ϟ la répartition

NOM – Maigret (se prononce Mé Grète) PRENOM - Mycroft DEUXIEME PRENOM - William DATE DE NAISSANCE – 16 Décembre AGE – 18 ans VILLE D'ORIGINE - Paris CLASSE – 7ème année SANG - Sang mêlé

Si beaucoup de gens ne garderons pas forcément un bon souvenir de Mycroft, celui-ci reste néanmoins une bonne personne dans la mesure que la décence oblige. En effet le jeune homme fait preuve de bonté, de compassion et d’une empathie ma foi bien dissimulée, qu’il met en œuvre lorsqu’il utilise ses talents au service des autres, ce qu’il fait relativement souvent. Il à tendance à ne pas laisser tomber les gens. Seulement Mycroft a également une tendance à faire preuve d’un instinct paternel légèrement mal placé, un peu comme si son interlocuteur était un enfant qu’il fallait instruire ou éduquer. C’est à cet instant qu’il révèle une part moins lumineuse de lui-même.

Si on peut avoir le souvenir d’un garçon chaleureux, d’autre ne seront pas de cet avis. Mettre les talents de Mycroft à l’épreuve c’est souvent voir le jeune homme se transformer en un être parfaitement agaçant, et parfaitement conscient que beaucoup de gens n’auront pas forcément suivis sont raisonnement, ce qu’il ne se gênera pas pour faire remarquer. Ainsi Mycroft passe d’un garçon au grand cœur à ce qui est décrit comme « un petit con », tant ses sarcasmes on put laisser des souvenirs amers a beaucoup d’adulte et d’enfant de son âge.

Cela étant dit, Mycroft est également atteint d’une insatiable curiosité, qu’elle soit aussi bénéfique que dangereuse, le poussant à se cultiver sur ce qu’il ne comprend pas, peu importe le sujet. C’est une des raisons qui l’ont poussé à étudier les moldus, leurs sciences et leurs coutumes. Tout cet assortiment est d’ailleurs soupoudré d’une hyperactivité subite, le prenant à certain moment, surtout quand il est dans le feu d’une expérience ou d’une déduction. Petit bémol, souvent ses déduction finissent par s’écarter du circuit de pensée que le jeune homme suivait, analysant parfois certain détails peu utile voire complètement hors-sujet.

Il apprécie également certaines lectures, ainsi que les félins en tout genre, le vin (surtout le rouge), son trench coat en laine beige qu’il met à la moindre occasion, sont Haut de forme extensible Clak Kap, qui semble ne plus le quitter, les moldus, et leurs concepts applicables dans le monde sorcier ainsi que la magie, autre grande source de mystère et notamment les potions, souvent utile dans ses expériences farfelues. Dans tous les cas qu’on l’aime ou qu’on le déteste, Mycroft aura tendance à toujours rester fidèle à lui-même.

VOTRE PATRONUS – Un Lynx
VOTRE EPOUVANTARD – Lui même
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Amande
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Alohomora, pour pouvoir fouiner
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – La Potion d’Aiguise Méninge
VOTRE COURS PRÉFÉRÉ – Enchantement
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Fleury et Bott
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Norbert Dragonneau
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – Les croisés chat-fléreurs
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – Parchemin, shampoing, crème pâtissière et Château Latour 1881.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? – The game is on

Explications : Tu te trouves dans le Poudlard Express, en route vers ta Première Année. Soudain, une élève un peu plus âgée entre dans ton wagon et commence à te poser des questions.

« Salut, je peux m'installer ici ? Moi c'est Penny Clearwater, je suis Préfète, et toi tu t'appelles comment ? Tu vas faire ta première rentrée à Poudlard, on dirait. Faut pas t'inquiéter, ça va aller. Tu sais déjà dans quelle Maison tu voudrais aller ? »

