ϟ la fiche de recensement

NOM - Dearborn PRENOMS - Phoebus Ares DATE DE NAISSANCE - 13 décembre AGE - 25 ans. VILLE D'ORIGINE - Liverpool SANG - sang mêlé ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Gryffondor ORIENTATION - neutre

C comme Courageux, je viens des rouges et or et j'en suis fier. Fier comme un gardon qu'il disait mon père avec un rire doux. Je ne sais pas pourquoi, mais c'était la seule expression moldue qu'il utilisait. J'y suis allé avec mon frère jumeau. Et j'vous jure que j'ai adoré mes années dans la plus belle maison de Poudlard. Je ne sais pas si je suis réellement courageux vu la vie que je mène, mais je me sens bien avec ce qualificatif.

A comme Ardent, comme un feu. Je ne suis pas stable, je ne l'ai jamais été. Dans notre duo avec Caradoc, je suis celui qui ne sait pas se poser. J'ai besoin de bouger, de voir le monde. D'être comme un feu, attisé afin de me répandre et d'être bien plus grand. Mes expériences sont, pour moi, des trésors que je garde, plus j'explore et plus je comprends le monde et en apprends plus sur moi.

R comme Rieur, que serait la vie sans sa dose de rire? Et pour moi, tout est bon à sourire. Même dans nos temps obscure, un simple sourire fais du baume au cœur. Il aide, il guérit. Si nous perdons le sourire, nous perdons tout. Alors, quitte à faire le pitre pour aider les miens à aller mieux, je le ferai sans hésitations.

A comme Amoureux un amoureux de la vie, des autres, des femmes, des rencontres. Je suis un touche à tout et cela aide grandement. C'est grâce certainement à mon sourire que j'ai eu mon poste. J'aime aimer. C'est une part de moi, pour ne pas dire une énorme part de moi.

D comme Dissipé, cet adjectif est parfait pour mon esprit un peu fêlé. Je n'ai jamais su tenir en place, ni même avoir des notes de dingue à Poudlard. Pas que j'avais un train de retard, mais j'étais quand même plus à la bourre que certains, mais restant toujours dans la moyenne.  J'ai cette stupide habitude de ne jamais rester bien concentré sur quelque chose, j'ai toujours un millier d'idées en tête. Et il ne suffit que d'une qui survole et je suis parti sur quelque chose de nouveau.

O comme Orageux, si on pouvait deviner ce qu'il se passe en moi, ce serait ça, un orage. Tout d'abord, si vous touchez à l'un des cheveux de ma famille et je pense que ce masque d'adorable garçon va vite s'effacer. Ensuite, parce que j'étais de ces garçons à Poudlard qui n'hésitaient pas à rentrer dans le lard des autres. Taquineries ou juste envie de se sentir vivant, j'étais un peu le cancre et l'emmerdeur de service.

C comme Charmeur, vous vous en doutez, ai-je besoin de vous faire un dessin?

VOTRE PATRONUS - pas encore découvert.
VOTRE EPOUVANTARD - Un fleuve calme la nuit, où remontent les corps de son père et son frère.
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – l'argent
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – le chien, de préférence, un pitbull bleu
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Barbe à Papa
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Accio, pour les fainéants dans mon genre.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Ollivander's
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Albus Dumbledore, même si je lui en faisait voir de toutes les couleurs.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - réponse

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Désolé de vous décevoir Rita, mais je ne suis qu'un pauvre journaliste. Tout comme vous n'est-ce pas? Vous devez bien me connaître, le Docteur Love, qu'ils m'appelent. Je suis actuellement le journaliste qui réponds aux courriers du coeur chez votre concurrent, Sorcière Hebdo. Mais ça vous le savez déjà au vu de ce regard.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
C'était pas. Je ne suis pas une personne qui s'est déjà entichée d'une autre. Certainement un jour. Pour le moment, je vis le moment présent, comme le disent les moldus, je cueille les roses de la vie avant qu'elles ne fanent. Notre beauté ne dure pas, alors, j'en profite le temps d'être bien conservé. J'espère que vous en avez fais de même!

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
Je ne sais pas si mon passé a influencé mon présent et influencera mon futur. Pour ce que j'en sais c'est que je me suis fais des dizaines d'amis lors de mes années à Poudlard, que j'étais un cancre et que j'en avais rien à faire de l'autorité. Enfin aujourd'hui, je suis épanouis, mon frère est ma bouée de sauvetage et sait me canaliser.  

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
L'amour. C'est ça mon rêve. Tous mes amis me rient au nez lorsque je leur dis, je pars souvent sur de la rigolade, faisant croire à une farce de ma part, mais oui, j'aimerai trouvé le grand amour... Pathétique hein? L'envie de fonder une famille, d'avoir ma femme à mes côtés et à vivre heureux et épanouis au travail également.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Oh Rita... Ma douce. Regardez-moi! Ai-je réellement la tête de quelqu'un qui peut faire du mal à une autre personne? Non. Et je vous dis pourquoi. Parce que mon père a mené une formidable éducation, il m'a inculqué des principes bien précis et pour cela je lui en serait toujours reconnaissants. Je suis neutre dans cette histoire, je ne préfère pas me mouiller, mais s'il le fallait et je dis bien s'il le fallait, alors je serais du côté de la magie blanche, du côté de l'humain, de la vie et de la justice, Rita. Voilà ce que je suis. C'est ce que je pense et certains feraient bien de se remettre en questions...

