ϟ la fiche de recensement

   

NOM - Zabini    PRENOMS -Ares, Dambala, Hevioso. L'occidentalisation aura eu raison de son 1er prénom donné en l'honneur du dieu grec de la guerre, de la vengeance et garant des serments.  Les deux autres prénoms renvoient à ses racines africaines et à des divinités vaudou: Damballa, le dieu serpent, esprit de la connaissance. Hevioso, le dieu de la foudre et de l'orage    DATE DE NAISSANCE - 7 mars 1950    AGE - 26 ans    VILLE D'ORIGINE - Londres, Angleterre    SANG - sang pur,    ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Serpentard    ORIENTATION - Pro sang pur, il n'a pas pour autant rejoint (pour l'instant) le seigneur des ténèbres

   

   

Dans Ares vous trouvez d'abord un A comme "arrogant". L'arrogance est sans conteste la première de ses qualités (le premier de ses défauts?) et la première chose que vous remarquerez en le voyant.  Tout en lui respire l'arrogance. Sa façon de se tenir droit, les lèvres légèrement pincées et le regard dédaigneux. L'assurance avec laquelle il avance. Il ne marche pas, il glisse, il vole. Ares est beau et il le sait.  Du fait de ses racines africaines, le jeune mulâtre a de l'or sous la peau, même si certains ne le voient que comme un "nègre". Il a un corps sculpté dans le marbre, sans effort, c'est naturel chez les africains dit-on... et je ne vous parle pas de son.......

Dans Ares, vous trouvez ensuite  un R comme dans "Rêveur".  Ares a toujours été un garçon très rêveur dans tous les sens du terme. Il est un peu déconnecté du monde réel parfois et se plait à rêver d'un monde tel qu'il aimerait qu'il soit. Il rêve souvent d'Afrique aussi. Comme il aimerait connaître l'Afrique, la terre de ses ancêtres. Le Ghana pays de son père, le sénégal pays de sa grand-mère paternelle. Fort de ses racines africaines, il croit également en la puissance des rêves. Il sait que le rêve est un passage qui nous permet de voyager entre les mondes y compris celui des vivants et celui des morts. Il sait que les rêves nous délivrent des messages. Il a toujours aimé les rêves depuis l'enfance, car il espérait qu'un jour le messager des rêves lui apporterait une pierre, symbole de son admission à l'école de sorcellerie Uagadou comme à ses ancêtres. Un rêve qui ne s'est jamais réalisé et peut être sa plus grande frustration.

Dans Ares, vous trouvez ensuite un E comme "énigmatique". On ne lit pas dans Ares comme dans un livre ouvert. Il est un fin manipulateur. Comme Dambala, divinité vaudou à laquelle il doit son second prénom, il vous montrera rarement son vrai visage mais plutôt celui que vous voudriez voir.

Sous ses airs de caïds se cache un garçon à la sensibilité inégalable. C'est dans cette sensibilité que vous trouverez le "S" de Ares. Une sensibilité bien cachée en apparence mais pourtant tellement présente.


   

   

   

   VOTRE PATRONUS - Un crocodile. Un véritable reptile comme moi et surtout un animal sacré au Burkina Faso depuis que dans le village de Bazoulé un crocodile a sauvé la vie d'un homme.
   VOTRE EPOUVANTARD - Une attaque de chauve-souris. Oiseau de mauvais augure
   VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Noix-de-Coco
   VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Anapneo-  J'ai toujours adoré être dans l'eau et sous l'eau. Les créatures de l'eau me fascinent
   VOTRE POTION PRÉFÉRÉE –  J'ai une passion pour les potions. Je ne pourrais pas en choisir une mais je dirais les antidotes, les potions traditionnelles africaines, surtout celle qui permet la zombification mais je ne vous en dirais pas plus à ce sujet
   VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Potions&Remèdes, la boutique de ma petite soeur Ava
   VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ –Babajide Akingbade.  Grand marabout, Ancien Président du Conseil des Sorciers Africains et Membre de la confédération internationale des sorciers.
   VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – Les sirènes
   L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – Une odeur d'épices, de terre et d'eau

   AUTRE CHOSE A AJOUTER ? -Non mon capitaine
   

   

   

   RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
   Pourquoi, diable Rita Skeeter, s’intéressait-elle à lui? Il n'en avait aucune idée, mais cela lui plaisait. Lui qui était si arrogant, il aimait être sous le feu des projecteurs.

