ϟ la répartition

NOM - MULCIBER PRENOMS - Colbert « Cole », Cassius DATE DE NAISSANCE - 24 Décembre 1959 AGE - Quinze ans VILLE D'ORIGINE - Liverpool, Angleterre. CLASSE - Quatrième Année SANG - Sang Pur, les sang de bourbe haïront.

Elevé dans un univers strict par ses parents, il conserve des traces de l’éducation qu’il a reçu. Dans chacune de ses entreprises, il y met coeur et âme avec autant d’obstination que de minutie. Très tôt, il observe sa mère crée des potions dans une des pièces de la maison. Le regard avide de connaissance, il l’observe avec curiosité et tente de mémoriser chacun de ses gestes. Elle tente de lui apprendre, de l’initier et l’enfant s’acharne dans sa tâche. Mais bien vite, il comprend que les potions ce n’est pas pour lui. Il reçoit mal les critiques et se froisse lorsque sa mère le reprend. La fierté s’installe et il se voile la face. Non, il ne souhaite pas montrer ni admettre ses torts. Au fil des âges, il comprend qu’il faut apprendre à jouer de ses charmes pour obtenir ce que l’on souhaite, ce que l’on désire. Alors il joue le jeu : il manipule la vérité pour apparaître sous un nouvel angle plus avantageux. Il se crée une façade, un masque dans le but de séduire et parvenir à ses fins. Mais quelques fois, l’apparence et quelques belles paroles ne suffisent pas. Il ne baisse pas les bras et attend avec patience le moment opportun. Le moment parfait où il pourra exécuter ses plans. Comme beaucoup d’enfants, son attitude envers les membres de sa famille diffère de celle qu’il montre devant ses camarades. Il pousse à bout, se complaît dans le jeu et ne perd pas son temps devant mille et unes courbettes, préférant d’avantage foncer dans le tas, tel un bourrin, et être direct. Voir les autres se perdre à discuter pour ne rien dire l’ennui et nourrit son impatience. Grandir enfant unique aura laissé des répercussions dans sa façon d’être, d’agir. Sans aucun doute, il ne s’embarrassera pas de réfléchir lorsque son sort est menacé. Qui n’a jamais pensé à sauver sa peau avant celle des autres ? Il est ainsi tout bonnement honnête et en phase avec lui-même sur cet aspect. D’autre part, il se délecte du malheur des autres, notamment lorsque les évènements ne le concernent pas, prenant un malin plaisir à voir autrui souffrir. Certains appelleraient cela du sadisme ou de la cruauté. Pourtant, ses agissements lui semblent justifier et avec ténacité (ou avec zèle), il observe, s’adapte et s’acharne un peu plus.

A ses heures perdus, il se plonge dans des revus destinés aux sorts en tout genre : des plus simples aux plus hardis, les inutiles aux usuels, en passant par les non-conseillés aux jeunes sorciers et les interdits. Il parcourt les pages avec intérêt, mais ce qu’il préfère, c’est la pratique…    

VOTRE PATRONUS - Crocodile (s’il y arrive…)
VOTRE EPOUVANTARD - Serpent (quelle ironie !)
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Bleu Nuit
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Crocodile
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Bièraubeurre
VOTRE COURS PRÉFÉRÉ – Les Cours de Sorts et Enchantements
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – « Assurdiato » & « Silencio » (très utile)
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – La Banque des Sorciers, Gringotts.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? – « Vas voir ailleurs si j’y suis. »

Explications : Tu te trouves dans le Poudlard Express, en route vers ta Première Année. Soudain, une élève un peu plus âgée entre dans ton wagon et commence à te poser des questions.

