ϟ la fiche de recensement

NOM - Munoz PRENOMS – Alba, Jayma DATE DE NAISSANCE – 21 Juin 1952 AGE – 26 ans VILLE D'ORIGINE – Canberra, Nouvelle Galles du Sud, Australie SANG - sang mêlé ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Serdaigle ORIENTATION - côté du bien

Ma famille dit de moi, que je suis un tantinet déjantée. Oui, il m’arrive de faire des choses folles, et étranges. Comme partir sur un coup de tête à la mer, grandir sur une île aide beaucoup !!! Ou danser seule au beau milieu d’une foule à un concert, sans me soucier du regard des autres. J’apprécie les piques niques en famille, ou entre amis dans la nature. Un arbre pour faire de l’ombre, de quoi boire et manger, le tour est joué.

D’un naturel joyeux, j’aime croquer la vie à pleines dents, et en découvrir toutes les richesses. Mon année d’humanitaire à travers le monde, m’a donné le goût de l’aventure, et des voyages. Gourmande, j’adore les glaces aux saveurs acidulées et fraîches, entre autres choses.

Pour ce qui est des amours, parlons-en !!! Le plus souvent, je choisis mes relations au feeling. Je ne suis pas difficile, les deux côtés me vont bien. Si on décide de s’amuser, autant faire les choses en grand.

Mais ma famille, a aussi un avis sur mes défauts… Elle dit de moi que je suis une jeune fille désordonnée. Nul n’étant parfait, c’est un peu le bazar en privé. Je m’y retrouve attention, un bazar organisé.

Doublée d’une maladroite chronique, qui peut passer une heure à se cogner partout, la fatigue aidant, après mes longues gardes à Sainte Mangouste. Faire tomber les objets, fait également partie de mes attributions. Autant le dire, un danger public pour un magasin de porcelaine !!!

Enfin triplée d’une tête de linotte invétérée, capable d’oublier dans la seconde, les paroles entendues. Obligée de faire répéter, ce qui peut agacer allégrement mes interlocuteurs. Epuisement, quand tu nous tiens…

Mais je ne pouvais pas parler de moi, sans évoquer mon double : Estella. Elle était tout le contraire de moi. Sérieuse, appliquée, aimant lire et apprendre, la tête sur les épaules. Elle aurait fait une magnifique sorcière, douée et forte. Des accès de nostalgie moi ? On ne se refait pas, et puis, que feriez-vous à ma place ?

Vous savez tout, alors à votre tour de jouer !      

VOTRE PATRONUS – Un petit lapin comme le sien.
VOTRE EPOUVANTARD – Sainte Mangouste, où la mort aurait gagnée.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Menthe, pour sa fraîcheur à toutes épreuves.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Anapnéo, pour le front de libération des voies aériennes !!!
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – Philtre revigorant.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Le Glacier Florian Fortarôme, toujours de quoi régaler les papilles !!!
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Cliodna, célèbre pour ses oiseaux qui chantent, pour soigner les patients.
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – Le Phénix, qui renaît de ses cendres.
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – Les agrumes, pour leur peps et leur goût acidulé, les onguents qui soignent, et l’odeur des bois et de la terre, après la pluie.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? – J’ai fais une année d’humanitaire à l’étranger, après avoir obtenu mon diplôme de Médicomage. J’en suis revenue avec des connaissances, et un savoir solide.  

Explications : Deux possibilités s'ouvrent à toi à présent. Tu es libre de choisir SOIT de remplir l'interview du seul et l'unique Machiavel Gondole SOIT de rédiger un texte libre (une lettre, un journal intime, un monologue dans ta baignoire etc.) où tu y fais figurer quelques informations capitales parmi lesquelles : ton métier ; quelques informations sur ton enfance et ta scolarité à Poudlard ; ton orientation politique ainsi que ta situation amoureuse. Libre à toi d'être ou non exhaustif.


Journal de bord, Eté 1973
Quelque part en Afrique.


Le soleil se lève à peine, et je prends le temps de me réveiller, et d’étirer mes membres, engourdis par la nuit courte. Il fait déjà une forte chaleur. Je jette un œil à la personne encore endormie, à mes côtés. Le médecin de la ville, à des kilomètres d’ici, mais qui avait l’habitude d’intervenir dans cette trouée humaine, au milieu de la nature. Au gré de mes interventions, les rencontres sont riches, et sources de bons souvenirs. La veille une jeune femme, et ce matin, ce charmant homme, auprès duquel, j’ai enrichi ma culture médicomagique.

Je songe soudain à l’enfant que j’avais pris en charge la veille. Il souffrait atrocement, d’un mal peu connu, mais l’union faisant la force, il finissait par s’apaiser, et plonger dans un profond sommeil. Je ne peux m’empêcher de penser à ma jumelle Estella, disparue alors que nous étions enfants, à peu près de son âge. Elle aussi était très malade, mais malheureusement, nous étions incapables de la sauver. Alors je tiens à réussir ma mission, avec ce petit bout de chou. Ce drame terrible, a dessiné malgré lui, le chemin de ma future carrière. Je me rends dans sa case, et demeure à son chevet, pendant une heure, alors que le monde des rêves s’évapore doucement, pour laisser place au soleil, qui inonde maintenant la petite pièce silencieuse. Je lui souri et saisi sa main frêle, dans la mienne. Elle est si mince et fragile, je ne résiste pas à l’envie de lui déposer un baiser sur le front, alors que nous parviens des sons extérieurs, comme l’agitation du troupeau, et des villageois. Je passe le relais à sa famille, qui me remercie chaleureusement, et à qui je donne une large étreinte, et me sauve, avant de verser une larme, ou bien plus.

