ϟ La fiche de recensement

NOM - Emerson PRENOMS – Nollan, Blake DATE DE NAISSANCE – 26.01.1949 (Verseau) AGE – 30 ans VILLE D'ORIGINE – New-York (quartier de Brooklyn) SANG - sang mêlé ANCIENNE MAISON A POUDLARD – Pas Poudlard. Ilvermorny, Womatou. Maison des Guerriers. ORIENTATION - côté du bien - Auror (Agent de liaison du MACUSA)

Malgré ma bouille d’éternel adolescent, faut pas me la faire à l’envers.
J’aime pas ça. Ça me gonfle.

D’un naturel doux comme le caramel ou le chocolat, ça c’est vous qui choisissez, je peux néanmoins être piquant. Intransigeant avec moi-même mais surtout avec les autres, je ne rechigne pas devant le travail à abattre. Quitte à y passer des heures. Heures qui me vaudront mon couple et mon intérêt grandissant pour le Ministère de la Magie. Je suis pas homme de paperasse, ni de protocole. Mais, je suis homme de terrain. On me surnomme pas le Limier, pour que dalle, normalement. Respecté par mes pairs autant dans mon implication que par ma dévotion, je n’en reste pas moins un Auror que l’on juge quelquefois trop enclin à laisser une seconde chance. Voire une troisième.

Fermé à toute relation amoureuse depuis la trahison d’Eden Shane, j’ai préféré quitter pour un temps le MACUSA et New-York plus précisément. Pour me retrouver, dépêché par le Ministère de la Magie qui a déjà le don de me saouler avec sa multitude de formulaires aux numéros à rallonge. Je l’ai dit, que j’aimais pas les papiers inutiles ? Et en plus, je vais devoir abandonner ma bouffe américaine tant adorée pour me retrouver à goûter des aliments pas franchement appétissants. Or, je dois tenir ça de ma mère, l’envie d’explorer de nouvelles choses. Mon père, c’est autre chose. Il reste quand même fier que j’ai suivi ses traces en tant qu’Auror et non, celles de ma mère. Un peu plus « artistiques ». Et bien moins appréciées.

Autant dans la vie que dans ce métier qui me prend tout mon temps, je lâche pas le morceau.
Quitte à en agacer certains.
Mais moi, ça m’amuse grandement.

VOTRE PATRONUS – Malamute de l’Alaska.
VOTRE EPOUVANTARD – Une énième trahison.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – J’aime pas ça. Du moins, j’en suis pas friand. Par contre, des Fizwizbiz, je dis pas non.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Evanesco, je trouve qu’il est poétique.
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – Potion d’Aiguise-Méninges.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Obscurus Books.
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Les Sorcières de Salem.
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – Un Kelpy.
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – L’odeur envoûtante d’une Dutch Baby pommes caramel, tout juste sortie du four ; les effluves sucrées d’Eden Shane encore présentes dans les draps et celles de sa disparition. Et aussi, le menthol présent dans mes cigarettes.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? – Rien d'autre, votre Honneur.
Ah, si finalement.

Je ne suis pas au Royaume-Uni par hasard, préférant fuir la situation avec mon ex-fiancée et explorer un tant soit peu les origines familiales maternelles.
Transféré du MACUSA, -où j'ai fait mes armes-, au Ministère de la Magie.
Pour du 'temporaire' ou pas, ça je sais pas encore.

Explications : Deux possibilités s'ouvrent à toi à présent. Tu es libre de choisir SOIT de remplir l'interview du seul et l'unique Machiavel Gondole SOIT de rédiger un texte libre (une lettre, un journal intime, un monologue dans ta baignoire etc.) où tu y fais figurer quelques informations capitales parmi lesquelles : ton métier ; quelques informations sur ton enfance et ta scolarité à Poudlard ; ton orientation politique ainsi que ta situation amoureuse. Libre à toi d'être ou non exhaustif.

