ϟ la fiche de recensement

NOM - VISCONTI PRENOMS - NICOLO, VITTORIO DATE DE NAISSANCE - 13.07 AGE - 30 ANS VILLE D'ORIGINE - NÉ A CAGLIARI (SARDAIGNE), A PRESQUE TOUJOURS VÉCU A ROME SANG - SANG MÊLÉ ANCIENNE MAISON A POUDLARD - N'A PAS ÉTUDIÉ A POUDLARD ORIENTATION - NEUTRE

Nicolo est d'une nature simple et authentique. L'italien, dans toute sa splendeur, ne fait pas semblant : naturel, chaleureux, il ne triche pas, parle fort, rit beaucoup, et a le cœur sur la main.
Ne vous arrêtez pas à son sourire enjôleur et sa tchatche ; derrière l'allure irréprochable se cache une tête bien faite et instruite. Bilingue anglo-italien, le jeune homme a longtemps foulé les bancs de l'école pour se construire une belle carrière, et brille par son intellect.
Curieux, il s'intéresse à tout, du moins à beaucoup de choses, et n'est franchement pas timide, bien au contraire ! Il n'hésite jamais à aller vers les autres, aime se lancer, et n'a peur ni de l'inconnu, ni du ridicule.
Oui on le remarque, oui on l'entend de loin, oui il parle avec les mains et fait de grands gestes... Mais malgré un petit côté frimeur qu'on ne peut pas lui nier, il n'est ni un m'as-tu vu, ni un prétentieux.
Nicolo aime la simplicité et l'honnêteté, et est un modèle de spontanéité. Nombre de fois, il lui a été reproché de parler trop vite avant de réfléchir, mais c'est aussi un atout et un avantage que beaucoup apprécient chez lui.
Il est d'un tempérament loyal et fidèle à sa famille, chez lui, c'est plus qu'un crédo, c'est une institution. Orgueilleux, il a à cœur de faire les choses bien, et par lui-même, mais n'est pas contre lâcher du leste de temps en temps.
S'il est sérieux et professionnel dans le monde du travail, il n'en reste pas un moins un jeune trentenaire amateur de tous les petits plaisirs qu'offre la vie. Que serait le quotidien, sans un bon verre de vin, une généreuse assiette de pasta, de la bonne musique et une sacré bande d'amis ?

VOTRE PATRONUS - Un ocelot.
VOTRE EPOUVANTARD - Les sombrals.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Lampone, framboise.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Tarantallegra. Certes, pas très utile, mais qu'est-ce que c'est drôle ! Plus sérieusement, Prior Incanto.
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – Philtre de confusion.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Aucune en particulier.
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Nicolas Flamel.
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – L'Abraxan.
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – Une senteur iodée de bord de mer, une note plus âcre de raisin fraîchement pressé, une nuance plus ronde d'encre fraîche.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - //

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Nicolo, de son habituelle bonne humeur, éclata de rire à la boutade et répondit dans un anglais irréprochable, teinté d'un fort accent transalpin. Rien de tout cela ! Je travaille pour le Ministère de la Magie italien, à Roma, pour l'équivalence de votre Département de la coopération magique internationale. Il sourit. Je fais partie de l’Organisation internationale du commerce magique, et suis amené à voyager régulièrement. Mes plus récents dossiers m'ont conduit ici, à Londres, depuis quelques jours seulement. Je suis sensé y rester quelques mois pour le travail, plus ou moins une année entière. J'en profiterai certainement pour passer du temps avec ma cousine, Claudia. Peut-être que vous la connaissez ? Elle a ouvert une galerie d'art sur le Chemin de Travers...

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
A nouveau, il ne put s'empêcher de rire, se passant une main derrière la nuque. Ah, vous savez ce qu'on dit en Italie ! Qu'il faut en essayer plusieurs, pour trouver la bonne... Peut-être parce que notre pays ressemble à une botte ? Il ajouta par-dessus le marché un clin d’œil malicieux et énigmatique.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
Nicolo haussa les épaules, et offrit à Rita un petit sourire contrit. Je vais vous décevoir, mais je n'ai jamais été à Poudlard. Je suis né en Sardaigne, et j'y ai été scolarisé, sur l'île on a une école, mais pas aussi prestigieuse que celle de Poudlard. Pas de système de maisons, et de répartition, une unique classe. Cela restait une très bonne école, où Nicolo n'avait que de bons souvenirs. Après cela, j'ai poursuivi avec des études plus poussées, et j'ai dû déménager à Rome. J'ai étudié longtemps, et j'ai réussi à intégrer le Ministère de la Magie italien, dans le département que je visais.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Je rêvais de voyager, d'avoir un emploi gratifiant et intéressant, et jusque-là, je suis servi. J'ai travaillé dur, étudié longtemps, il a fallu de la patience, mais je suis enfin arrivé là où je le voulais. Maintenant... Je ne sais pas, m'établir ? Fonder une famille ? Il parait que la mamma voudrait bien devenir nonna...