Avant toute chose je me permets une courte analyse … J’avais à peu prêt deviné qu’elle devait avoir des responsabilités sans forcément être préfète … Mais la droiture et la fermeté dans sa façon de marcher, son franc parler et sa curiosité montre en partie une certaine faculté à endurer un poste à responsabilité, dans le cas présent préfète. D’ailleurs Penny c’est un diminutif non ? Enfin peu importe.
« Moi c’est Mycroft, enchanté ! A vrai dire je suppose que Poufsouffle serait le plus adéquat, je ne suis clairement pas fais pour aller chez Gryffondor … » Je risquerai de me faire beaucoup trop d’ennemis la bas … « Après je sais pas je laisserai le sort décider … Après tout quelque soit la maison je suis persuadé que des gens seraient capable de me détester. »

« Je vois, je vois. Ben verdict à la cérémonie de Répartition, alors ! C'est le Choixpeau qui décide, après tout. Mais j'espère que tu iras là où tu veux. Au fait, ton nom me dit quelque chose, t'as déjà des frères et soeurs à Poudlard ? Et tes parents, ils font quoi dans la vie ? »


Mes parents ? Mon père est bureaucrate, mais il en est fier car il parle souvent au Ministre Français … Sauf qu’il est simplet, et que ses tentative de faire des Maigret une famille de sorcier pure, malgrés qu’elles soient vouée à l’échec, prouve bien que c’est un idiot … Heureusement que maman était là pour relever le niveau …
« Non aucun, je suis fils unique, mon père travaille au Ministère des Affaires Magiques à Paris, et ma mère est MagieZoologiste. Mon père travaille à redorer le blason familial …»

« Ah oui non en fait, j'ai dû confondre avec quelqu'un d'autre. Bref ! Sinon, comment tu vois ton futur, à ta sortie de Poudlard ? Tu dois bien avoir des projets d'avenir, tu sais ce que tu veux faire plus tard ? »

« Je sais pas trop ? Tout ce qui ne consiste pas à rester des heures derrière un bureau quelque chose avec de l’adrénaline … Auror ou Détective Privé, c’est cool. »

« Quelle ambition ! Moi je veux devenir Joueuse de bavboules sans doute si j’en crois les multiples excroissances sphériques dans sa poche droite, ainsi que son léger tic consistant à frotter l’ongle de son pouce avec le bout de son index sur la main droite, mouvement qu’elle a commencé à faire dès qu’elle a évoquée la question de son avenir ... joueuse de Bavboules pro « Sérieux ? Wow. » mais apparemment c'est super-compliqué. C'est un peu mon rêve, tu vois. Tu as peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et te propose d'exaucer trois de tes vœux. Si un tel génie se présentait à toi, qu'est-ce que tu demanderais, toi ? »


Question étrange … Je suppose que je demanderai à ce que mon père trouve une autre occupation, comme le golf ou le scrabble, plutôt que lécher les chaussures en daim beige perforée du ministre Français, sport qu’il pratique à temps plein. Je suppose que certaine personne n’évoluent jamais avec leurs temps.

« Bonne question … Je pense que je lui demanderai juste de poser la lampe sur une étagère, bien en évidence et faire le ménage … Je n’ai pas tellement de souhait mis à part manger, dormir et ce genre de chose. »

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? Aucun Où avez vous connu le forum ? Google Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Je m’engage à respecter le règlement (veaudelune)

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Sujet ACTION :
— Tu as trouvé dans ton grenier un bel objet brillant qui émet des sons étranges, développe ta réaction au cours d'un RP.

Manoir Clifford, Glastonbury, Angleterre – Hiver 1977

Un intense brouillard recouvrait la campagne britannique humidifiée par des pluies glaciales, alors que doucement, le jeune Mycroft sortait des bras de Morphée. Autour de son lit se trouvait divers ustensiles, des tables recouvertes de matériel et de livres, probablement laissé ici la veille lors d’une expérience pour le moins étrange, si on en croit le Veracrasse qui se tortillait dans un bocal, les yeux de strangulot flottant mollement dans du formol, et divers flacons remplis de diverses potions, utilisée dans ladite expérience. Mycroft soupire alors face à ce bazar innommable, se préparant à se lever, avant de voir la forme grise sur son lit, qui se mit à ronronner dès que le jeune homme se mit à bouger.

« Comment t’es rentrée ici ma grande ? » dit-il à Béryl, la chatte grise qui se roulait contre son torse, que Mycroft surnommais souvent Berrie.

