ϟ la fiche de recensement

NOM - Turner PRENOMS - Madeleine DATE DE NAISSANCE - 24 juillet 1950 AGE - 26 VILLE D'ORIGINE - Un petit village dans le sud de la France SANG - Impur, pour son plus grand malheur ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Serpentard ORIENTATION - Neutre, pour le moment

Madeleine Turner, surnommée Maddy par de nombreuses personnes, est la fille illégitime d’une sorcière au sang-pur française, la belle Alice Montdoux, et un moldu américain, James Turner. Ses deux êtres, qui n’avaient rien en commun, se sont rencontrés à Paris, et ont eu une brève aventure. Quelques mois plus tard naissait la belle et douce Madeleine. Voulant être honnête avec son amant, Alice lui écrivit une lettre pour lui annoncer la nouvelle. Celui-ci étant marié avec une américaine et étant déjà retourné dans son pays, il vint la voir une fois pas an généralement, parfois plus, pour lui apporter un soutien financier. Il avait néanmoins reconnu l’enfant auprès des autorités françaises, elle portait donc son nom. Un jour, alors que la jeune fille fêtait ses neuf ans, James débarqua sans prévenir Alice, qui était en pleine leçon de magie. Prenant peur, l’homme s’enfuit dans les rues du petit village provençal où vivaient Maddy et sa mère. Bien trop confiante, la sorcière le laissa partir sans chercher à la retenir, pensant qu’il avait juste besoin de temps pour se faire à cette idée. Le soir même, une foule se pressait autour de la misérable maison d’Alice et de Madeleine, fourche à la main, criant à l’hérésie, James en première ligne. Madeleine connaissait bien ce groupe d'individus : ils avaient une sorte d'église, à l'extérieur du village, et prêchaient la bonne parole à ceux qui voulaient l'entendre, déblatérant sur le diable, le malin, les démons, ce genre de chose... Alice n’eut pas le temps de s’enfuir, ou même de saisir sa baguette. Ils entrèrent de force et l’amenèrent dans le bâtiment délabré qui leur servait de temple, dans lequel se trouvait une table et de nombreux instruments de torture... Ils avaient visiblement l'habitude de pratiquer ce genre de choses... Madeleine était retenue par James, qui lui expliquait dans sa langue que c’était pour son bien, qu’il allait sauver l’âme de sa mère et permettre à Maddy d’avoir une bonne éducation loin de la vile magie. Les cris de sa mère, les bruits des os qui craquaient, puis pour finir l'odeur de la chaire de sa mère qu'ils brûlaient vive, les paroles de son géniteur… Madeleine parvint à s’enfuir.
Un an plus tard, la jeune franco-américaine faisait sa rentrée à Poudlard, bien déterminée à devenir une grande et puissante sorcière. Grâce à des connaissances de sa mère, qui avaient accepté de la recueillir, émus par son histoire familiale, elle avait pu avoir un foyer et avait pu se cacher de son père.
Maintenant adulte, Madeleine est une femme assez froide et distante avec les gens, ne souhaitant pas s’attacher inutilement ou tisser des liens qui, de toute façon, étaient voués à l’échec. C’est une femme solitaire, appréciant de passer des moments seule chez elle, sans avoir besoin de relations amicales ou amoureuses. La jeune femme sait pourtant qu’elle a besoin d’être un minimum entourée, pour ne pas paraître étrange ou en marge de la société, alors elle joue les hypocrites, à merveille, et ment sur ses passions, pour se rendre intéressante aux yeux des autres. Elle manipule les gens sans aucun scrupule pour arriver à ses fins, car sauver sa peau ou atteindre ses objectifs est la seule chose importante à ses yeux. Derrière ses beaux yeux et son visage d’ange se cache une femme particulièrement rancunière et déterminée, qui n’hésitera pas à détruire ceux qui osent se mettre sur son passage.
Son allure et son métier, médicomage, poussent souvent les gens à aller vers elle, à chercher à devenir ami avec Maddy, mais elle ne s’attache pratiquement jamais aux gens, préférant souvent les éloigner, pour ne pas s’encombrer inutilement de relation.
Madeleine ne cherche qu’une seule et unique chose : se venger. Elle n’envisage rien après, considérant que sa vie ne servira alors plus à grand-chose.

VOTRE PATRONUS - Un chat
VOTRE EPOUVANTARD - Sa mère sur le bûcher
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Il y en a trop pour tous les citer : elle est très gourmande.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Avada Kedavra, même si elle ne l'a pas encore utilisé
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – Le sérum de vérité
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Aucune en particulier
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Personne
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – Les botruc
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – Le basilic, le romarin, le thym, le foin...

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Sa mère la surnommait Maddy quand elle était enfant, c'est donc un surnom qu'elle a du mal à entendre de la part de quelqu'un d'autre.
Son seul objectif dans la vie est la vengeance qu'elle fomente depuis la mort de sa mère.

