ϟ Lyra, Olympe
(LESTRANGE)
YAXLEY

NOM -Lestrange est le nom dont elle a hérité à sa naissance. Un nom qu'elle défendra bec et ongle. Elle est prête à tout pour s'assurer de la survie de son noble patronyme. Elle n'hésite donc pas à se mêler de la vie de ses petits neveux Rodolphus et Rabastan Lestrange et compte bien s'assurer qu'ils assurent la survie du nom Lestrange. Yaxley est le nom qu'elle a épousé lors de son hymen forcé avec Addison. Elle n'a jamais aimé son époux mais il faut reconnaitre qu'être l'épouse d'un homme à la tête d'un empire pharmaceutique n'était pas pour lui déplaire, elle a donc fait sien le nom de ce mari qu'elle détestait tant. Elle se considère aujourd'hui autant Yaxley que Lestrange et veille sur la compagnie familiale dont elle préside le conseil d'administration. Elle se plait à rappeler également à qui veut l'entendre qu'elle descend aussi des Avery, nom de naissance de sa mère, des Greengrass, des Beurk, des Fawley , des  Gaunt ou encore des Bulstrode PRENOMS - Elle répond au mélodieux prénom de Lyra, prénom de sa grand-mère maternelle Lyra Greengrass, un prénom qui contraste avec sa personnalité qui n’a rien d’une douce mélodie. Un prénom qui se retrouve au fils des générations. Le prénom de sa petite fille Lyra Yaxley épouse Flint. Un prénom qu’elle a déjà demandé à son arrière-petite-fille Cassiopea de donner à sa propre fille dès qu’elle en aura une. Son deuxième prénom est Olympe, prénom de sa mère Olympe Avery et qui illustre bien la hauteur à laquelle elle se place dans la société magique.   DATE DE NAISSANCE - Est-ce raisonnable de demander cela à une vielle dame ? Les Archives du Ministère de la magie et noble par nature, une généalogie des sorciers vous apprendront qu’elle est née le 3 novembre 1888 AGE - 89 et une santé d’enfer (sauf lorsqu’elle joue les vieilles mourantes pour culpabiliser sa descendance) VILLE D'ORIGINE - Leicester, Royaume-Uni SANG - Pur produit de l’union des 28 sacrées à travers les générations ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Serpentard ORIENTATION -Pro sang pur et cela n’a rien a voir avec la côté du mal, c’est juste rendre la magie à qui de droit

Ne faite jamais confiance à Lyra Yaxley, elle vous trahira toujours. Cette vielle mégère est l’archétype de la femme forte mais manipulatrice. Égoïste et orgueilleuse, elle n’éprouve aucun scrupule à générer de la tristesse autour d’elle et à blesser les autres, y compris sa propre descendance, pour atteindre ses objectifs. Elle ne se soucie que d’elle même et pourtant n’aura aucun mal à vous faire croire qu’elle agit pour vous protéger. Ne la laissez jamais entrer dans votre vie où elle cherchera à en prendre le contrôle et à en tirer les ficelles. Vous ne serez alors qu’une baguette dans sa main. Elle vous réduira en poudre de cheminette en tirant profit de chacune de vos faiblesses. Elle excelle dans l’art de la victimisation comme dans celui de la culpabilisation. Si vous avez une mauvaise image des belles-mères, je vous présente la pire de toutes.  Elle est la belle-mère que vous n'avez jamais voulu avoir et pourtant elle sera probablement votre méchante belle-mère. N’ayant jamais travaillé, elle s’évertue à contrôler la vie de toute sa descendance (enfants, petits enfants, arrières petits enfants) mais aussi de celle de ses frères et de sa sœur, pour « sauver l’honneur des Lestrange » et de toute celle de son ascendance. Autant vous dire que la matriarche Yaxley-Lestrange est une personne inévitable chez les sangs purs qui pourra faire de votre envie un véritable enfer.  Lyra Yaxley est une véritable mauvaise herbe, qui ne meurt jamais et qui n’hésitera pas à vous sacrifier ! Elle joue avec vous et avec la communauté magique au sein du mangemageot comme on joue une partie d’échec. Son nom et l’argent lui ont donné un pouvoir qui allié à sa personnalité dévastatrice est fatal. Elle a des yeux partout, elle corrompt qui veut bien se laisser corrompre et ne perd jamais. Une chose est certaine, vous allez adorer la détester !  Un conseil, fuyez tant que vous pouvez.

VOTRE PATRONUS - Elle n’a jamais appris un sortilège aussi puissant. De toutes les façons permettez moi de douter qu’un personnage au cœur aussi noir soit un jour capable d’en produire un.
VOTRE EPOUVANTARD  – Son cercueil
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Banane
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Bloclang
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – Le poison pernicieux
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE –Potion et Remèdes d’Ava Zabini
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Gellert Grindelwald. Contemporain de son époque elle a été une de ses fidèles
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE –L’Augurey dont une plume se niche dans sa baguette
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – L’amorten quoi ?

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - réponse

MACHIAVEL: Bienv'nue au Ministère, allez, bouge, avance toi un peu. Voilà. File moi ta baguette que je l'enregistre. J'suis sûr qu'tu fais un métier... Incroyable. Allez raconte moi un peu ta vie.
La matriarche s’était déplacée au Ministère pour une session du Magenmagot  qui devait voter plusieurs lois. Comme toujours, elle comptait bien jouer de son influence pour convaincre ces collègues de rejeter toutes les lois qu’elle jugeait trop favorable à l’égalité et défendre toutes les lois qui lui permettraient de garder les privilèges que lui confèrent son nom et son sang. D’un geste de la baguette, elle rendit muet comme un botruc le sorcier qui lui parlait sans savoir qui elle était. « Lyra Yaxley » répondit-elle froidement en lui donnant sa baguette de 21 CM, bois de Roseau et Plume d’Augurey, souple et incassable.... un peu comme la matriarche !. « Membre du Mangemageot. » compléta-t-elle avec un sourire diabolique, en marquant une petite pause pour ajouter « Et surtout celle qui te fera virer de ce ministère, pourriture de sang de bourbe »....  « Machiavel, c’est ça » dit-elle en pointant sa baguette sur son badge.

MACHIAVEL: HAHA ! T'sais c'qu'on dit des baguettes ? Elles sont à l'image de leur sorcier, eh ouais, j'invente rien, c'est sorti de la bouche du vieux Ollivander lui-même ! Alors, ta vie amoureuse ? Ça a l'air d'être un sacré désert...  
Pour qui cet homme se prenait-il, il n’avait vraisemblablement pas compris ce que la matriarche venait de dire. Voulait-il qu’elle lui jette un nouveau un sortilège de bloclang. Il suffisait qu’il ouvre une page de noble par nature une généalogie des sorciers pour qu’il apprenne qu’elle est la veuf de Addison Yaxley I, le fondateur de Yaxley &Co

MACHIAVEL: Ah bah, l'récit de ta vie amoureuse a l'air d'être aussi court que ta baguet- hum hum... C'est presque fini, arrête de râler. Alors à Poudlard, t'étais où ? T'as une bonne tête de Poufsouffle. Enfin j'juge pas moi tu sais.  
La matriarche manqua de s’étouffer.  Il venait vraiment de l’insulter de Poufsouffle ? Si elle n’était pas dans l’enceinte du Ministère elle lui aurait jeté un Doloris sur le champ. Mais vous savez ce qu’on dit ? La vengeance est un plat qui se mange froid et le jeune sorcier un peu trop zélé allait rapidement avaler de travers son prochain repas. Elle avait étudié, le temps qu’elle avait étudié à Poudlard, dans la maison du grand Salazard Serpentard, un de ses ancêtres à ce qu’il y paraît. Mais ce minable n’avait pas besoin de le savoir. Elle resta à son tour muette comme un Botruc en attendant que les formalités administratives soient terminées.

MACHIAVEL: Par les chaudrons de Merlin ! T'dois avoir de sacrées ambitions, non ? Raconte un peu, t'veux faire quoi de plus ? Moi, quand j'étais gosse, j'rêvais d'être joueur de Quidditch, j'ai l'physique mais pas l'mental, ça crève les yeux d'Oedipe, non ?
La matriarche soupira d’exaspération.  Si le jeune homme posait moins de question, peut-être qu’il ferait plus vite son travail. Elle n’avait aucun doute sur la nature de son sang. Seul un sang de bourbe pouvait être aussi stupide et avoir un emploi aussi dégradant. « Je suis membre du Magenmagot. D’ailleurs si tu pouvais te dépêcher de faire ton travail, ça m’éviterait d’être en retard.... une chose qui ne t’arrivera bientôt plus, puisque tu n’auras pas de travail » . Elle était exaspérée au plus haut point.