Elle poussa un miaulement plaintif quand le jeune homme se leva, en soupirant, bousculant quelques piles de livres, des chaussons au pied. Il sortit de sa chambre en se grattant la tête, marchant mollement dans les couloirs du manoir familial dont ils disposaient en Angleterre.  Clifford était le nom de jeune fille de sa mère, une famille comptant principalement des sangs mêlés, tout comme celle de son père. Berrie grimpa prestement dans les bras du jeune homme qui, soupirant, la laissa monter sur son épaule. Avançant dans le couloir du troisième étage de la grande bâtisse de pierre, Mycroft s’arrêta un moment devant une porte menant au grenier.

« Encore une belle occasion pour fouiller dans ce bazar … » fit-il avant d’ouvrir la porte et d’emprunter les escaliers. Son père lui interdisait d’y aller plus jeune, mais depuis qu’il a eu son poste au Ministère des Affaires Magiques, il n’était pas revenu dans cette maison, donc Mycroft en profitait pleinement pour découvrir les objets que son père cachait là-dedans.

En entrant dans la salle poussiéreuse le jeune homme ignora les diverse armoires, coffres et boîtes, qu’il avait déjà ouvert, pour continuer de farfouiller dans la mansarde, ouvrant des boîtes pour découvrir des vieilles éditions jaunies de livres qu’il avait de toute manière déjà lu. Il trouva les carnets de son père qu’il regarda, avec une moue blasée, avant de les reposer dans un coin. Vivre avec cet homme était déjà suffisamment ennuyeux pour qu’en plus il se mettent à lise l’histoire de sa vie. Elle serait sûrement profondément sans intérêt se dit le garçon.  

A force de fouiner, il finit par mettre la main sur un objet singulier, qui venait de glisser d’un carton de livre pour enfant moldus. Il se souvint avoir déjà lut ses livres vers ses cinq ans, il savait déjà lire à l’époque après tout. Il se pencha donc en avant et ramassa l’objet qui se mit à émettre un son tout à fait particulier. Légèrement grésillant, se rapprochant du bruit d’un beuglement bovin, Mycroft était soudain très intéressé par cet objet.

Il se mit donc en tailleur prenant l’objet en main, l’inspectant sous toute les coutures. Prenant sa baguette dans la poche de sa robe de chambre afin de chercher des traces de magie sur cet objet malgré qu’il n’en sente aucune. Une dizaine de minutes plus tard, le jeune homme n’avait toujours pas trouvé l’utilité de cet artefact. Des pas finirent par se faire entendre dans l’escalier. Mycroft se retourna doucement alors que la porte s’ouvrit pour laisser passer un homme, à mi-chemin dans sa cinquantaine en apparence, vêtue d’un gilet de costume et de vêtement de majordome, blanc et noir.

« Je savais que je te trouverai ici Mycroft. » fit l’homme en soupirant.

Il ne semblait pas courroucé et n’avait aucune raison de l’être puisque Mycroft venait souvent ici. Son père absent, l’interdiction de pénétrer cette pièce était ainsi levée. « Bonjour Martin … Qu’est ce qui se passe, c’est l’heure du p’tit dèj ? » fis- Mycroft en continuant de regarder son objet, l’air tout autant intrigué.

Le majordome soupira alors, mettant une main sur sa hanche avant de réajuster ses lunettes. « Je crain que le petit déjeuner ne soit pas à l’ordre du jour sachant qu’il est déjà quinze heures et demie Mycroft … Plus important je te rappelle que ton départ pour Poudlard est demain et je t’avais dit que je voulais te montrer quelque chose. »

Mycroft soupira alors. « Excusez-moi Mr. Hudson mais je travaille sur un objet on ne peut plus intéressant pour le moment. » fit-il en retournant l’objet qui se remis à émettre son bruit caractéristique.