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Finalement, la gentillesse de Rita n'était peut-être que feinte, depuis le début de cet entretien ? Du moins, elle semblait arriver peu à peu précisément là où elle le voulait. Le sourire de Nicolo perdit un peu de sa chaleur, tandis qu'il cherchait une parade, prêt à botter en touche. Vous savez, ma partie, c'est le commerce, je laisse la politique aux politiciens, je ne suis moi-même pas un expert en la matière.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
La question précédente passée, l'italien se détendit de nouveau. Il haussa encore les épaules. Je pense que je ne vais pas faire dans l'originalité en vous répondant que j'aimerais certainement avoir une vie heureuse et paisible, du moins dans un contexte moins tourmenté que celui qu'on vit ces derniers temps... M'assurer, et assurer à ma famille, une existence à l'abri du besoin et sereine. Et puis peut-être un dernier petit quelque chose, mais que je garderai secret pour moi !

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  R.I.P. Brody Où avez vous connu le forum ?  ça remonte au temps des dinosaures Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : oui + demiguise.

Vous avez la possibilité de réserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

Sujet ACTION :
— Vous vous retrouvez coincé au milieu d'une foule de sorciers manifestant pour le droit des cracmols. Décrivez votre réaction au cours d'un RP.

Lorsqu'on lui avait parlé de Londres, Nicolo avait instantanément accepté. La perspective du voyage, couplée à celle de retrouver sur place un membre de sa famille, l'avait poussé à dire oui en moins de temps qu'il n'en fallait pour dire grazie.
Ce ne serait pas la première fois qu'il mettrait les pieds dans la capitale anglaise, ville qu'il affectionnait tout particulièrement, ceci dit plus pour son melting-pot culturel que pour sa gastronomie. Mais chaque séjour passé dans la cité du grand brouillard était un réel plaisir, autant que celui de travailler main dans la main avec ses homologues du Ministère anglo-saxon.
Alors oui, sa chère Roma lui manquerait certainement pour la future année à venir, mais s'il quittait l'Italie quelques mois, il en emportait un peu avec lui. Per la tua cugina, bimbo, avait asséné sa mère avec fermeté, lui remettant un sac de vivres et de souvenirs en vrac, qu'elle avait amassé pour sa nièce depuis visiblement un certain moment. Inutile de protester ou d'oser penser le faire, mieux valait voyager chargé que de se mettre la mamma à dos.

Toujours était-il que l'inventeur du Reducto avait sa reconnaissance éternelle. Car n'aurait-il pas été bien incasinato, chargé comme un baudet avec tous ses sacs, alors qu'il venait de transplaner en plein cœur du Londres sorcier, et qu'il venait visiblement de tomber... Au beau milieu d'une manifestation !
Une vague humaine de manifestants, criant haut et fort leur désir de défendre les droits des cracmols, l'encerclait étroitement, jouant des coudes et des pancartes au besoin, histoire de se faire entendre et d'avancer, inéluctablement droit devant, dans une direction bien précise.
Sa bonhomie habituelle le poussa à se prêter au jeu, amusé de se retrouver coincé en une telle situation, et à plus forte raison encore lorsqu'il se retrouva, sans savoir comment, une pancarte à la main, et un sifflet magique dans la bouche. Non qu'il ne prenait pas le sujet au sérieux, à vrai dire, il n'était ni vraiment contre, ni vraiment pour, n'avait juste pas d'avis sur la question. Pour lui, elle ne se posait pas vraiment, au fond, chacun était libre de cohabiter ensemble, quel que fut son statut ou son espèce. Mais voilà notre trentenaire, à se marrer comme un beau diable, scandant tout et n'importe quoi, parfois même dans sa langue natale, ce qui, visiblement, ne choquait personne, du moins par ses voisins les plus proches, eux-mêmes fort occuper à brailler et vociférer leurs slogans à tue-tête.

Néanmoins, aussi festive qu'était son arrivée sur le sol anglais, la réalité le rattrapa bien vite lorsqu'il avisa l'embranchement de la rue aux murs recouverts de graffitis qui, de mémoire, était sensée le conduire droit au siège du Ministère. Hop, il ne fallait plus attendre un instant ! Scusate ! Scusate ! Traça-t-il vers ladite ruelle, obliquant en diagonale et slalomant entre les badauds afin de rejoindre son objectif.
Le timing fut juste, mais l'italien réussit à sauter dans la cabine téléphonique endommagée qui, il le savait, été sensée le mener droit dans les entrailles du Ministère londonien.
Il ne se rendit compte que lorsqu'il arriva dans l'Atrium qu'il avait toujours dans la main la pancarte qu'on y avait collé un peu plus tôt...

Citation :

VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Aucune en particulier.

Bienvenue à Londres buddy

Oh dis donc tu tombes bien toi, je cherchais justement un prof d'italien...