« Salut, je peux m'installer ici ? Moi c'est Penny Clearwater, je suis Préfète, et toi tu t'appelles comment ? Tu vas faire ta première rentrée à Poudlard, on dirait. Faut pas t'inquiéter, ça va aller. Tu sais déjà dans quelle Maison tu voudrais aller ? »

« Penny Clearwater, tu dis ? Jamais entendu parlé. T’es préfète, pas un agent du bureau des Aurors. Et il est courant de dire aux enfants d’ne pas parler aux inconnus et c’est ce que j’vais choisir de faire. Mais sache qu’il n’y qu’une, voire deux, maisons qui méritent mon attention. J’te laisse deviner… »

« Je vois, je vois. Ben verdict à la cérémonie de Répartition, alors ! C'est le Choixpeau qui décide, après tout. Mais j'espère que tu iras là où tu veux. Au fait, ton nom me dit quelque chose, t'as déjà des frères et soeurs à Poudlard ? Et tes parents, ils font quoi dans la vie ? »

« Si tu l’dis. Ta curiosité est dérangeante, désagréable et mal placée. Mes parents sont bien comme ils sont, merci de ton attention. Comme j’sens que tu ne m’lâcheras pas si j’dis rien, voilà. Mon père est commandant dans les forces militaires sorcières, peut-être qu’après il continuera sa carrière au Ministère. Et ma mère parraine plusieurs charités, comme Ste-Mangouste. Satisfaite ? »

« Ah oui non en fait, j'ai dû confondre avec quelqu'un d'autre. Bref ! Sinon, comment tu vois ton futur, à ta sortie de Poudlard ? Tu dois bien avoir des projets d'avenir, tu sais ce que tu veux faire plus tard ? »

« Dans mon futur proche, tu as débarrassé le plancher et t’arrêtes de m’briser le chaudron. Salut et bon vent. »

« Quelle ambition ! Moi je veux devenir joueuse de Bavboules pro, mais apparemment c'est super-compliqué. C'est un peu mon rêve, tu vois. Tu as peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et te propose d'exaucer trois de tes vœux. Si un tel génie se présentait à toi, qu'est-ce que tu demanderais, toi ? »

« Mais, t’es dure de la feuille ou ça se passe comment ? Par Merlin, j’vais pas t’le répéter 50 fois, du vent. »

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? Qui sait… Où avez vous connu le forum ? T’es bien curieux… Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Avez-vous déjà vu un Murlap et une Manticore dans un supermarché ? Moi non plus. crédits — solken ; ailahoz (icons) + tumblr (gif)

Vous avez la possibilité de réserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Sujet ACTION :
— Tu vois un jeune enfant se faire enquiquiner par un groupe de petites brutes, développe ta réaction au cours d'un RP.

Ce matin, j’avais reçu par hibou express mon mensuel d’AbracaSort. Je l’avais attendu avec impatience, lassé de devoir relire encore et encore le numéro précédent. Tout le numéro s’était consacré à des sortilèges sans intérêt. Alors ouais, je l’avais attendu avec impatience, si ce n’est plus. Alors après les cours, j’avais quitté les autres pour m’installer dans un coin tranquille du château et feuilleter convenablement mon magazine. Il était hors de question qu’ils perturbent ma lecture. Et puis, nous n’avions pas à rester chaque minute de notre temps tous ensemble, comme des pathétiques Poufsouffles de Première Année. Alors j’avais pris mon magazine et les avais abandonné. Chaque mois, dans une des rubriques du journal, des sorciers envoyés des sorts qu’ils avaient créés et des astuces sur des sorts déjà existants. C’était la rubrique qui me plaisait et me fascinait le plus. J’apprenais des nouveaux sortilèges, que le Professeur Flitwick n’allait sûrement jamais nous enseigner. Certains concernaient des astuces beauté d’une banalité sans nom. Cependant, à plusieurs reprises, j’avais fait la découverte de formules intéressantes. Mais quel est l’intérêt d’apprendre de nouveaux sorts, si ce n’est pour les mettre en pratique. Pour cela, Poudlard est le lieu idéal…