Le majordome légèrement désabusé, fronça les sourcils. « C’est une boîte à meuh. Les moldus ont créer ça pour amuser les enfants. Ton père à confiné tout objet moldu dans cette pièce lorsqu’il s’est mis en tête de redorer le blason familial. » fit-il. Mycroft le regarda, un peu déçu. « D’ailleurs, je te conseille d’arrêter d’envoyer des hiboux au Ministère pour régler des affaires courantes, je sais que tu cherche à bien faire, mais ils ne sont pas en mesure de faire confiance à un enfant, même si tu sembles avoir un don. »

Mycroft jeta alors l’objet par son épaule, l’air boudeur. « Je suis sûr que j’aurais réussi à régler ces affaires … » fit-il, en soupirant. Mycroft trouvait, en réalité, cet état de fait très usant. Bien que son talent d’observation soit bien réel, celui-ci n’avait rien à faire avec la magie. De fait, les sorciers n’y accordaient que très peu de confiance. C’est ce qui avait poussé Mycroft à haïr de plus en plus cette obsession pour la magie. Pas la magie elle-même évidemment, mais plutôt ce refus d’ouverture, cette tentative de camoufler un monde qu’ils estiment inférieurs.

Le majordome soupirait de plus belle. « J’en suis convaincu également, mais commence par faire tes preuves autrement. Quoique tu fasses je sais très bien que trouvera comment mettre ton don à profit … Bref regarde plutôt ça. » fit-il en s’avançant vers un coin du grenier. Il sortit un grand coffret avec écrit en grosse lettre dorée, bien qu’abîmée par le passage du temps « Clifford & Son, Chapelier pour Sorcier ». Le majordome remontant une énième fois ses lunettes au motif écaille de tortue pris la parole. « Tu n’es pas le seul à fouiller dans cet endroit. J’ai fait le tri dans les affaires de la famille de ta mère hier, et j’ai trouvé quelque chose qui pourrait t’intéresser. Une relique du temps ou les Clifford avait une entreprise de Chapellerie pour Sorcier. C’était y’a très longtemps et ça n’a pas duré, mais je pense quand même que tu devrais garder cet objet … Il est pile dans tes goût … Particuliers. »

Mycroft haussa un sourcil alors que Martin ouvrait le coffret qui contenait un haut de forme d’allure plutôt standard. En effet celui-ci était fais d’une matière plutôt douce, rien de trop voyant comme un chapeau de soirée, la couleur était d’un gris foncé mat très sobre. Le genre de couvre-chef que l’on porte dans la vie de tous les jours en somme. Martin sourit doucement en voyant les étoiles dans les yeux du jeune homme. Malgré son indifférence apparente, il devait beaucoup apprécier ce cadeau.  

« Ils ont appelé ça un Clak Kap, c’est un chapeau qui peut disparaître en un claquement de doigt … Si c’est un sorcier qui le tient bien entendu. Il y a aussi un espace de rangement aussi grand qu’une armoire à l’intérieur, si jamais tu veux y cacher des choses … Je suis persuadé que tu sauras t’en servir pour semer la pagaille, toutefois, je me dis que tu pourrais aussi en faire un bon usage. »  fit le majordome.

Mycroft sourit doucement. « Merci Martin. Ça me touche. » fit-il avant de se lever, reprenant son félin qui bondissait sur les divers insectes peuplant le grenier. Après ça la journée se termina sans accroc, Martin laissant Mycroft ranger le bazar qu’il avait mis dans sa chambre.

Mycroft fut réveillé le lendemain par Martin. « C’est déjà l’heure ? » maugréa l’adolescent. Son majordome qui était en réalité comme un père de substitution a ses yeux lui répondit, toujours aussi blasé par l’attitude profondément puérile de son protégé. « Grouille toi de te mettre debout, nous devons partir dans 1h30. » fit-il alors que Mycroft se levait péniblement. « Et puisque tu t’ennuies tant tu peux commencer à utiliser ton don pour enquêter sur la chaussette qui te manque et venir manger ton petit déjeuner. Ce seras bien la seule fois en deux semaines que tu en mangeras un. »

Un moment plus tard, Mycroft était dans la Citroën Traction des Clifford que Martin conduisait. Posé calmement à l’arrière, Béryl somnolant dans une cage sur le côté, une patte posée sur la cuisse de son maître au travers des barreaux. Doucement, la voiture conduisait le jeune Mycroft Maigret en direction de Londres ou il reprendrait le Poudlard Express en direction de Poudlard, pour une énième fois.

Martin Hudson: