• Caractère : fière – distante – sauvage – méticuleuse – attentive - masculine
  Artiste (a un don d'observation et est particulièrement douée pour insuffler dans les tableaux magiques ce qu'il faut de la personnalité du modèle)
  Sexualité à définir, mais elle n'est pas connue pour tomber amoureuse ni pour avoir partagé dans le passé une relation passionnée avec quelqu'un (ou si c'est le cas, elle est restée très discrète là-dessus).
  Allégeance à définir
  

Blodwen est une femme forte qui n'a pas trouvé sa place dans la société sorcière. Elle vit en marge mais est pourtant réputée pour son art : de fait, malgré son profil peu conventionnel, elle ne manque pas de clients. Ceci l'a amenée à entrer dans divers milieux pourtant très sélectifs, et à détenir de nombreux secrets, qui pourraient en intéresser plus d'un. Elle se fiche royalement de son apparence, et il est habituel de la voir le cheveux fou, des traces de gouache sur les vêtements ou les doigts, vêtue de vêtements informes, loin de mettre en valeur son corps ; est-il besoin de le préciser, elle ne se maquille pas et ne fait pas d'effort pour coller aux canons féminins de beauté. C'est une taiseuse mais pas une docile, ses interventions sont rares mais cinglantes. Elle est fière de son héritage familial, fière d'être galloise, et fière d'être une sorcière. Elle préfère parler gallois, mais peut parler anglais.

• Elle méprise son beau-frère (et les hommes et femmes de la bonne société en général) ; elle n'aime pas cet homme dur et attaché à la norme. Ils ne font pas partie du même univers. Pas de chance, ils se côtoient au quotidien, puisqu'il est hors de question qu'elle abandonne la maison de SA famille, et qu'elle a installé son atelier et son logement dans une dépendance.
  Sa mauvaise relation avec Trystan Robards a sans doute contribué à ce que les liens entre Blodwen et sa sœur se distendent. Ceiwen, sa sœur aînée, a choisi un chemin de vie totalement opposé aux valeurs auxquelles croit Blodwen.
  Malgré tout, elle apprécie son neveu, Gauwain, et accepte en général de l'aider si il sollicite son aide, à moins qu'elle ne voie dans son comportement l'ombre de Trystan, ce qui l'agace au plus haut point.
  Elle est d'une fidélité sans borne à son vieux fou de père. Elle se rappelle trop bien les années où il a quitté le domicile pour participer à la croisade contre Grindelwald ; elle en garde un mélange de reconnaissance et d'amertume, car elle est persuadée que cette absence et l'inquiétude ont contribué à user sa mère et à causer son décès. Elle ne l'a jamais explicitement exprimé à son père, sa rancoeur étant dirigée contre les événements plus que contre un homme qui a voulu contribuer à écrire une Histoire meilleure.