MACHIAVEL: Bienv'nue au Ministère, allez, bouge, avance toi un peu. Voilà. File-moi ta baguette que je l'enregistre. J'suis sûr qu'tu fais un métier... Incroyable. Allez raconte-moi un peu ta vie.
Si tu veux. Mais je vois pas en quoi ausculter ma baguette est quelque chose d'intéressant. Je lui lance une perche, ne me rappelant pas que les Britanniques soient autant procéduriers. Ça fait pas longtemps que je suis à Londres, et je dois déjà me présenter devant le Ministère. C’est normal, en un sens, mais ça reste autoritaire, quand même.
Ça t’emmerde pas ? Je prends son absence de réponse pour un « oui » déguisé et je réponds à ce que l’autre me demande. J’oublierais son nom, dès que j’aurais quitté la pièce, de toute façon. Je suis Auror, du MACUSA.

MACHIAVEL: HAHA ! T'sais c'qu'on dit des baguettes ? Elles sont à l'image de leur sorcier, eh ouais, j'invente rien, c'est sorti de la bouche du vieux Ollivander lui-même ! Alors, ta vie amoureuse ? Ça a l'air d'être un sacré désert...  
La question à pas poser. Elle est un peu compliquée ma vie amoureuse, en ce moment, je dois te dire que je me concentre plus sur mon boulot. Que de trouver, une demoiselle. J’étais fiancé, mais ça, c’était à une autre époque. Du coup, je peux dire qu’au final, je suis marié à mon boulot. Une pause, alors que je m’allume une clope, assis dans un fauteuil au moins aussi confortable que celui, derrière mon bureau. Ça te satisfait, Gondole ? Et, même si c’était pas le cas, j’avais rien de mieux à lui offrir.

MACHIAVEL: Ah bah, l'récit de ta vie amoureuse a l'air d'être aussi court que ta baguet- hum hum... C'est presque fini, arrête de râler. Alors à Poudlard, t'étais où ? T'as une bonne tête de Poufsouffle. Enfin j'juge pas moi tu sais.  
Pas à Poudlard, je connais pas votre école. J’étais à Ilvermorny, parmi les rangs des Womatou. Les Guerriers. Je pense pas, que tu connaisses. Puis, je râle pas. Tant que je peux fumer, avant que Blondie me tombe dessus, ça me va. Parce que Blondie et mes cigarettes, ça faisait généralement pas bon ménage. C’est, qu’elle viendrait presque à me faire peur, parfois. Je tente pas le diable, même s’il est rudement joli.

MACHIAVEL: Par les chaudrons de Merlin ! T'dois avoir de sacrées ambitions, non ? Raconte un peu, t'veux faire quoi de plus ? Moi, quand j'étais gosse, j'rêvais d'être joueur de Quidditch, j'ai l'physique mais pas l'mental, ça crève les yeux d'Œdipe, non ?
Si je t’ai dit que j’étais Auror, c’est pas pour rien. A Ilvermorny, j’étais Batteur dans mon équipe, mais seulement pendant une saison et en tant que remplaçant. A croire, que j’avais trop l’esprit de compétition pour mes coéquipiers. Je marque une pause, tout en détaillant son physique vu qu’il vient de m’en toucher un mot. J’avoue qu’être taillé de la sorte pour jouer au Quidditch, ça coince. Et si en plus, il a pas le mental. Ça crève les yeux, en effet. Que dire d’autre ?

MACHIAVEL: Alalalala... Regarde c'vieux Minchum qui passe. Y s'prend pas pour n'importe qui... Enfin... Magie blanche, magie noire, de toi à moi, de moi à toi, tu préfères quoi ?
C’est moi ou les Anglais sont un peu trop curieux ? Si je lui ai mentionné le fait que j’étais Auror, il doit se douter que je reste enclin à pratiquer la magie blanche. Bien que je reste persuadé que connaître quelques rudiments de magie noire, pour contrer des adversaires retors, ce serait pas du luxe. A attaque égale, défense égale. Faisant un moulinet avec mon index, proche de ma tempe, je le soumets à la réflexion. Tout en lui crachant une fumée mentholée au visage. Quoiqu’il va peut-être pas percuter, vu qu’il a pas le mental …

MACHIAVEL: Allez, ouste, c'est bon, elle est enregistré ta baguette. Au plaisir de n'plus t'revoir !

