ϟ la fiche de recensement

NOM - Barrow PRENOMS - Callum DATE DE NAISSANCE – 17/11/1952 AGE – 25 ans VILLE D'ORIGINE - Londres SANG - sang pur ANCIENNE MAISON A POUDLARD - serpentard ORIENTATION – côté du mal, mangemort

Callum a grandi dans une famille aisée, ce qui laisse sous-entendre qu’il n’a jamais manqué de rien. Pourtant, c’est tout l’inverse ; Callum a toujours manqué de tout. Il fait partie de ces gens que rien ne rassasie. Toujours plus. Plus de pouvoir, plus d’argent, plus de femmes. Son ambition, un trait commun à tous les Barrow, est sans limite et ne pas pouvoir la combler est une énorme source de frustration. Facilement colérique, Callum ne tolère que très peu le refus et s’il est en désaccord avec quelqu’un, il le lui fera savoir.

Callum est un animal social que les mondanités attirent. Friand de ces jeux de dupe où chacun joue à faire semblant, le mangemort ne rate pas une occasion de se montrer et de se pavaner. Ces rassemblements mondains sont pour lui l’occasion de tisser des liens, de faire des alliances ou des accords. Il s’efforce de soigner l’image qu’il renvoie de sa personne, aussi bien pour faire honneur à son sang pour que ne pas trahir son allégeance.

Second enfant d’une famille de trois, Callum a grandi dans l’ombre du premier. Atticus est le Barrow sur lequel sont tournés tous les projecteurs et le fils sur lequel reposent les espoirs de la famille. Depuis l’enfance, on ne cesse de comparer Callum à son aîné, ce qui participe à créer chez le plus jeune un esprit de compétition et une haine profonde vis-à-vis de son frère. Mais quoi qu’il fasse, Callum reste le second, le dernier. Et la famille joue un rôle important dans la vie du jeune homme. Entièrement tourné vers elle, il vit pour les intérêts familiaux et l'expansion de l'entreprise familiale, et ce bien qu'il peine à y trouver sa place. Parce que Callum ne veut pas se contenter du rôle que sa famille lui donne. Il aimerait avoir plus d’espace et de liberté ainsi qu’un plus grand pouvoir décisionnaire.

VOTRE PATRONUS – Un bulldog
VOTRE EPOUVANTARD – Azkaban, plutôt mourir que de finir là-bas
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Chocolat
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Diffindo
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – Polynectar
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Se balade plus fréquemment dans l’Allée des Embrumes
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Merwyn le Malicieux
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – Le botruc
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – Odeur du café en grains et de whisky

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? – Remember quand j'ai dis que je ne ferai pas plus d'un dc.

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Rien de tout cela. Je participe aux activités familiales. Vous connaissez les Spiritueux Barrow ? Nous possédons une part non négligeable du marché anglais et nous sommes connus même de l’autre côté de l’Atlantique. J’assiste mon oncle et mon père dans la gestion de l’entreprise.
RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
Je pensais que cette interview était sérieuse … Les « détails croustillants » ne concernent pas nos lecteurs. J’ai eu quelques aventures auprès de femmes très charmantes. Le mariage n’est pas encore d’actualité.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
A Poudlard, j’étais un bon élève et un fier représentant de la maison serpentard. Habile en potions et en sortilèges, un peu mois en histoire de la magie ou en métamorphose. Comme tout garçon à cet âge, j’ai fais quelques bêtises, rien de bien méchant rassurez-vous.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Mes projets sont ceux de la famille Barrow. Je veux que notre alcool soit reconnu pour sa qualité à travers le monde. Nous possédons un savoir-faire unique et ne demandons qu’à conquérir de plus en plus de bouches.  

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Je suis bien évidement un fervent défenseur de l’égalité entre les hommes … de sang-purs. Quant penser que nous sommes supérieurs aux sangs de-aux moldus …. Hm … si nous sommes de sang pur, cela veut bien dire que les autres sont impurs, non ?

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
Je lui demanderai un coffre à Gringotts rempli de gallions, la vie éternelle, et la fin de cette interview. Oh, il semblerait que l’un d’entre eux se réalise déjà !

Avez-vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Serdaigle Où avez-vous connu le forum ?  Google Avez-vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : (dimanche-demiguise)

Vous avez la possibilité de réserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Dans la pièce principale de cette demeure londonienne était réunie la famille Barrow. La bâtisse, vieille de plusieurs décennies, portait sur elle les signes du temps qui passe. Quelques détails aux quatre coins de la maison faisaient apparaître le bâtiment plus effrayant qu’il ne l’était réellement et tout cela participait à ancrer la maison dans son style victorien.

