ϟ la fiche de recensement

NOM - Brûlopot PRENOMS - Silvanus DATE DE NAISSANCE – 22 Novembre 1910 AGE – 66 ans VILLE D'ORIGINE – Edimbourg SANG - sang mêlé ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Poufsouffle ORIENTATION - côté du bien/personnel de Poudlard

Silvanus Brûlopot est un électron libre qui ne vit que pour deux choses : sa passion pour (toutes) les créatures de ce monde et l’enseignement. Ah ça ! Professeur à Poudlard depuis quarante-six ans, rien que ça ! Transmettre sa passion et éduquer la jeunesse, voilà ce qui pousse Silvanus à se lever le matin. Véritable puit de sciences, il est incollable sur son sujet. Le régime alimentaire d’une chimère, la période de gestation d’un crabe de feu, le poids moyen d’un niffleur, c’est simple ; Silvanus a réponse à tout. Mais sa passion est sûrement ce qui causera sa perte. Le professeur Brûlopot ne semble pas conscient du danger que représentent les bêtes qu’il côtoie et n’a pas l’habitude des précautions. Tenter de caresser un occamy pendant sa période de chaleurs ? Pas de problèmes ! Perdre une chimère dans les couloirs du château ? Ça arrive à tout le monde ! Tenter d’enchanter une Serpencendre pour les bienfaits d’une pièce de théâtre (et faire brûler la Grande Salle) ? C’était un accident OK !? Au final, ses « moments d’inattention » comme il aime les appeler, lui auront coûté son bras gauche et la moitié de sa jambe droite.

En dehors de Poudlard, Silvanus est un solitaire qui profite de son temps libre pour vivre sa vie et assouvir sa curiosité. Il voyage beaucoup. Des forêts d’Europe aux déserts d’Afrique, Silvanus voyage n’importe où, à la poursuite de la moindre trace, du moindre témoignage capable de le guider vers l’inconnu. De plus, il semble avoir du mal à jouer le jeu des conventions sociales et préfère de loin le calme et la liberté des grands espaces face à l’aspect oppressif des villes. La monotonie l’effraie et le professeur ne se voit pas rester en place dans une vie bien rangée où règnent train-train quotidien et habitudes.

Les années ne semblent avoir eu aucunes emprises sur le vieil homme. Silvanus a traversé les épreuves du temps sans réellement se soucier de l’avenir. Optimiste, il n’est pas le genre d’individu à se faire du soucis et la plupart du temps, il se contente de vivre l’instant présent. Au fond, le professeur est un enfant de soixante-six ans.  

VOTRE PATRONUS – Un lièvre … Mais il s’est souvent entraîné pour changer son patronus en chimère !
VOTRE EPOUVANTARD – Être en cage
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Orange
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Ventus
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – L’antidote aux poisons courants
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Chez Madame Guipure, prêt-à-porter pour mages et sorciers
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Norbert Dragonneau. D’ailleurs vous saviez que lui et moi étions amis ? Non ? Eh bien si. Figurez-vous-même que je l’ai aidé pour son livre !
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE –  Les chimères, le tébo, les hippogriffes, l’augurey, le calamar géant, le grapcorne, le jobarbille, le crabe de feu, le griffon, le moke, le porlock, […], les musards, le quintaped, le Re’em, le botruc, le clabbert, les niffleurs, le yéti, l’hippocame, […], le vaudelune, l’occamy, le malagrif tacheté, l’éruptig, le croup, les sirènes, le sphinx, le runespoor, le kappa et … j’en étais où déjà ? J’ai dit chimère ?
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – L’odeur de la mousse recouverte par la rosée du matin, l’odeur d’une bonne mousse aux Trois Balais et l’odeur de la mousse dans le bain après une longue journée de travail.

