A l'attention de Moran J. Powell
Son bureau
Siège de la Gazette du Sorcier
Londres
Royaume-Uni

Moran,

J'ai sauté sur la Gazette dès que j'ai pu! Bien sûr que j'ai vu! Lire la conclusion de tout ça a été libérateur, à un point que tu ne pourras pas imaginer - Tout ce que je souhaite maintenant, c'est que les gens, maintenant qu'ils sont informés, fassent attention à eux.

Merci encore pour tout ça. Pour cet article, et pour le relai à Mme Fawkes. Tu me sauves, à tous les niveaux.

Je ne suis pas certain de m'être acquitté de ma dette d'une façon si équilibrée que ça.

J'espère de tes nouvelles dans un avenir proche, tout en essayant de ne pas rêver trop.

G.

Message livré par corneille, début janvier :


A l'attention de Moran J. Powell
Son bureau
Siège de la Gazette du Sorcier
Londres
Royaume-Uni




Moran,

Vu la façon dont on s'est quittés la dernière fois, je me doute que tu n'as pas très envie d'entendre parler de moi, mais...

Je voulais te dire que j'ai été désolé d'apprendre via ton article de la Gazette, pour ta tante. Tu connais le respect et l'admiration que j'ai pour elle. Sans elle, et sans toi, je n'en serais pas là où j'en suis aujourd'hui.

J'espère très sincèrement qu'elle sera retrouvée vite, et qu'elle n'a pas eu de problème grave.

Que Merlin te soit favorable pour cette année 1979, envers toi et ta famille.

G.R

Message Antidaté:

Monsieur Powell,

A l'heure où je vous envoie cette lettre, tout ce que je sais, c'est que vous êtes toujours à l'hôpital. Je vous souhaite un prompt rétablissement (il ne le pensait pas pour trois gallions). Toutefois, dans votre chute comateuse, vous avez traversé une toile, une toile qui avait été vendue une semaine auparavant à un sorcier japonais dont je tairais le nom pour ne pas me souvenir de sa rage.
Vous êtes priés de me retourner la somme de 556 gallions, 36 mornilles et 15 noises (il avait machinalement appuyé plus fort sur la plume en écrivant les chiffres) pour réparer la vente qui n'a pu s'effectuer et la somme que j'ai dû rembourser à mon client de ma poche une fois que vous serez sorti du coma. Estimez vous heureux que je ne vous assigne pas au Magenmagot pour dommages et intérêts de l'impact psychologique que cela a eu sur moi.

Bien à vous,
Ronan Malone.

Cher Moran,

Je ne sais pas quand tu vas te réveiller, mais j’espère que quand tu ouvriras les yeux, tu découvriras ce hibou.
Je te souhaite un prompt rétablissement et dès que tu seras en mesure de rédiger quelques lignes, fais-moi savoir, que tu te portes bien. J’en serais plus qu’enchantée.

Je laisse la plume à Gauwain.

Je t’embrasse,
Meredith


On était présents à l'inauguration de l'expo, quand ça a mal tourné. C'est nous qui t'avons conduit à Sainte-Mangouste, quand le premier Auror est arrivé. On fait confiance aux équipes de l'hôpital pour te remettre sur pied mais.... Comme dit Meredith, on sera rassurés d'avoir un message quand tu seras éveillé et en forme. Qu'on sache comment tu vas. On passera t'apporter des douceurs pour t'aider à te remettre. Je te souhaite une courte convalescence, et d'être bientôt remis pour des articles toujours aussi percutants.

Gauwain