MACHIAVEL: Alalalala... Regarde c'vieux Minchum qui passe. Y s'prend pas pour n'importe qui... Enfin... Magie blanche, magie noire, de toi à moi, de moi à toi, tu préfères quoi ?
Lyra Lestrange ou Lyra Yaxley comme vous préférez avait été une fidèle partisane de Gellert Grindelwald dont elle avait déploré publiquement la chute.  Aujourd’hui, sans aucune hésitation, elle soutenait le seigneur des ténèbres. « Magie noire, magie blanche, rose, rouge....  je suis pour toutes les formes de magie tant qu’elle est réservée aux VRAIS sorciers, pas aux impostures comme toi» .


MACHIAVEL: Allez, ouste, c'est bon, elle est enregistrée ta baguette. Au plaisir de n'plus t'revoir !
Il allait la revoir et  cela allait sûrement être son dernier souvenir « Ne t’inquiète pas, bientôt, tu ne me verras plus, tu ne verras plus personne» dit-elle en le fusillant du regard. Le jeune homme venait de signer son arrêt de mort.

ϟ et la partie hors-jeu

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Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Morfin Carrow, Directeur du Département des Accidents et Catastrophes Magiques, ancien Serpentard ;  Arès Zabini, médicomage au service des empoisonnements par potions et plantes, ancien serpentard ;  Régulus Black, Serpentard ; Barty Croupton Junior, Serdaigle Où avez vous connu le forum ?  Je ne sais plus hahah Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : dimanche-demiguise

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !, ET BON RP ![/b]

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :AUTRE :— Exemple de post de façon RP de votre choix.

Novembre 1930  

Faut-il, ou non, autoriser la chasse aux moldus ? Depuis plusieurs jours, suite à la proposition d’Araminta Melfiua de la légaliser, le débat divisait la communauté magique. Certains criaient au scandale, à la folie, d’autres criaient au génie. Le Ministre Hector Fawley était resté totalement silencieux. Lyra YAXLEY, digne sorcière de sang pur et fidèle partisane de Grindelwald, dont l’ascension était de plus en plus grande, était de ceux-celles  qui soutenait ouvertement la proposition de loi. Elle n’avait pas hésité un seul instant à user de tous ses arguments, y compris physiques, pour tenter de convaincre le Ministre, Hector Fawley, de faire passer cette loi. Bien que profondément anti-moldus, le politicien était bien trop inquiet qu’une telle loi puisse lui couter son poste de Ministre, d’autant plus à l’heure où on lui demandait de répondre aux « menaces » que constituait Grindelwald, pour oser se lancer sur ce sujet. Elle avait cependant réussir à le convaincre de demander aux sages du Mangemageot d’étudier l’opportunité pour le Ministère de voter ou non une telle loi. Elle était persuadée de pouvoir convaincre ses camarades. Elle userait des mots pour les convaincre. Si ce n’est pas suffisant, elle userait de l’argent. Et si ce n’est pas suffisant, elle userait de son corps. Elle ne reculerait devant rien pour que cette loi puisse passer. Elle espérait d’ailleurs que l’histoire se souvienne bien plus d’elle et de ses discours que d’Araminta Melifua.

Elle était montée avec fierté et arrogance à la tribune.«Monsieur le Président Sorcier, Mesdames et Messieurs les honorables membres du Magenmagot, chers collègues,» . La voix de la rouquine était posée. « Faut-il ou non légaliser la chasse aux moldus ?  Telle est la question qui divise notre communauté. J’aimerais aujourd’hui vous en poser une autre » . Elle marqua une très courte pause, pour balayer du regard l’assemblée. « Les moldus ont ils pris le temps de se poser une telle question lorsqu’ils ont déclaré la chasse aux sorcières ? » sa voix posée était devenue bien plus grave.  Aussi grave que ce passé qu’elle rappelait à chacun et qui avait laissé des traces dans l’histoire de la magie. « Ont-ils hésité un seul instant à envoyer toutes ces femmes au bûcher ? A les bruler  comme des cochons? » La question était purement rhétorique.  Tous les sorciers dans cette salle savaient ce qu’il en était. « Combien de nos  aïeules sont mortes dans la douleur atroces des flammes avant l’invention du sortilège gèle flamme ? » . A chaque fin de question, elle posait son regard accusateur sur ses collègues. « Combien de nos mères, de nos sœurs, de nos filles, et peut-être même de nos pères ou de nos frères seraient encore condamnés à mort si le code international du secret magique n’existait pas ? » demanda-t-elle. « COMBIEN? COMBIEN » criait-elle ?  « Nous cacher ! Cacher notre magie ! Voilà ce qu’il nous oblige à faire si nous voulons pas mourir » . Pour emporter la conviction, elle savait qu’elle devait dépasser le débat, détourner le débat. Quoi de mieux que de revenir à l’histoire ? De revenir à tout ce mal que les moldus avait fait aux sorciers, et à la façon dont il les obligeait à vivre. « Qui ici a oublié les atrocités que nous ont fait vivre les moldus, et qui ont conduit en 1689 à l’adoption du code international du secret du magique » . On pouvait entendre des murmures dans la salle, des approbations, des protestations. Elle attrapa un livra, qu’elle montra à l’assemblée : vie et habitats des animaux fantastiques de Norbert Dragonneau, publié 3 ans auparavant. « Norbert Dragonneau en a encore parlé récemment dans son ouvrage , je le cite : " Les persécutions que les Moldus faisaient subir aux sorciers atteignaient en ce temps-là une intensité jamais connue jusqu'alors et la vue d'animaux tels que les dragons ou les hippogriffes ne pouvait que contribuer à l'hystérie moldue."» . Elle souriait intérieurement de son discours mais son visage ne trahissait rien. Il était grave comme le sujet. « Nous cacher, voilà ce qu’ils nous obligent à faire. Nous devons vivres dans la honte, comme des vulgaires elfes de maisons, de peur d’être attaqués."» .Elle sentait qu’elle avait capté l’attention de nombreux collègues et elle jubilait. Quel plaisir plus grand que celui d’être écoutée ? « Vous connaissez notre histoire, je ne vais pas vous faire l’affront de revenir en détails sur la chasse aux sorcières en Europe ou même aux Etats-Unis qui ne connaît pas la chasse aux sorcières de Salem ?  Le temps n’est pas il venu de se venger ? Le temps n’est il pas venu de venger nos mères, nos grands-mères, nos arrières grands mères, nos matriarches ?» . Jouer sur les peurs, jouer sur les émotions pour emporter la conviction, c’était sa devise. « Souvnez-vous des évènements qui ont donné lieu aux Etats-Unis à la loi Rappaport ?  Les moldus  ou comme ils disent outre atlantique, les non-majs ont-ils hésité un seul instant à attaquer le MACUSA ?» .  Elle marqua a nouveau un silence pour donner plus de poids à ses propos. « Souvenez-vous de 1914 à 1918, comment ils ont osé s’entretuer mondialement ? Qui nous dit qu’ils ne recommenceront pas ? S’ils s’attaquent entre-eux, croyez-vous qu’ils nous laisseront en paix ?» . Elle posa son regard sur une vielle femme, puis sur un vieil homme avant de conclure : « Mes chers collègues, je vous le dis : la paix simulé nuit plus que la guerre ouverte ! Mes chers collègues, je vous le dis, mieux vaut une bonne guerre qu’une mauvaise paix.  Mes chers collègues, je vous le dis, la guerre comme un flux agite et purifie. Mes chers collègues, je vous le dis, faire la guerre, c’est protéger ses terres, s’est protéger les siens, c’est montrer son amour pour ses terres et sa communauté. Mais chers collègues, je vous le dis, n’ayons plus peur ! Ne les laissons plus gagner ! Ne vivons plus cacher ! Assumons notre magie ! Pratiquons notre magie, et s’ils nous attaques, attaquons les ! Vive les sorciers, vive les sorcières et vive la magie ! » .

Quel bonheur de vous voir parmi nous

Hâte de voir ce que tu vas nous concocter avec ta mégère

Rebienvenue