Quand il arriva parmi les siens, le jeune homme fut pris d’une violente quinte de toux. « Vous ne voulez pas aérer ? » lança-t-il rapidement avec un regard en coin pour sa famille. Ce jour-là, on avait tiré les rideaux pour éviter que la lumière du jour n’éblouisse les Barrow. Quelques rayons parvenaient cependant à se faufiler çà et là et faisaient apparaître quelques particules de fumée. Quand Callum ouvrit l’une des fenêtres, le léger nuage de fumée s’engouffra à cause de l’appel d’air. « Bon on peut y aller ? Ça fait vingt minutes qu’on t’attend ». A l’autre bout de la pièce, Atticus avait la dégaine d’un gangster des années vingt. Affalé sur son siège, il tenait dans sa main un verre de whisky qu’il faisait tourner et une cigarette se consumait lentement dans le cendrier en face de lui. Il fusillait du regard son cadet pour qui il n’éprouvait que mépris et dégoût. Callum serra la mâchoire. Il avait l’habitude de ces attaques mais elles avaient le mérite de l’énerver. « Fous-moi la paix » lâcha sèchement le jeune homme en retournant un regard noir à son frère. Une main se leva alors autour de la table, comme pour apaiser ces tensions fraternelles. « Bon, maintenant qu’on est tous là », commença le père de famille – Marlon - en jetant un regard entendu à son plus jeune fils, « commençons ».

Les Barrow faisaient parties de ces familles pour lesquelles l’unité et le projet commun étaient des valeurs fortes et ancrées dans les esprits de chacun. Régulièrement, plusieurs fois dans le mois, ils se réunissaient dans des réunions de famille. Le but ? s’accorder sur la direction à suivre. « Comme vous le savez, nous avons la possibilité d’exporter une partie de notre production sur le continent américain. La famille de Margaret », avec un signe du menton vers sa femme, « est prête à nous aider dans ce projet. Ils connaissent mieux le pays que nous et travailler avec eux nous permettrait de profiter de leur influence ». Callum se ressaisît sur son fauteuil. Enfin. Il s’agissait là d’un des plus gros projets de la famille Barrow. Consciente qu’en Angleterre, elle était bloquée par des concurrents solidement implantés dans les mœurs de la population, la famille avait décidé de voir grand. Callum entendait parler de ce projet depuis des mois et secrètement, il cultivait l’espoir d’en faire partie. A de nombreuses reprises, il avait fait le souhait de vouloir participer activement à cette entreprise. Il était jeune, dynamique et surtout, il ne demandait qu’à faire ses preuves. L’inconnu ne l’effrayait pas si cela lui permettait de gagner la confiance de ses pairs. « Atticus, tu partiras pour la Nouvelle Orléans à la fin du mois. Tu représenteras la famille en Amérique et tu te chargeras de développer l’influence des Spiritueux Barrow ». Le sol se déroba sous les pieds de Callum qui sans s’en rendre compte, s’était levé de sa chaise. « Un problème ? » fit Atticus un rictus moqueur au coin des lèvres. N’importe qui présent dans la pièce pouvait lire la satisfaction sur son visage. Callum serra son poing si fort que la forme de ses ongles se dessina dans la paume de sa main. Dans son regard grandissait la flamme de la haine. Il n’avait qu’une envie ; sauter à la gorge d’Atticus et lui arracher la jugulaire à la force de ses mains. En ultime signe de provocation, Atticus écarte les pans de son costume pour dévoiler sa baguette. Il était un excellent duelliste et ne craignait pas d’échanger quelques sorts avec son frère. « Callum ? ». Le jeune homme balaya l’assemblée du regard. « Vous n’en avez que pour Atticus » cracha le jeune homme alors que l’expression sur son visage devint celle d’un chien battu. Atticus se leva d’un bond. Il allait en rajouter mais fut vite rappelé à l’ordre par le verre de whisky qui éclata contre le mur derrière lui. La main encore tremblotante par son geste, Callum parcourut l’assemblée du regard. Dans les yeux de chacun, il crut lire déception et mépris. Etait-ce là tout ce qu’il inspirait chez les siens ? Le regard de Marlon était sévère et le vieil homme plissa le nez comme un buffle sur le point de charger. Callum fit quelques pas en arrière, dos au mur, puis transplana pour s’extirper de cette situation.

Callum Barrow a écrit:

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? – Remember quand j'ai dis que je ne ferai pas plus d'un dc.

Rebienvenue Barrow

Callum Barrow a écrit:

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? – Remember quand j'ai dis que je ne ferai pas plus d'un dc.

Bienvenue big bad boy