ϟ la fiche de recensement

NOM - Stomby PRENOMS – Galaad Neil DATE DE NAISSANCE – 16 février AGE – 21 ans VILLE D'ORIGINE - Belfast SANG – On dit les Stomby sangs purs, mais la vérité est plus (em)mêlée ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Serpentard ORIENTATION - neutre – choisir, c’est compliqué

Pour bien commencer, Galaad est un flemmard. Mais alors, un véritable : celui qui reportera toujours au dernier moment et qui, devant la masse de choses à accomplir, préférera en général baisser les bras. Les grasses mat' sont ses meilleures amies, et il pourrait en dire autant des week-ends s'il ne vivait pas l'intégralité de son année comme étant en congé. En bref, il n'est pas du genre à lutter face à l'adversité ; au contraire, il trouvera toujours un moyen de contourner la difficulté pour en faire le moins possible. Et par exemple, un de ses problèmes les plus couramment rencontrés, c'est de devoir faire un choix. Oui, ça a l'air bête comme ça, mais Galaad est un grand indécis. Citron ou pamplemousse ? Chaud ou froid ? Sortir avec un garçon ou avec une fille ? Mangemort ou pas ? Tant de questions auxquelles il se retrouve fréquemment confronté et auxquelles trouver une réponse ressemble plus à un objectif insurmontable. Heureusement pour lui, il existe encore des choix simples. Bosser ou glander ? en est un excellent exemple. Cela implique également que son sens des responsabilités avoisine le zéro, et qu'il se débrouillera toujours pour qu'on s'occupe des choses à sa place. Pour lui, le poste de préfet représenterait ainsi le cauchemar absolu - heureusement pour tout le monde, seul le dernier des psychotiques lui aurait confié un tel rôle.
Malgré cela, Galaad est du genre imaginatif. Qu’il s’agisse de trouver une excuse pour glander, ou pour se sortir d’une situation gênante, il saura garder un air parfaitement flegmatique et vous baragouiner un truc que vous seriez presque capable de croire. Presque. Parce qu'il n'est pas nécessairement un bon menteur. En revanche, et contrairement à ce que sa flemmardise légendaire pourrait suggérer, Galaad peut se montrer extrêmement enthousiaste. Pas pour bosser bien sûr, mais proposez lui la moindre connerie et il sera le premier – bon d’accord, le second - à se lever pour vous suivre. Un dernier détail tant qu'on y est, sachez que si la connerie en question implique de boire, il n'en sera que plus heureux, mais qu'il ne tient pas du tout l'alcool. C'est même une calamité en la matière. Avoir tout oublié de sa soirée, se réveiller avec un mal de crâne monumental ou éventuellement avec un(e) inconnu(e) font partie de ses habitudes. Une chance pour pour lui, il assume (presque) cette faiblesse.
Ah, autre aspect de sa personnalité qui agace sa sœur ainée au possible : vous pourrez reprocher à Galaad ce que vous voudrez, ce ne sera jamais de sa faute. Il trouvera toujours une excuse pour accuser un autre élève, un inconnu, les circonstances ou encore le hibou qui passait à ce moment-là. Il pourrait avoir déclenché un incendie que ce serait la faute du débile qui lui a filé le paquet d'allumettes parce que « c'est vrai, quoi, un sorcier sera forcément curieux de savoir comment ça marche, non ? ».
Galaad peut néanmoins être considéré comme un ami de choix : loyal, pas vraiment exigeant, il aura toujours le mot pour vous faire rire ou pour vous remonter le moral. Un bon sens de l'humour donc, qui est aussi sa meilleure défense en cas de conflit. Car Galaad n'est pas un bagarreur : il saura sans doute se défendre en cas de besoin, ne serait-ce que parce qu'il n'est pas un avorton, mais il n'est pas du genre à chercher les ennuis. Il compte principalement sur sa répartie pour se sortir de mauvais pas. En seconde intention, sur ses poings et, en dernier recours, sur sa baguette – ce qui a nettement moins de chances de fonctionner, car vu son assiduité en classe, il n’a jamais développé de grand talent en sortilèges.
Son sens de l'humour lui accorde aussi  un certain charisme, dont il n'hésite pas à se servir. Charmeur devant l'éternel, il a toujours quelques targets qu'il poursuivra de ses ardeurs. Il peut même être lourd, quand il a bu - car souvenez-vous, il ne tient pas l'alcool. Craignant l'engagement plus que tout, il n'aura jamais de relations sérieuses, et préférera les histoires d'un soir - ou de quelques soirs, allez. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’a pas un cœur sensible, au contraire. Un Galaad déprimé ira se consoler dans les premiers bras venus. Ce qui fait de lui un merveilleux cœur d’artichaut, capable de passer d'un flirt à l'autre avec une déconcertante rapidité.