Me voilà au bord de la rivière, véritable oasis salvatrice, pour une toilette rapide de chat. Le confort est sommaire ici, mais le dépaysement total et rudimentaire. Loin de chez moi, la nostalgie m’envahie, et je pense à ma famille  nombreuse qui me manque beaucoup, à mes amies, aux bons moments passés ensemble, à Poudlard, à Carina, ma meilleure amie. Où en est-elle maintenant ? J’aurais tant voulu franchir toutes ces étapes avec elle, Estella ma soeur, toujours dans mon cœur, absente de la terre… Pas le temps de m’appesantir davantage, le devoir m’appelle, il est temps d’ouvrir notre dispensaire de fortune, et de venir en aide à ces personnes dans le besoin.    

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Une gérante névrosée, et un guitariste coureur de jupons. Serpentard et Gryffondor. Où avez vous connu le forum ?  Je ne m’en souviens plus… Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : réponse + code du jour où nous sommes (bien caché dans le règlement !!)

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Sujet ACTION :
— Au cours de l'un de vos voyages par poudre de cheminette, vous vous retrouvez malencontreusement dans la cheminée d'un inconnu (moldu, sorcier, ministre, soyez imaginatif). Décrivez votre réaction au cours d'un RP.

Rendez vous ce matin, pour un entretien de travail. Après une dizaine de minutes à vérifier la présence de toutes mes affaires dans mon sac, je décroche une veste légère, et chausse de quoi faire bonne impression. Me dirigeant vers une cheminée toute proche, je saisi une poignée de poudre de cheminette, et articule du mieux que je peux, le nom de Sainte Mangouste, en éternuant plusieurs fois d’affilée.

Des voix me parviennent, mais je n’en distingue pas vraiment le contenu. Secouant ma tenue de la poudre, je tente de comprendre où je me trouve. Je ne reconnais pas les locaux, et les personnes que je distingue devant mon regard, ne me semble pas être des Médicomages… Que s’est-il passé ? Et comment vais-je pouvoir repartir d’ici ? Traverser la pièce n’est pas une solution adéquate. Après tout, une cheminée est faite pour réchauffer le domicile, et non pour s’y promener de lieux en lieux, comme on pourrait le faire en extérieur.

Les enfants on y va, vous allez être en retard à l’école.
Chérie, on se retrouve ce soir, j’ai une grosse journée au bureau aujourd’hui.
N’oublie pas le rendez-vous du chien au vétérinaire, pour son vaccin.

L’école, le bureau, chien, vétérinaire ? Je comprends tout à coup, que je me suis effectivement trompée de conduit de cheminée, mais qu’en plus, j’ai atterri malencontreusement, chez une famille de Moldus, en partance pour leur journée. Je me fige directement… Une porte qui claque, ne reste que la maîtresse de maison, et le chien en question. Je retenais ma respiration d’instinct, en priant Merlin ou quelqu’un d’autre, qui ne flaire pas mon odeur, ainsi que celle de mon petit lapin Popcorn, ou je serais perdue. Je coule un coup d’œil curieux envers lui, et tombe sur un espèce de molosse baveux, et en plein petit déjeuner, et qui en met partout, au passage. Tout à fait dégoutant !

Bon bon, restons calme. J’avouais volontiers ne pas faire ma fière, devant pareil animal. Les créatures magiques sont bien sûr plus impressionnantes et dangereuses, mais en général on ne les trouve pas en maison. Ce qui a un côté rassurant. Alba, réfléchis à un moyen de faire demi-tour, en n’attirant pas l’attention des occupants du logement. Rien ne me vient, pourtant je ne peux pas rester ici indéfiniment… Je commence à ressentir du stress, moi qui suis plutôt l’inverse… Quelle horreur, mais pourquoi ça n’arrive qu’à moi, c’est terrible !!!

Au terme d’une réflexion qui me paru durer une éternité, une idée a fait son apparition : attendre patiemment que la pièce soit vide, et transplaner ?  Il est clair que la suie présente au sol, n’est nullement de la poudre de cheminette. Impossible d’opérer un retour en règle, et de sortir ma baguette magique.

Une opportunité s’offre enfin à moi. Le duo délaisse la pièce, sûrement pour une promenade bien méritée. C’est le moment où jamais, pour s’enfuir de ce piège moldu. La voix est libre. Sac, baguette, je mets un pied dehors, et alors que je me préparais à transplaner, j’entends des pas et des aboiements qui se rapprochent. Que faire ? Il est trop tard…

Qui êtes-vous ?
Que faites-vous chez moi ?
Brutus, attaque vite !!!

- Oh non non, tout doux Brutus, je suis désolée, je m’en vais, je m’en vais….

Mince, le molosse court vers moi maintenant, les babines retroussées et semant de la bave partout. Alba courage, tu peux t’en sortir, tu es plus forte que lui. Mon cœur bat la chamade, je m’accroche à ma baguette par réflexe, prête à changer cet affreux animal, en une autre chose plus gentille. Inspirer, expirer, inspirer, expirer aussi calmement que possible… Facile à dire, mais difficile à faire. Il grogne, et je vois ses crocs acérés… Concentres toi, aller… J’ouvre les yeux, et me voilà loin de cet enfer, de cette femme, et de ce monstre à quatre pattes !!! J’ai réussi, et je peine à me remettre de tout ça. Il me faut quelques minutes, pour que tout reviennes à peu près, à la normale. Quelle frayeur… Bon maintenant, place à l’entretien qui déterminera le reste de ma carrière.