" Sauvez des vies. Oui, c'est mon travail. Je suis médicomage. Je travaille au sein du département empoisonnements par potions et par plantes. Vous savez, les sorciers africains ont une excellente connaissance des plantes et des potions. J'ai appris à ce sujet avec mes ancêtres bien plus qu'à Poudlard. Ce qui fait de moi, le meilleur antidotiste de mon service. Vous verrez, je serai rapidement le plus jeune guérisseur en chef. Rita, ne vous avait-on pas prévenue de son arrogance?

   RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
   A cet question, il senti son cœur s'arrêter une seconde et il repensa à ce baiser passionné, qu'il avait échangé quelques semaines auparavant Avec Octavius. C'était la première fois, qu'il embrassait un homme. Et pourtant, jamais, il n'avait ressenti quelque chose de si fort qu'à cet instant. Malgré son sang pur, malgré sa peau simplement doré, il était pour beaucoup ici, un noir, un étranger. Il ne manquait plus qu'il soit gay. Il serait a jamais banni de cette société mondaine blanche à laquelle il voulait tant appartenir. Il avait eu quelques histoires d'amour avec des filles à Poudlard, mais toutes étaient promises à un autre. Et aujourd'hui, ce baiser échangé avait bouleversé sa vie. Après un long silence, il finit par répondre.
" Je ne crois pas en l'amour. Je crois dans le mariage. Vous avez beau avoir le sang pur, vous avez beau être métis, pour les patriarches des bonnes familles de sang pur anglaises vous n'êtes qu'un étranger, un africain indigne d'épouser une de leurs filles. J'espère qu'un jour l'un d'eux réalisera que je suis tout autant anglais qu'eux. Je n'ai jamais mis un pied en Afrique, même si j'en rêve. j'espère qu'ils réaliseront surtout la puissance des sorciers africains. Là-bas, il y a que des sorciers au sang pur pas comme ici. La sorcellerie, on peut la pratiquer sans baguette, les plantes, les créatures, on connait ça par coeur. Et combien d'entre nous sont des animagis?  Un jour l'un d'eux comprendra que me donner sa fille, sera devenir plus pur encore mais ce jour n'est pas encore arrivé."

   RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
   Il laissa échapper un petit sourire. " J'ai eu une enfance plutôt banal. Je suis né et j'ai grandis en Angleterre. Si vous saviez combien j'aurais aimé connaître l'Afrique. Je la connais seulement à travers les histoires que mes ancêtres m'ont transmises.J'aurais tellement aimé aller à l'école de sorcellerie de Uagadou. Mais non, je suis allé à Poudlard. J'étais à Serpentard. J'étais le seul étudiant "noir", jusqu'à l'arrivée de ma soeur. Et tout le monde regardait avec étrangeté. J'étais prêt à tout pour me faire accepter des autres. Y compris, torturer d'autres élèves et ainsi être punis à leur place. On disait que j'étais une brute, un caïd. Mais au fond, tout ce que je voulais c'était être l'un des leurs. " C'était la première fois qu'Ares avait parlé avec autant de franchise de sa scolarité à Poudlard, du masque qu'il avait porté pour être aimé. Et au fond, s'était-il vraiment fait des amis chez les sangs purs? Une chose était certaine, il avait plus d'ennemis que d'amis. Maintenant, il soignait les gens, et il espérait qu'on le pardonnerait..

   RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
   Demandez à Ares Zabini de parler de ses rêves. Voilà une question à ne pas poser. Ce garçon est un rêveur né. Il passe son temps à rêver.  Mais il allait falloir être concis." J'aimerais être guérisseur en chef. Et je vous  l'ai dit, je serai le plus jeune guérisseur en chef de l'histoire. Mais ce que j'aimerais c'est partir un an, ou deux, ou trois, explorer l'Afrique apprendre des plus sages des sorciers et pratiquer la magie pure, la vraie.



   RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
   Depuis quand Rita Sketer, la langue de vipère savait-elle garder un secret? Il ne la croyait absolument pas. " La magie ne se développe que chez des êtres d'exception." Rien de plus, rien de moins. Il n'était pas là pour parler de ça.

   RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
   "Être accepté comme je suis! Être reconnu à ma juste valeur, un sorcier exceptionnel, maîtriser toute la magie ancestrale africaine."

   

   

   
   
   

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Oui- Morfin Carrow, Chef des oubliators    Où avez vous connu le forum ?  Je sais plus lol ( a voir dans la fiche de Morfin)    Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : pour faire quoi?      bon...mardi-manticore

   Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
   BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Cela faisait trois ans que le jeune mulâtre avait laissé tomber sa robe verte sur laquelle brillait le serpent argenté de Salazard Serpentard. Trois ans qu'il avait quitté Poudlard, ce lieu qu'il aimait et détestait à la fois. Il l'aimait, car ce château était merveilleux, chaque pas était une découverte. Mais il le détestait parce qu'il n'était pas Ougadou. Cette école de magie dont il avait tant rêvé. Cette école où la vrai magie était enseignée, sans baguette. Cette école où tout le monde pouvait devenir un animagi. Cette école où la question d'impureté n'existe pas et où l'on est pas rejeté parce qu'on est noir. Oui, ce qu'il détestait le plus à Poudlard, c'était ce regard qu'on pouvait poser sur lui parce qu'il était "un peu trop bronzé." Aux yeux de certains, l'or qu'il avait sous la peau était aussi répugnant que le sang impur qui coulait dans les veines d'autres.  Pouvez vous l'imaginer? Qu'importe sa couleur, un sorcier est toujours un sorcier. Comment le comparer avec un moldu usurpateur de magie?
La couleur de sa peau dorée n'était pas le seul frein à son intégration avec les sorciers aux noms les plus nobles. Tel était également le cas de son nom à consonance italienne pourtant si mélodieux.Oh Bello Ciao D'ailleurs, il ne comprenait pas pourquoi sa soeur, Ava, n'avait pas pris le nom de ses maris. Elle n'aurait plus à subir le rejet que son nom à connaissance étrangère imposait. Parfois, rien que pour ça , il aurait aimé être une fille. Et puis pour pouvoir aimer, un homme sans crainte également. Mais cessons donc les digressions.

Ce que je voulais vous dire, c'est que cela faisait trois ans qu'il avait quitté sa robe verte, il la troquait aujourd'hui contre une nouvelle robe  tout aussi verte. Celle de médicomage. Ou du moins, de médicomage stagiaire. Il était à présent en stage à l’hôpital Sainte Mangouste. Il allait suivre une formation dans tous les services avant de choisir sa spécialité et il était particulièrement excité. C'était la première fois qu'il mettait les pieds dans cet hôpital.  Il y avait pleins de patients dans les couloirs et le bruit était infernal. On lui avait demandé, comme à tous les autres nouveaux admis d'attendre devant le portrait de Dilys Derwent. Une magnifique sorcière aux longues boucles argentées. On pouvait lire sous son portrait qu'elle avait été guérisseuse à Sainte-Mangouste de 1722 à 1741 avant de prendre, cette même année, la direction de l'école de sorcellerie Poudlard, jusqu'à 1768.  En face de lui, Ares observait le panneau avec les différents niveaux. Trois niveaux retenaient particulièrement son attention et il avait hâte de découvrir ces spécialités: Blessures par créatures vivantes, empoisonnement par potions et plantes et enfin, pathologie des sortilèges. Mais avant ça, il fallait prêter serment. A l'appel de son nom, il sentit son cœur battre la chamade
"Zabini Ares,". Il s'avança vers le directeur de l’hôpital et pointa sa baguette vers le ciel, sentant à chaque parole, une lumière jaillir et venir s'enchainer autour de son bras. " Je jure par Apollon, dieu de la médicomagie, que je soignerai toute personne dont l'état le nécessite, sans distinction et sans jugement et que je tenterai tout ce qui est en mon pouvoir pour la sauver" .  Ce serment, l'obligeait à soigner tous les sorciers y compris ceux au sang impur. Mais ce serment, ne s'imposait qu'aux  médicomages mais pas aux patients, c'est ce qu'il appris à ses dépends quelques heures plus tard, alors qu'il commençait son apprentissage au deuxième étage, "virus et microbes magiques". Il était placé sous la responsabilité du guérisseur en chef Asclépios Smethwyck. Lui et plusieurs autres élèves entrèrent dans une salle où se trouvait une vielle dame, Violetta Black. En lisant le nom de la vielle dame, il se pinça les lèvres. Imaginez l'ironie du sort, si au lieu de Zabini, le jeune mulâtre avait porté le nom "black". En tout les cas, la vielle dame portait mal son nom, elle aurait plutôt du s'appeler "green" vu la couleur verdate, de sa peau, signe évident d'une dragoncelle. "Diagnostic?" interrogea le guérisseur en chef à notre rang d'internes. " Variole du dragon, plus connue sous le nom de dragoncelle. Maladie qui peut être mortelle si elle n'est pas traitée mais qui se soigne facilement depuis la découverte de son remède par Gunhilda de Gorsmoore." lança Ares avec arrogance. Ares était fier d'étaler ses connaissances mais en même dépité pour son premier jour de s'occuper d'un cas de dragoncelle. Il pensait voir quelque chose de plus palpitant Il ne remarqua même pas le dédain avec laquelle l'observait la vielle puriste.
"Exact Monsieur Zabini. Savez-vous effectuer ce remède? Voudriez-vous, sous ma supervision, vous occupez de Madame Black". Une dragoncelle, c'était donc tout ce qu'il valait? Ares, laissa échapper un sourire poli. " Evidemment, il suffit de mélanger  de la bave de dragon, avec  3 feuilles d'achilée stetanutoire, 8 racines de mandragores et...." Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase que la vielle dame s'était redressée, baguette en main et l'avait interrompu.Hors de question que je me fasse soigner par cet étranger! Ni par un étranger! Ni par un impur ! Vous savez qui je suis? elle ne parlait pas elle vociférait. Il avait envie de lui jeter un sortilège pour la rendre noire. Au moins, elle porterait bien son nom ! Il n'avait jamais pensé que ce qu'il vivait à Poudlard allait recommencer ic " Madame, je suis un médecin comme un autre. Si vous étiez entre la vie et la mort, vous me remercieriez de vous...."
Une fois de plus, il fut interrompu, mais cette fois par le guérisseur en chef."Je me chargerai personnellement de votre suivi Madame Black. Apprentis, si vous voulez bien me suivre.". Ares sentait la colère montait en lui. Comment, le guérisseur avait-il pu laisser passer ça? Est-ce qu'il allait souvent être rejeté par les patients à cause de sa couleur? Dehors, le guérisseur leur expliqua qu'elle était l'une des plus grandes bienfaitrice de l’hôpital et qu'il avait préféré s'occuper de son cas pour ne pas la contrarier. Cette excuse n'avait pas convenu au jeune mulâtre qui ce jour là avait compris une chose: il ne serait jamais accepté par ces grandes familles et pour le coup, il n'était plus noir. Il était vert de rage. Comme sa robe de serpentard, comme sa robe de médicomage, comme cette vieille intolérante.

John Dawlish a écrit:

Oh oui c'est vrai! Rappelle moi ton nom de célébrité et je vais voir ce que je peux faire ! Je suis en déplacement, mais quand je reviendrai !

Raven Fawkes a écrit:

Décidément, le mal envahit notre belle communauté... Néanmoins, bienvenue quand-même

Rebienvenue !