Spoiler:

Le brouillard ! La confusion ! Il n'y avait pas de terme précis pour définir l'état dans lequel se trouvait la jeune femme après chaque transformation. Elle mettait toujours un temps fout à émerger. Ca commençait par des sensations, la douleur en générale arrivait la première, puis ce qui l'entourait. Elle sentit ses poignets en feu, brûler par l'argent des chaines, les seules capable de maintenir l'agressivités du loup. Puis la froideur et la dureté du sol. Cela surpris beaucoup l'ex- Serdaigle qui avais plutôt l'habitude de se réveiller dans son lit sous des draps propre avec ses blessures panser. Pourquoi Jane ne l'avais pas remonter cette fois ? Peut-être qu'elle s'était réveiller trop tôt. Oui sa devait être ça. De toute façon elle n'était absolument pas en état de réfléchir, car la seule chose qu'elle voyait dans son esprit était une brume épaisse qui s'évaporait lentement. Trop lentement !
Elle sentit un liquide poisseux couler le long de ses bras et il ne fallut pas longtemps pour comprendre qu'il s'agissait de sang. Elle entendit indistinctement le tintement des chaînes quand elle bougeait doucement. Puis sa propre respiration, lourde, saccadé, et rapide.
Ensuite se fut l'odorat qui lui revint rapidement, ce qui lui permit de confirmer que du sang, sans aucun doute le sien, avait coulé et coulait encore. Pourtant l'air semblait saturé par cette odeur. A moins que cela ne soit la faiblesse de son sens qui la faisait ressentir cette impression. Puis deux autre odeurs l'assaillirent qui lui firent reprendre conscience beaucoup plus rapidement que d'habitude. c'était une autres odeur de Lycanthrope ! La jeune femme ouvrit les yeux rapidement et pour la première fois sa vue ne resta pas brouiller trop longtemps et le blanc sale du sous-sol lui apparut la faisant cligner des yeux. Elle était toujours dans son abris ou elle passait toutes ses pleine lunes, allongée nue, sur le sol. Elle tenta de relever ses mains vers son visage pour voir les dégâts, mais ses muscles endoloris ne lui permirent pas de soulever les chaines avec. En inspirant un bon coup elle rassembla toute la force qu'il lui restait après cette nuit, se releva en position assise et s'adossa au mur le plus proche. La jeune femme ferma les yeux quelques instant pour reprendre sa respiration et continua son analyse. Elle commença par retiré ses poignets des menottes devenues trop larges pour ses petites mains. Un seul mouvement lui arracha un grognement sourd. en regardant de plus prêt elle remarqua que la peau était brûler presque jusqu'à l'os et les blessure saignait abondamment. Elle s'était débattu comme une folle cette fois-ci. A l'aide de ses coude, elle parvint à se relever sur ses jambes et tremblante, elle longeât le mur contre lequel elle se maintenant grâce à ses coudes. C'est seulement en arrivant juste devant qu'elle remarqua la porte défoncée de l'extérieur. Un sentiment de peur envahit et d'incompréhension envahit la jeune femme. Quelqu'un était entré dans dans l'abris pendant sa transformation. Cela expliquait que la louve se soit autant agité cette nuit. Elle se souvint alors de l'odeur, encore persistante d'un autre, non deux autres lycanthrope. En si attardant deux seconde elle reconnut facilement celle du premier loup: Farkas Hitchens !Un sentiment de colère intense l'envahit. Qu'il se présente à nouveau sur sa route et elle ne se gênerait pour faire de sa fourrure un nouveau tapis pour le salon ! La deuxième odeurs elle la connaissait aussi. Il avait fait partit de l'attaque qui avait mener à sa lycanthropie. Fenrir Greyback ! A la simple penser de se nom elle sentit l'inquiétude montée en elle. Même elle connaissait la réputation de Greyback. Elle savait que Greyback la voulait dans sa meute de loups sauvage, sa elle avait puisque Hitchens était venu la recruter en personne. De toute évidence, Le chef des loup-garou  ne savait pas ce qu'était un refus. Une étincelle se produit dans le cerveau de la jeune femme. Si des loup étaient entrés ça voulait dire que Jane avait aussi été attaqué. Ne se souciant plus de ses jambes tremblante et de ses poignets en sang Ariena passa le seuil de la porte aussi rapidement quelle le pouvait et s'arrêta nette devant un corps non loin de la. elle se jeta au sol, ignorant la flaque de sang qui auréolait le corps et tâta avec angoisse le coup de sa tutrice. Elle sentait un pouls, faible, mais tout de même existant.  ! Merlin soit loué elle était toujours vivante. La peur et la colère lui faisait poussée des ailes. Alors qu'elle n'aurait pas du être capable de tenir debout, pas du être capable de réfléchir et encore moins de faire de la magie, elle matérialisa un patronus et demanda d'urgence des médicommage pour Jane Winstead. elle hésitait entre rester la et partir pour Ste-Mangouste avec sa tutrice, ou disparaitre tout de suite de cette maison et de cette scène de "crime" parce que oui, il y avait eu un crime ici ! Vu son état physique et mentale, il ne serait pas difficile pour les médicommages de déduire sa lycanthropie et elle deviendrait alors la suspect numéros un. audrey avait beau être aurore, elle ne pourrait plus rien faire pour elle. Elle s'inquiétait sincèrement mais elle avait confiance les médicommages intervenait dans un temps records lors des urgences et ils arrivait souvent à sauver leur patient. Le souvenir d'Alix toujours vivante à son arriver à l'hôpital et qui en était ressortit entre quatre planches de bois la fit pâlir d'angoisse. Elle devait prendre une décision et vite ! Les guérisseur n'allaient pas tarder à arriver et ils ne devaient surtout pas la trouver là ! Elle se releva et s'éloigna de la blessée puis se dirigea vers la porte d'entrée. Elle avait pris sa décision , elle allait se cacher ailleurs. Un endroit ou aucun de ses deux loups ne la chercherait.
Ce qu'elle découvrit dans la rue était loin de tout ce qu'elle imaginait. Le sol était jonché de cadavres mutilés, mort ou blessés et un intense odeurs, à ce niveau la ça relevait plutôt de la puanteur, de lycanthrope. La jeune femme en eux la nausée et les larmes aux yeux.
Elle avait une idée très précise de l'endroit ou elle devait se rendre. Elle tenta de faire abstraction de tout ce qu'il se passait dans la rue, bien qu'elle aurait aimé aidée les survivants mais elle devait fuir ! Adosser au mur, elle ferma les yeux et visualisa son point d'arrivé. Elle transplanna et se retrouva en deux secondes devant un grand manoir. La tournait affreusement ! Elle rejoignit aussi rapidement qu'elle le pu la porte d'entrée et frappa à la porte. Ou du moins elle essaya. La douleur de ses poignets se réveilla et elle gémi bruyamment. Finalement, plutôt que de frapper, elle gratta à la porte, que pouvait-elle faire d'autre ? Elle doutait que le propriétaire des lieux apprécie qu'elle donne des coups de pieds dans sa porte. Il fallait qu'on vienne lui ouvrir ! Elle était épuisée, le sang continuait de couler et un orchestre de tambours jouait dans sa tête ! Finalement la porte s'ouvrit sur la personne qu'elle attendait.
La jeune femme n'était pas en état d'expliquer dans les détails, pas devant la porte d'entrée alors qu'elle ne tenait debout que grâce à ses bras collée au mur.
Elle ignora le ton de Jeremiah qui était tout sauf accueillant. Leur relation était en générale cordiale au mieux. Il était possible qu'il refuse de l'aider et elle ignorait dans ce cas ou est-ce qu'elle irait mais elle ne perdait rien à essayer.

-"Je peux entrer ?" demanda-telle d'une voix rauque. "Je ... Je... Aide-moi !" Demander de l'aide n'était certainement pas dans les habitudes de la jeune femme mais elle savait se rende compte quand elle avait atteint ses limites. Elle le regarda dans les yeux. Il avait l'air presque aussi fatigué qu'elle. Pourtant son regard était sans aucun doute beaucoup plus vivace que le sien. Elle ne se rendit même pas compte qu'elle était en train de salir de seuil d'entrée avec son sang.

dragées:

La jeune femme ne saurait dire pourquoi ses pas l'avait mener chez Jeremiah Orwell. Elle aurais pu aller chez n'importe qui de l'ordre, chez des personnes amies par exemple. Chez sue ou chez Derek par exemple bien que ce dernier devait certainement se relever de la pleine lune également. Mais non, elle fuyait des loups-garou parmi les plus sanguinaire et le manoir Orwell lui semblait bien plus sur que n'importe ou ailleurs.
Elle soupira discrètement de soulagement quand, après, il lui semblait, une éternité,  le propriétaire des lieux s'effaça devant elle pour la faire entrée. Elle avait craint un instant qu'il ne lui referme la porte au nez. Après tout, ils n'étaient certainement pas amis. Même pas cordial non plus ! Rien ne l'obligeait à lui ouvrir la porte de chez lui.
Elle pénétra en titubant légèrement dans le grand hall du manoir. Le marbre sombre donnait une atmosphère froide et peu engageante. Typiquement Orwell ! Pourtant la jeune femme était loin d'être en état de détailler l'architecture du manoir. Si il n'y avait pas la peur qui l'avait poussé jusqu'à chez Orwell, elle se serait effondrée de fatigue et aurait dormi jusqu'a l'aube suivante. Elle était tellement désorienté quelle ne capta même pas l'intérêt suspect de Jeremiah.
"Tu es dans un sale état" Elle lui jeta un regard mauvais, ou aussi mauvais qu'elle le pu. Sans blague, il avait un humour à constipé un troll celui là  ! Elle allait mettre deux loup-garou à ses trousses pour voir comment il s'en sortirai. En réalité ce n'était pas les deux loups qui l'avait blessée, mais simplement les habituelles chaînes en argent qui l'entravait au mur. Elle pensait lui lancer une réplique bien penser, mais s'abstint de tout commentaire. Elle n'avait pas la force de se disputer de toute façon.

Elle suivit son hôte jusque dans les tréfonds du manoir pour aboutir dans une bibliothèque, comme elle n'en avait jamais vu. Il y avait prêt d'une centaine de livre et encore, sa vue était quelque peu altérer en ce moment. Le pauvre elfe de maison vint de nouveau offrir ses services à Jeremiah qui le renvoya à ses affaires. Elle n'avait jamais compris comment on pouvait se servir d'une créature comme d'un esclave.
"Allez Blackwell, assieds-toi un coup. Parce que sans vouloir te vexer, tu fais peur à voir. J'ai de quoi te soigner, si tu veux bien. On dirait que la nuit n'a pas été simple pour toi non plus"

Ariena se laisser tomber sur le fauteuil à côté de la table. Elle essayait déjà de reprendre consistance de sorte à paraitre moins faible et moins manipulable.  C'était pas parce que il l'avait invité chez lui qu'elle allait lui faire confiance dans la seconde. Elle n'avait jamais réussi à le trouver sincère. Elle le voyait comme quelqu'un qui ne faisait jamais rien quand ça n'était pas dans son intérêt. Sauf que la, elle ne voyait pas vraiment qu'elle pourrait être son intérêt.
Elle fixa des yeux la potion qui trainait sur la table. Sa couleur ocre si caractéristique lui indiqua qu'il s'agissait ben d'une potion de soin. Sauf que elle était déjà sortit quand elle était arrivée.
La dernière phrase du jeune homme attira son attention. Comment ça "pour elle non plus" ?  Que c'était-il passé pendant que Hitchens et Greyback lui rendait visite ? En y regardant de plus prêt, Orwell était blessé lui aussi Et même si c'était moins important que les blessures de la jeune femme, il n'en allait pas moins que c'était pas des petites griffures ou des égratignures. Elle se laissa soigner sans broncher, mais ne lâchât pas son"allié" des yeux. Elle aurait bien aimé qu'il se dépêche un peu parce que dès qu'elle serait en état il lui faudrait aller chez Audrey pour vérifier que tout allait bien et pour la mettre contre les deux loups qui l'avait attaqué chez elle, puis foncer à Ste-Mangouste pour savoir comment s'en sortait Jane. Encore fallait-il qu'elle soit remise sur pieds rapidement. Parce que bon la c'était les pieds de la chaise qui la soutenait.
En attendant elle en profita pour le questionner aussi.
-"Qu'est-ce qu'il t'es arrivé à toi ?"

Elle ne pouvait pas raconté ce qu'il lui était arrivé, sinon cela équivalait à monter sur le toit du manoir et à crier qu'elle était un loup-garou. Mais peut-être que selon de Orwell elle pourrait broder un mensonge bien ficelé, dont il ne pourrais pas douter. Et au pire Audrey appuierais ça version des faits, quoiqu'elle raconte.

dragées:

La jeune femme ne se le fit pas dire deux fois. elle attrapa la fiole de potion et avala son contenu en fermant les yeux de contentement. En quelques minutes les blessures s'estompèrent pour ne devenir plus que des cicatrices courant sur sa peau, la douleur diminua pour ne devenir plus qu'une désagréable sensation de picotement et ses forces revinrent quelque peu, suffisamment pour lui permette de devenir plus qu'un simple spectatrice. Elle observa Jeremiah déambuler dans la bibliothèque. Elle comprit qu'un monde les séparaient quand elle découvrit non seulement qu'il possédait des cache secrète dans sa bibliothèque mais qu'en plus il y cachait des potions de soin, potions que, elle, n'avait jamais pu se payer.
Se sentant quasiment re-devenir maîtresse d'elle-même elle analysa rapidement les évènement de cette nuit. Elle avait été attaquer par Greyback et Hitchens, ils étaient donc forcément sous forme de loups-garou. Elle se souvint des cadavres dans sa rue. Etait-il possible qu'ils ait fait autant de déjà à eu deux ? Non, elle avait senti, une odeur générale. Sauf qu'elle ne pouvait pas dire ça à Orwell. Il faisait partit de l'ordre pourtant...
-"Qu'est-ce qu'il s'est passé dehors, c'est gens, les... les cadavres... l'ode...l'odeur de lyca... ?" Si sous sa forme humaine son nez était plus développé que la normale, elle savait que Jeremiah n'aurait pas pu dire ce que sentait un loup-garou. Elle avait fauté gravement, quelle idiote ! "Il faut prévenir l'ordre" ajouta-t-ellepour détourné l'attention sur ce qu'elle venait de dire. Elle avait mimer une panique qui n'était pas si feinte que ça.
Pour le coup la jeune louve-garou ne savait pas du tout ou elle en était. Elle était vraiment paniqué à l'idée d'avoir fait tombé sa couverture toute seule, la panique aussi pour tout ces corps, ses blessés même à qui elle commençait à comprendre de manière effroyable ce qui était arrivé. L'inquiétude pour sa tutrice et pour Audrey. Puis elle se souvint. Elle se souvient que Farkas lavait fait des menace voilé que la jeune femme avait répété à Audrey, elle se souvint qu'aucune des deux n'y avait porté plus grande importance, mettant ces paroles sur le compte de la folie et de l'instabilité du jeune homme. Ce n'était pas le cas...
Se cachant les yeux au creux de ses paumes, elle se traita de tout les nom d'oiseau qui lui passait par la tête toujours embrumé par la fatigue qu'elle s'efforçait de maintenir à distance. Elle ne devait pas sombrer, pas maintenant. Elle ne faisait plus attention ou elle était, ni même à son hôte qui la regardait sans doute se débattre avec ses pensées. Elle ne faisait plus attention à rien sauf à cette conviction qui se transforma en colère.
-"Soit maudit Hitchens..." murmura-t-elle durement.

dragées:

La jeune femme, ne perçut pas le changement d'attitude de son hôte, tant elle était perturber par les évènements. C'était loin d'être son genre. Elle avait toujours su parfaitement gardé son sang-froid, en toute situation, garder ses émotions et ses sentiments pour elle. Non pas toujours... Il fût un temps ou elle était une petite fille exubérante et passionné. C'était il y avait des années.
il fallait à tout pris qu'elle se ressaisisse, si elle ne voulait pas attirer l'attention sur elle. Déjà qu'elle avait fait une erreur. elle ne pouvait pas se permette de fauter encore, pas en présence de Jeremiah Orwell, qu'elle savait tout sauf idiot !
Surtout qu'avec lui, elle risquait fortement de regretter d'avoir lâcher quelques chose d'aussi stupide. Elle le voyait déjà la menacer de tout révéler à l'ordre ou pire. Oui clairement elle devait se calmer !
Elle aurait pu s'offenser des paroles du dandy mais son esprit était resté coincé sur le début de la phrase. Elle venait de comprendre l'importance des menaces qu'avait lancer Hitchens. Ils avaient Londres ! Pas uniquement elle, ou sa rue, mais Londres entier. Combien de victimes seraient à déploré, et surtout combien avait survécut ? Parce que oui, c'était le plus important. Les victimes survivantes avait une grande probabilité de devenir à leurs tour des loup-garous. Comment la communautés sorcières arriverait à régler un telle cas ? La jeune femme voyait déjà des décret de restrictions aux loup-garous faire leur apparitions : Un vrai cauchemar en perspective.
Elle espérait de tout coeur qu'aucun membre de l'ordre n'avait été blessée. en tant que loup-garou, elle s'en voudrait si il y avait des victimes mortes ou vivantes.

La question de Jeremiah la prit au dépourvue. Elle releva vivement la tête, tenta de percevoir une quelconque émotion sur son visage mais de toute évidence, il maitrisait mieux ses émotions qu'elle à cet instant. Etait-il possible que son hôte connaisse aussi Farkas ? Le "toi" semblait évident. Avait-il lui aussi souffert à cause de cet homme ? Serait-il possible que Jeremiah Owell cache au fond de son coeur un brin de bonté non calculé ? Beaucoup de question tournait dans l'esprit de la jeune louve.
Il avait tort ! Tout le monde connaissait Greyback, mais personne n'avait entendu parler de Farkas Hitchens. Ariena avait vérifié avec Audrey ! Aucun dossier ne mentionnait son nom et encore moins parmi les possibles loups-garou. Alors comment Jeremiah le connaissait-il ? Il lui cachait quelque chose, elle en aurait mis du poison dans son verre. Elle devait savoir. tout ce qui concernait Hitchens la concernait indirectement. Après tout, c'était à cause de lui si elle était devenue dépendante de la Lune et pire, c'était aussi ça faute si elle dans cette bibliothèque à cet instant !

-"Si tu savais" murmura-t-elle. Elle releva les yeux, décida à tirer les vers du nez a son hôte ! "Tu as raison" continua-t-elle, "Hitchens est bien connus, pour ses actions répréhensible"  bluffa-t-elle. Si Jeremiah avait quelque chose à se reprocher à cause de Farkas ou même si il avait souffert à cause de lui, il tiquerait !

dragées:

La jeune femme avait finalement obtenu ce qu'elle voulait ! Elle était certes loin d'avoir récupérer tout ses moyens mais l'idée d'avoir pu piéger Orwell à son propre jeux la satisfaisait, lui faisant presque oublier les évènement de la nuit passé. Ariena n'avait certes pas finit ses études d'auror, mais son début de formation avait aiguiser son esprit déjà doué pour l'analyse. Elle n'avait jamais faits confiance à Orwell, et ce "jeux"  sur le sujet Hitchens n'arrangeait pas son cas. Une fois la confusion passé, elle compris ce qui l'avait poussé à se rendre chez lui. Même si elle ne lui faisait pas confiance, elle doutait que quelqu'un oserait l'attaquer dans son propre manoir. Pourtant, pour la première fois depuis qu'elle était arrivée ici, le doute s'insinua dans l'esprit de la jeune femme. Si il connaissait vraiment Farkas, qu'est-ce qui prouvait qu'il ne collaborait pas avec eux ? Peut-être était-il au courant de cette attaque, mais n'avait pas daigner prévenir l'ordre. Puis pour ne pas griller sa couverture, il l'avait finalement prévenu. L'esprit de la louve tournait à toute allure, faisant une multitude de suppositions. Pourtant, si elle voulait la vérité, elle ne pouvait plus se permettre de tourner autour du pot.

-" On apprends beaucoup de secret, quand on est formée par une auror, surtout, une auror comme Audrey." dit-elle comme excuse ne se doutant pas que peut-être Audrey était elle aussi soupçonné de lycanthropie par le jeune homme. Le fait que Orwell ait utiliser le nom Hitchens, puis fait mine de se tromper ensuite, prouvait qu'il essayait de cacher quelque chose. "Si tu cherche toutes tes infos dans la gazette, tu ne dois être aux courants de beaucoup de chose mon vieux. De plus..." elle prit une pause, chercha sensoriellement sa baguette qu'elle trouva dans sa poche de pantalon, puis planta son regard sur Jeremiah. "De plus, je ne crois pas t'avoir préciser que je parlais d'un lieutenant de Greyback ! Qu'est-ce que tu sais sur lui ?" le menaça-t-elle de sa baguette. Elle se rendait compte, que la situation dégénérait un peu, qu'elle aurait pu laisser passer, se laisser soigner, puis repartir, et prouver la culpabilité de Orwell autrement. Surtout qu'elle était sans doute désavantager par rapport à son hôte qui semblait en meilleur état qu'elle.

Les paroles de son hôtes surprirent la jeune louve. Elle ne s'attendait certainement pas à ce que Jeremiah protège un loup-garou. Encore une fois elle semblait s'être trompé sur lui. En même temps, elle n'était pas vraiment en état de réfléchir correctement. Épuisée et confuse, elle abaissa sa baguette et se rassit lourdement.

-"Qui est ce loup ? J'en connais une aussi et je pense qu'elle pourra l'aider à savoir ou doit aller sa loyauté, comme tu dis. " En générale la jeune femme se tenait loin des loups-garou, mais depuis sa rencontre avec Remus Lupin elle savait que certain avait simplement besoin de soutien. Si elle n'arrivait pas toujours à s'accepter, elle semblait toutefois plus douée, pour aider les autres à s'accepter comme ils sont.
Elle ne savait plus trop quoi penser, mais elle était sur d'une chose, Jeremiah était au courant pour sa lycanthropie. Il était bien trop renseigner, pour ne pas avoir remarquer les signes, plus qu'apparent chez la jeune femme. Elle ne lui faisait pas confiance, mais si tout en sachant qu'elle l'était, il l'avait "accueillit" chez elle, un lendemain de pleine lune, il alors peut-être qu'elle s'était vraiment trompé sur son sujet.

-"Ce que je te reproche ? J'ai cru comprendre, dans ce que tu disais que tu connaissait des choses sur Hitchens, et c'est cela qui m'intéresse vois-tu."
Hitchens l'avait non seulement mordu, mais à ses yeux, il était aussi coupable de la mort de son frère, tout autant que Greyback. La première fois qu'elle l'avait vu, il avait l'air fragile, mais une certaine confiance brillait dans ses yeux sombres. La deuxième, c'était à la mort de Alix. Aucun d'eux n'avaient pipper de mots, mais, Farkas Hitchens lui avait parut faible, et paumé. La dernière, fois remontait au soir même, ou ils avaient attaqué sa demeure.

HJ:

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