VOTRE PATRONUS – un nuage moche prenant la vague forme d’un chat
VOTRE EPOUVANTARD - une cage menaçant de l'avaler et de l'emprisonner – et une fois, mais ne le répétez pas, un épouvantard a pris l’apparence de sa sœur aînée.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – la menthe, bien sûr
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Accio, pas trop compliqué et surtout fort pratique lorsqu’on ne veut pas bouger du canapé
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – le whisky purfeu – comment ça, ça ne compte pas ?
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE –le Chaudron Baveur, on y fait des rencontres for-mi-dables
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Kennilworthy Whisp, l’auteur du seul livre qu’il ait lu du début à la fin
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – le Billywig
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – tourbe, cigarette froide et bonbon à la menthe (yummy)

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? – Galaad a le tic de se mordiller l’intérieur des joues dès qu’il est mal à l’aise ou indécis. Il est également l’heureux propriétaire d’une guitare d’origine moldue, dégottée pour quelques noises dans l’allée des embrumes.

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
En voilà une première question comme il les aime … Il détourne le regard et enterre son menton dans sa bière. Pas plus tard qu’hier, il disait encore que le Chaudron baveur était un endroit exceptionnel, parfait pour rencontrer des personnes hors du commun. Rita Skeeter n’était pas exactement ce qu’il impliquait par ces personnes hors du commun. Pas du tout, même.
- Mnmh … grommelle-t-il dans sa bière. Je ne travaille pas vraiment.
Ce qui est un bel euphémisme du moins classieux « je suis chômeur professionnel ». Devant le haussement de sourcil qui lui répond, il se sent obligé de poursuivre avec une pâle tentative de justification.
- A Pourdlard déjà, c’était pas trop ça. Les profs, ils ne m’aimaient pas. Avec les résultats que j’avais en sortant, j’aurais jamais pu prolonger mes études. Puis d’ailleurs, j’en avais même pas envie. Et il n’y a aucun job qui me fasse envie. Mais c’est pas grave, ma petite sœur est une bosseuse, elle. Elle m’aide un peu. Et le reste de ma famille est riche. Alors bon … Je ne m’inquiète pas trop.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
C’est son tour de hausser les sourcils. S’il en croit ce qu’on disait de lui à Poudlard, c’est plutôt lui qui a causé des peines de cœur que l’inverse … Mais ce n’étaient que des ragots, bien entendu. Il ne faut pas croire tout ce qu’on entend dans la salle commune de Serpentard.
- Je n’ai personne dans ma vie pour euh … m’aider à avancer, comme tu dis. Enfin, comme vous dites. Je sais pas, on peut se tutoyer ?
L’absence de réponse immédiate est éloquente. Allez, une bonne gorgée de bière pour effacer son embarras, et il se sent prêt à combler le silence. La plume à papottes, aux aguets au-dessus du parchemin posé sur la table, se remet à écrire alors qu’il ouvre à peine la bouche.
- Bref, je ne me suis jamais lancé dans une relation. J’ai eu des copines bien sûr – et euh, des copains aussi – mais rien de sérieux, tu…ehm pardon, vous voyez.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
C’est qu’elle est curieuse la Rita ! Galaad aime bien discuter, mais il aime moins les interrogatoires. Peut-être que ça lui rappelle un peu trop ses multiples heurts avec Picott … Deux gorgées de plus pour se donner du courage, et il se décide à répondre.
- J’ai grandi dans le petit manoir de mes parents à Belfast. Mon père est le propriétaire d’une chaine de magasins de chaudrons donc on n’a jamais manqué de gallions. Vous voyez l’idée. J’ai deux sœurs, Selena qui a cinq ans de plus que moi, et Antinea qui est née un an après moi – à quelques chocogrenouilles près. C’est surtout Selena qui nous a élevé. Nos parents n’étaient jamais trop là, toujours occupés ailleurs – le boulot, tout ça.
Il sent sa langue commencer à se délier. Rita aurait-elle versé quelque chose dans sa bière ? A moins que l’alcool ne soit amplement suffisant pour produire cet effet. Ce qui est loin d’être improbable.
- Quand j’avais autour huit ans, ma mère s’est barrée du jour au lendemain. Pas un mot, pas une explication – pas à nous, en tout cas. Ma magie a choisi cette période pour se réveiller. Un peu tard, je sais. Alors qu’Antinea, ça faisait déjà un certain temps qu’elle faisait voler les oreillers … Selena commençait à me regarder de travers, bref, l’ambiance n’était pas au rendez-vous à tous les repas. Enfin, on a appris plus tard que ma mère s’était barrée avec un français rencontré au travail. Ça a laissé un gros vide. C’est qu’elle menait la maison à la baguette, voyez.
Il accompagne sa remarque d’un sourire, mais Rita reste de marbre. Bon. Tant pis. Il a quand même l’habitude de tomber sur des personnes plus drôles, au Chaudron Baveur.
- Bon bref, la vie a continué son cours, mon père jamais très présent, ma mère plus là du tout, et Selena qui essayait de nous couver depuis Poudlard. Malgré quelques doutes, j’ai bien reçu ma lettre à onze ans, et j’ai été réparti à Serpentard, comme tout le monde dans la famille. Une chance. Ou un cadeau du Choixpeau, peut-être. Antinea nous a rejoint un an plus tard, mais à Serdaigle de son côté. J’étais déçu, Selena aussi, mais Anti a le don de se faire tout pardonner – alors que moi, rien ne passe bien sûr.
Quelques nouvelles gorgées de bière viennent étancher sa soif. C’est bien de raconter sa vie, mais ça assèche la gorge, mine de rien ! Ses pensées s’égarent un peu vers ses années Poudlard, ses multiples conneries, les amitiés et amours qu’il y a liées. Le Quidditch aussi, bien sûr ! Comme il a aimé hurler dans les tribunes ! Monter sur un balai n’a jamais été sa tasse de thé, mais dès qu’il s’agissait d’être supporter, il était le meilleur. Au final, dommage qu’il y ait eu des examens pour lui gâcher la vie.
- Bon, mes résultats n’ont pas suivi. Les années s’écoulant, ça a été de mal en pis. Surtout une fois Selena sortie de Pourdlard. A croire qu’elle n’avait plus rien d’autre à faire qu’être sur mon dos ! Et pourtant, mon père lui a laissé de plus en plus d’autonomie dans le business. Mais rien à faire, elle passait son temps à me mettre la pression, à critiquer mes fréquentations, à se plaindre de son travail ... Résultat, on s’est pris la tête. Plusieurs fois. Maintenant, on ne se parle plus trop. A mon père non plus, d’ailleurs. Il n’y a qu’Antinea qui me comprenne, j’ai l’impression.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Il hausse les épaules en simple réponse. Pas besoin de préciser bien plus, il a déjà expliqué que le travail ce n’était pas son fort. Et puis, il aime vivre sans savoir de quoi demain sera fait. Sans savoir où il dormira dans un soir ou deux. Sans rêve de grandeur, mais surtout sans attache.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Une petite moue indéchiffrable étire les lèvres de Galaad. La politique ? Lui ça ne l’a jamais vraiment intéressé. Les seules personnes à lui en parler étaient son père et Selena, mais comme il ne les voit presque plus, cela fait bien longtemps qu’il ne s’y est pas intéressé.
- Je m’en fiche bien de la politique. Si Selena ou mon père étaient là, ils vous raconteraient sans doute à quel point les Moldus sont une plaie, ou comment il faudrait interdire aux Sang-de-Bourbe d’exercer la magie. Je n’ai jamais trop compris pourquoi ils s’acharnaient sur ces opinions.
Il n’aurait peut-être pas dû dire ça. Une image d’Aurors toquant à la porte du manoir de Belfast pour demander des comptes traverse vaguement son esprit. Boh. Tant qu’on ne remonte pas jusqu’à lui … et que ça ne retombe pas sur Antinea.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Le visage de Galaad s’éclaire. Il préfère nettement cette question-là ! Même si le concept de ce conte lui rappelle à quel point les Moldus sont d’étranges personnes.
- Alors déjà, je lui demanderai des gallions en illimité, pour ne plus avoir à toquer chez Antinea tous les quatre matins. Je crois que ça la ravirai. Ensuite mmh… que Selena oublie mon existence. Ça doit pouvoir se faire avec un sort d’Oubliettes, mais à part lui coller ma baguette dans le nez jusqu’au cerveau, je ne vois pas trop comment faire ça. Et pour finir…
La porte du pub claque, apportant un peu de l’air frais et humide de Londres jusqu’au visage de Galaad. Plusieurs sorciers entrent, dont une tête qui paraît familière au jeune homme. Oubliant déjà Rita, sa plume à papotte et le troisième vœu qu’il était censé formuler, il se lève en hâte pour rejoindre son ami du soir.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Nope. Où avez vous connu le forum ?  En voguant de partenariats en partenariats à la recherche du forum où je pourrai me remettre au RP. Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : yupp, et le code du jour est donc dimanche-demiguise

Sujet ACTION :
— Pour une raison ou pour une autre (maladie, accident magique ou autre), vous devez passer un court séjour à Ste-Mangouste. Pourquoi ? Que vous arrive-t-il une fois à l'hôpital ? Décrivez votre aventure au cours d'un RP.

 

     
 

 

     I hurt myself today
   

 

    to see if I still feel
 

Il entrouvre les yeux, mais ne voit que du blanc. Du blanc éclatant. Vite, ses paupières se referment, mais cela n'empêche pas une terrible nausée de lui retourner l'estomac. Il a l'impression d'avoir pris deux Portoloins en même temps. Chacun avec une destination différente, bien sûr.
Mais d'ailleurs. Qu'est-ce qu'il a bien pu faire, encore ? Tentant d'oublier sa bouche sèche et la migraine qui lui transperce le crâne, il rassemble ses souvenirs. Ou du moins, essaye. Une chance pour lui, il est familier de ce genre de situation. Vous le seriez aussi, si trois Bièreaubeurres suffisaient pour vous faire rouler sous la table. Le secret, c'est de commencer humblement. Essayer de se souvenir de sa semaine, déjà.
Et ça, c'est facile : il a passé l'essentiel des derniers jours à traîner dans sa chambre au Chaudron Baveur. Enfin, son ex-chambre : il se rappelle maintenant que ses économies ont fondu comme neige au soleil, et qu'il a dû abandonner sa piaule faute de pouvoir la payer. Mais du coup, où a-t-il pu aller par la suite ?
Ah, mais ça y est, ça lui revient : quelques anciens camarades de Poudlard ont décidé de faire une petite soirée pour se rappeler du bon vieux temps. Et boire deux ou trois coups, bien sûr. D'ailleurs, bon vieux temps, c'est un peu exagéré ; cela ne fait après tout qu'un an qu'ils sont sortis de l'école. Un anniversaire qui lui évoque autant de nostalgie que de soulagement. Il se souvient s'être bien amusé, même si ses rires se faisaient un peu forcés quand il entendait ses amis raconter leurs vies riches en découvertes, ou bien s'étonner de son absence de projet.
Et ensuite ? Sa mémoire a beau rafraîchir à grande vitesse, la fin de la soirée ne lui parvient qu'en quelques bribes floues, des flashes courts qu'il s'efforce de mettre bout à bout. Il se souvient avoir quitté la soirée dans les derniers. Être mécaniquement retourné au Chaudron Baveur. Pour s'y retrouver à la porte, bien entendu. Avoir erré dans le chemin de Traverse à la recherche d'un coin où dormir. Et puis, en désespoir de cause, s'être assis sur le sol d'une ruelle sombre. L'alcool aidant, des idées noires s'étaient invitées. Alors il s'était rappelé d'un sortilège inventé par un Serpentard de quelques années son cadet, avait sorti sa baguette et...
Il rouvre les yeux. La nausée repart à l'attaque, mais il parvient à résister jusqu'à ce que le blanc s'atténue et révèle la pièce où il se trouve. C'est une chambre d'hôpital. La plante à pipaillon qui prend le soleil sur sa table de chevet lui indique qu'il se trouve à Sainte-Mangouste. Un coup d’œil sur ses bras lui apprend ensuite pour quelle raison : ils sont bandés du poignet jusqu'à l'épaule, et un peu de sang a commencé à tacher le blanc des pansements. Non sans difficulté - et une nouvelle attaque de sa nausée - il parvient à tourner la tête sur le côté. Pour découvrir qu'Antinea est assise à côté du lit, le front déformé par un pli inquiet.
- Bon sang Galaad, attaque-t-elle de suite. Qu'est-ce qui t'est arrivé ? Les Médicomages m'ont dit qu'ils t'ont trouvé pas loin d'ici, en train de te vider de ton sang. Ils ont un mal fou à arrêter les hémorragies. Tu as été attaqué ?
Il détourne le regard et se mordille l'intérieur des joues.
- Attends, ne me dis pas que ... Galaad, c'est toi qui t'es fait ça ?
- Écoute j'avais bu et... c'est pas ma faute je te jure -
Sa piètre tentative de justification est interrompue par la main de sa sœur, qui se pose sur la sienne et la serre. Doucement mais fermement. Il n'ose pas croiser son regard. Des bruits de pas dans le couloir indiquent l'arrivée d'un Médicomage.
- S'il te plait, ne dis rien à Selena, parvient-il à murmurer malgré sa gorge serrée.

Salut beau jeune homme, bienvenue sur ATDM

Bienvenue parmi nous Stomby

Un camarade de prénom

Bienvenue chez nous !

Galaad N. Stomby a écrit:

Mangemort ou pas ? Tant de questions auxquelles il se retrouve fréquemment confronté et auxquelles trouver une réponse ressemble plus à un objectif insurmontable.

J'peux t'aider, si tu veux. Bienvenue