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Madeleine ne savait pas vraiment ce qu’elle faisait ici, sur cette chaise, face à cette journaliste avec une voix si horripilante qu’elle tentait de masquer les frissons qui courraient dans son dos. Une interview, vraiment ? C’était une idée absolument affreuse pour elle qui espérait passer inaperçu, au cas où son géniteur ne la cherche encore… Avec son sourire de façade, légèrement crispé il fallait l’admettre, elle regarda la journaliste avant de réponse « Je suis médicomage, et j’essaye de sauver le plus de vie possibles ». C’était assez comique, d’ailleurs, pour une personne qui projetait depuis tant d’années d’enlever des vies…

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
L’amour… Madeleine avait toujours trouvé ça assez dingue, ce besoin perpétuel de se faire aimer. Elle n’en avait jamais vraiment ressenti le besoin, ne manquant que de l’amour de sa mère. Oh bien sûr, elle avait déjà fréquenté des garçons, ou plutôt le leur lit, mais jamais aucun n’avait réussi à prendre son cœur. La jeune femme tentait par tous les moyens possibles de faire comme si elle n’en avait pas, car de toute façon il n’y avait que de la haine à l’intérieur. « Rien de particulier. Passons à une autre question, cela m’embarrasse… » dit-elle avec un petit air timide et un sourire complice avec la journaliste. Mentir, manipuler, ça elle savait le faire, mais aimer…

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
Un fin sourire étira les lèvres de la jolie blonde face à la phrase de Rita. Evidemment que ses choix étaient dictés par son passé, quand on avait une histoire telle que la sienne il ne pouvait pas en être autrement. « Mon enfance reste une période très floue pour moi » mentit-elle. « Quant à mes années Poudlard, elles étaient tout à fait banales. J’avais de très bonnes notes, quelques amis, rien de plus normal donc. » déclara-t-elle avec un geste de la main, comme si elle balayait la question.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Madeleine servit un grand sourire à la journaliste, le premier sourire franc de la journée. Ses projets, ses rêves… Ils étaient si simples : retrouver son géniteur, et les moldus ayant amené sa mère sur le bûcher pour les tuer, tous, jusqu’au dernier. Elle ne pensait qu’à ça, ne vivait que pour ça, n’agissait que pour cette vengeance. « Avoir un mari, fonder une famille, être heureuse… Là encore, chère Rita, je ne me démarque pas des autres ! » déclara-t-elle avec un petit rire, tentant de se montrer toujours tout à fait banale aux yeux de tous.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
La politique… La jeune Turner n’en avait pas vraiment quelque chose à faire, au final, même si elle devait admettre que sa haine profonde envers les moldus et leur fanatisme la rapprochait surement des mages noirs. Ceux-ci avaient raison sur beaucoup de choses, elle devait l’admettre et, même si ce n’était pas sa priorité du moment, elle était plutôt partisane que contre eux. Les moldus, leur haine envers les sorciers, leur meurtre, celui de sa mère… Madeleine se disait souvent que si sa mère avait eu l’intelligence de se marier avec un Sang-pur, elle n’en serait pas là, elle serait plus puissante et une meilleure magicienne… « Ce genre de sujet n’est pas à aborder avec n’importe qui, ma chère Rita… Mais puisque c’est vous, je peux bien vous le dire : il n’y a que la magie blanche qui devrait exister. »

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Ce conte, les gens de son village lui en avait parlé, les autres enfants, et ceux-ci avaient exprimés le vœu que les sorcières meurent toutes sur le bûcher… Madeleine secoua la tête. « La paix dans le monde, assez de nourriture pour tout le monde, puis un bon mari pour moi ! » dit-elle en riant.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?Owi, pas mal ahah Où avez vous connu le forum ?  Grâce à ma meilleure coupine Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : OUI + lundi - lutin de Cournouailles

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

— Vous êtes dans le Poudlard Express en direction de Londres. C'est votre tout dernier voyage en train, Poudlard, c'est terminé pour vous. Décrivez vos impressions et vos sentiments au cours d'un RP.

Les sept années à Poudlard étaient passées incroyablement vite, si on écoutait les filles qui riaient aux éclats à côté de Madeleine. Ces deux jeune-femmes, l’une blonde et l’autre brune, semblaient exaltées de quitter le château pour voguer vers de nouveaux horizons. L’une expliquait qu’elle irait étudier le droit magique pour devenir juriste ou avocate, quand l’autre soupirait en rêvant à des études, elle aussi. Visiblement, ses parents avaient décidé de la marier à un autre sorcier dès sa sortie de Poudlard pour la faire rapidement poursuivre la lignée, ce qui se faisait souvent chez les grandes familles au Sang-pur et qui n’était visiblement pas à son goût puisqu’elle disait vouloir étudier la littérature dans une université moldu. Maddy, qui tentait habituellement de rester de marbre face à la stupidité dont pouvait parfois faire preuve les autres êtres humains, leva les yeux au ciel. Aller dans une université moldu quand on était sorcier, sang-pur qui plus est, était totalement idiot. Se mêler à ces gens était une mauvaise idée, sauf si bien sûr vous vouliez vous faire rejeter, insulter voire même tuer… « Et toi, Madeleine, tu vas faire quoi maintenant que Poudlard est derrière nous ? » demanda finalement la blonde en se tournant vers ce qui était maintenant son ancienne camarade de maison. La jeune Turner hausse les épaules, sans détourner le regard de la fenêtre. « Laisse tomber, elle n’est pas du genre à parler de sa vie, celle-là ! » chuchota la bécasse brune à sa grande copine qu’elle oublierait surement dans même pas trois mois. « Moi je la vois bien épouvantail dans un champ ! Les corbeaux n’oseraient pas approcher, vu l’aura sombre qu’elle dégage » ajouta-t-elle plus bas en se retenant de pouffer de rire comme une ado alors qu’elle avait dix-huit ans et qu’elle allait se marier. Pathétique, n’est-ce pas ? « Arrêtes, ne dis pas n’importe quoi, il faut juste la connaître un peu… » tenta vainement la blonde de défendre Madeleine, au moins pour la forme, parce qu’elle savait bien que l’autre parlait encore trop fort pour être discrète. La française se tourna vers les deux jeunes filles avant un grand sourire avant de dire « Je serai médicomage, comme ça, si tu viens accoucher à Saint-Mangouste, je m’occuperai personnellement de toi » dit-elle en faisant un clin d’œil à la brune.

Rebienvenue avec la belle Lawrence

Voilà donc pourquoi elle déteste les moldus
(re)Bienvenue à la maison Miss