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
La paix, l'amour et d'être toujours auprès de mes proches.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? Je suis désolée, mais non. Où avez vous connu le forum ? sur PRD Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Oui, murlap

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

Le stade était plein à craquer. Les différentes couleurs amenaient la joie et l'unité des supporters. Le bleu, le blanc, le rouge; les supporters français étaient là et étaient prêts à mettre l'ambiance, ça se ressentait. Le match n'avait pas encore commencé qu'ils chantaient déjà des hymnes dans la langue de Molière. Nous autres, on était en vert et orange avec des pointes de blanc. Même si je n'étais pas irlandais, c'était pour moi, la meilleure équipe au monde. Bras dessus, bras dessous j'avançais avec Caradoc tout en braillant l'hymne irlandaise que l'on connaissait par coeur. C'était notre première coupe du monde rien qu'entre frérots et j'avais bien l'intention d'en faire une soirée épique.

Le match touchait presque à sa fin, on avait eu le droit à des tonnes d'actions et de feintes de la part des deux équipes. Les français se battaient pour reporter la victoire, mais dans mon esprit, les irlandais brandirait la coupe aisément. J'attendais simplement, qu'ils passent à la vitesse supérieur. Les supporters français étaient en ébullition, ils dansaient, chantaient, huaient et riaient au fil du match. Nous autres défendions nos couleurs tout aussi ardemment.

"Je pense qu'on est dans la galère." dit mon frère en posant ses bras sur la rambarde.
"Ils vont gagner j'en suis sûr! Ils peuvent pas me décevoir, je suis pas venu pour rien!"
Tous deux étions dans une transe dûe aux autres, à l'énergie de cette foule, à cette envie de gagner.
"Pour sûr qu'ils sont obligés de gagner, j'ai préparé un petit stock d'alcool pour fêter ça."
Je regardais mon frère à deux coups avant de venir lui ébouriffer les cheveux.
"Tu te dévergondes, frère?!", cette phrase sortit avec un petit rire. Dire que c'était mon frère le plus calme de nous et que pour une fois, il se décontractait. Ca me mettait dans un état d'euphorie. Mais?! Que vois-je?!
Le poursuiveur français fonçait droit sur nous et j'eus un peu de mal à voir ce reflet doré non loin de nous. Le vif d'or n'était qu'à quelques mètres et pourtant, j'étais certain de pouvoir le toucher. Je tendis le bras, mais aussitôt le vif d'or s'approcha à une distance critique du joueur français.
"Non, mon petit, reviens par ici, va voir les irlandais, sont sympas!"
Mon frère me regardait comme si j'étais devenu fou, mais un rictus prit rapidement part de son visage.
"Tu vas finir à Ste Mangouste, frère! J'te jure que t'es pas net parfois."
Je le regardais avant de lui donner un faible coup de coude.
"Essaye-toi! Faut l'influencer ce petit, sinon on va jamais gagner."
Pendant que nous parlions, nous n'avions pas vu le score changer. 200 - 210. Les dix points en faveur des français. "QUOI?!" m'exclamais-je en montrant du doigt les scores. Caradoc suivit mon doigt et vint frapper la rambarde de sa main. Et là, sans même avoir eu le temps de dire quelque chose.
"Allez petit, va voir les irlandais, suit les conseils de cet énergumène. Va voir les verts et oranges."
J'eus un éclat de rire, la joie était en moi. Le stade était bouillonnant et pour la première fois, je vis mon frère me singer alors qu'il se moquait de moi quelques minutes auparavant.
"En tout cas, j'serais pas seul, t'en fais pas frérot, j'te garde un lit à Ste Mangouste."
Au même moment, le français fit une manipulation des plus impressionnantes, tout le brouhaha s'arrêta le temps d'un battement de chœur. Il s'était mis debout sur son balais, puis avant même que le stade puisse reprendre son souffle, il se jeta sur le vif d'or. Plus un bruit. Il tombait. tombait. tombait. Avant que Dupuis, l'un des autres joueurs arriva à une vitesse folle pour le recueillir sur son balais.
"L'EQUIPE DE FRANCE VIENT DE S'EMPARER DU VIF D'OR, IL REMPORTE POUR LA DEUXIEME FOIS LA COUPE DU MONDE DE QUIDDITCH!" Les français n'en pouvaient plus. Le stade tremblait sous leurs poids mouvants. Ils reprirent en coeur la marseillaise tout en bougeant leurs banderoles, leurs écharpes et autres accessoires à l'effigie de l'équipe vainceure.
Mon frère et moi. Là, comme perdu dans un immense bruit, nous nous sommes regardés et puis nous avons ri avant de se prendre dans les bras. Cette soirée, même si notre équipe préférée était perdante, était gravée dans ma mémoire. Je le sentais, bouillonnante en moi, l'une des meilleures de ma vie.

On sera copains ? :

MON BROOOOOO AAAAAAAAHHHH Chouette début de fiche, je suis trop heureux Envoie-moi un mp si tu as la moindre question et même si tu n'as pas la moindre question

O.M.G
LE COUSIN EST LA Ça sent les futurs repas de famille tout ça

Bienvenue chez nous et bon courage pour la fin de ta fiche Mr. Dearborn