi. Et après, il osait dire que c’était de ma faute ? Bon, ce n’était pas nouveau qu’il rejette la responsabilité sur les autres, mais je commençais vraiment à en avoir ras les chaudrons ! C’était pas possible qu’on vive ensemble avec une si « grande » entente, en vrai même nos amis proches avaient du mal à y croire, eux qui avaient suivi de près nos querelles quotidiennes au Collège et qui, du jour au lendemain, avaient appris qu’on s’était mis ensemble. Ça semblait dingue, hein ? Yes, l’histoire de notre vie.
Et puis en plus, ce mec avait une fierté comme un gobelin. Dès qu’il était contrarié, même s’il avait tort, et bien il faisait la tête. Non mais clairement, je n’en pouvais plus de lui. Et voilà qu’il faisait des bêtises que j’étais, encore une fois, obligée de réparer. Et pour le coup, même si je ne m’attendais pas à des excuses de sa part, je m’attendais au moins à… je ne sais pas, même un regard furieux m’aurait suffi. Mais non, il était trop orgueilleux pour ne pas s’empêcher d’en placer une. Il jeta ses fraises d’un coup de baguette et alla se vautrer au fond du canapé. Je soufflai bruyamment. Non mais sérieusement ? Il voulait vraiment jouer à ce jeu-là ? Et bien on allait jouer. Je posai ma casserole pleine de chocolat sur la table et vins me planter devant lui, les poings placés sur les hanches.
— Alors non, tu vas pas commencer à fuir comme ça hein ! Tu l’as cherché, maintenant t’assumes !
Et sans une ni deux, j’attrapai un coussin qui était juste à côté et lui flanquai un bon coup sur le visage.
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MessageSujet: Re: La cuisine, ce lieux de débat | ABBY La cuisine, ce lieux de débat | ABBY 129196351Mar 25 Déc 2018 - 21:59


Abigaïl a toujours eu l'âge mental d'une petite cuillère, c'est pour ça qu'on a jamais pu se blairer ! Genre moi j'étais cent fois plus intelligent, plus beau, et bien entendu, plus censé qu'elle, et elle en a toujours été jalouse ; c'est pour ça qu'elle hurle comme si j'étais un pestiféré et qu'elle me gueule autant d’imbécillités à la figure. Si y'en a bien une qui PROFANE une cuisine, c'est bien elle et sa béchamel de malheur, qui provoque non seulement des indigestions mais aussi de graves troubles intestinaux. Un danger, cette nana ! Mais non, d'après elle c'est MOI, parce que c'est toujours de la faute de CAMERON de toute façon, que ce soit parce qu'elle dose mal - gneugneu tu m'as dis de faire comme ça - ou parce qu'elle se rate - gneugneu tu me déconcentres. Bientôt elle va choper un microbe parce qu'elle aura mal lavé son pull et elle ira me faire chier moi alors que je n'y serai pour rien. Elle est complètement allumée je sais même pas pourquoi je reste dans cette maison. On passe notre temps à se disputer, à s'envoyer chier, à hurler, et elle à pleurer, je ferais mieux de casser pour retourner vivre à Belfast où je ne verrai plus son ignoble face de veracrasse. Mais je suis plus intelligent que ça, me dis-je, puisque je préfère quitter le champ de bataille avec le moral au plus bas et la fierté dans les chaussettes, pendant qu'elle hurle comme si elle était général à Waterloo. Pourtant, même dans le salon elle n'est pas capable de me laisser tranquille, elle est obligée de venir cracher son venin et elle est obligée de venir m'observer avec ses yeux de fouine. MERLIN QU'ELLE M'INSUPPORTE. « ASSUMER QUOI AU JUSTE ? » je lui réponds tout irrité par la tournure de cette conversation, alors qu'on aurait très bien pu faire une bataille de farine dans la cuisine et s'amuser comme des petits fous, « JE M'EN VAIS POUR QUE TU TE CALMES, POUR QUE JE ME CALME, ET TU CONTINUES PARCE QUE TU NE SAIS JAMAIS T'ARRÊTER ». Elle me sort littéralement par les trous de nez, et moi, assit sur mon canapé, les bras croisés, je me saisis de la télécommande lorsqu'elle m'assomme d'un grand coup de coussin... Cette petite vicieuse sait que j'adore jouer avec les coussins. J'en prends un et le lui lance en pleine figure : « ET N'ESSAIES PAS DE ME MANIPULER AVEC UNE BATAILLE DE COUSSIN ABIGAÏL HOOK ».
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