ϟ la fiche de recensement

NOM - Walsh PRENOMS - Cecil DATE DE NAISSANCE - 14 septembre AGE - 25 ans VILLE D'ORIGINE - Limerick (Rep. D'Irlande) SANG - mêlé ANCIENNE MAISON A POUDLARD - poufsouffle ORIENTATION - neutre

Cecil, c'est le type qui se prend constamment le haut de la porte de son magasin. Tous les jours. De chaque semaine. Incarnation du fameux syndrome de Peter Pan, Cecil est particulièrement immature, avec une vie intérieure très riche. Sans doute parce qu'il n'a pas réellement eu d'enfance, que ça l'a enfermé dans sa tête. Un peu.
Il a été élevé par un ami de ses parents qui, disons le, n'y allait pas de main morte question éducation. Guère abandonné pourtant, ils ont toujours pallié à ses besoins vitaux en versant de l'argent à leur ami pour le remercier de l'élever à leur place. Son père lui a appris à jouer aux échecs versions sorciers. Pour autant, ce n'est pas un homme qu'il appelle par le doux nom de "papa". Sa mère lui a appris à lire. Il ne l'appelle pas non plus par le doux nom de "maman". A quoi bon, puisqu'ils n'en ont pas été pour lui ?


Cecil est un insupportable peureux. Penser à ses arrières avant de penser aux autres. C'est très probablement le résultat de l'équation de son enfance. Cecil vit une vie par procuration dans son imaginaire il est incapable de réellement se projeter dans la vie. Il est irresponsable au possible. C'était ce qu'il faisait pour échapper à son enfance, aux gens qui se moquaient de lui pour ses cheveux de cuivre. C'était ce qu'il faisait aussi pour oublier que ses parents ne s'occupaient pas de lui. Le jeune homme est du genre à s'imaginer un livre d'histoire pour s'endormir, mais aussi pour se réveiller et vivre toute la journée. Toujours constamment en train de rêver, il arrive qu'on ait du mal à attraper son attention volage. Mais une fois que son regard doux s'est posé sur vous, pas d'inquiétude, il vous écoutera jusqu'à la fin de votre histoire. Parce que c'est ainsi qu'il considère les choses, comme une histoire, des choses sans grande importance. Ce qui a de l'importance, il l'enfouit au fond de son cœur. Si l'on devait résumer cette grande perche d'un mètre quatre-vingt treize par un mot, celui qui sortirait le plus souvent serait sans doute le mot "curieux". Curieux est ce garçon qui parle peu de sa vie, énigmatique au possible, qui a trouvé pour seul moyen d'avancer, le déni. Pas particulièrement doué en magie, il a déçu ses "parents" en ne suivant pas le chemin tout tracé pour lui étant donné ses compétences. La botanique c'est bien mais entendre geindre des mandragores toute la journée, c'est lassant. Il pleure souvent Cecil. Il pleure pour les autres, pour lui, pour la détresse du monde. Il sourit aussi, ça oui, il sourit beaucoup, sincèrement, parfois faussement.  

Le jeune homme a en horreur certains traits de caractère pour la bonne raison que c'étaient des traits en commun avec l'homme qui l'a élevé, voire avec ses parents. L'intransigeance est quelque chose qu'il ne comprend pas, la violence de même. Et quoi de pire que l'instinct hautain que certains peuvent avoir ?

VOTRE PATRONUS - un martin-pêcheur, qu'il n'a jamais vu
VOTRE EPOUVANTARD - des vers, des milliers
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – madeleine
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – accio
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – solution de force
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – préfère pré-au-lard
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – hengist de woodcroft
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – les licornes
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – l'odeur des pins mêlée à celle de la vanille et du rhum

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - il a un demi-frère. il fait du dessin et de la calligraphie

Explications : Deux possibilités s'ouvrent à toi à présent. Tu es libre de choisir SOIT de remplir l'interview du seul et l'unique Machiavel Gondole SOIT de rédiger un texte libre (une lettre, un journal intime, un monologue dans ta baignoire etc.) où tu y fais figurer quelques informations capitales parmi lesquelles : ton métier ; quelques informations sur ton enfance et ta scolarité à Poudlard ; ton orientation politique ainsi que ta situation amoureuse. Libre à toi d'être ou non exhaustif.

MACHIAVEL: Bienv'nue au Ministère, allez, bouge, avance toi un peu. Voilà. File moi ta baguette que je l'enregistre. J'suis sûr qu'tu fais un métier... Incroyable. Allez raconte moi un peu ta vie.
« Je suis le propriétaire de Scribenpenne. Vous savez, la papeterie de Pré-Au-Lard » - il s'était sentit obligé de le préciser, sans réellement savoir pourquoi. Cecil n'aimait pas trop parler de lui mais après tout, lui dire son métier, ça ne payait pas de pain. Il lui tendit sa baguette en bois de pin.