Après presqu’une heure de lecture assidue, je commence à m’ennuyer ferme. J’aurais bien pu demander à Wilkes, Avery, ou même Rosier, si je ne les avais pas envoyé paître un peu plus tôt. Je referme rageusement mon magazine et prends le chemin de retour vers la salle commune. Le regard droit, les mains dans les poches et mon magazine sous le bras, je déambule dans les couloirs. Sur le chemin, lorsque je croise d’autres élèves, je sens qu’imperceptiblement ils prennent leur distance. C’est satisfaisant de savoir que de nombreux élèves évitent de trop s’approcher de moi. Peu importe leur raison, le simple fait de voir le stress qui s’empare d’eux, des perles de sueur se forment sur leur front… je me délecte de l’état vers lequel ils évoluent. C’en est presque jouissif de savoir qu’on pouvait avoir un certain contrôle, une certaine influence sur les autres élèves du château, quelque soit leur maison ou leur année. De manière générale, un élève de Serpentard n’est par principe « pas fréquentable », mais je prends un malin plaisir à jouer le jeu, à forcer leur malaise.

Au détour d’un couloir, des bruits résonnent dans les couloirs. Nous sommes en plein après-midi, certes, l’été n’a pas encore pointé le bout de son nez mais le temps reste correct pour sortir. Par pure curiosité, je me dirige vers la source à pas lent, ne voulant en aucun cas me faire remarquer. L’idée de surprendre une conversation privée ou une mauvaise action accroît ma curiosité. Et puis, posséder une information sur quelqu’un est toujours un atout de choix. Les voix deviennent de plus en plus claires et je peux entendre des gémissements ? Que peut-il bien se passer de l’autre côté du couloir ? Je frôle le mur de pierre et tombe nez à nez avec un groupe visiblement plus jeune que moi en cercle. Ils doivent être trois ou quatre et tous ont la tête baissée vers quelque chose (ou quelqu’un) que je ne peux pas voir d’où je suis. Je me décale sur la droite et les observe en silence. Presque inconsciemment, un sourire malsain se dessine sur mon visage. J’avance encore de quelques pas et bientôt, je suis bien positionné pour avoir une vue d’ensemble sur la scène. Ils doivent sentir ma présence car au bout de quelques minutes, l’un se tourne vers moi et ouvre grand les yeux sous la surprise. Je ne perds pas mon sourire et continue d’observer en silence. « Qu’est-ce que tu fais ici, toi ? » me lance un autre. Pour qui il se prend celui-là. Va falloir qu’il descende de son balai, lui. « J’observe », je réponds calmement, « mais continuez. Ce ne sont pas mes affaires. ». Le petit groupe semble perturbé, mais je ne bouge pas et les fixe. Néanmoins, je n’ai aucune considération pour la véracrasse à terre qui pleurniche. Je sens qu’il me regarde lui aussi. Je lui jette quand même un coup d’oeil rapide. Il semblerait qu’il soit reconnaissant de ma présence, sans doute, car à cause à moi, il a eu le droit à un moment de répit. Ne souhaitant pas lui laisser penser que je suis venu lui apporter une quelconque aide, je me concentre à nouveau vers ses camarades, qui fixent étrangement le blason de ma cape. Bien, ils ont compris qu’il ne faut pas me chercher des noises. Je ne dis rien et remarque qu’ils font tous partie de la même maison, même leur victime : des Serdaigles. Une petite bande de Serdaigles. Je ris silencieusement devant cette scène. Finalement, le groupe décident de m’ignorer et de se focaliser sur leur camarade à terre, qui commence à bégayer et dont les yeux font le va-et-vient entre moi et ses copains. Aucune brutalité physique n’est faite, pas même un pauvre sort n’est lancé. Quelle tristesse et quelle perte de temps. Même si la scène m’amuse fortement, je décide de continuer mon chemin et laisse le groupe régler ses ennuyeux problèmes. Quand j’arrive à l’angle, je me retourne et sort ma baguette que je pointe vers eux, « Tarentallegra ». Leur petite scène promet de prendre un nouveau tournant. Dommage que je ne puisse pas rester, malgré le fait que de voir des Serdaigles s’embrouiller pourrait être un passe-temps divertissant.

Noooooooon, cet ange pour incarner Mulciber !
Je vais peut-être tomber amoureuse moi RE

Salut.