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Bah voyons ! Vous n’étiez pas à Poudlard vous ? Votre tête me dit quelque chose … quoi que …  Je suis professeur de soins aux créatures magiques, depuis quarante-six ans. Ma mission est de montrer à ces jeunes l’éventail de diversité qui nous entoure. Je leur apprends à respecter et à comprendre la faune de notre monde, rien que ça. N’oubliez pas que les enfants d’aujourd’hui sont les élèves de demain. Avec une bonne éducation, ils préserveront d’eux-mêmes toutes les richesses de notre monde.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
Je ne suis pas fait pour la compagnie des femmes. J’ai essayé pourtant. Figurez que j’ai même été marié, deux fois. Mais cela n’a jamais fonctionné … D’aucuns ont des aventures, je suis une aventure. J’ai donc choisi de vivre aux côtés des bêtes … disons qu’elles, elles me comprennent.  

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
A Poudlard, j’étais chez les Poufsouffles. C’était il y a … cinquante-six, ça ne nous rajeunit pas n’est-ce pas ? Je n’étais pas le genre d’élève chiant à faire les quatre cents coups à droite et à gauche, non. J’étais un gamin plein d’énergie, mais sage. Je me souviens encore que dès que j’avais un peu de temps libre, je filais voir le professeur de soins au créatures magiques de l’époque. Comme quoi, les croups ne font pas des fléreurs ! Puis après Poudlard, j’ai voyagé, beaucoup. Je voulais voir le monde et la nature de mes propres yeux. C’est en voyageant que j’ai rencontré Norbert Dragonneau. D’ailleurs, pour la petite anecdote … j’ai même aidé Norbert sur les chimères quand il écrivait son livre !

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Je veux continuer à enseigner. Je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin … c’est un peu comme si je faisais partie des meubles à Poudlard maintenant ! Il y a deux-trois créatures que j’aimerai voir de plus près. Vous connaissez le re’em ? C’est une magnifique créature au pelage doré. De la taille d’une très très grosse vache, on dit qu’il n’en reste plus beaucoup.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Je ne crois pas en une supériorité des sangs purs vis-à-vis des sangs-mêlés, point. Vous êtes tombée sur la mauvaise personne si vous cherchiez du scandale.  

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Un génie ? J’aimerai beaucoup en rencontrer un … Ils doivent au moins être aussi intelligents que les sphinx, vous ne pensez pas ?

Avez-vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Oui : un serdy/une adulte Où avez vous connu le forum ?   Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter :dimanche-demiguise

Vous avez la possibilité de réserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

— Au cours de l'un de vos voyages par poudre de cheminette, vous vous retrouvez malencontreusement dans la cheminée d'un inconnu (moldu, sorcier, ministre, soyez imaginatif). Décrivez votre réaction au cours d'un RP.

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La cheminée des Oswald n’avait aucune raison de s’embraser ce soir-là. Les températures de Septembre étaient clémentes et le froid ne s’était pas encore abattu sur la Grande-Bretagne. Et pourtant, alors que le jeune couple dinait dans la plus banale indifférence, une lueur verdâtre suivie de flammes – toutes aussi vertes - s’empara du foyer. Une bourrasque se faufila par la cheminée jusque dans la demeure des Oswald. Silvanus apparu au milieu de tout ça, sans une seule égratignure malgré le spectacle qui avait récédé son entrée. Il fit un pas dans le salon des anglais en s’époussetant les épaules. « Bonsoir ! Excusez-moi du dérangement, ce genre de chose arrive plus souvent qu’on ne le pense ». Le sorcier regarda le couple avec un sourire, jetant ensuite un coup d’œil vers la cheminée. « Vous devriez faire réviser votre cheminée … sûrement un problème de réseau ». Sans que le sorcier ne remarque quoi que ce soit, David Oswald s’était levé. La bouche bée, les rides tirées par l’incompréhension la plus totale, le jeune homme fixait Silvanus. Il se mit ensuite à bafouiller, peinant à donner vie à la question qui le hantait depuis plusieurs longues secondes. « Q-qui êtes-vous ? ». Brûlopot traversa la pièce en de grandes enjambées. Sans prévenir, il attrapa la main de l’homme et la serra. « Silvanus Brûlopot, professeur de Soin aux Créatures Magiques à Poudlard. J’aurai aimé rester … mais j’ai à faire ». Le vieux professeur s’en retourna simplement, se dirigeant vers la cheminée afin de quitter les lieux.

« Magique … Poudlard … ? ». Brûlopot se retourna alors, « des moldus ! ». Dans ses yeux, une étincelle semblait scintiller : voilà quelque chose qu’il n’avait pas prévu ! Clara Oswald s’était levée à son tour et se tenait dorénavant derrière son mari. D’un bref mouvement de poignet, le professeur contempla l’heure sur son poignet. « Bien, j’ai cinq minutes devant moi … Je suis un sorcier ». C’était bref et efficace, peut-être un peu trop abrupte pour des gens qui ne comprenaient pas réellement de quoi il parlait. « Un sorcier ? » La voix de Clara semblât défaillir, comme si la jeune femme se rendait compte de l’absurdité qui sortait de sa propre bouche. Silvanus fronça les sourcils, vexé. « Je viens de sortir de votre cheminée que vous faut-il de plus ? » répondit-il sèchement en désignant l’âtre derrière lui. Le professeur n’avait rien contre les moldus, bien au contraire. Mais parfois, ils faisaient preuves d’une fermeture d’esprit à toute épreuve. Même si la vérité se trouvait devant les yeux, et Silvanus Brûlopot était bel et bien devant leurs yeux, ils avaient encore la certitude de douter. Voyant que les Osward n’avaient pas quitté leur mine abasourdie, le sorcier claqua simplement des doigts devant, comme il le ferait pour attirer l’attention d’un croup. « Vous devriez au moins refermer la bouche. Si vous saviez quel genre de créature pourrait se loger là … Bref », dit-il en dégainant sa baguette. Il détestait faire ce qu’il s’apprêtait à accomplir. S’il n’y avait que lui, il laisserait aux Oswald leurs souvenirs, il les emmènerait avec lui afin de leur faire découvrir ce qui gisait là sous leurs yeux. Mais les sorciers avaient leurs règles. Ça ne fera pas mal » prévint-il en pointant sa baguette sur le front de David. Celui-ci eut un mouvement de recul. Sa main courue sur la table pour attraper la première chose qu’elle croisa : un couteau à beurre, « Q-que voulez-vous me faire ? ». « Disparaître de vos esprits, m’effacer. Vous ne sentirez rien. Un claquement de doigt » poursuivit-il en claquant des doigts « et vous retournerez à votre soupe ». Le couple se regarda. Ils prirent quelques secondes pour analyser ce que venait d’expliquer le sorcier. « Mais … et vous ? » demanda alors Clara. « Moi ? j’ai un rendez-vous auquel je dois me rendre, un tête à tête avec une licorne sur le point de mettre bas ». Sur le visage du vieil homme, un franc sourire, celui d’un enfant excité. Son métier l’émerveillait de jour en jour et pour rien au monde, il ne raterait un événement de la sorte. Le visage de Clara s’illumina également. « Une licorne ? ». Les contes et légendes de sa jeunesse refaisaient surface. Mieux encore, la simple présence d’un sorcier dans son salon suffisait pour confirmer l’existence de tout ce à quoi elle croyait lorsqu’elle était encore une enfant. « J’ai dit ça ? » Le sourire du professeur se métamorphosa. De son franc sourire, il ne restait qu’un rictus désolé. Pendant un court instant – l’affaire d’une demi-seconde – il s’était reconnu chez la jeune femme. Un bref mouvement de poignet et un sortilège non formulé plus tard, le vieux Silvanus reprit place dans la cheminée des Oswald, puis quitta les lieux.

Je suis déjà fan Et ce test RP, j'adore

(re)Bienvenue Professeur !