MACHIAVEL: HAHA ! T'sais c'qu'on dit des baguettes ? Elles sont à l'image de leur sorcier, eh ouais, j'invente rien, c'est sorti de la bouche du vieux Ollivander lui-même ! Alors, ta vie amoureuse ? Ça a l'air d'être un sacré désert...  
« Oh ça va, ça vient » répondit-il sans se rendre compte qu'éventuellement pour un esprit un peu porté sur la chose, ça pourrait avoir un double sens.  

MACHIAVEL: Ah bah, l'récit de ta vie amoureuse a l'air d'être aussi court que ta baguet- hum hum... C'est presque fini, arrête de râler. Alors à Poudlard, t'étais où ? T'as une bonne tête de Poufsouffle. Enfin j'juge pas moi tu sais.  
« Il n'y a pas de mal à être un Poufsouffle vous savez » fit-il d'un ton gentil, « on ne mord pas, en comparaison des autres. Vous étiez où, vous ? ».  

MACHIAVEL: Par les chaudrons de Merlin ! T'dois avoir de sacrées ambitions, non ? Raconte un peu, t'veux faire quoi de plus ? Moi, quand j'étais gosse, j'rêvais d'être joueur de Quidditch, j'ai l'physique mais pas l'mental, ça crève les yeux d'Oedipe, non ?
« C'est sympa le Quidditch. Pourquoi vous n'insistez pas ? ». Comme si c'était bien raisonnable...

MACHIAVEL: Alalalala... Regarde c'vieux Minchum qui passe. Y s'prend pas pour n'importe qui... Enfin... Magie blanche, magie noire, de toi à moi, de moi à toi, tu préfères quoi ?
« Je ne suis pas très doué en magie » avoua-t-il sans honte, « j'aime beaucoup les plantes. Mais pas trop les mandragores ».

MACHIAVEL: Allez, ouste, c'est bon, elle est enregistré ta baguette. Au plaisir de n'plus t'revoir !

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  oé Où avez vous connu le forum ?  top site sans doute Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : oé + dimanche-demiguise

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

AUTRE :
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BANG !

Une fois n'est pas coutume, Cecil venait de se prendre le haut de la porte de son établissement. Il marmonna quelque chose d'inaudible en se massant le front d'un air un peu déphasé, c'est qu'il était huit heures du matin et qu'il n'avait pas encore pris son thé. « Aïe aïe aïe » fit-il en remarquant que tout tête en l'air qu'il était, il était parti la veille sans reboucher un pot d'encre noire qu'il utilisait pour sa calligraphie. Quel idiot. Dans la petite boutique qu'il avait racheté trois ans auparavant, il y avait une jolie plante carnivore, à la fenêtre. Meilleur endroit pour dévorer les mouches il paraît, en tout cas, elle semblait en avoir piégé une entre ses dents vertes. Il soupira en oubliant de tourner l'écriteau pour prévenir de l'ouverture de la petite boutique qui se situait au village sorcier juxtaposé à Poudlard. Il finira par le remarquer, probablement aux alentours de midi, une fois étonné de ne voir personne franchir la porte. Cecil s'assit derrière son bureau, glissa ses lunettes de travail sur son nez, ignora royalement le hibou qui tapait furieusement à sa vitre - et qui finit, au bout de dix minutes, par lâcher les lettres sur le pas de la porte de la boutique. Il y avait une pile énorme de lettres qu'il n'avait pas pris la peine d'ouvrir. A quoi bon, hein ? Les responsabilités, trop peu pour lui, ça ne l'intéressait pas. Saisissant son stylo à calligraphie, il le trempa dans l'encre bleu pour commencer, comme tous les jours, ses traits assurés. Il en passait des heures à agrémenter son journal de belles couleurs et de belles courbes et il n'en était pas peu fier, bah tiens ! Le jeune homme resta plus d'une heure à faire la même chose avant de réaliser - un peu en retard, certes - que le hibou ne tapait plus contre la vitre. Cecil leva le nez comme pour chercher une explication à cela, mais il n'en trouva pas. Pourtant, le hibou faisait la même chose tous les jours. Bah ! Tant pis. Il reboucha son stylo, son pot d'encre, posa ses yeux sur la porte, réalisa brusquement qu'il n'avait pas retourné l'écriteau. Il traîna sa grande carcasse jusqu'à la porte pour le retourner et regarder un peu le ciel noir qui menaçait. Peu de clients aujourd'hui, ce n'était pas lui qui le disait.