Avez-vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Ahah. La bonne blague. Où avez-vous connu le forum ?  Chut, posez pas ces questions … Avez-vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : OFC + vendredi (veaudelune)

Vous avez la possibilité de réserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

Journal intime de Nollan Blake Emerson – Extrait Pensine Septembre 1977

- Tu ne devrais pas rentrer Emerson ? A force Eden, va croire que tu la trompes.
- Dis pas de conneries Blane, elle sait bien que je dois clôturer un dossier. Sur lequel, je suis depuis des mois. Tu sais, le tueur au masque ?
- Justement, je sais. Traîne pas trop Emerson.
- Allez, casse-toi. Grognais-je, une cigarette pincée entre les lèvres.
Si seulement, j’avais écouté un tant soit peu Blane Mantiss et son avertissement lugubre. Malheureusement, mon acolyte Auror n’était pas loin de la vérité. Du moins, j’en aurais confirmation plus tard, quand je rentrerais à l’appartement que je partageais avec ma fiancée. Elle se prénommait Eden Shane, une brune pimpante rencontrée dans un bar alors qu’elle dansait à moitié nue sur une table. D’ascendance non-maj’, elle connaissait tous leurs rudiments et avait été alors impressionnée par la non-présence de ma baguette. La sienne, se trouvant à caler sa chevelure brune en un chignon désordonné. De fil en aiguille, on avait discuté, on avait flirté et on avait commencé à s’apprécier. Elle m’avait pourtant certifié qu’elle était à Ilvermorny, mais je l’avais jamais croisée. Trop concentré à tenter d’apprivoiser Ronan Malone. Qui était devenu, mon meilleur ami. Je sais pas comment, d’ailleurs. Y’a des mystères qui s’expliquent pas.

La nuit était déjà bien entamée, quand je parafais ma signature en bas de mon rapport. Venant d’éteindre ma septième cigarette de la soirée, bientôt rejointe par une huitième. Que j’avais déjà, coincée entre mes lèvres. L’allumant avec un briquet magique, dont la flamme ne s’éteignait jamais. Prenant mon porte-document, car je ramenais toujours du boulot à l’appartement, même quand je le pensais bouclé et terminé, j’étais l’un des derniers à sortir du MACUSA. Arpentant les quelques rues qui me séparaient de mon lieu de travail, je crachais ma fumée en l’air en pensant à Eden. Je la connaissais toujours à miroiter des milliers de projets. Elle se voyait tour à tour la Présidente du MACUSA, une scientifique non-maj’ qui découvrirait un remède contre l’absence de pouvoir ou bien encore une danseuse aux formes outrageantes qui danserait et charmerait le public présent sur scène. Ma fiancée, avait le cerveau qui fourmillait d’idées et parfois, il m’était difficile de la suivre sans y mettre un avertissement catégorique. Qui se soldait toujours par un éclat de rire de ma belle brune.

Terminant ma dernière cigarette, que j’écrase sous le talon de ma chaussure, je monte quatre à quatre les marches d’escalier me séparant de ma porte d’entrée. Y insérant la clef, je ne fais pas forcément gaffe à l’absence de bruit qui m’entoure, bien trop crevé pour m’attarder sur des spéculations. Déposant mon par-dessus au porte-manteau et mon porte-document contre le meuble de l’entrée, je défais ma cravate, -protocole que je supporte pas-, et commence à déboutonner ma chemise.

- Sweety, je suis rentré. Commençais-je doucement, tout en me dirigeant vers notre chambre, tout en me massant la nuque. Tes doigts de fée vont être putain d’efficaces, là.

Sauf que.
C’était pas moi qui en bénéficiais pour le coup.
C’était Blane Mantiss.

Résultat des courses pour cette fin de soirée :
Une incapacité de travail pour Blaine Mantiss.
Un blâme pour bibi.
Et, une fiancée qui a tôt fait de faire ses valises, manu militari.